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De ceci... de cela...

Sous cette rubrique vous trouverez des mots, des idées, des propos, des pensées

se voulant une avenue pour aider à réfléchir, à découvrir, à franchir - peut-être -

une nouvelle étape vers... ce que vous désirez, espérez, anticipez!

Journée Internationale de la tolérance – 16 novembre 2020

Le 12 décembre 1996, l’Assemblée générale des Nations Unies a invité les états membres à célébrer la Journée internationale de la tolérance le 16 novembre de chaque année par des activités s’adressant aux établissements d’enseignement eu au grand public (résolution 51/95).
Cette mesure faisait suite à l’Année des Nations Unies pour la tolérance en 1995, proclamée par l’Assemblée le 20 décembre 1993 (résolution 48/126). La conférence générale de l’Organisation des Nations Unies pour l’éducation, la science et la culture a proclamé l’année 1995 Année des Nations Unies pour la tolérance. Le 16 novembre 1995, les Etats membres de l’UNESCO ont adopté une Déclaration de principes sur la tolérance et un Plan d’action destiné à donner suite à l’Année.L’UNESCO propose dix pistes d’actions pour lutter contre l’intolérance :

1. La diversité au sein de votre communauté

Où que vous habitiez, vous seriez probablement surpris de l’extrême diversité qui règne au sein de votre communauté. Quelqu’un a dit que chaque culture est un ensemble d’influences subies. Livrez-vous à une enquête sur la diversité culturelle au sein de votre ville ou communauté. Qui sont les habitants ? Comment vivent-ils ? Des articles, des interviews, des affiches ou des expositions peuvent servir à mettre en lumière la diversité des identités et des cultures. Comment cette diversité s’exprime-t-elle en musique ? Pensez à la multiplicité des danses et musiques traditionnelles que vous connaissez et à tout ce que celles-ci dénotent d’influences mutuelles. Organisez un concert ou un festival réunissant toute une gamme de ces traditions culturelles.

2. Les droits de l’homme

De quelle manière les droits des membres de minorités nationales, ethniques, religieuses, linguistiques ou autres sont-ils garantis au sein de votre communauté, de votre nation, de votre région ? Qu’en est-il des peuples autochtones, des travailleurs migrants, des demandeurs d’asile et des réfugiés, des handicapés ? Leurs droits sont-ils promus et protégés ? Pensez-vous que les responsables du maintien de l’ordre de votre communauté soient suffisamment informés des droits de l’homme ? Que pouvez-vous faire pour améliorer les attitudes ou les comportements envers les minorités ?

3. Programmer son action en faveur de la tolérance

Rédigez vous-même un projet ou programme d’activités en faveur de la tolérance. Cela implique de déterminer pour vous-même ce qu’est la tolérance et quel est le meilleur moyen de transmettre les valeurs qui s’y attachent. Passez au crible vos manuels scolaires, les émissions de télévision et les articles de presse pour débusquer les stéréotypes (concernant notamment les sexes) et les préjugés sur les nationalités et les groupes ethniques. Quelles priorités assigneriez-vous, en matière de tolérance, à votre ville, pays ou région ?

4. Dire non à la violence

Comment naît la violence dans une communauté, une école ou un foyer et comment peut-on l’enrayer ? Reproduisez la dynamique de la tolérance et de l’intolérance par des jeux de rôle, des dialogues, des exercices de résolution de malentendus. Organisez des débats publics où vous vous entraînerez à défendre alternativement deux points de vue opposés. Comment imaginez-vous la coexistence pacifique d’individus et de groupes différents ? Qu’est-ce qui fait qu’elle fonctionne et qu’est-ce qui peut la saper ?

5. Diversité écologique et diversité humaine

Toute communauté est fondée sur l’interdépendance. Pas plus que les végétaux ou les animaux, nous ne pourrions survivre si nous étions tous semblables. Trouvez des exemples de cette vérité puisés dans la vie quotidienne de votre localité. Montrez par des exemples concrets comment une culture de paix et de tolérance peut promouvoir la sauvegarde de l’environnement. Lancez un projet dans votre école ou votre voisinage.

6. La tolérance religieuse

Organisez une rencontre de représentants de divers groupes religieux et non confessionnels de votre communauté pour examiner comment chacun enseigne la tolérance. Comment enseigne-t-on la tolérance dans les différentes religions du monde, y compris celles des peuples autochtones ? Toutes les religions étant plus ou moins fondées sur des valeurs d’amour et de justice, aucune ne saurait être invoquée pour justifier la violence ou la guerre. Le dialogue et la discussion entre les représentants des diverses religions sont une tradition séculaire qui n’a en rien perdu sa valeur.

7. Actualité de la tolérance

Organisez des débats sur les événements de l’actualité analysés en termes de tolérance et d’intolérance. Réfléchissez aux conflits du passé et à ceux d’aujourd’hui. Comment auraient-ils pu être résolus ou évités ? Qu’en est-il de la question des droits de l’homme dans l’actualité aujourd’hui ? Quels sont les droits et libertés fondamentaux reconnus par la communauté internationale ? Comment fonctionnent les pays pluriculturels et multilingues ? Quels sont les intérêts communs aux peuples dans leur diversité ?

8. La tolérance et le sport

Quelles manifestations sportives ont une envergure internationale ? Quel en est le but ? Quels sont les liens possibles entre le sport et l’intolérance (exclusion des plus faibles, esprit de clocher, violence dans les stades) et comment y remédier ? Organisez une rencontre athlétique sur le thème de la diversité et de la tolérance.

9. La créativité à l’œuvre

Le message d’une œuvre d’art est inépuisable. Interrogez l’oeuvre d’un artiste d’une autre région du monde et demandez-vous ce qu’elle vous apporte. Concevez des récits, des pièces, des poèmes, des chansons, des articles, des peintures, des affiches, des photographies ou des vidéos illustrant les thèmes liés à la tolérance et publiez-les ou diffusez-les. Ecrivez à des personnalités connues pour leur poser des questions et leur communiquer vos idées sur le sujet de la tolérance.

10. Créer des liens internationaux

Amorcez un dialogue international ou lancez un projet de jumelage scolaire par lettre ou courrier électronique. Dialoguez avec des correspondants étrangers sur les questions et les problèmes de votre vie quotidienne. Echangez des cassettes ou des photos. Etudiez la possibilité de participer à des stages d’été internationaux ou à un programme d’échange scolaire. Demandez à votre école d’adhérer au Système des écoles associées de l’UNESCO.

Source: Texte & Image: Journée mondiale

Journée mondiale des pauvres – 15 novembre 2020

Journée mondiale des pauvres

Une journée mondiale explicitement voulue par le Pape François. Elle a été promulguée par l’Eglise Catholique  en 2017 et, en ce 15 novembre 2020 nous célébrons donc la 4ème édition.

« Tends ta main au pauvre » (Si 7, 32). La sagesse antique a fait de ces mots comme un code sacré à suivre dans la vie. Ils résonnent encore aujourd’hui, avec tout leur poids de signification, pour nous aider, nous aussi, à concentrer notre regard sur l’essentiel et à surmonter les barrières de l’indifférence. La pauvreté prend toujours des visages différents qui demandent une attention à chaque condition particulière.

Extrait du message du pape François pour la quatrième Journée mondiale des pauvres.

Il peut paraître provoquant à premier abord de célébrer le pauvre… mais dans la proposition de l’Eglise se retrouve une certaine vision de l’humanité.

Tends ta main au pauvre

Notre société où la consommation effrénée a été érigée en valeur suprême, aura certainement un peu de mal à faire sienne ce regard à offrir au pauvre. Mais qu’importe, il faut le proposer et redonner à chaque femme, chaque homme, vivant dans la précarité, la conscience de sa propre dignité humaine. « Ce que vous ferez au plus petit d’entre les miens, c’est à moi que vous le ferez… »

Un site à visiter : www.vatican.va   Source: Texte & Image: Journée mondiale

Journée mondiale du souvenir des victimes des accidents de la route – 15 novembre

Journée mondiale du souvenir des victimes des accidents de la route
Cette journée fait partie des célébrations décrétées directement par l’ONU, qui invite, depuis 2005, « Les États Membres et la communauté internationale à célébrer chaque année, le troisième dimanche de novembre, la Journée mondiale du souvenir des victimes de la circulation routière, en hommage aux victimes des accidents de la route et à leurs familles. » (extrait de la résolution RES/60/5 du 1er décembre 2005).

Cette Journée mondiale est depuis lors commémorée dans un certain nombre de pays, même si elle reste assez peu relayée dans les grands médias.
Elle cherche à attirer l’attention du grand public sur l’ampleur des dégâts causés par les accidents de la route, aussi bien matériels qu’émotionnels, et rendre hommage à toutes les victimes de la route ainsi qu’aux services de secours et de soutien.

Beaucoup d’accidents auraient pu être évités

C’est avec cette idée forte que de nombreuses associations luttent et tentent de promouvoir des comportements civiques et sécuritaires plus forts chez les conducteurs, sans négliger l’action auprès des pouvoirs publics, reponsables quant à eux, de la subsistance de nombreux points noirs.

Ironie de la situation

En 2020, avec les 2 confinements, on a beaucoup moins roulé. Les chiffres de mortalité sur les routes se sont améliorés.

Un site à visiter : www.violenceroutiere.org    Source: Texte & Image: Journée mondiale

sécurité

ONU

Journée Mondiale de la science au service de la paix et du développement – 10 novembre 2020

Journée Mondiale de la science au service de la paix et du développement
Les représentants des communautés scientifiques à travers le monde animent de nombreuses manifestations et discussions à l’occasion de la célébration de la Journée mondiale de la science au service de la paix et du développement.Décidée par la Conférence générale de l’UNESCO à sa 31ème session, la Journée mondiale de la science au service de la paix et du développement est un événement annuel célébré pour rappeler l’engagement pris à Budapest à l’occasion de la Conférence mondiale sur la science, organisée par l’UNESCO en coopération avec l’ICSU en 1999. La Journée a pour objectif de sensibiliser l’opinion publique à l’importance de la science et de combler le fossé entre la science et la société.

Science pour et avec la société

En 2020, au moment où la pandémie mondiale de la COVID-19 illustre le rôle essentiel de la science dans la résolution des défis mondiaux, la Journée mondiale de la science est centrée sur La science pour et avec la société. Pour célébrer la Journée mondiale de la science 2020, l’UNESCO organise cette année une table ronde en ligne sur le thème « La science pour et avec la société face au COVID-19 ».

Un site à visiter : fr.unesco.org      Source: Texte & Image: Journée mondiale

Journée mondiale du kératocône – 10 novembre

Cette journée mondiale est, pour le moment, très peu connue en France et sa célébration semble bien être limitée aux Etats-Unis où elle est connue sous le nom « World KC Day », comprenez World Kératocone Day.

Une maladie peu connue

Le kératocône est dû à une déformation de la cornée (il s’agit du revêtement transparent de l’iris et de la pupille de l’oeil) qui s’amincit progressivement, perdant ainsi sa forme sphérique normale pour prendre une forme de cône irrégulier, causant ainsi des troubles importants de la vision.
La maladie est souvent diagnostiquée à la fin de l’adolescence et le défaut de vision est ensuite traité par le port de lentilles spécialisées.

Une journée pour une meilleure visibilité

Le site internet américain de la journée nous en apprend un peu plus sur les buts de la journée :

  • Encourager les personnes atteintes par la maladie à partager leurs histoires personnelles à propos du kératocône.
  • Mieux informer les patients, les amis, la famille et le grand public au sujet du kératocône
  • Encourager les actions mises en places par toutes les associations qui se sont mises en place pour lutter contre le kératocône.
Un site à visiter : worldkcday.com    Source:  Texte & Image: Journée mondiale

Journée du bon sens – 4 novembre

Cela ne vous aura pas échappé, voici une journée qui n’est ni mondiale, ni européenne ni même nationale… à se demander d’ailleurs si elle existe vraiment! Pourtant on en retrouve une trace sur le site France Inter dans la chronique de Constance, 2018. Extraits:
« Le bon sens, c’est une notion incroyablement subjective, parce que le bon sens des uns n’est pas forcément le bon sens pour les autres. Par exemple, je trouve que quand on a un enfant allergique aux poils de chat, c’est bien plus normal d’abandonner le gamin. Ca c’est mon bon sens à moi. »

C’est un peu flou comme définition, mais je ne vois pas pourquoi je devrais m’évertuer à définir quelque chose qui est impossible à mettre en boite. C’est un peu comme quand on était enfant et qu’on essayait d’emprisonner nos prouts dans des tupperwares. C’était une belle quête, mais quel échec !

D’autres attribuent son origine à une campagne de communication des sociétés d’autoroute. Dans ce cas, c’est sur, cela ne va pas dans le bon sens…
Alors nous avons un peu cherché l’origine de cette journée et l’avons trouvée chez nos amis anglo-saxons :

Use Your Common Sense Day

Vous remarquerez que la traduction véritable est assez loin de notre version édulcorée, mais qu’importe, vous avez saisi le (bon) sens.

 

Un site à visiter: www.daysoftheyear.com      Source: Texte & Image (à gauche): Journée mondiale                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                Image (à droite):àhttps://www.petiterepublique.com/2020/11/03/mercredi-4-novembre-journee-mondiale-du-bon-sens/
 
 

Journée Mondiale de la gentillesse – 3 novembre

Les gens gentils sont en meilleure santé…
Présentée comme cela, l’affirmation n’a rien d’évident, mais si on se dit qu’être gentil au quotidien traduit une tournure d’esprit positive et une approche apaisée de « l’autre », cela se conçoit plus aisément !
L’origine de cette journée est anglo-saxonne et son nom d’origine est le « World Kindness Day », promulgué par le World Kindness Movement , que nous traduirons pas « Mouvement mondial pour la gentillesse », un organisme international né à Singapour en 2000.
A l’origine, cette journée était célébrée le 13 novembre. Pour des raisons que chacun imagine (ndlr: la commémoration des attentats de Paris 2015) elle a migré au 3 novembre.
Un site à visiter : journee-de-la-gentillesse.psychologies.com   Source: Texte & Image: Journée mondiale

Un rêve… le mont Olympe

Ils ont vaincu le mont Olympe; le pari réussi de Marios et Eleftheria

Un athlète grec a grimpé le mont Olympe, point culminant de Grèce, en compagnie d’une amie handicapée qu’il a portée sur son dos. Une sacrée équipée pour un projet humain de taille.

C’est une belle amitié qui s’est nouée entre eux, scellée peut-être par une mythique ascension : celle du mont Olympe. Marios Giannakou, un coureur de fond grec de 28 ans, a non seulement du cran mais aussi du cœur. Le 5 octobre dernier, il a réalisé cette course un peu particulière en binôme avec Eleftheria Tosiou, une étudiante en fauteuil roulant de 22 ans rencontrée en septembre. Elle lui avait alors fait part de son rêve : réaliser l’ascension du mont Olympe, la plus haute montagne de Grèce, qui culmine à 2.918 mètres. Si l’athlète, qui a roulé sa bosse aussi bien dans le désert d’Al Marmoum (Dubai) qu’en Antarctique, avait déjà accompli 50 fois cet exploit, la 51e a été très différente.

C’est en effet armé d’un sac à dos adapté qu’il a grimpé, portant la jeune femme dans son dos. Il leur a fallu plus de dix heures, ainsi que le concours d’une équipe de soutien, pour atteindre le sommet du Mytikas, le point culminant du « domaine des dieux ». « Toutes les courses internationales, les médailles et les distinctions que j’ai reçues à ce jour sont peu de choses par rapport à ce que nous avons accompli », a publié le sportif sur son compte Instagram qui compte plus de 33.000 abonnés. « Je remercie Eleftheria de m’avoir donné l’opportunité de devenir meilleur et de me rappeler ce que nous oublions souvent : nous devons vivre la vie sans peur ».

Source: Texte: Domitille Farret d’Astiès Image: ellines.com

Journée mondiale de lutte contre la polio – 20 octobre

Journée mondiale de lutte contre la polio
L’origine de cette journée mondiale revient au Rotary International et ses nombreux partenaires pour cette cause (de façon non exhaustive et dans le désordre, l’OMS, l’UNICEF, la Fondation Bill & Melinda Gates mais aussi des gouvernements de par le monde, …).Les actions lancées depuis 25 ans dans le cadre de cette campagne ont permis d’obtenir des résultats spectaculaires et permettent d’affirmer avec un optimisme raisonnable:

En finir avec la polio, on y est presque…

Au début des années 1990, la poliomyélite touchait 350.000 personnes par an dans 125 pays. Elle était encore une des maladies les plus redoutées, paralysant des milliers d’enfants tous les ans et provoquant de nombreux décès.

Depuis cette époque, les campagnes de vaccination ont permis de faire reculer le fléau et on observe un déclin rapide. De nombreuses zones de la planète sont débarrassées presque complètement de la maladie.

Il reste encore des points noirs

Trois pays constituent encore des foyers de résistance à la polio, il s’agit du Nigéria, du Pakistan et de l’Afghanistan. Les efforts entrepris doivent y être poursuivis pour arriver à une disparition totale de la maladie.

 

Un site à visiter : www.endpolio.org    Source: Texte & Image

 

Journée mondiale de l’énergie – 22 octobre

Le 22 octobre a été désignée « Journée mondiale de l’énergie » lors de l’ouverture du Forum mondial de l’énergie en 2012. Cette date était alors symbolique car c’était alors la première fois que le forum se tenait en dehors du siège de l’ONU, les 25 pays présents se réunissant en effet à Dubaï.

Energie pour tous

Aujourd’hui on compte encore 1,5 milliard d’habitants de la planète sur les 7 milliards qui la peuplent, qui sont privés d’électricité. Ces chiffres posent un défi à relever par la coopération internationale et la coordination entre pays avancés et pays en voie de développement.

Cette journée rappelle un des enjeux majeur de demain qui est de pouvoir offrir l’énergie au plus grand nombre d’habitants du globe.

Développement durable

Il est difficile de parler d’énergie sans aborder la question cruciale de l’écologie et du développement durable. Produire de l’énergie oui, mais dans quelles conditions ?

Le débat entre l’utilisation des énergies fossiles souvent polluantes et les énergies renouvelables fournies par la nature prend un sens nouveau quand on songe que ce sont les pays en voie de développement qui sont souvent contraints d’utiliser les sources d’énergies les plus polluantes (charbon par exemple) pour arriver à une certaine indépendance…

Là encore, sans coopération internationale, ill sera difficile d’avancer rapidement dans le bon sens. Et pourtant, il y a bel et bien urgence !

Un site à visiter : www.statistiques.developpement-durable.gouv.fr    Source: Texte & Image: Journée Mondiale