image-i-nations trésor

Journée mondiale de l’énergie – 22 octobre

Le 22 octobre a été désignée « Journée mondiale de l’énergie » lors de l’ouverture du Forum mondial de l’énergie en 2012.Cette date était alors symbolique car c’était alors la première fois que le forum se tenait en dehors du siège de l’ONU, les 25 pays présents se réunissant en effet à Dubaï.

Energie pour tous

Aujourd’hui on compte encore 1,5 milliard d’habitants de la planète sur les 7 milliards qui la peuplent, qui sont privés d’électricité. Ces chiffres posent un défi à relever par la coopération internationale et la coordination entre pays avancés et pays en voie de développement.

Cette journée rappelle un des enjeux majeur de demain qui est de pouvoir offrir l’énergie au plus grand nombre d’habitants du globe.

Développement durable

Il est difficile de parler d’énergie sans aborder la question cruciale de l’écologie et du développement durable. Produire de l’énergie oui, mais dans quelles conditions ?

Le débat entre l’utilisation des énergies fossiles souvent polluantes et les énergies renouvelables fournies par la nature prend un sens nouveau quand on songe que ce sont les pays en voie de développement qui sont souvent contraints d’utiliser les sources d’énergies les plus polluantes (charbon par exemple) pour arriver à une certaine indépendance…

Là encore, sans coopération internationale, ill sera difficile d’avancer rapidement dans le bon sens. Et pourtant, il y a bel et bien urgence !

Un site à visiter : www.statistiques.developpement-durable.gouv.fr    Source: Texte & Image: Journée Mondiale

Journée mondiale contre le travail des enfants – 12 juin 2020

COVID-19 : Protégeons les enfants contre le travail des enfants, maintenant plus que jamais !
En 2020, la Journée mondiale contre le travail des enfants se concentrera sur les conséquences de la crise actuelle sur le travail des enfants. La pandémie de COVID-19 et ses chocs socio-économiques ont des conséquences énormes sur la vie et les moyens de subsistance des populations. Malheureusement, les enfants sont souvent les premiers à en souffrir.

La crise peut pousser des millions d’enfants vulnérables au travail des enfants. On estime déjà à 152 millions le nombre d’enfants astreints au travail des enfants, dont 72 millions effectuent des travaux dangereux. Ces enfants courent désormais un risque encore plus grand de faire face à des circonstances encore plus difficiles et à avoir des journées de travail encore plus longues.

Cette année, la Journée mondiale se déroulera comme une campagne virtuelle et est organisée conjointement avec la Marche mondiale contre le travail des enfants et le Partenariat international pour la coopération sur le travail des enfants dans l’agriculture (IPCCLA).

Éradiquer le travail des enfants d’ici à 2025
152 millions d’enfants (64 millions de filles et 88 millions de garçons) sont astreints au travail des enfants dans le monde, ce qui représente presque un enfant sur dix à l’échelle mondiale. Il faut redoubler d’efforts pour atteindre la cible 8.7 des objectifs de développement durable (ODD), qui appelle à l’interdiction et à l’élimination immédiates des pires formes de travail des enfants.

 

Source: Texte & Images: OIT (Organisation Internationale du Travail)

 

3rd Easter Sunday, Year C – 2019

Last Sunday’s reflection brought us to realize that God – our God – is a surprising God.
He does things, and relates to people, often in a manner that is not what we would expect from him.
He shows this constantly in our own lives, if we only take time to notice it!

In today’s gospel text (Jn.21:1-19), there is an interesting detail that illustrates this.
When the apostles return from the lake with an amazing catch of fish, totally unexpected,
they see on the shore Jesus near a charcoal fire with fish on it and bread.
Breakfast has been prepared and is ready for them!

But then, Jesus tells them:
“Bring some of the fish you have just caught.” (v.10)
 
This is, shall I say, typical of God!
While some of us are not keen on… collaboration, God is.
This seems to be his preferred mode of action: interaction!
He does not want only to do things for us but he wants our cooperation.
He wants our contribution to the great things he is ready to work in our lives and in our world.

It is not often the idea we have of Someone with almighty power as we believe God to be!
But then, our God is not just ‘a’ god, he is the God of Jesus.
He who has become one of us to live with us as one of us.

Something we have never finished learning and reminding ourselves of!

Note: Another reflection is available on a different theme in English at: https://image-i-nations.com/3e-dimanche-de-paques-annee-c-2019/

 

Source: Image: Free Bible Images

International Day for Tolerance – 16 November

The United Nations’ (UN) International Day for Tolerance is annually observed on November 16 to educate people about the need for tolerance in society and to help them understand the negative effects of intolerance.

Background
In 1996 the UN General Assembly invited member states to observe the International Day for Tolerance on November 16, with activities directed towards both educational establishments and the wider public (resolution 51/95 of 12 December). This action came in the wake of the United Nations Year for Tolerance, 1995, proclaimed by the assembly in 1993 (resolution 48/126). The year was declared on the General Conference of UNESCO’s initiative. On November 16, 1995, the UNESCO member states adopted the Declaration of Principles on Tolerance and Follow-up Plan of Action for the year.

The 2005 World Summit Outcome document outlines the commitment of Heads of State and Government to advance human welfare, freedom and progress everywhere, as well as to encourage tolerance, respect, dialogue and cooperation among different cultures, civilizations and peoples.

Source: Text: timeanddate.com Image: catholicworkreport.com

International Day for Tolerance – 16 November

Background
In 1996 the UN General Assembly invited member states to observe the International Day for Tolerance on November 16, with activities directed towards both educational establishments and the wider public (resolution 51/95 of 12 December). This action came in the wake of the United Nations Year for Tolerance, 1995, proclaimed by the assembly in 1993 (resolution 48/126). The year was declared on the General Conference of UNESCO’s initiative. On November 16, 1995, the UNESCO member states adopted the Declaration of Principles on Tolerance and Follow-up Plan of Action for the year.

The 2005 World Summit Outcome document outlines the commitment of Heads of State and Government to advance human welfare, freedom and progress everywhere, as well as to encourage tolerance, respect, dialogue and cooperation among different cultures, civilizations and peoples.

Symbols
UNESCO’s logo, which features a temple including the UNESCO acronym (for United Nations Educational, Scientific and Cultural Organization) within itself and the words “United Nations Educational, Scientific and Cultural Organization” underneath the temple, is used for online or print promotional material associated with the International Day for Tolerance. The use of the complete name in English, in association with one or several other languages provides an explanation of the acronym of the organization. The six official languages of UNESCO are Arabic, Chinese, English, French, Russian and Spanish.

Images of people of all backgrounds, cultures and ages, which are assembled into a collage, are also used for the International Day for Tolerance to get the message across to people about understanding tolerance regardless of differences.

Source: Text and Image: timeanddate.com

 

Journée mondiale du diabète – 14 novembre

La Journée Mondiale du Diabète, organisée par la Fédération Internationale du Diabète (FID) et soutenue par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), est la plus importante campagne mondiale de sensibilisation au diabète. Elle a été lancée en 1991 comme réponse à l’escalade de l’incidence du diabète dans le monde. Depuis, elle a gagné en popularité et rassemble désormais des millions de personnes dans le monde entier, dont les leaders d’opinion, les professionnels et prestataires de soins de santé, les médias, les personnes atteintes de diabète, et le grand public.

Le choix de la date…
La Journée Mondiale du Diabète est célébrée chaque année le 14 Novembre. Cette date a été choisie car c’est l’anniversaire de Frederick Banting qui, avec Charles Best, a pour premier développé la théorie à l’origine de la découverte de l’insuline en 1922.

Où est elle célébrée ?
La Journée Mondiale du Diabète est célébrée dans le monde entier par les 190 associations membres de la Fédération Internationale du Diabète (FID) dans 150 pays, ainsi que par d’autres associations, des prestataires de soins de santé, et des personnes avec un intérêt pour le diabète. Les associations membres de la FID organisent un grand nombre d’activités qui sont ciblées vers une variété de groupes, telles que : Emissions de radio et de télévision, Manifestations sportives, Tests de dépistage gratuits, Réunions d’information du public, Campagnes d’affichage (posters et dépliants), Ateliers et expositions sur le diabète, etc…

Le logo de la Journée Mondiale du Diabète
En 1996, un logo permanent a été dessiné pour créer une identité globale et puissante pour la Journée Mondiale du Diabète. Le logo combine l’équilibre et le travail d’équipe et est basé sur le symbole bien connu du Yin et du Yang. Un équilibre exact d’insuline, de médication, d’un régime alimentaire et d’activité physique est essentiel pour la gestion du diabète, tout comme la coopération entre les personnes atteintes de diabète, leurs amis et familles, les professionnels des soins de santé, et les autorités publiques.

Un site à visiter : www.diabete.fr  Source: Texte & Image: Journée Mondiale

 

International Day of Indigenous Peoples – 9 August

There are an estimated 370 million indigenous people in the world, living across 90 countries. They make up less than 5 per cent of the world’s population, but account for 15 per cent of the poorest. They speak an overwhelming majority of the world’s estimated 7,000 languages and represent 5,000 different cultures.

Indigenous peoples are inheritors and practitioners of unique cultures and ways of relating to people and the environment. They have retained social, cultural, economic and political characteristics that are distinct from those of the dominant societies in which they live. Despite their cultural differences, indigenous peoples from around the world share common problems related to the protection of their rights as distinct peoples.

Indigenous peoples have sought recognition of their identities, way of life and their right to traditional lands, territories and natural resources for years, yet throughout history their rights have always been violated. Indigenous peoples today, are arguably among the most disadvantaged and vulnerable groups of people in the world. The international community now recognizes that special measures are required to protect their rights and maintain their distinct cultures and way of life.

2017 Theme: 10th Anniversary of the UN Declaration on the Rights of Indigenous Peoples

Ten years ago, on 13 September 2007, the General Assembly adopted the United Nations Declaration on the Rights of Indigenous Peoples, a major milestone with respect to the cooperation and solidarity between indigenous peoples and Member States.

The Declaration is the most comprehensive international instrument on the rights of indigenous peoples. It embodies global consensus on the rights of indigenous peoples and establishes a universal framework of minimum standards for their survival, dignity and well-being. It elaborates on existing human rights standards and fundamental freedoms, as they apply to the specific situation of indigenous peoples.

Over the last decade, the implementation of the Declaration has achieved some major successes in at the national, regional and international levels. Despite the achievements, there continues to be a gap between the formal recognition of indigenous peoples and the implementation of policies on the ground.

Source: Text: UN  Image: www.ufcs.ca

 

Journée Mondiale sur la sécurité et la santé au travail – 28 avril

Des travailleurs, des employeurs, des gouvernements et des ministères de la santé et de la sécurité, en collaboration avec l’Organisation internationale du travail (OIT), célèbrent partout dans le monde cette journée avec l’objectif commun de promouvoir la  » culture de la sécurité « .

Depuis 1996, chaque année, le 28 avril, le mouvement syndical mondial rend hommage aux victimes des accidents et des maladies du travail. C’est en 2003 que le BIT a entrepris d’observer une « Journée mondiale pour la sécurité et la santé au travail » en mettant l’accent sur la prévention des accidents du travail et maladies professionnelles, tirant parti de ce qui fait traditionnellement la force de l’Organisation, à savoir le tripartisme et le dialogue social.

La sécurité en chiffres
Le principal objectif de cette journée est de promouvoir dans le monde entier une culture de la sécurité et de santé au travail.
A l’occasion de cette journée, le Bureau international du travail a publié un rapport « La sécurité en chiffres » qui montre que 2,2 millions de travailleurs dans le monde meurent chaque année dans le cadre de leur travail, à la suite d’un accident du travail ou d’une maladie professionnelle, soit 5 000 personnes par jour.

Accidents et maladies
L’augmentation des accidents du travail et des maladies professionnelles continue.
Face à l’augmentation du nombre des accidents et des maladies, ainsi que des décès liés au travail, le Bureau international du Travail (BIT) et l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) ont décidé de marquer la Journée internationale de la sécurité et de la santé au travail par un appel conjoint pour le développement d’une culture de la sécurité préventive.

D’après une nouvelle estimation du BIT des accidents du travail et des maladies professionnelles1 qui causent la mort de deux millions de personnes chaque année, le risque professionnel est en augmentation du fait de la rapide industrialisation de certains pays développés.
D’après cette évaluation, le risque de maladie professionnelle serait aujourd’hui le plus grand danger auquel seraient exposés les travailleurs sur leur lieu de travail. En effet, ces maladies tuent 1,7 million de personnes par an, ce qui donne un rapport de quatre décès causés par une maladie professionnelle pour un décès causé par un accident.

Il ressort des dernières estimations du BIT que, en plus des décès liés au travail, il se produit chaque année près de 268 millions d’accidents du travail non mortels, qui sont suivis d’au moins trois jours consécutifs de congé, sans compter les 160 millions de nouveaux cas de maladies professionnelles qui sont enregistrés chaque année. L’OIT a déjà estimé à près de 4 pour cent la part des indemnités et absences du travail dues aux accidents du travail et aux maladies professionnelles dans le PIB mondial.

Plus de cent pays participeront à la célébration de la Journée mondiale pour la sécurité et la santé au travail en organisant des manifestations et activités spéciales dans ce cadre. Conjointement, l’OMS et le BIT uniront leurs forces pour promouvoir et renforcer leur coopération au niveau national entre les ministères du Travail et ceux de la Santé de même qu’avec les milieux d’affaires, les organisations de travailleurs et d’employeurs et d’autres acteurs de la société civile.


 

Journée Mondiale du théâtre – 27 mars

C’est à Vienne en 1961 au cours du 9ème Congrès mondial de l’Institut International du Théâtre que sur la proposition de Arvi Kivimaa faite au nom du Centre finlandais a été créée une Journée Mondiale du Théâtre.

Depuis 1962, chaque année, le 27 mars (date de l’ouverture de la saison 1962 du Théâtre des Nations à Paris) la Journée Mondiale du Théâtre est célébrée par les Centres Nationaux de l’IIT qui existent actuellement dans une centaine de pays du monde ainsi que par d’autres membres de la communauté théâtrale internationale.

Le théatre pour encourager les échanges
Créé en 1948, à l’initiative de l’UNESCO et de personnalités renommées dans le domaine du théâtre, l’Institut International du Théâtre est la plus importante organisation internationale non gouvernementale dans le domaine des arts de la scène ayant des relations formelles (relations de consultation et d’association) auprès de l’UNESCO. L’IIT cherche « à encourager les échanges internationaux dans le domaine de la connaissance et de la pratique des Arts de la scène, stimuler la création et élargir la coopération entre les gens de théâtre, sensibiliser l’opinion publique à la prise en considération de la création artistique dans le domaine du Développement, approfondir la compréhension mutuelle afin de participer au renforcement de la Paix et de l’Amitié entre les peuples, s’associer à la défense des idéaux et des buts définis par l’UNESCO. »

Jean Cocteau en 1962
Les manifestations qui marquent la Journée Mondiale du Théâtre permettent de concrétiser ces objectifs. Chaque année, une personnalité du monde du théâtre ou une autre figure connue pour ses qualités de coeur et d’esprit est invitée à partager ses réflexions sur le thème du Théâtre et de la Paix entre les peuples. Ce Message que nous appelons le Message International, est traduit en une vingtaine de langues. Il est lu devant des dizaines de milliers de spectateurs avant la représentation du soir dans des théâtres de par le monde entier, imprimé dans des centaines de quotidiens et diffusé par radio et télévision sur les 5 continents. Jean Cocteau était l’auteur du premier message international en 1962.

Le théâtre rassemble et la Journée Mondiale du Théâtre est la célébration de cette volonté. C’est une occasion pour les artistes de la scène de partager avec leur public une certaine vision de leur art et la façon dont cet art peut contribuer à la compréhension et à la paix entre les peuples.

Un site à visiter : www.iti-worldwide.org     Source: Texte & Image: Journée Mondiale

World Day of Migrants and Refugees – 18 December

The theme chosen by Pope Francis for 2016 is “Migrants and Refugees Challenge Us.  The Response of the Gospel of Mercy.”
“The tragic stories of millions of men and women daily confront the international community as a result of the outbreak of unacceptable humanitarian crises in different parts of the world,” writes Pope Francis.

“Indifference and silence lead to complicity whenever we stand by as people are dying of suffocation, starvation, violence and shipwreck,” he continues. “Whether large or small in scale, these are always tragedies, even when a single human life is lost.”

The Message also states:
“The Church stands at the side of all who work to defend each person’s right to live with dignity, first and foremost by exercising the right not to emigrate and to contribute to the development of one’s country of origin.  This process should include, from the outset, the need to assist the countries which migrants and refugees leave.  This will demonstrate that solidarity, cooperation, international interdependence and the equitable distribution of the earth’s goods are essential for more decisive efforts, especially in areas where migration movements begin, to eliminate those imbalances which lead people, individually or collectively, to abandon their own natural and cultural environment.”

Source: Text: Vatican Radio  Image: www.acmro.catholic.org.au/resources/migrant-refugee