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Journée mondiale du souvenir des victimes des accidents de la route – 20 novembre

 
Cette journée fait partie des célébrations décrétées directement par l’ONU, qui invite, depuis 2005, « Les États Membres et la communauté internationale à célébrer chaque année, le troisième dimanche de novembre, la Journée mondiale du souvenir des victimes de la circulation routière, en hommage aux victimes des accidents de la route et à leurs familles. » (extrait de la résolution RES/60/5 du 1er décembre 2005). Cette Journée mondiale est depuis lors commémorée dans un certain nombre de pays, même si elle reste assez peu relayée dans les grands médias.Elle cherche à attirer l’attention du grand public sur l’ampleur des dégâts causés par les accidents de la route, aussi bien matériels qu’émotionnels, et rendre hommage à toutes les victimes de la route ainsi qu’aux services de secours et de soutien.

Beaucoup d’accidents auraient pu être évités

C’est avec cette idée forte que de nombreuses associations luttent et tentent de promouvoir des comportements civiques et sécuritaires plus forts chez les conducteurs, sans négliger l’action auprès des pouvoirs publics, reponsables quant à eux, de la subsistance de nombreux points noirs.

Un site à visiter : www.violenceroutiere.org    Source: Texte & Image: Journée mondiale

Journée mondiale de la moto – 21 juin

L’origine de cette journée n’est pas totalement claire et si, au niveau mondial, on retrouve bien un World Motorcycle Day, au niveau national français on parle plus souvent des (elles sont plusieurs) Journées nationales de la moto et des motards.

Un rendez-vous incontournable

Ce rendez-vous incontournable des passionnés de la moto existe depuis 2014, il a été organisé à l’origine par le Centre National de Formation à la Sécurité Routière (CNFSR) de la Gendarmerie Nationale. Son objectif, sensibiliser les motards à une pratique plus responsable de la moto.

Sécurité

La sécurité des motards est un sujet brûlant et le nombre de morts enregistrés parmi les motards chaque année fait réfléchir. Notons à ce propos qu’il exsite également une journée consacrée aux motars décédés et qui se déroule en principe chaque lundi de pentecôte.

La motarde me monte au nez…

Fort heureusement, le monde de la moto se féminise régulièrement et il n’est plus rare aujourd’hui de croiser sur les routes des groupes de motardes qui pratiquent ce sport – cet art – avec toute la mesure qui lui sied. Merci mesdames et casque bas.

Un site à visiter : jnmm.fr   Source: Texte: Journée Mondiale    Image: Unsplash.com
 

Journée mondiale du souvenir des victimes des accidents de la route – 15 novembre

Journée mondiale du souvenir des victimes des accidents de la route
Cette journée fait partie des célébrations décrétées directement par l’ONU, qui invite, depuis 2005, « Les États Membres et la communauté internationale à célébrer chaque année, le troisième dimanche de novembre, la Journée mondiale du souvenir des victimes de la circulation routière, en hommage aux victimes des accidents de la route et à leurs familles. » (extrait de la résolution RES/60/5 du 1er décembre 2005).

Cette Journée mondiale est depuis lors commémorée dans un certain nombre de pays, même si elle reste assez peu relayée dans les grands médias.
Elle cherche à attirer l’attention du grand public sur l’ampleur des dégâts causés par les accidents de la route, aussi bien matériels qu’émotionnels, et rendre hommage à toutes les victimes de la route ainsi qu’aux services de secours et de soutien.

Beaucoup d’accidents auraient pu être évités

C’est avec cette idée forte que de nombreuses associations luttent et tentent de promouvoir des comportements civiques et sécuritaires plus forts chez les conducteurs, sans négliger l’action auprès des pouvoirs publics, reponsables quant à eux, de la subsistance de nombreux points noirs.

Ironie de la situation

En 2020, avec les 2 confinements, on a beaucoup moins roulé. Les chiffres de mortalité sur les routes se sont améliorés.

Un site à visiter : www.violenceroutiere.org    Source: Texte & Image: Journée mondiale

sécurité

ONU

3è dimanche de Pâques, année A – 2020

L’avez vous retrouvé… VOTRE chemin d’Emmaüs?

C’était peut-être…
un chemin solitaire de campagne,
un sentier dans la forêt,
la plage d’un lac familier,
la route conduisant au vieux chalet…

Vous vous en souvenez… cette impression, non, cette certitude que vous n’étiez pas seul/e.
La conviction d’une présence enveloppante,
invisible, bien sûr, mais tissée d’acceptation, de compassion…

Vous ne compreniez pas, mais… vous vous sentiez compris…
Vos doutes évanouis, vos questions en suspens pour un temps – le temps de comprendre.
Comprendre enfin que vous n’avez pas à mériter, mais plutôt à accepter de recevoir.
Réaliser qu’il n’est pas nécessaire de ne pas tomber, mais seulement de se mettre en route…

Et sur cette route, ce chemin unique parce que tellement personnel,
à un moment où l’on ne s’y attendait plus, la rencontre a lieu…
La re-connaisance prend place!

Emmaüs, c’est cela…
Emmaüs, ce sera toujours cela… la manifestation d’une Présence.

Note: Une présentation vidéo de la scène d’emmaüs est offerte à: https://youtu.be/E8i04uQXBU0

Et une autre réflexion est disponible sur un thème différent en anglais à: https://image-i-nations.com/3rd-sunday-of-easter-year-a-2020/

 

Source: Image: LDS blogs

Dimanche des Rameaux, année B

On nomme le texte de l’évangile au début de notre célébration
(Dimanche des Rameaux, année B – Mc.11:1-10):
‘Entrée triomphale de Jésus à Jérusalem’ –
un événement inédit dans la vie de Jésus!
Se faire acclamer comme roi!
Se faire reconnaître comme le Messie attendu!

Ça ne cadre pas avec… ses antécédents, pense-t-on.
On avait déjà tenté de le forcer à accepter une situation semblable à la suite de la multiplication des pains qui, évidemment, avait épaté la foule (Jn.6:15).
Mais il s’était dérobé, il ne voulait pas la gloire que confère les hommes, affirmait-il (Jn.5:41).

Ce qui retient mon attention ce ne sont pas ces acclamations.
Ils se changeront vite en cris d’accusation.
L’aspect de la scène qui m’attire c’est que Jésus est… en chemin.

Un chemin de gloire aujourd’hui, un chemin de croix dans les jours qui suivront.
Mais, en fait, toute sa vie peut être comprise sous ce thème : un chemin.
Tout au long de son existence parmi nous sur cette planète, Jésus était en cheminement.

Le cheminement…
Les poètes et les philosophes,
les théologiens et les auteurs spirituels nous y convient.
Même les agences de voyages choisissent ce sujet pour nous inviter à… nous mettre en route.
Tous affirment que l’important n’est pas seulement d’atteindre notre destination mais…
justement d’être en route.

Ne pas rester sur place.
Ne pas être satisfait de la distance déjà parcourue.
Ne pas se dire trop fatigué, ou désabusé, pour faire encore un pas en avant!

Quand la ‘route’ anticipée est celle d’une excursion agréable, voire même une croisière exotique,
il n’est pas difficile de se mettre en marche, ou de partir en voyage.
Mais il arrive que le chemin soit sur un terrain abrupt, la pente est raide,
le sol rocailleux et raboteux et l’on trébuche, et la fatigue se fait vite sentir.
Et, avec la fatigue, vient la tentation de… rebrousser chemin!

Il ne s’git plus d’une excursion plaisante mais la sensation ressemble plutôt
à celle… d’un chemin de croix…
La tentation du début de Carême est toujours là :
choisir le plus facile, ce qui coûte le moins, ce qui ne dérange pas trop…

Mais marcher dans les pas de Jésus exige qu’on ne choisisse pas le chemin –
on le suit, Lui, tout simplement et… jusqu’au bout.

Note: Une autre réflexion est disponible en anglais sur un thème différent à: https://image-i-nations.com/palm-sunday-year-b/

  Images : lds.org   herosjourney.org