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Journée internationale des coopératives – 2 juillet 2022

Journée internationale des coopératives

Message du Secrétaire général de l’ONU, M. Kofi Annan, à l’occasion de la Journée internationale des coopératives:

« Le microfinancement, c’est notre affaire! Coopérer pour sortir de la pauvreté »: tel est le thème retenu pour la Journée internationale des coopératives, ce qui semble tout à fait approprié en cette Année internationale du microcrédit. Il montre que les coopératives et le microfinancement, lorsqu’ils sont utilisés et administrés de façon appropriée, peuvent aider les plus démunis à améliorer leurs conditions de vie.

Offrir des services aux personnes à faibles revenus

Les coopératives offrent depuis longtemps déjà des services financiers aux pauvres et aux personnes à faible revenu. Les caisses populaires et les mutuelles de crédit ont été créées pour atténuer la pauvreté et réduire l’endettement élevé des petits exploitants agricoles et des artisans dans les villes et les campagnes. Les coopératives poursuivent sur cette voie aujourd’hui, en particulier en offrant des services de microfinancement abordables et équitables. Les études de l’Organisation des Nations Unies montrent qu’en facilitant aux pauvres l’accès au crédit et à des produits d’épargne et d’assurance à faible risque, les services de microfinancement les aident à augmenter leurs revenus, protéger leurs biens et faire face aux crises.

Les coopératives sont bien placées pour aider les pauvres, notamment dans les régions délaissées par les banques commerciales. À l’inverse des établissements financiers qui cherchent à dégager un profit, les coopératives financières s’attachent avant tout à proposer des services qui bénéficient à leurs membres. Elles appartiennent en propre à leurs membres, qui sont aussi leurs clients et qui les gèrent démocratiquement. Elles sont proches des collectivités qu’elles servent et sont bien placées pour exécuter des politiques et des programmes adaptés aux conditions locales et aux intérêts et besoins de leurs membres. Elles peuvent ainsi renforcer la participation des pauvres aux mécanismes de prise de décision et de gestion. Dans le même temps, elles favorisent l’instauration de conditions sociales favorables au remboursement de la grande majorité des prêts.

Parvenir au développement durable

Voilà pourquoi, dans le cadre des initiatives mondiales que nous avons engagées pour réduire la pauvreté et parvenir au développement durable, nous devons considérer les coopératives comme des instruments qui ont fait leurs preuves en permettant aux pauvres, en particulier aux femmes, d’avoir accès au microfinancement et de prendre leur destin en main. Voilà pourquoi l’Organisation des Nations Unies œuvre sans relâche pour encourager les coopératives. En cette journée internationale, j’encourage vivement les gouvernements et toutes les parties intéressées à faire de même.

La date officielle de cette journée est fixée au 1° samedi de juillet, elle change donc chaque année. Pour 2022, elle sera donc célébrée le 2 juillet.

Un site à visiter : www.mediaterre.org      Source: Texte & Image: Journée Mondiale

Journée internationale des coopératives – 3 juillet 2021

Journée internationale des coopératives

Message du Secrétaire général de l’ONU, M. Kofi Annan, à l’occasion de la Journée internationale des coopératives:

« Le microfinancement, c’est notre affaire! Coopérer pour sortir de la pauvreté »: tel est le thème retenu pour la Journée internationale des coopératives, ce qui semble tout à fait approprié en cette Année internationale du microcrédit. Il montre que les coopératives et le microfinancement, lorsqu’ils sont utilisés et administrés de façon appropriée, peuvent aider les plus démunis à améliorer leurs conditions de vie.

Offrir des services aux personnes à faibles revenus

Les coopératives offrent depuis longtemps déjà des services financiers aux pauvres et aux personnes à faible revenu. Les caisses populaires et les mutuelles de crédit ont été créées pour atténuer la pauvreté et réduire l’endettement élevé des petits exploitants agricoles et des artisans dans les villes et les campagnes. Les coopératives poursuivent sur cette voie aujourd’hui, en particulier en offrant des services de microfinancement abordables et équitables. Les études de l’Organisation des Nations Unies montrent qu’en facilitant aux pauvres l’accès au crédit et à des produits d’épargne et d’assurance à faible risque, les services de microfinancement les aident à augmenter leurs revenus, protéger leurs biens et faire face aux crises.

Les coopératives sont bien placées pour aider les pauvres, notamment dans les régions délaissées par les banques commerciales. À l’inverse des établissements financiers qui cherchent à dégager un profit, les coopératives financières s’attachent avant tout à proposer des services qui bénéficient à leurs membres. Elles appartiennent en propre à leurs membres, qui sont aussi leurs clients et qui les gèrent démocratiquement. Elles sont proches des collectivités qu’elles servent et sont bien placées pour exécuter des politiques et des programmes adaptés aux conditions locales et aux intérêts et besoins de leurs membres. Elles peuvent ainsi renforcer la participation des pauvres aux mécanismes de prise de décision et de gestion. Dans le même temps, elles favorisent l’instauration de conditions sociales favorables au remboursement de la grande majorité des prêts.

Parvenir au développement durable

Voilà pourquoi, dans le cadre des initiatives mondiales que nous avons engagées pour réduire la pauvreté et parvenir au développement durable, nous devons considérer les coopératives comme des instruments qui ont fait leurs preuves en permettant aux pauvres, en particulier aux femmes, d’avoir accès au microfinancement et de prendre leur destin en main. Voilà pourquoi l’Organisation des Nations Unies œuvre sans relâche pour encourager les coopératives. En cette journée internationale, j’encourage vivement les gouvernements et toutes les parties intéressées à faire de même.

La date officielle de cette journée est fixée au 1° samedi de juillet, elle change donc chaque année.

Un site à visiter : www.mediaterre.org     Source: Texte & Image: Journée Mondiale

Journée Mondiale des pêcheurs artisans et des travailleurs de la mer – 21 novembre

Le 21 novembre 1997, à New Delhi, des travailleurs et travailleuses de la pêche de 33 pays ont créé la journée mondiale ainsi que le forum mondial des pêcheurs et des travailleurs de la pêche, en insistant sur l’importance du regroupement des pêcheurs, une catégorie socioprofessionnelle réputée pour son individualisme.
Composé de groupes tels que le Collectif national des pêcheurs artisans du Sénégal (CNPS), l’Union des pêcheurs des Maritimes (Canada), la CONAPACH (Chili), le Réseau national des pêcheurs du Mexique, et le Forum national des travailleurs de la pêche de l’Inde.

Objectif et avenir

Cette nouvelle organisation vise à défendre et à promouvoir les intérêts des hommes et des femmes qui vivent de la pêche artisanale. Elle permet de mettre en valeur les liens de solidarités qui se sont noués entre les différentes organisations de pêcheurs artisans et de travailleurs de la pêche à travers le monde. Elle permet également de mettre en exergue des questions d’actualités essentielles pour l’avenir du secteur des pêches maritimes.

Les pêcheurs doivent aujourd’hui faire face à une pression grandissante de la part du tourisme, des industries polluantes mais aussi de la part des techniques de pêches destructrices.

Quelques chiffres…

La Chine est le pays comptant le plus grand nombre de pêcheurs, avec 6 millions de professionnels recensés. 94 millions de tonnes de poisson sont pêchées annuellement à travers le monde. Selon les statistiques disponibles au ministère de la Pêche, la production totale de poisson s’élevait à environ 12 085 tonnes en 1999, dont 1 225 tonnes pour la pêche artisanale, contre 18 956 tonnes en 1994.

Source: Texte: Journée mondiale     Images: Scoop.it    Mer et Océan