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Hier et aujourd'hui . . .

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Ce que cette page vous réserve . . .

     

Les lectures bibliques des dimanches et jours de fête de l'année liturgique offrent un trésor dont la richesse est toujours actuelle.

De semaine en semaine, elles nous donnent l'occasion de faire de nouvelles découvertes.

La parole de Dieu devient alors signifiante et active dans nos vies et nous permet de rencontrer celui qui est lui-même Parole de Vie.

32è dimanche de l’année A – 2020

Le mot ‘recherche’ revient souvent dans les conversations, les publications, et les médias sociaux ne manquent pas de le mentionner aussi.
Il semble que la recherche est à l’ordre du jour – recherche d’information, de nouvelles techniques de production, de nouvelles méthodes d’enseignement, de nouveaux médicaments pour des maladies rares, et j’en passe.

Ne sommes-nous pas tous et toutes en recherche?
Recherche du conjoint idéal, recherche d’un emploi bien rémunéré, recherche… du bonheur, évidemment!

Certains, plusieurs – oui, plusieurs – sont à la recherche de… Dieu!
Toute une aventure que cette recherche de ce quelqu’Un qui fascine, qui attire, qui invite mais…
qui semble se dérober sans cesse.
Alors que nous tentons de le connaître, de comprendre son message, de découvrir ce qu’il désire,
de percevoir qui il est vraiment – nous avons l’impression que nos efforts n’aboutissent pas.
Nous demeurons toujours… à sa recherche.

Pourtant…
La 1ère lecture de ce dimanche (Sa.6:12-16) offre un message bien réconfortant en affirmant :

« La Sagesse se laisse trouver par ceux qui la cherchent.
Elle devance leurs désirs en se faisant connaître la première.
Celui qui la cherche dès l’aurore ne se fatiguera pas :
il la trouvera assise à sa porte. »

Dans l’Ancien Testament, la Sagesse représente Dieu lui-même.
Alors… il devient évident que notre recherche de Dieu n’est pas en vain –
en fait, c’est même lui qui est en attente de nous assis à notre porte, semble-t-il!

Le texte poursuit avec des paroles encore plus extraordinaires :

« La Sagesse va et vient à la recherche de ceux qui sont dignes d’elle ;
au détour des sentiers, elle leur apparaît avec un visage souriant ;
dans chacune de leurs pensées, elle vient à leur rencontre. »

Dieu, Dieu lui-même se fait présent et… nous sourit!
Encore une fois, il nous faut changer notre image de Dieu !

Note: Une autre réflexion est disponible en anglais sur un thème différent à: https://image-i-nations.com/32nd-sunday-of-year-a-2020/

 

Source: Image : Soleil de Lumière – Canalblog

Fête de la Toussaint, année A – 2020

Pour la célébration d’aujourd’hui, les textes du 31è dimanche de l’année A font place à ceux de la Fête de la Toussaint.

La 1ère lecture de cette fête (Ap.7:2-4,9-14) fait mention d’une grande multitude,
« une foule impossible à dénombrer,
une foule de toutes nations, tribus, peuples et langues. »

Ce texte du livre de l’Apocalypse (aussi appelé : Révélation) nous présente une vision,
la vision « des serviteurs de notre Dieu » qui ont atteint leur destination.
Aux 144,000 de ceux du peuple d’Israël, s’ajoutent tous les autres,
tous ceux et celles-là qui sont maintenant en présence de Dieu pour le louer et lui rendre gloire.

Ayant lu ce texte, j’ai soudain passé des statistiques bibliques à celles qui nous sont plus proches – celles du recensement de 2016 pour le Canada.
J’y ai découvert qu’à cette période il y avait plus de 7 million et demi de Canadiens nés dans des pays autres que le nôtre, soit 21.9 % – étonnante multiplicité et diversité!

J’ai alors voyagé en esprit jusqu’à un pays d’Afrique dont la population de quelques 45 millions était formée de plus de 123 ethnies dont les langues pouvaient être aussi différentes les unes des autres que le Français et l’Allemand!

C’est alors que la pensée m’est venue : tous ces gens sont appelés à être heureux, bienheureux, appelés à être… saints!
C’est précisément cela l’évangile – la BONNE nouvelle!

Jésus allait le proclamer sans contredit :

« Alors on viendra de l’orient et de l’occident, du nord et du midi,
Prendre place au festin dans le royaume de Dieu. » (Luc 13:29)

Osons-nous y croire vraiment?
Osons-nous en propager l’invraisemblable message ?!

 

Note: Une vidéo sur le thème de l’évangile est disponible à : https://image-i-nations.com/le-bonheur/

Une autre réflexion est disponible en anglais sur un thème différent à: https://image-i-nations.com/feast-of-all-saints-year-a-2020/

  

Source: Image : un.org   en.wikipedia.org.   slideshare

30è dimanche de l’année A – 2020

À la question : ‘Qu’est ce qui est essentiel dans la vie?’
chacun, chacune, aura sa réponse selon sa personnalité, son expérience, ses valeurs.

Mais à la question : ‘Qu’est ce qui est essentiel dans la vie chrétienne?’
nul besoin de réfléchir – la réponse est donnée pas Jésus lui-même.

Le texte de l’évangile de ce dimanche (Mt.22:34-40) nous livre ses paroles –
claires, précises, laissant nulle place pour le doute ou l’hésitation.

Les Pharisiens, toujours à l’affût d’une occasion pour prendre Jésus au piège,
lui posent cette question essentielle.
Leur Loi leur donnait déjà la réponse et de nombreux textes offraient des exemples
de ce qui était exigé d’un Juif fidèle.

La 1ère lecture de ce jour en fournit une illustration (Ex.22:20-26).
Dans la scène que présente le texte de l’évangile,
nous trouvons une question précise et une réponse qui l’est tout autant mais… avec un élément inattendu!
L’inattendu se révèle dans la précision du Maître :

« Le second lui est semblable. »

Aimer Dieu, de tout son être, cela semble l’évidence même.
Il est notre Créateur, celui qui nous comble de ses dons, celui qui veille sur nous et nous sauve.

Mais Jésus ose ajouter que ce ‘grand commandement’ a, dirait-on, une deuxième partie.Une deuxième section semblable à la première et qui est également essentielle.

La conclusion s’impose : aimer son prochain fait partie intégrante de l’amour que Dieu attend de nous.
Ce prochain – l’être humain que nous côtoyons, tout un chacun que nous rencontrons, oui,

  • faible
  • fragile
  • faillible

lui, elle, qui partage notre humanité, a droit à l’amour auquel Dieu a droit!
Lui qui un jour de notre histoire a revêtu cette humanité de faiblesse et de fragilité.

Nous célébrons précisément cela à Noël… pourquoi l’oublions-nous si souvent par la suite?…
Difficile? Certainement.
Exigeant? Définitivement – de ces exigences que Dieu seul peut nous demander… jour après jour.

Note: Une autre réflexion est disponible en anglais sur un thème différent à: https://image-i-nations.com/30th-sunday-of-year-a-2020/

 

Source: Image : Click Nova Olimpia

29è dimanche de l’année A – 2020

Encore une scène qui nous est familière (Mt.22:15-21) et qui, par certains aspects, captive notre attention.
Les Pharisiens dont la réputation est bien connue tentent de piéger Jésus.
Évidemment, nous connaissons le résultat de leur tentative mais le dialogue entre eux et le Maître a de quoi nous interpeler.

Les chefs religieux entament la conversation avec Jésus en lui adressant des compliments qui ont pour but de camoufler la raison de leur intervention.
Cette astuce est évidente et la réaction de Jésus prend ses interlocuteurs au dépourvu.
Ils ont, en fait, résolu le pseudo-problème qu’ils soumettent à Jésus puisqu’ils ont déjà en leur possession les pièces de monnaie à l’effigie de César!
 
L’auditoire de Jésus – tout ce groupe de gens de bonne volonté venus écouter son enseignement – doivent rire sous cape!
Mais la réponse de Jésus s’adresse également à nous avec son message toujours ponctuel :

« Rendez donc à César ce qui est à César,
et à Dieu ce qui est à Dieu. »

 
Certains objecteront que notre époque n’est plus soumise à César – ils ont raison.
D’autres pressentent qu’il y a là plus qu’une exhortation à payer taxes et impôts – ceux-là ont sans doute également raison.

Se pourrait-il qu’une traduction appropriée pour notre époque puisse s’exprimer ainsi :
Rendre à chacun/e ce qui lui revient – non pas quelque chose stipulé par une loi civile, ou même morale,
mais en vertu de leur humanité… et de la nôtre!
Ces choses si précieuses que sont la compréhension, la patience, la sympathie, l’aide dans le besoin, le pardon, etc.

Ce faisant, nous serons déjà sur le chemin pour rendre à Dieu ce qui lui revient puisqu’il s’identifie à chacun/e de ceux-là, le plus petit d’entre les siens(Mt.25:40).

 

Note: Une autre réflexion est disponible en anglais sur un thème différent à: https://image-i-nations.com/29th-sunday-of-year-a-2020/

 

Source: Image : Third Hour

28è dimanche de l’année A – 2020

Un texte étonnant, une affirmation audacieuse –
c’est ce que nous présente la 2è lecture de ce dimanche (Ph.4:12-14,19-20).

L’apôtre Paul ose dire avec l’assurance qui le caractérise :
 
« Je peux tout en celui qui me donne la force. »
 
Je fais une pause dans la lecture du texte et je répète : « Je peux tout… »
« Tout… » pas de limite, pas d’exception, pas de doute, pas d’hésitation –
une conviction qui inclut… TOUT, précisément!
Ce qui justifie une telle assurance, ce sont les paroles qui suivent :
« … en celui qui me donne la force. »
 
L’affirmation de Paul, que certains seraient tentés de qualifier d’arrogance, est naturelle pour lui.
Un jour il en avait donné la source en écrivant à son ami et disciple, Timothée :
« Je sais en qui j’ai mis ma foi. » (2 Tim.2:12)
Tout est là!
La foi peut affirmer de telles choses…
La foi peut oser de telles choses…
La foi peut… et non pas uniquement chez Paul.

Oui, la foi – la vraie – peut transformer une personne à ce point!
Puisque la transformation vient… de LUI…

 

Note: Une autre réflexion est disponible en anglais sur un thème différent à: https://image-i-nations.com/28th-sunday-of-year-a-2020/

 

Source: Image : Pinterest

27è dimanche de l’année A – 2020

Vol, violence, homicide – des détails de l’information quotidienne à la radio, la télé, ou les médias sociaux?
Oui, évidemment, mais en ce dimanche c’est un texte vieux de plus de 2000 qui rapporte de telles actions (Mt.21:33-43).
C’est Jésus lui-même qui les mentionne dans une parabole.

On définit parfois les paraboles comme ‘de petites histoires avec un message’.
C’est en effet ce que sont les paraboles.
Jésus les utilisait fréquemment pour faire passer son message d’une manière qui pouvait facilement rejoindre son auditoire.

Certain/es diront que le texte d’aujourd’hui n’est pas très édifiant, bien au contraire.
Mais il offre quand même un message significatif pour nous, oui, pour nous en ce 21è siècle.
En fait, c’est un message qui nous interpelle –
il nous invite à passer à un autre niveau que celui qui est évident.

Le texte nous présente des vignerons attaquant les serviteurs envoyés par le propriétaire du vignoble pour collecter ce qui lui est dû.
Tour à tour maltraités, les serviteurs perdent la vie les uns à la suite des autres.
Le fils du propriétaire envoyé lui aussi avec la même mission subira un sort identique.

Et le message dans tout cela?
« Le royaume de Dieu » sera enlevé à ceux qui prétendent en être maîtres (les chefs religieux qui réclament une telle prérogative, évidemment).
C’est le message que Jésus donne bien clairement ce jour-là.

Et le message demeure le même aujourd’hui :
le royaume de Dieu n’est pas quelque chose que l’on possède, que l’on gagne, que l’on s’approprie avec force ou astuce.

Il est un don, il est plus exactement l’œuvre de Dieu lui-même par son Esprit qui nous habite et nous transforme en citoyens du royaume.
Cette nouvelle identité nous est conférée si nous permettons à l’Esprit de nous façonner à l’image du Fils.
De vignerons indignes, nous devenons héritiers privilégiés!
 

Note: Une autre réflexion est disponible en anglais sur un thème différent à: https://image-i-nations.com/27th-sunday-of-year-a-2020/

 

Source: Image : A CHRISTIAN PILGRIMAGE – WordPress.com

26è dimanche de l’année A – 2020

Un ‘Non’ qui se change en ‘Oui’… et un ‘Oui’ qui se change en ‘Non’…
Une tranche de notre vie quotidienne, pourrait-on dire.
C’est pourtant la scène, vieille de 2000 ans, que nous présente l’évangile de ce dimanche (Mt.21:28-32).

C’est justement ce que réalisent les textes de l’évangile : ils sont comme un miroir de notre expérience.
Mais ils sont davantage : ils nous révèlent le visage de celui dont nos vies doivent être l’imitation.

Le message au cœur de cette parabole apparaît clairement dans la question que Jésus pose à ses interlocuteurs :

« Lequel des deux a fait la volonté du père ? »
 
C’est précisément ce que Jésus attend de nous, ses disciples.
Il a affirmé :

« Ma nourriture est de faire la volonté de celui qui m’a envoyé. » (Jn.4:34)
 
Nous devons faire nôtre cette ‘nourriture’…
Changer le ‘Non’ que nous avions prononcé peut-être sans réfléchir, ou… manquant de générosité…
Et prononcer un ‘Oui’ d’engagement et de fidélité à ce que le Père attend de nous.

C’est aussi simple que cela vivre l’évangile, mais… combien exigeant parfois!…

Note: Une autre présentation sur ce thème est aussi offerte en format blogue à :  https://image-i-nations.com/les-mots-quelle-pouvoir/

Une autre réflexion est disponible en anglais sur un thème différent à: https://image-i-nations.com/26th-sunday-of-year-a-2020/

 

Source: Image : Chrétiens d’Europe – Centerblog

25è dimanche de l’année A – 2020

Il arrive que quelqu’un explique qu’il ou elle n’a pas fait ce qui avait été projeté en disant :
« J’ai changé d’idée. »
Changer d’idée, c’est assez fréquent et chacun/e de nous le fait parfois.

Mais changer ses opinions, cela est plus rare, et changer ses convictions devient encore moins commun.
Pourtant, les événements nous invitent parfois à le faire.
Et davantage encore, Dieu parfois l’attend de nous!

MAIS… la tâche est plus que difficile et parfois nous préférons ne pas considérer le changement.
Nous nous sentons ‘très bien, merci’ avec les idées qui nous sont familières et les convictions acquises chèrement, peut-être.
Mais la parole de Dieu dans la 1ère lecture (Is.55:6-9) ne cesse de nous interpeler:

« Mes pensées ne sont pas vos pensées. »
 
Il nous faut donc ajuster nos pensées à celles de Dieu…
Et cela dans bien des situations et pour bien des réalités.

La parabole de Jésus dans l’évangile de ce dimanche (Mt.20:1-16) nous en donne un exemple.
Sa pensée à lui – celle de Dieu, évidemment – sur la justice ne ressemble pas beaucoup à la nôtre…
Nous croyons savoir ce qui est juste, ce qui est approprié, la façon qui convient de traiter les gens.
Les lois du commerce et de l’entreprise dictent que l’on ne donne pas le même salaire à celui qui ne travaille qu’une heure alors qu’un autre a peiné la journée entière – ça va de soi, dirait-on!

Et pourtant, oserions-nous accuser Jésus de manquer de justice?
Serait-ce que pour lui la justice, la vraie, peut… devrait, être imprégnée de compassion?
Jésus est venu nous faire connaître ce Dieu – ce Père de « miséricorde, riche en pardon »,
un père dont la justice est miséricordieuse.

Alors, oui vraiment, il nous faut… changer d’idée!

Note: Une autre réflexion est disponible en anglais sur un thème différent à: https://image-i-nations.com/25th-sunday-of-year-a-2020/

  

Source: Image : Leaderonomics.com

24è dimanche de l’année A – 2020

Si on me demande ce que je trouve le plus difficile pour vivre comme le Christ, je n’ai aucune hésitation à répondre : PARDONNER.
Et pardonner selon son critère à LUI : ‘du fond du cœur!’
C’est ce que le texte de l’évangile de ce dimanche nous rappelle très clairement (Mt.18:21-35).

Cette exigence pour plaire à Dieu ne date pourtant pas du temps de Jésus –
elle remonte loin dans l’histoire du peuple de Dieu.

La 1ère lecture d’aujourd’hui (Si.27:30 – 28:7) le démontre en ces termes :

 

« Pardonne à ton prochain le tort qu’il t’a fait;
alors, à ta prière, tes péchés seront remis.
Si un homme nourrit de la colère contre un autre homme,
comment peut-il demander à Dieu la guérison ?
S’il n’a pas de pitié pour un homme, son semblable,
comment peut-il supplier pour ses péchés à lui ? 

C’est clair, précis et exigeant au-delà de ce qu’on se sent capable de donner.
Par-donner – c’est justement donner par-dessus le don qu’on est prêt à offrir.

L’apôtre Pierre s’estimait sans doute généreux en étant prêt à pardonner sept fois,
c’est beaucoup, beaucoup plus que bien des gens consentiraient à faire…
Et voilà que Jésus répond avec un chiffre fabuleux : 70 fois 7 fois –
et il n’est pas question ici de mathématique!
Ce nombre traduit le mot… toujours!

Qui peut le faire?
Certaines personnes au cœur généreux et de nature héroïque? Sans doute.
Mais pardonner est une exigence qui s’adresse à chacun/e de nous…

Y a t-il une solution? J’en ai trouvé une que j’emploie au besoin…
Demander à Dieu de transmettre à travers nous son pardon à lui !

 

Note: Une autre réflexion est disponible sur un thème différent en anglais  à: https://image-i-nations.com/24th-sunday-of-year-a-2020/

 

Source: Images: hope1032.com.au  C’est quoi le bonheur pour vous

23è dimanche de l’année A – 2020

Des responsabilités, nous en avons tous et toutes, il semble que notre vie en soit remplie.
Les exigences de notre rôle comme conjoint, parent, enfant, ami/e, voisin/e, membre de différents groupes, etc., sont multiples et parfois nous les trouvons bien lourdes.

Et voilà que les lectures de ce dimanche nous ramènent précisément à cela : notre responsabilité comme chrétien/ne.
La 1ère lecture (Ez.33:7-9) nous rappelle que nous devons être un guetteur, autrement dit, nous devons nous préoccuper de nos frères et sœurs.

L’évangile, lui, (Mt.18:15-20) détaille comment nous devons procéder pour ‘gagner un frère’ (une sœur) – une procédure par étapes, si on veut.

Les consignes générales devront évidemment être adaptées aux situations concrètes et aux personnes concernées.
Mais la directive reste la même : nous ne pouvons pas rester indifférent/es, il faut s’engager positivement.

« À toi, je demanderai compte », dit Dieu.

C’est sérieux, c’est exigeant, on ne peut y échapper… si on veut marcher à la suite du Christ.

Note: Une autre réflexion est disponible en anglais sur un thème différent à: https://image-i-nations.com/23rd-sunday-of-year-a-2020/

 

Source: Image: Unsplash