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Journée Mondiale de la lutte contre le SIDA – 1er décembre

Journée Mondiale de la lutte contre le SIDA

« Notre stratégie pour l’avenir doit être de donner aux femmes les moyens d’agir dans ce combat. Les véritables héros de cette guerre, c’est parmi elles qu’il faut les chercher, et il nous appartient de leur fournir l’arme de l’espoir.« 

Extrait du message de M. Kofi Annan, Secrétaire général de l’ONUEn 1988, l’Assemblée générale avait exprimé sa vive préoccupation devant la pandémie de sida. Notant que l’Organisation mondiale de la santé (OMS) avait choisi la date du 1er décembre 1988 comme Journée mondiale du sida, l’Assemblée a souligné l’importance de cette manifestation (résolution 43/15). Aujourd’hui, plus de 36 millions de personnes sont séropositives et sidéennes. La journée mondiale de lutte contre le SIDA n’est pas la seule occasion de revenir sur ce dossier brûlant, mais en insistant sur le fait que nous devons être tous ensemble contre le SIDA, elle a toute sa place dans le calendrier des journées internationales.

La mobilisation doit rester entière

En 2019, la journée a pour thème « Les communautés font la différence ». Les organisations communautaires apportent en effet une contribution inestimable dans l’organisation de la riposte contre le sida. Les communautés de personnes vivant avec le VIH, les populations clés (gays, toxicomanes, travailleur(se)s du sexe, personnes incarcérées et/ou transgenres, …) ainsi que celles qui gèrent et soutiennent l’apport de services liés au VIH, défendent les droits humains et aident les membres de leur communauté. Ces organisations communautaires forment le terreau d’une riposte efficace au sida, ainsi qu’un pilier important d’assistance.

De son coté, l’église catholique s’investit depuis de nombreuses années auprès des personnes atteintes par cette maladie.
« J’avais soif, et vous m’avez donné à boire ; j’étais un étranger, et vous m’avez accueilli ; j’étais malade, et vous m’avez visité » (Mt.25:35-36). En cette 31ème journée mondiale de lutte contre le sida, l’évangile selon saint Matthieu prend une résonance toute particulière. Mais de quelle réalité parle-t-on ? Près de trois séropositifs sur cinq dans le monde (21,7 millions sur 36,9 millions au total) prennent désormais des traitements antirétroviraux, soit la plus haute proportion jamais atteinte, d’après le dernier rapport de de l’Onusida.

Combler l’écart

En 2017, 940.000 personnes dans le monde sont mortes de maladies liées au sida. À titre de comparaison, au pic de l’épidémie en 2005, 1,9 million de décès dans le monde étaient liés au sida. Continuons la lutte.

Un site à visiter : www.unaids.org    Source: Texte & Image: Journée mondiale

Journée mondiale contre la douleur – 19 octobre 2020

Journée mondiale contre la douleur
L’OMS s’associe à la Journée mondiale contre la douleur célébrée tous les ans le 3° lundi du mois d’octobre.Le traitement de la douleur et les soins palliatifs font partie intégrante du droit à jouir d’une bonne santé, estime l’Organisation mondiale de la Santé.

Proposer des traitements

« C’est en majorité dans les pays à revenu faible ou moyen, où les maladies chroniques comme le cancer et le Sida gagnent du terrain, que les malades sont privés de traitement anti-douleur », explique le Dr Catherine Le Galès-Camus, chargée à l’OMS du groupe Maladies non transmissibles et santé mentale. relatins

L’Association internationale pour l’étude de la douleur (IASP) et la Fédération européenne des sections locales de l’IASP (EFIC) coordonnent les actions mises en place pour cette Journée mondiale.

Selon l’IASP et l’EFIC, une personne sur cinq souffre de douleurs chroniques modérées à fortes, et la douleur rend une personne sur trois incapable ou difficilement capable de mener une vie indépendante. En outre, une personne sur quatre rapporte que la douleur perturbe ou détruit ses relations avec sa famille et ses amis.

La morphine par voie orale s’est avérée d’un bon rapport coût-efficacité pour le traitement de la douleur modérée à forte chez les cancéreux et les personnes vivant avec le VIH/SIDA, note l’OMS dans un communiqué. Toutefois, ces analgésiques ne sont pas partout disponibles, en particulier dans les pays en développement à cause d’une méconnaissance de leur usage médical, de restrictions réglementaires et de leur prix.

« Le soulagement de la douleur devrait être un droit de tout être humain, qu’il soit atteint d’un cancer, d’une infection à VIH/SIDA ou de n’importe quelle autre maladie douloureuse », affirme Sir Michael Bond, président de l’IASP.

Un problème sous-estimé

Pour le Pr. Harald Breivik, président de l’EFIC, « la douleur chronique est l’un des problèmes les plus sous-estimés par les services de santé dans le monde aujourd’hui » alors qu’elle devrait être considérée comme « une maladie en tant que telle ».

Source: Texte & Image: Journée mondiale

Journée Mondiale des donneurs de sang – 14 juin

Tantôt appelée Journée Mondiale des donneurs de sang, tantôt Journée mondiale du don de sang, elle a pour objectif de sensibiliser les populations aux enjeux des dons de sang. Elle a été lancée en 2004 par l’OMS.

Dans le monde, huit personnes sur dix n’ont pas accès à la sécurité transfusionnelle.

Le monde a besoin de sang neuf
Grâce aux dons de sang anonymes et sécurisés de millions de personnes, des milliers de vies sont sauvées chaque jour. Mais la possibilité de recevoir une transfusion de sang, qu’elle soit sécurisée ou non, varie énormément d’un pays à l’autre. Les besoins de 18 % de la population mondiale monopolisent 60 % de l’offre mondiale, ce qui laisse les 82 % restant sans couverture satisfaisante.

La Journée mondiale du don de sang est à la fois une journée de réflexion et l’occasion de remercier tous les donneurs de sang volontaires et réguliers dans le monde. Tout le monde ou presque peut aider à sauver des vies, soit en devenant un donneur régulier soit, si c’est impossible pour des raisons médicales, en apportant une aide bénévole les jours de collecte du sang.

Comme le reconnaît le Dr LEE Jong-wook, directeur général de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) : « La sécurité transfusionnelle est un besoin fondamental dans les systèmes de santé de tous les pays. Les 192 États Membres ont récemment convenu de célébrer officiellement chaque année la Journée mondiale du don de sang. On contribuera ainsi à sensibiliser les populations au besoin permanent d’avoir du sang sécurisé et des donneurs sûrs. » 

L’OMS et d’autres organisations ont préconisé des stratégies claires pour développer l’accès universel à la sécurité transfusionnelle. Celles-ci reposent sur la promotion du don de sang régulier, volontaire et non rémunéré et sur la coordination nationale des services de transfusion sanguine.

Le sang contaminé par le VIH continue d’être à l’origine d’environ 5 % des infections à VIH en Afrique. Alors que dans de nombreux pays, on pratique de plus en plus de tests pour sécuriser le sang, la plupart des pays en développement ne recherchent ni le VIH, ni l’hépatite B ou C. Chaque année, six millions de recherches d’infections qui auraient dû être pratiquées ne sont pas effectuées.

La Journée mondiale du don de sang rend hommage à tous ceux qui ont permis directement de sauver ou d’améliorer la vie de millions de patients en donnant régulièrement et volontairement leur sang. C’est aussi une demande pressante faite à tous les pays du monde pour qu’ils valorisent les donneurs sûrs et ne ménagent aucun effort pour garantir la sécurité transfusionnelle et ainsi sauvegarder la vie des patients.

Source : Texte (abrégé): Journée Mondiale Image : iStock

Journée Mondiale des donneurs de sang – 14 juin

Tantôt appelée Journée Mondiale des donneurs de sang, tantôt Journée mondiale du don de sang, elle a pour objectif de sensibiliser les populations aux enjeux des dons de sang. Dans le monde, huit personnes sur dix n’ont pas accès à la sécurité transfusionnelle.

Le monde a besoin de sang neuf
Grâce aux dons de sang anonymes et sécurisés de millions de personnes, des milliers de vies sont sauvées chaque jour. Mais la possibilité de recevoir une transfusion de sang, qu’elle soit sécurisée ou non, varie énormément d’un pays à l’autre. Les besoins de 18 % de la population mondiale monopolisent 60 % de l’offre mondiale, ce qui laisse les 82 % restant sans couverture satisfaisante.

Comme le reconnaît le Dr LEE Jong-wook, directeur général de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) : « La sécurité transfusionnelle est un besoin fondamental dans les systèmes de santé de tous les pays. Les 192 États Membres ont récemment convenu de célébrer officiellement chaque année la Journée mondiale du don de sang. On contribuera ainsi à sensibiliser les populations au besoin permanent d’avoir du sang sécurisé et des donneurs sûrs. »

L’OMS et d’autres organisations ont préconisé des stratégies claires pour développer l’accès universel à la sécurité transfusionnelle. Celles-ci reposent sur la promotion du don de sang régulier, volontaire et non rémunéré et sur la coordination nationale des services de transfusion sanguine.

Des dons volontaires, non rémunérés et sécurisés
Des progrés ont été enregistrés sur la question de la sécurité. Pourtant, il reste encore bien des efforts à accomplir à l’échelle mondiale. Jusqu’à présent, seuls 40 pays ont mis en place un système basé exclusivement sur le don de sang volontaire. Malgré certaines améliorations récentes dans ce domaine important, moins de 30 % des pays ont un service de transfusion coordonné au niveau national. Trop de pays, y compris parmi les pays émergents, continuent de dépendre des dons de compensation (c’est-à-dire des dons faits par la famille du malade) ou des dons rémunérés.

Le sang contaminé par le VIH continue d’être à l’origine d’environ 5 % des infections à VIH en Afrique. Alors que dans de nombreux pays, on pratique de plus en plus de tests pour sécuriser le sang, la plupart des pays en développement ne recherchent ni le VIH, ni l’hépatite B ou C. Chaque année, six millions de recherches d’infections qui auraient dû être pratiquées ne sont pas effectuées.

La Journée mondiale du don de sang rend hommage à tous ceux qui ont permis directement de sauver ou d’améliorer la vie de millions de patients en donnant régulièrement et volontairement leur sang. C’est aussi une demande pressante faite à tous les pays du monde pour qu’ils valorisent les donneurs sûrs et ne ménagent aucun effort pour garantir la sécurité transfusionnelle et ainsi sauvegarder la vie des patients.

Quatre organisations internationales travaillant à promouvoir les dons de sang volontaires et non rémunérés pour assurer la sécurité transfusionnelle, parrainent la Journée mondiale du don de sang : l’Organisation mondiale de la Santé, la Fédération internationale des Sociétés de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge, la Fédération internationale des organisations de donneurs de sang et la Société internationale de transfusion sanguine. Cette année, les principaux événements sont organisés par le service national de transfusion d’Angleterre et du pays de Galles.

Source: Texte: Journée Mondiale  Image: Askideas.com

 

Journée Mondiale des orphelins du SIDA – 7 mai

La journée mondiale des orphelins du sida a été créé en 2002 , dans le but d’attirer l’attention sur la détresse des millions d’enfants affectés par la pandémie. C’est une journée de solidarité et de sensibilisation. C’est une situation pathétique pour ces enfants qui ont été contaminés à la naissance, ou sont tout simplement restés orphelins après le décès de leurs parents. Certains d’entre eux sont abandonnés, sans aucun soutien, déscolarisés, ils errent à longueur de journée, et sont à la merci de tous les vices.

Pour bon nombres d’associations et bien d’autres observateurs, 10 pour-cent des fonds alloués dans la lutte contre le VIH sida devraient être consacrés au soutien des orphelins et des enfants rendus vulnérables à cause du virus.
Malgré les efforts effectués dans la prévention du sida, le traitement et la prise en charge des enfants, il est important de mettre un accent sur toute la famille. Car en cas de décès , les enfants se meurent à petits feux. Traumatisés non seulement par la disparition de leurs parents, mais aussi par le choc de la maladie. Parfois la pilule est si dure à avaler qu’ils dépriment.

Il est vrai qu’avec l’avancée des recherches en matière de transmission mère-enfant, il est désormais possible qu’une femme séropositive, mette au monde un enfant sain, si le traitement est bien suivi. Il y’a plusieurs années en arrière, ce n’était pas le cas. D’où ce chiffre alarmant des enfants orphelins et contaminés. Aujourd’hui encore, dans des villages et autre zones reculées, les femmes accouchent sans faire un réel suivi.

Ces jeunes sont l’avenir de demain, c’est la raison pour laquelle, un suivi rigoureux, une prise en charge globale et familiale, et un réel encadrement sont nécessaires, afin qu’ils ne se sentent pas condamnés.

 Source: Texte & Image: Laotravoz.info

 

Quelqu’un de chez nous…

Mark Wainberg, est décédé la semaine dernière à Miami à l’âge de 71 ans. Il était reconnu internationalement pour ses recherches sur le virus VIH et le sida. Il a joué un rôle des plus importants dans la découverte d’un médicament et de son usage pour le traitement de cette condition.

Il était également engagé personnellement dans la défense des sidéens et il a beaucoup contribué à diminuer le stigma de cette maladie. Il réussit à obtenir du gouvernement des fonds pour la recherche et le traitement de cette maladie.

C’était un passionné. Convaincu de l’importance de cette cause, il n’a pas craint de s’opposer à Thabo Mbeki, Président de l’Afrique du sud, lors d’un congrès international tenu dans ce pays avec la plus forte incidence de sida dans cette région du globe.

Il était aussi bien connu pour son intérêt envers les gens autour de lui et pour son sens de l’humour.

Dr. Wainberg était le directeur du Lady Davis Research Institute of the Jewish General Hospital. Un dernier hommage lui sera rendu vendredi à Tifereth Beth David Jerusalem Congregation, Cote Saint Luc.

Source: Texte: Radio-Canada Première, CJAD radio News  Image: CJAD