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De ceci... de cela...

Sous cette rubrique vous trouverez des mots, des idées, des propos, des pensées

se voulant une avenue pour aider à réfléchir, à découvrir, à franchir - peut-être -

une nouvelle étape vers... ce que vous désirez, espérez, anticipez!

Journée Mondiale de la diversité culturelle pour le dialogue et le développement – 21 mai

Le 2 novembre 2001, l’UNESCO a adopté sa déclaration universelle sur la diversité culturelle. Elle reconnaît, pour la première fois, la diversité culturelle comme « héritage commun de l’humanité » et considére sa sauvegarde comme étant un impératif concret et éthique inséparable du respect de la dignité humaine.

Suite à cela, l’Assemblée générale des Nations Unies a proclamé le 21 mai, « Journée mondiale de la diversité culturelle pour le dialogue et le développement » afin d’approfondir nos réflexions sur les valeurs de la diversité culturelle pour apprendre à mieux « vivre ensemble ». C’est pourquoi l’UNESCO fait appel aux états membres et à la société civile pour célébrer cette journée en y associant le plus grand nombre d’acteurs et de partenaires !

Objectifs
Cette journée donne l’occasion de mieux connaître et apprécier ce que nous devons aux autres cultures, et à prendre la mesure de la diversité de leurs apports, de leur unicité, de leur complémentarité et de leur solidarité.

Connaître et reconnaître nos différences, les respecter en ce qu’elles fondent notre propre identité, c’est donner la chance aux siècles qui s’annoncent de s’épanouir enfin hors des conflits identitaires de tous ordres. La diversité culturelle est un droit humain fondamental. Lutter pour sa promotion c’est lutter contre les stéréotypes et le fondamentalisme culturels.

Les autorités publiques sont de plus en plus sensibles à la nécessité de développer le dialogue interculturel, en vue de renforcer la paix, la sécurité, et la stabilité au niveau mondial.

Promouvoir le dialogue mutuel
En instaurant le 21 mai la « Journée mondiale de la diversité culturelle pour le dialogue et le développement « , l’ONU donne une orientation importante en plaçant le dialogue mutuel – au-delà du sexe, de l’âge, de la nationalité, de l’appartenance culturelle et de la religion – au centre de tous les efforts pour parvenir à un monde de paix, capable de faire face à l’avenir. « Seul le dialogue peut servir de base à une société pluraliste et culturelle », déclare Elsbeth Müller, secrétaire générale d’UNICEF suisse à l’intégration, de même que la compréhension mutuelle entre les cultures, jouent là un rôle essentiel.“

Un site à visiter : www.un.org   Source : Texte & Image : Journée Mondiale

Journée Mondiale contre l’hypertension – 17 mai

C’est le 14 mai 2005 qu’a été décretée la Journée mondiale de d’hypertension artérielle par la Ligue mondiale contre l’hypertension. Cette journée mondiale se déroule poutant bien le 17 mai (voir le site World Hypertension League).

Le but de la Journée mondiale de l’hypertension artérielle est de communiquer au public l’importance de l’hypertension et la gravité de ses complications médicales, et de fournir de l’information sur sa prévention, sa détection et son traitement.

Longtemps silencieuse, l’hypertension artérielle peut entraîner des complications très graves : infarctus, attaques cérébrales…Il y a hypertension artérielle lorsque la force du sang contre les parois des vaisseaux sanguins est trop élevée. L’hypertension artérielle peut endommager des organes vitaux comme le coeur, le cerveau ou les reins.

L’hypertension en chiffres
« Un milliard de personnes souffrent d’hypertension dans le monde (40 % dans les pays occidentaux et 60 % dans les pays en voie de développement). Mais dès 2025, à cause du vieillissement de la population et de l’évolution de mode de vie qui favorise l’obésité et la sédentarité nous compterons 1,5 milliards de malades.

Selon une étude menée par le CFLHTA et la Sofres, il y aurait 14,4 millions de Français hypertendus et seulement 7,6 millions de malades traités. Une large majorité de ces hypertendus traités (70 %) ont plus de 60 ans. Mais il reste ainsi 6,8 millions de la population de plus de 35 ans qui sont hypertendus mais n’ont pas été dépistés ou ne sont pas suivis !

Et parmi ces malades qui s’ignorent, certaines catégories de personnes sont particulièrement à risque. Parmi les 35-55 ans, 42 % ne connaissent pas leurs chiffres de tension. Par ailleurs, l’hypertension non traitée est plus fréquente chez les hommes. Ainsi, cette affection est une des rares pathologies cardiovasculaires pour laquelle les hommes de moins de 55 ans sont clairement moins bien pris en charge que les femmes.

Dépister l’hypertension de nos jours
Aujourd’hui, la mesure de la tension artérielle est possible en dehors du seul cabinet médical grâce à des appareils d’auto-mesure. A condition d’être validés ces appareils permettent de passer outre le phénomène de l’hypertension blouse blanche (pression élevée au cabinet médical et normale au domicile) et l’hypertension retardée (l’inverse).
Cette technique reste donc trop peu utilisée et insuffisamment conseillée par les médecins, même si depuis quelques années, on note une nette amélioration.

Un site à visiter : www.comitehta.org   Source : Texte (abrégé) & Image : Journée Mondiale

 

Journée internationale du vivre ensemble – 16 mai

Cette journée a été décrétée par l’ONU le 8 décembre 2017 et désormais, chaque 16 mai sera la journée du vivre ensemble.

Un plaidoyer pour la paix
Le texte de cette déclaration a été présenté par l’Algérie et adopté sans vote. Le 16 mai sera désormais la Journée internationale du vivre-ensemble en paix et tentera de mobiliser les efforts de la communauté internationale en faveur de la paix, de la tolérance, de l’inclusion, de la compréhension et de la solidarité.

Tout un chacun sera invité à exprimer le désir profond de vivre et d’agir ensemble, unis dans la différence et dans la diversité, en vue de bâtir un monde viable reposant sur la paix, la solidarité et l’harmonie.

Un site à visiter : www.un.org   Source : Texte & Image : Journée Mondiale

 

Journée mondiale des communications sociales – 13 mai

Nous célébrons la Journée mondiale des communications sociales chaque année le dimanche suivant la fête de l’Ascension. Chaque année également, le 24 janvier-en la fête de Saint François de Sales (patron des journalistes) – le Pape publie un message annonçant le thème de l’année.

Depuis Vatican II
Instituée à l’initiative de l’église catholique, à l’issue du concile Vatican II, la journée des communications sociales manifestait à l’époque la prise de conscience des enjeux de société (moraux et spirituels) que représentaient les moyens de communication de masse. En France, cette journée est connue sous le nom de Journée Chrétienne de la communication et est une occasion de réfléchir aux enjeux d’une communication fidèle à l’enseignement de l’église et respectueuse de la dignité humaine.

Dire que la situation a changé depuis 40 ans relève de l’évidence et le fait que vous lisiez cette notice directement sur votre ordinateur fait rapidement prendre conscience du chemin parcouru. Le thème choisi pour la journée mondiale des communications sociales en 2011 avait d’ailleurs été « Vérité, annonce et authenticité de vie à l’ère du numérique ». En 2013, elle s’intéresse aux réseaux sociaux. En 2014, elle est axée sur « La communication au service d’une authentique culture de la rencontre ».

Chaque année, le Saint-Siège publie un message à l’occasion de cette journée, à retrouver directement sur le site officiel du Vatican. On peut aussi directement suivre les messages du Saint-Père sur Twitter. La vérité vous rendra libres » (Jn.8:32)

Fausses nouvelles et journalisme de paix
C’est le thème retenu par le Pape François pour la journée mondiale des communications sociales du 13 mai 2018. De quoi, pour cette 52ème édition, s’attaquer à la problématique des « fausses nouvelles » souvent dénommées « fake news », c’est-à-dire les informations infondées qui contribuent à générer et à alimenter une forte polarisation de l’opinion.

l’Église catholique souhaite offrir sa contribution en proposer une réflexion sur les causes, les logiques et les conséquences de la désinformation dans les médias. Elle souhaite aussi promouvoir un journalisme professionnel, à la recherche de la vérité, et favorisant la compréhension entre les personnes.

Source: Texte & Image : Journée Mondiale

 

Journée Internationale de l’infirmière – 12 mai

La Journée internationale de l’infirmière est célébrée dans le monde entier le 12 mai, jour anniversaire de la naissance de Florence Nightingale.

C’est une occasion pour réaffirmer son attachement à vouloir améliorer les conditions de travail des professionnels de l’art infirmier. En effet, la pénibilité de ce métier, notamment dans les hôpitaux, est intenable au point que nombre d’infirmiers et d’infirmières quittent la profession au bout de quelques années, créant par là même, une réelle pénurie auprès du patient, ce qui aggrave encore les conditions de travail.

Qui est Florence Nightingale ?
Florence Nightingale a posé les bases de la profession infirmière contemporaine. Ses contributions sont nombreuses : elle a été la première personne à définir que chaque patient a des besoins individuels, que le rôle de l’infirmière vise à satisfaire ces besoins et elle a pris en compte les dimensions santé-maladie des soins infirmiers. Elle a fait des soins infirmiers une occupation respectée en établissant une formation, en soulignant l’importance d’une éducation continue, et en distinguant les soins infirmiers de la médecine. Elle croyait qu’ « une bonne pratique infirmière ne grandit pas seule; elle est le résultat d’études, d’enseignement, d’entraînement, de pratique, qui se finalise dans une base solide qui peut se transférer dans tous les milieux, auprès de tous les patients.

“En plus de compétences très pointues, altruisme, compassion sont les qualités humaines requises pour ce métier »  (Le Magfemmes)

Un site à visiter : www.infirmiers.com      Source : Texte & Image : Journée Mondiale

 

Journée mondiale des espèces menacées – 11 mai

D’après une étude de l’Union Internationale pour la Conservation de la Nature (IUCN), ce sont plus de 20 000 espèces de plantes et animaux qui sont en danger de disparition imminente chaque année. La journée internationale a pour but de sensibiliser le monde scientifique et le grand public à ce constat inquiétant.

Au niveau européen, l’IUCN souligne que 7,5 % des espèces marines sont menacées et ont atteindrait 40 % pour la catégorie des requins et des raies. La France a elle seule figure parmi les 10 pays hébergeant le plus grand nombre d’espèces menacées. Ce ne sont pas moins de mille espèces menacées au niveau mondial qui sont présentes sur le territoire national (métropole et outre-mer confondus).

Liste rouge
La Liste rouge de l’UICN est l’indicateur par excellence qui permet de suivre l’état (et l’évolution) de la biodiversité dans le monde. Avec cet état des lieux, on sait aujourd’hui qu’une espèce de mammifères sur quatre, un oiseau sur huit et un amphibien sur trois sont menacés. Coté végétal, ce n’est guère plus brillant si on songe qu’une espèce de conifères sur trois est menacée de disparition.

Modifier nos comportements
La nature a été confiée à l’homme non pas pour qu’il la détruise mais pour pour qu’il l’apprivoise (La Bible: Gn.1:26) et ce sont souvent les comportements humains qui sont à la source de toutes ces catastrophes (déchets plastiques dans la mer, émissions polluantes danas l’atmosphère, etc…).

Faudra-t-il atteindre le point de non retour pour que l’homme accepte enfin de modifier ses habitudes de vie et de consommation ?

Note de l’éditrice: Un rapport publié en mai 2019 par les Nations Unies affirmait qu’un million d’espèces sont sur le point de disparaître!...
On nous dit clairement qu’une telle extinction aurait des conséquences alarmantes pour la survie du genre humain…

Un site à visiter: www.uicn.fr  Source: Texte: Journée Mondiale     Image: Daily Advent

Journée mondiale du lupus – 10 mai

 Le lupus est une maladie chronique auto-immune, qui survient lorsque le système immunitaire s’attaque aux cellules de l’organisme et les détruit. Il peut toucher de nombreuses parties du corps, dont les articulations, la peau, les reins, le coeur, etc. C’est la raison pour laquelle on parle de lupus disséminé ou « systémique ». Le lupus peut causer des symptômes aussi différents que des poussées de fièvre inexpliquées, des douleurs et un gonflement des articulations, des troubles de la vision et bien d’autres.

Le lupus touche principalement les femmes en âge de procréer, de 15 ans à 40 ans. Les symptômes de la maladie et leur gravité sont très variables d’une personne à l’autre.

Cause
Dans le lupus, pour des raisons qu’on ignore encore – peut-être un ensemble de facteurs environnementaux, hormonaux et génétiques – l’organisme fabrique des anticorps qui s’attaquent à ses propres tissus sains. Le système immunitaire est un réseau complexe d’organes, de tissus, de cellules et de facteurs circulant dans le sang. Habituellement, il protège l’individu contre les maladies. Ces réactions auto-immunes peuvent être très nuisibles pour le corps et occasionnent d’importantes réactions inflammatoires.

Évolution
Le lupus se caractérise par l’alternance de périodes de poussées (avec symptômes) et de périodes de rémission. Durant les poussées, la maladie s’exacerbe : les symptômes s’aggravent et les analyses de sang révèlent la présence d’anticorps anormaux, qui attaquent l’organisme. Puis, les symptômes diminuent peu à peu et disparaissent totalement ou en partie. Les périodes de rémission peuvent durer des semaines, des mois, et même des années. Bien qu’il s’agisse d’une maladie chronique, la plupart des personnes atteintes de lupus ne seront pas malades continuellement pendant toute leur vie.

Éléments déclencheurs
Le stress, le surmenage, l’exposition au soleil et le fait de tomber enceinte ou d’accoucher peuvent déclencher le lupus par un mécanisme qu’on ignore encore (ce qui ne veut pas dire que ces facteurs en soient la cause).

Prévalence
La prévalence du lupus est difficile à estimer. Selon Lupus Canada, près de 50 000 Canadiens souffrent d’une forme ou d’une autre de lupus tandis que Statistique Canada évalue à environ 15 000 le nombre de Canadiens atteints de lupus érythémateux disséminé. Au Québec, des chercheurs ont estimé qu’environ 4 000 personnes étaient atteintes de lupus érythémateux systémique, mais ce nombre pourrait être inférieur à la réalité. En France, on estime la prévalence à 40 cas pour 100 000 habitants.

Source : Texte abrégé : passeportsante.net/fr Image : Chloé – Eklablog

 

Journée Mondiale de La Croix Rouge – 8 mai

Le choix du 8 mai pour la journée mondiale de la croix rouge est dû à l’anniversaire de la naissance d’Henry Dunant, fondateur en 1863 de la Croix-Rouge internationale et des Conventions de Genève.

Naissance d’un mouvement
A Solferino (dans la Province de Mantoue, au nord de l’Italie). L’Empereur Napoléon III, à la tête d’une armée franco-piémontaise, écrase les Autrichiens dans une bataille extrêmement meurtrière. Des milliers de blessés agonisent faute de soins. Des appels aux secours restent sans réponse. Témoin de cette tragédie, un citoyen suisse, Henry Dunant, improvise des secours avec le concours des populations civiles locales. Il assiste sans discrimination les soldats des deux camps. Fortement ébranlé par ce qu’il vient de voir, Henry Dunant publiera à son retour l’un des premiers reportages de guerre : « Un Souvenir de Solférino » dans lequel il dénonce les horreurs des combats.

A partir de ce jour, des milliers d’hommes, de civils, de soldats, de prisonniers auront droit à ces gestes fraternels qui rendent moins cruelles les heures d’épreuve et de souffrance. 5 ans après Solférino, l’idée d’Henry Dunant a fait son chemin. Un comité de 5 personnes s’est constitué à Genève afin d’examiner les moyens à mettre en œuvre pour protéger les blessés sur les champs de bataille.

Une conférence internationale se réunit à Genève. Seize nations y participent, dont la France. Ils décident de créer, dans chaque pays, des comités de secours et choisissent un emblème : une croix rouge sur fond blanc. Les Etats adoptent des règles internationales définissant le sort des personnes aux mains de l’ennemi et qui ne participent pas au combat : ce sont les Conventions de Genève dont la première vit le jour le 22 août 1864.

La croix rouge de nos jours
Regroupant 97 millions d’hommes et de femmes, On compte maintenant des Sociétés nationales de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge dans 176 pays du monde.

Le Mouvement International de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge contribue à l’extension et à la promotion du Droit International Humanitaire (DIH). En assurant sa diffusion, en exerçant une action constante auprès des Etats, il s’efforce d’en faire respecter les principes et l’application lors des conflits. Il met également tout en œuvre pour favoriser l’adoption de règles toujours plus protectrices. Ainsi, la Croix-Rouge, en témoignant de son action constante en faveur des victimes, et en diffusant son éthique de tolérance et de dialogue contribue à la prévention des conflits et des tensions.

Source: Texte (abrégé): Journée Mondiale       Images : www.croix-rouge.fr www.calendeo.com

 

Journée Mondiale des orphelins du SIDA – 7 mai

Toutes les 15 secondes, le SIDA tue un papa ou une maman. Le 7 mai, c’est la Journée Mondiale des Orphelins du Sida… En 2005, ils étaient déjà plus de 15 millions.

Suite à la mort de leur fils au cours d’une mission héliportée au Mali Albina du Boisrouvray et Bruno Bagnoud ont fondé, en 1989, l’Association François-Xavier Bagnoud (AFXB) pour perpétuer l’idéal de compassion et de générosité qui guidait sa vie et poursuivre, dans des activités de développement, les missions de sauvetage qu’il pratiquait de son vivant.

Soutenir les orphelins
La mission de l’AFXB est de lutter contre la pauvreté et le SIDA et de soutenir les orphelins et les enfants vulnérables que la pandémie laisse dans son sillage en militant pour leurs droits fondamentaux et en offrant un appui global aux familles et communautés qui les prennent en charge.

L’AFXB retisse les liens qui se sont brisés autour d’eux pour leur assurer un futur décent. En mettant en place des programmes de développement communautaire durable, elle renforce les capacités des familles et des collectivités dévastées par la pauvreté et le SIDA afin qu’elles soient en mesure d’élever leurs orphelins et enfants vulnérables.

L’AFXB milite pour que les responsables politiques considèrent ces enfants largués comme une priorité et que des mesures urgentes soient prises pour les intégrer dans notre société globale.

Défi humanitaire
La prise en charge des orphelins du sida constitue un défi humanitaire, économique et social majeur. Les réinsérer dans la société leur permettra de ne plus être des proies faciles pour la délinquance, la prostitution ou la drogue.

« Les orphelins du SIDA, ainsi que tous les enfants affectés et/ou infectés par le virus, sont parmi les enfants les plus vulnérables de la planète. Ils sont le reflet des millions d’orphelins d’autres causes et des millions d’enfants des rues, à la dérive de la civilisation. »   Albina du Boisrouvray

Un site à visiter : www.afxb.org       Source: Texte: Journée Mondiale    Image: Ruban rouge

 

Journée Internationale de la Fête des Mères endeuillées – 5 mai 2024

Depuis 2010, le 1er dimanche du mois de mai est choisi pour célébrer une journée bien peu ordinaire car consacrée aux mamans endeuillées.

La Journée Internationale de la Fête des mères endeuillées a été crée par Carly Marie Dudly en Australie. Bien que la couverture médiatique soit pour le moment assez faible, il s’agit d’un jour important pour une multitude de mères en deuil, peu importe l’âge de leur enfant décédé.

Libérer la parole
Après la perte d’un enfant, la fête des mères traditionnelle devient très difficile à vivre, autant pour les mères endeuillées que pour leur entourage qui n’ose pas en parler.

La Journée Internationale des Mères endeuillées est donc une opportunité pour les mères de s’ouvrir sur ce tout ce qu’elles vivent.  Cette journée permet d’ouvrir une conversation concernant le perte et le deuil de leur enfant; ce qui est essentiel pour leur permettre d’exprimer leur douleur et leur peine et ainsi se guérir et se reconstruire.

Une photo…
Chaque année, les mères endeuillées sont invitées à publier sur tous leurs réseaux sociaux, une photo d’elles avec la main sur le cœur, là où leur enfant vit pour toujours. La photo doit être accompagnée du nom de la mère, de celui de l’enfant et son pays,  le tout suivi des hashtags #fêtedesmèresendeuillées #bereavedmothersday

Source : Texte & Image : Journée Mondiale