?

De ceci... de cela...

Sous cette rubrique vous trouverez des mots, des idées, des propos, des pensées

se voulant une avenue pour aider à réfléchir, à découvrir, à franchir - peut-être -

une nouvelle étape vers... ce que vous désirez, espérez, anticipez!

Nano-seconde et… nano-crèche!

L’artiste Yves Géraud, résidant au Luxembourg, s’est plongé dans l’univers de l’infiniment petit. Il expose l’une de ses œuvres, une crèche minuscule, au musée Crescendo. Si petite, la crèche peut tenir dans un dé à coudre!

Et quand il fait petit, Yves Géraud voit grand. Cet ancien salarié d’un bureau d’études a, à son palmarès, pas moins de six records du monde validés par le Guinness Book.

Yves Géraud, Geronimo de son nom d’artiste, est Français, installé au Grand-Duché depuis bientôt 45 ans.

Source: Texte & Image: À la Une – L’Est Républicain

Dans le monde du sport, on connaît les nano-secondes – une nano seconde représente un milliardième de seconde, c’est-à-dire ¹⁄₁ ₀₀₀ ₀₀₀ ₀₀₀ de seconde.
Mais, le croirez-vous? Voici que l’on nous présente une… nano-crèche! (Note de l’éditrice)

Une nano-crèche si petite qu’elle passe par le trou d’une aiguille

Réalisé en 2017 on ne peut la regarder qu’avec un microscope. En Lituanie, des scientifiques de l’université de Vilnius ont réalise une “Nano Holy Famiy” grâce à un traval d’impression 3D. Elle est si petite qu’on peut la glisser dans le chas d’une aiguille.

Il s’agit d’une réplique de la crèche installée sur la place de la cathédrale de Vilnius qui comprend plusieurs personnages dont la Sainte Famille, l’âne et le boeuf, les rois mages, des bergers et quelques animaux. Et si l’enfant Jésus est plus petit qu’une cellule humaine, on peut pourtant distinguer les traits de son visage.

On estime que l’oeuvre d’art microscopique – littéralement, puisqu’elle n’est pas visible à l’oeil nu et se regarde au microscope – est 10,000 fois plus petite que l’original. Véritable prouesse technologique, sa réalisation a nécessité trois mois de travail et l’expertise de 30 personnes.

Cette nano-crèche ne témoigne-t-elle pas que l’essentiel est invisible pour les yeux?

Source: Texte: aleteia.fr NANO-JÉSUS

Journée internationale de prévention des génocides – 9 décembre

En fait, le véritable nom de cette journée est « Journée internationale de commémoration des victimes du crime de génocide, d’affirmation de leur dignité et de prévention de ce crime ». Nous lui avons préfére le nom anglais « genocide prevention Day » qui a tout de même le mérite de la concision, sans perdre pour antant le sens de la journée…

« Les États Membres et la communauté internationale doivent rendre hommage aux victimes du génocide et à leur famille, en mémoire des souffrances qu’elles ont endurées, et pour ce faire lutter encore plus fort contre les manifestations de haine, d’intolérance, de racisme et de xénophobie. »Ban Ki-moon, Secrétaire général de l’ONU de 2007 à 2016.

Une résolution adoptée à l’unanimité

C’est en septembre 2015 que l’Assemblée générale des Nations Unies a déclaré le 9 décembre, Journée internationale de commémoration des victimes du crime de génocide, d’affirmation de leur dignité et de prévention de ce crime.

Cette date n’est pas le fruit du hasard puisque le 9 décembre est précisément la date anniversaire de l’adoption de la Convention de 1948 pour la prévention et la répression du crime de génocide.

Convention sur le génocide

L’objectif de cette Journée Internationale est de faire connaître au grand public les intentions de cette Convention sur le génocide et son rôle dans la lutte contre le génocide et la prévention de ce crime. Elle vise aussi à rendre hommage aux victimes.

En adoptant la résolution sans vote, l’Assemblée de 193 membres a confirmé la responsabilité de chaque État de protéger ses populations du génocide, et renforcer les actions de prévention de ce crime et de l’incitation au génocide.

Un site à visiter : www.un.org    Source: Texte: Journée mondiale      Images: Journée Mondiale   Crif
 

Journée Mondiale du Climat -2020

Journée Mondiale du Climat

Y’a plus d’saisons ma bonne dame… à l’initiative de plusieurs associations écologiques de France et de Belgique, nous célébrons, le 8 décembre, la journée mondiale du climat (ou journée mondiale contre le changement climatique).

Réchauffement climatique

Il ne se passe pas une semaine sans qu’on nous parle du réchauffement climatique et des conséquences qu’il fait peser sur l’avenir de la planète. Il est vrai que la situation que nous vivons actuellement est grave et que les quelques mesurettes prises ici ou là ne sont pas là d’endiguer le phénomène.

Ceci dit, en climatologie comme ailleurs, la simplification à outrance n’aide pas vraiment la réflexion et une étude de la planète sur une très longue période fait apparaître une alternance de périodes chaudes et glaciaires ayant toutes eu des conséquences très importantes sur la survie de nombreuses espèces animales…

Ce qui change aujourd’hui, c’est que la puissance d’action de l’homme s’est considérablement accrue tout au long du siècle dernier, ne serait-ce que par l’augmentation de la population (nous sommes passés de 1 milliard d’humains sur terre en 1900 à plus de 7 milliards aujourd’hui). Au rythme où nous exploitons les richesses de notre terre, il nous en faudrait au moins 3 pour éspérer survivre longtemps…

Il est urgent de prendre conscience que la terre ne nous appartient pas et que nous en sommes comptables auprès des générations qui nous suivront !

Des sites à visiter

Nous avons recherché des sites environnementaux qui nous paraissaient donner des informations fiables et nous vous proposons de les visiter (leurs contenus restant sous la responsabilité de leurs auteurs) .

Un site à visiter : uicn.fr    Source: Texte & Image: Journée mondiale

Journée mondiale de la générosité – 1er décembre

Journée mondiale de la générosité

Le nom complet de cette journée est « Journée Mondiale de la générosité et de la solidarité ». Elle est aussi connue sous le nom « Giving Tuesday », dévoilant ainsi son origine Nord-Américaine.

Le nom fait référence au mardi qui suit Thanksgiving. Il s’agit d’un mouvement de charité au début des fêtes de fin d’année. La première édition semble avoir été 2012 aux USA.La première édition en France s’est déroulée le 27 novembre 2018 et a rencontré un grands succés. Plus de 300 projets ont pu être menés à bien par 180 partenaires mobilisés partout en France. La date retenue pour 2020 est le mardi 1er décembre.

A l’Institut Pasteur de Lille…

Les exemples concrets d’action initiées dans le cadre de cette journée sont nombreux et comme nous ne pouvons pas parler de toutes les initiatives, nous en avons choisi une.

L’Institut Pasteur de Lille est une fondation de recherche reconnue d’utilité publique dont l’objectif est d’élaborer les traitements
de demain contre certaines maladies : cancer, maladie d’Alzheimer, maladies cardiovasculaires, diabète, etc…

Comme le dit la sagesse populaire, la santé de tous n’a pas de prix, mais la recherche a un coût !

Chacun est invité à soutenir les actions de l’Institut en diffusant les visuels présentés au sein d’un kit de communication comportant un mode d’emploi et différents supports à imprimer pour agrémenter ses photos.

Un site à visiter : givingtuesday.fr    Source: Texte & Images: Journée mondiale

Journée Mondiale de la lutte contre le SIDA – 1er décembre

Journée Mondiale de la lutte contre le SIDA

« Notre stratégie pour l’avenir doit être de donner aux femmes les moyens d’agir dans ce combat. Les véritables héros de cette guerre, c’est parmi elles qu’il faut les chercher, et il nous appartient de leur fournir l’arme de l’espoir.« 

Extrait du message de M. Kofi Annan, Secrétaire général de l’ONUEn 1988, l’Assemblée générale avait exprimé sa vive préoccupation devant la pandémie de sida. Notant que l’Organisation mondiale de la santé (OMS) avait choisi la date du 1er décembre 1988 comme Journée mondiale du sida, l’Assemblée a souligné l’importance de cette manifestation (résolution 43/15). Aujourd’hui, plus de 36 millions de personnes sont séropositives et sidéennes. La journée mondiale de lutte contre le SIDA n’est pas la seule occasion de revenir sur ce dossier brûlant, mais en insistant sur le fait que nous devons être tous ensemble contre le SIDA, elle a toute sa place dans le calendrier des journées internationales.

La mobilisation doit rester entière

En 2019, la journée a pour thème « Les communautés font la différence ». Les organisations communautaires apportent en effet une contribution inestimable dans l’organisation de la riposte contre le sida. Les communautés de personnes vivant avec le VIH, les populations clés (gays, toxicomanes, travailleur(se)s du sexe, personnes incarcérées et/ou transgenres, …) ainsi que celles qui gèrent et soutiennent l’apport de services liés au VIH, défendent les droits humains et aident les membres de leur communauté. Ces organisations communautaires forment le terreau d’une riposte efficace au sida, ainsi qu’un pilier important d’assistance.

De son coté, l’église catholique s’investit depuis de nombreuses années auprès des personnes atteintes par cette maladie.
« J’avais soif, et vous m’avez donné à boire ; j’étais un étranger, et vous m’avez accueilli ; j’étais malade, et vous m’avez visité » (Mt.25:35-36). En cette 31ème journée mondiale de lutte contre le sida, l’évangile selon saint Matthieu prend une résonance toute particulière. Mais de quelle réalité parle-t-on ? Près de trois séropositifs sur cinq dans le monde (21,7 millions sur 36,9 millions au total) prennent désormais des traitements antirétroviraux, soit la plus haute proportion jamais atteinte, d’après le dernier rapport de de l’Onusida.

Combler l’écart

En 2017, 940.000 personnes dans le monde sont mortes de maladies liées au sida. À titre de comparaison, au pic de l’épidémie en 2005, 1,9 million de décès dans le monde étaient liés au sida. Continuons la lutte.

Un site à visiter : www.unaids.org    Source: Texte & Image: Journée mondiale

Journée mondiale des Villes pour la Vie – 30 novembre

 Cette journée mondiale existe depuis 2002. On peut également la retrouver sous un autre nom, tout aussi explicite :

Journée internationale des villes contre la peine de mort

On en doit l’initiative à la Communauté de Sant’Egidio et la Journée mondiale des Villes pour la vie – Villes contre la peine de mort est célébrée tous les 30 novembre.

Le choix de cette date ne doit rien au hasard car c’est le jour anniversaire de la première abolition de la peine capitale réalisée par un État (le Grand Duché de Toscane), c’était le 30 novembre 1786, il y a donc déjà quasiment 250 ans.

L’année de la création de cette journée, 80 villes avaient participé. En 18 ans, 794 monuments ont été illuminés dans 93 pays des cinq continents, y compris dans les pays qui maintiennent la peine de mort.

Worldcoalition.org

Un site à visiter : www.worldcoalition.org   Source: Texte & Images: Journée mondiale

Journée internationale des aides-soignants – 26 novembre

Une journée internationale restée discrète… ella existe depuis 2010 et semble avoir été initiée par la profession elle-même.

Une profession invisible…

Ou tout au moins manquant de reconnaissance car sa proximité avec les malades n’en fait pas pour autant une profession « écoutée »: « Nous ne sommes que aide-soignant, on ne nous écoute pas… », « Les gens nous traitent de laveuses, de toiletteuses ou pire encore… » et autres perles relevées ici et là sont monnaie courante dans la profession.

Pourtant, l’aide-soignante (osons le féminin dans la mesure où l’aide-soignant et très souvent une aide-soignante !) est avant tout une professionnelle de santé, exerçant par délégation et sous l’autorité des infirmières, des taches essentielles à la vie de l’hôpital.

A l’honneur en 2020

Il aura fallu la crise sanitaire de la Covid pour qu’on les remette à l’honneur, qu’on les applaudisse, qu’on les salue. Il était temps !

 

Un site à visiter : www.ufas.info   Source: Texte (abrégé): Journée mondiale     Image: HAD Saint-Sauveur

 

Journée mondiale du jeu vidéo – 22 novembre 2020

Cette journée a été lancée en 2010 à l’initiative de l’association Loisirs Numériques. Elle existe aussi outre-atlantique sous son nom anglais

Video game days!

Depuis quelques temps, les journées mondiales du jeu vidéo n’étaient plus une mais trois jour comme l’indiquait le site de l’AFJV (Agence française pour le jeu vidéo), étalées tout au long d’un week-end. Pour 2019, elles duraient ainsi du 22 au 24 novembre. Le passé est de rigeur car – à la date où nous écrivons (16/11/20) il ne semble pas y avoir de date pour 2020.

Même chose au niveau international, le site videogamedays.org est resté bloqué sur 2019. Cela veut-il dire que nous ne jouons plus ? les chiffres des ventes montrent que non.

Tour d’horizon du gaming…

Chacun est libre de célébrer le jeu vidéo comme bon lui semble : jouez chez vous, entre ami(e)s, en famille, parlez des jeux vidéo autour de vous, participez à des concours, à des événements… Durant ce week-end de novembre, le jeu vidéo est à la fête pour le bonheur de tous :

  • tournois et soirées entre amis
  • conférences
  • portes ouvertes (écoles, studios, médiathèques…)
  • ateliers de découverte
  • reportages, émissions,
  • réductions en magasin
  • événements en ligne sur internet
  • sur les réseaux sociaux (en utilisant le hashtag #jmjv)
  • etc…

Du pour et du contre

De très nombreux sites et forums traitent déjà du jeu vidéo, aussi nous garderons-nous d’en citer un seul.

D’autres sites militent de leur coté pour alerter les parents et les éducateurs sur les dangers des jeux vidéos. Il nous a paru équitable d’en parler aussi (voir « un site à visiter »).

Un site à visiter : www.pourquoidocteur.fr   Source: Texte (abrégé) & Image: Journée mondiale

Journée Mondiale des pêcheurs artisans et des travailleurs de la mer – 21 novembre

Le 21 novembre 1997, à New Delhi, des travailleurs et travailleuses de la pêche de 33 pays ont créé la journée mondiale ainsi que le forum mondial des pêcheurs et des travailleurs de la pêche, en insistant sur l’importance du regroupement des pêcheurs, une catégorie socioprofessionnelle réputée pour son individualisme.
Composé de groupes tels que le Collectif national des pêcheurs artisans du Sénégal (CNPS), l’Union des pêcheurs des Maritimes (Canada), la CONAPACH (Chili), le Réseau national des pêcheurs du Mexique, et le Forum national des travailleurs de la pêche de l’Inde.

Objectif et avenir

Cette nouvelle organisation vise à défendre et à promouvoir les intérêts des hommes et des femmes qui vivent de la pêche artisanale. Elle permet de mettre en valeur les liens de solidarités qui se sont noués entre les différentes organisations de pêcheurs artisans et de travailleurs de la pêche à travers le monde. Elle permet également de mettre en exergue des questions d’actualités essentielles pour l’avenir du secteur des pêches maritimes.

Les pêcheurs doivent aujourd’hui faire face à une pression grandissante de la part du tourisme, des industries polluantes mais aussi de la part des techniques de pêches destructrices.

Quelques chiffres…

La Chine est le pays comptant le plus grand nombre de pêcheurs, avec 6 millions de professionnels recensés. 94 millions de tonnes de poisson sont pêchées annuellement à travers le monde. Selon les statistiques disponibles au ministère de la Pêche, la production totale de poisson s’élevait à environ 12 085 tonnes en 1999, dont 1 225 tonnes pour la pêche artisanale, contre 18 956 tonnes en 1994.

Source: Texte: Journée mondiale     Images: Scoop.it    Mer et Océan

Journée Internationale de la tolérance – 16 novembre 2020

Le 12 décembre 1996, l’Assemblée générale des Nations Unies a invité les états membres à célébrer la Journée internationale de la tolérance le 16 novembre de chaque année par des activités s’adressant aux établissements d’enseignement eu au grand public (résolution 51/95).
Cette mesure faisait suite à l’Année des Nations Unies pour la tolérance en 1995, proclamée par l’Assemblée le 20 décembre 1993 (résolution 48/126). La conférence générale de l’Organisation des Nations Unies pour l’éducation, la science et la culture a proclamé l’année 1995 Année des Nations Unies pour la tolérance. Le 16 novembre 1995, les Etats membres de l’UNESCO ont adopté une Déclaration de principes sur la tolérance et un Plan d’action destiné à donner suite à l’Année.L’UNESCO propose dix pistes d’actions pour lutter contre l’intolérance :

1. La diversité au sein de votre communauté

Où que vous habitiez, vous seriez probablement surpris de l’extrême diversité qui règne au sein de votre communauté. Quelqu’un a dit que chaque culture est un ensemble d’influences subies. Livrez-vous à une enquête sur la diversité culturelle au sein de votre ville ou communauté. Qui sont les habitants ? Comment vivent-ils ? Des articles, des interviews, des affiches ou des expositions peuvent servir à mettre en lumière la diversité des identités et des cultures. Comment cette diversité s’exprime-t-elle en musique ? Pensez à la multiplicité des danses et musiques traditionnelles que vous connaissez et à tout ce que celles-ci dénotent d’influences mutuelles. Organisez un concert ou un festival réunissant toute une gamme de ces traditions culturelles.

2. Les droits de l’homme

De quelle manière les droits des membres de minorités nationales, ethniques, religieuses, linguistiques ou autres sont-ils garantis au sein de votre communauté, de votre nation, de votre région ? Qu’en est-il des peuples autochtones, des travailleurs migrants, des demandeurs d’asile et des réfugiés, des handicapés ? Leurs droits sont-ils promus et protégés ? Pensez-vous que les responsables du maintien de l’ordre de votre communauté soient suffisamment informés des droits de l’homme ? Que pouvez-vous faire pour améliorer les attitudes ou les comportements envers les minorités ?

3. Programmer son action en faveur de la tolérance

Rédigez vous-même un projet ou programme d’activités en faveur de la tolérance. Cela implique de déterminer pour vous-même ce qu’est la tolérance et quel est le meilleur moyen de transmettre les valeurs qui s’y attachent. Passez au crible vos manuels scolaires, les émissions de télévision et les articles de presse pour débusquer les stéréotypes (concernant notamment les sexes) et les préjugés sur les nationalités et les groupes ethniques. Quelles priorités assigneriez-vous, en matière de tolérance, à votre ville, pays ou région ?

4. Dire non à la violence

Comment naît la violence dans une communauté, une école ou un foyer et comment peut-on l’enrayer ? Reproduisez la dynamique de la tolérance et de l’intolérance par des jeux de rôle, des dialogues, des exercices de résolution de malentendus. Organisez des débats publics où vous vous entraînerez à défendre alternativement deux points de vue opposés. Comment imaginez-vous la coexistence pacifique d’individus et de groupes différents ? Qu’est-ce qui fait qu’elle fonctionne et qu’est-ce qui peut la saper ?

5. Diversité écologique et diversité humaine

Toute communauté est fondée sur l’interdépendance. Pas plus que les végétaux ou les animaux, nous ne pourrions survivre si nous étions tous semblables. Trouvez des exemples de cette vérité puisés dans la vie quotidienne de votre localité. Montrez par des exemples concrets comment une culture de paix et de tolérance peut promouvoir la sauvegarde de l’environnement. Lancez un projet dans votre école ou votre voisinage.

6. La tolérance religieuse

Organisez une rencontre de représentants de divers groupes religieux et non confessionnels de votre communauté pour examiner comment chacun enseigne la tolérance. Comment enseigne-t-on la tolérance dans les différentes religions du monde, y compris celles des peuples autochtones ? Toutes les religions étant plus ou moins fondées sur des valeurs d’amour et de justice, aucune ne saurait être invoquée pour justifier la violence ou la guerre. Le dialogue et la discussion entre les représentants des diverses religions sont une tradition séculaire qui n’a en rien perdu sa valeur.

7. Actualité de la tolérance

Organisez des débats sur les événements de l’actualité analysés en termes de tolérance et d’intolérance. Réfléchissez aux conflits du passé et à ceux d’aujourd’hui. Comment auraient-ils pu être résolus ou évités ? Qu’en est-il de la question des droits de l’homme dans l’actualité aujourd’hui ? Quels sont les droits et libertés fondamentaux reconnus par la communauté internationale ? Comment fonctionnent les pays pluriculturels et multilingues ? Quels sont les intérêts communs aux peuples dans leur diversité ?

8. La tolérance et le sport

Quelles manifestations sportives ont une envergure internationale ? Quel en est le but ? Quels sont les liens possibles entre le sport et l’intolérance (exclusion des plus faibles, esprit de clocher, violence dans les stades) et comment y remédier ? Organisez une rencontre athlétique sur le thème de la diversité et de la tolérance.

9. La créativité à l’œuvre

Le message d’une œuvre d’art est inépuisable. Interrogez l’oeuvre d’un artiste d’une autre région du monde et demandez-vous ce qu’elle vous apporte. Concevez des récits, des pièces, des poèmes, des chansons, des articles, des peintures, des affiches, des photographies ou des vidéos illustrant les thèmes liés à la tolérance et publiez-les ou diffusez-les. Ecrivez à des personnalités connues pour leur poser des questions et leur communiquer vos idées sur le sujet de la tolérance.

10. Créer des liens internationaux

Amorcez un dialogue international ou lancez un projet de jumelage scolaire par lettre ou courrier électronique. Dialoguez avec des correspondants étrangers sur les questions et les problèmes de votre vie quotidienne. Echangez des cassettes ou des photos. Etudiez la possibilité de participer à des stages d’été internationaux ou à un programme d’échange scolaire. Demandez à votre école d’adhérer au Système des écoles associées de l’UNESCO.

Source: Texte & Image: Journée mondiale