Les défenseurs des animaux organisent plusieurs journées chaque année pour défendre les animaux en général (le 4 octobre) et certaines éspèces particulièrement menacées (notamment le tigre chaque 19 juillet). C’est aujourd’hui le rhinocéros qui nous occupe et il est vrai que la situation de l’espèce n’est pas brillante.
De multiples convoitises
Le rhinocéros est principalement convoité pour la corne qu’il porte sur le « nez ». On lui prête (à tort) des vertus aphrodisiaques dans plusieurs cultures, ce qui fait qu’il est traqué à outrance par les braconniers.
La chasse au rhinocéros est interdite dans de nombreux pays mais il subsiste quelques zones où elle semble toujours tolérée. Et pourtant…
Une situation alarmante
L’éspèce est menacée partout dans le monde et une réction rapide et ferme des pays concernés doit absolument avoir lieu pour stopper la disparition du rhinocéros.
Il ne reste plus aujourd’hui que 4 rhinocéros blanc du nord vivants sur le planète.
La maladie d’Alzheimer est une maladie neurodégénérative chronique qui détruit les cellules cérébrales, ce qui provoque, avec le temps, une détérioration de la mémoire et des capacités de réflexion. La maladie d’Alzheimer ne fait pas partie du processus normal de vieillissement et elle est irréversible.
La maladie d’Alzheimer en tant que maladie grave et prévalente n’a été identifiée que depuis peu
La maladie d’Alzheimer existe depuis le début de l’histoire humaine. Cependant, notre compréhension de la maladie n’est que relativement récente :
Au cours des 100 dernières années : la maladie d’Alzheimer a été formellement identifiée et nommée.
Au cours des 50 dernières années : nous avons effectué des avancées importantes pour reconnaître l’impact de la maladie d’Alzheimer et nous nous sommes engagés àdécouvrir des traitements et un remède.
Au cours des 20 dernières années : nous avons adopté plus de mesures pour combattre la stigmatisation entourant la maladie et soutenir les personnes atteintes, les familles et les proches aidants.
Beaucoup de progrès ont été réalisés, mais il reste encore beaucoup à faire.
La maladie d’Alzheimer est le trouble neurocognitif le plus répandu
La maladie d’Alzheimer est le trouble neurocognitif le plus répandu. Il représente entre 60 et 80 % de tous les diagnostics.
Il est toutefois inexact de dire que si une personne est atteinte d’un trouble neurocognitif, elle est alors atteinte de la maladie d’Alzheimer; inversement, il est inexact de dire que tous les troubles neurocognitifs sont une forme de la maladie d’Alzheimer.
Source: Texte: Société d’Alzhiemer Image: Centre Universitaire de santé McGill
L’Assemblée générale des Nations Unies, dans sa résolution 55/282 , en date du 7 septembre 2001, a décidé que la Journée internationale de la paix serait observée chaque année le 21 septembre.
L’Assemblée générale a déclaré que la Journée internationale de la paix serait une journée mondiale de cessez-le-feu et de non-violence, pendant la durée de laquelle toutes les nations et tous les peuples seraient invités à cesser les hostilités. Elle a engagé les États Membres, les organismes des Nations Unies, les organisations régionales et non gouvernementales et les particuliers à célébrer comme il convient la Journée internationale de la paix, y compris au moyen d’activités d’éducation et de sensibilisation, et à oeuvrer, de concert avec l’Organisation des Nations Unies, à l’établissement d’un cessez-le-feu mondial.
Chaque année, l’ONU propose un thème et pour 2021, l’instance mondiale nous invite à réfléchir sur le projet d’un monde durable et équitable…
Se relever, pour un monde plus équitable et durable
En 2021, alors que nous essayons de guérir de la pandémie de COVID-19, nous sommes invités à réfléchir de manière créative sur la meilleure façon d’aider tout le monde à mieux se rétablir, à devenir plus résilient et sur comment transformer notre monde en un monde plus égalitaire, plus juste, équitable, inclusif, durable et plus sain.
La pandémie est connue pour avoir frappé le plus durement les groupes défavorisés et marginalisés. Jusqu’à présent (avril 2021), plus de 687 millions de doses de vaccin de COVID-19 ont été administrées dans le monde, mais plus de 100 pays n’ont pas encore reçu une seule dose. Les personnes en zones de conflit sont particulièrement vulnérables en termes de manque d’accès aux soins de santé.
[…] Nous vous invitons à vous joindre aux efforts des Nations Unies alors que nous nous efforçons de mieux nous redresser pour un monde plus équitable et plus pacifique. Célébrez la paix en luttant contre les actes de haine, y compris ceux en ligne, et en répandant la compassion, la gentillesse et l’espoir, afin de combattre cette pandémie et de guérir, ensemble.
Vous avez bien lu, il n’y a pas de coquille, nous parlons bien de la Journée internationale de la bibliodiversité, qui a été lancée en 2010 par un groupe d’éditeurs indépendants implantés en Amérique latine.
Elle est en principe célébrée chaque 21 septembre dans des pays du monde entier… et fait référence à la diversité culturelle appliquée au monde du livre.
Bibliodiversidad
Elle fait écho, bien entendu, à la biodiversité, et le nom de bibliodiversité serait apparu pour la première fois au Chili, dans les années 1990. Prononcer « bibliodiversidad » !
C’est l’alliance internationale des éditeurs indépendants qui a ensuite contribué à sa promotion et sa diffusion dans plusieurs langues (Espagnol, Français, Anglais, Arabe, et Italien). Elle réunit aujourd’hui 85 maisons d’édition indépendantes et de nombreux collectifs d’éditeurs dans 45 pays. Sa mission est d’encourager et de soutenir l’accès et la diffusion des œuvres et des idées dans le monde entier.
En 2015, la FISU (Fédération internationale des sports universitaires) a proposé à l’Unesco de reconnaître officiellement une journée consacrée au sport universitaire. Ce qui au départ aurait pu passer pour un plaidoyer pro domo d’une fédération est devenue un véritable engagement.
La Fisu en a rêvé, l’Unesco l’a promulguée…
les États membres ont approuvé cette proposition lors de leur 38ème session, qui se tenait à Paris, en novembre 2015.
Le 20 septembre a été déclaré Journée internationale du sport universitaire, avec une date proche du début d’année académique dans de nombreux pays. Historiquement, cette date est aussi celle qui avait vu se dérouler les premiers Championnats du Monde des étudiants qui ont eu lieu en… 1924.
Pourquoi une journée spécifique ?
La Fédération Internationale du Sport Universitaire est composée de 167 fédérations sportives universitaires nationales et représente plusieurs centaines d’établissements d’enseignement supérieur. Elle a souhaité attirer l’attention du grand public sur le rôle clé que peuvent jouer les universités pour relever les défis du quotidien, non seulement en termes d’acquisition et de transmission des connaissances, mais aussi en termes de politique sociale et économique aux niveaux local, national et international.
Allez, du balai, aujourd’hui c’est nettoyage. Et pas n’importe lequel, c’esl la journée mondiale du nettoyage.
World Clean Up Day
Malgré un nom très anglo-saxon, il semblerait que l’origine de cette journée soit estonienne. Oui, vous avez bien lu. L’Estonie, petit pays balte comptant seulement 1.3 millions d’âmes, agit concrètement pour la planète…
La journée mondiale du nettoyage s’est inspirée de l’action « Let’s Do It! », née donc en Estonie. Cette journée promet aussi de devenir un des événements internationaux les plus marquants parmi tous ceux ceux qui marqueront le centenaire de cette république.
Remontons nos manches
La Journée mondiale du Nettoyage a été lancée en septembre 2018 dans 150 pays tout autour du monde. Pour 2021, la date retenue est le 18 septembre et les organisateurs escomptent une participation encore plus massive. Chacun est donc appelé, quelle que soit sa nationalité ou son lieu de résidence, à se remonter les manches et à se joindre à l’effort commun !
Non seulement cela renforcera sa conscience citoyenne mais la planète s’en trouvera certainement beaucoup plus propre.
Une nouvelle pratique, le plogging
Associer plaisir et ramassage des déchets, c’est l’idée de cette nouvelle pratique « sportive » qui associe la course à pieds et le ramassage des déchets. On pourrait aussi l’appeler le « courir utile » en forme de clin d’oeil à l’attention de tous ceux qui ne comprennent pas le plaisir qu’on peut avoir à courir [ndlr: sans ramasser de déchets] …
Les informaticiens l’appellent la « SFD », ce qui veut en réalité dire « Software Freedom Day ». Vous l’aurez compris, cette journée de célébration en l’honneur du logiciel libre est d’origine anglo-saxonne…
Cette journée est en principe célébrée le 3ème samedi de septembre, ce qui -en 2021- donne le samedi 18 septembre.
Open source
La journée mondiale du logiciel libre est célébrée dans de nombreux pays répartis sur toute la planète et concerne tout particulièrement le monde du logiciel « Open Source ».
L’objectif de cette journée est de sensibiliser le grand public aux bénéfices qu’il peut tirer de l’utilisation de logiciels libres de qualité dans les domaines de l’éducation, au bureau, à la maison, et même dans les instances gouvernementales, … en quelque sorte, partout !
Conseillés par l’état
Peut-être est-ce une mission réglienne… mais en tous cas l’état s’est cru obligé de nous conseiller dans le choix nos logiciels libres. Découvrez-les, il y a quelques pépites.
La démocratie et les Nations Unies La Journée internationale de la démocratie est l’occasion de réexaminer l’état de la démocratie dans le monde. La démocratie est un processus autant qu’un objectif, et seule la pleine participation etl’appui de la communauté internationale, des organes de gouvernance nationaux, de la société civile et des individus, permettront de faire de l’idéal démocratique une réalité universelle.
La liberté, le respect des droits de l’homme et le principe de la tenue d’élections honnêtes et périodiques au suffrage universel sont des valeurs qui constituent des éléments essentiels de la démocratie. A son tour, la démocratie devient un environnement naturel pour la protection et la réalisation effective des droits de l’homme. Ces valeurs sont incarnées par la Déclaration universelle des droits de l’homme et développées plus avant dans le Pacte international relatif aux droits civils et politiques qui consacre toute une série de droits politiques et de libertés civiles qui sont les piliers d’une véritable démocratie.
Le lien entre la démocratie et les droits de l’homme est clairement défini dans l’article 21(3) de la Déclaration universelle des droits de l’homme :
« La volonté du peuple est le fondement de l’autorité des pouvoirs publics; cette volonté doit s’exprimer par des élections honnêtes qui doivent avoir lieu périodiquement, au suffrage universel égal et au vote secret ou suivant une procédure équivalente assurant la liberté du vote. »
Les droits inscrits dans le Pacte international relatif aux droits économiques, sociaux et culturels et les instruments subséquents relatifs aux droits de l’homme portant sur les droits des groupes (par exemple les peuples autochtones, les minorités, les personnes handicapées) sont tout aussi essentiels à la démocratie car ils garantissent une répartition équitable de la richesse et un accès égal et juste aux droits civils et politiques.
Source: Texte: ONU Image: Le personnel électoral colle une affiche à l’entrée d’un bureau de vote de Khartoum, au Soudan, lors du 1er jour des élections nationales (2010). Photo ONU/Mohamed Siddig
Le courage est mis à l’épreuve quand on est dans la minorité, la tolérance est mise à l’épreuve quant on est dans la majorité.
Le choix de la date du 15 septembre pour célébrer cette journée a été effectué par l’Organisation des Nations Unies et correspond à l’adoption, en septembre 1997, de la Déclaration universelle sur la démocratie.
Cette Déclaration pose les principes constitutifs d’une démocratie et définit les caractéristiques et les fonctions d’un gouvernement démocratique.
Photo: le parlement anglais (débat sur le Brexit, septembre 2019
A priori, nous en sommes en face d’une journée mondiale très improbable… et pourtant elle existe vraiment.
Une journée mondiale russe
L’origine de cette journée mondiale est russe et elle est fixée au 256ème jour de l’année*. Ce qui fait que la journée est fixée au 13 septembre, sauf les années bissextiles…
Chacun aura immédiatement remarqué que 256 est une puissance de 2 (28 très exactement) et que c’est même la plus grande puissance de 2 qui soit inférieure au nombre de jours dans une année…
Pour arriver ensuite à la journée mondiale, il faut revenir au Russe Valentin Balt, alors employé par une entreprise de développement internet, qui a lancé (en 2002) une pétition au gouvernement pour demander que soit accordé un jour de congé à tous les développeurs.
Jour de congé
Le plus étonnant est qu’il ait obtenu gain de cause et qu’en 2009, le ministère russe de la culture et de la communication de masse (cela ne s’invente pas) fasse le nécessaire pour la création d’un tel jour.
En 2009, le président de la fédération de Russie, Dmitry Medvedev signa le décret, officialisant le jour de congé des programmeurs, chaque 256ème jour de l’année.
Par chance, cette journée n’a pas été imitée dans les autres pays.
* c’est le calendrier Grégorien qui a servi de référence pour déterminer le jour en question et non le calendrier Julien (utilisé par les orthodoxes). Rappelons que la Russie a adopé le calendrier grégorien en 1918. Un hommage (involontaire) au Pape.
Par la résolution du 23 décembre 2003, l’assemblée générale des Nations Unies avait décidé de proclamer le 19 décembre Journée pour la coopération Sud-Sud.
Le plan d’action de Buenos Aires
Le choix de la date du 19 décembre pour commémorer cette journée revêtait une signification toute particulière, car elle venait en complément au « Plan d’action de Buenos Aires » adopté le 19 décembre 1978 pour promouvoir la coopération technique entre les pays en voie de développement. Cette date du 19 décembre, consacrée à la coopération Sud-Sud, devait donc s’inscrire en dur dans les annales de notre institution internationale.
L’assemblée générale a demandé à tous les organismes compétents des Nations Unies et aux institutions multilatérales de redoubler d’efforts en vue d’intégrer effectivement la coopération Sud-Sud dans la conception, l’élaboration et l’exécution de leurs programmes ordinaires et d’envisager d’accroître les ressources humaines, techniques et financières allouées aux initiatives relatives à la coopération Sud-Sud.
Depuis 2012, une nouvelle date
Selon la décision 66/550 de l’ONU, la date de cette Journée des Nations Unies a été modifiée et est célébrée non plus le 19 décembre mais le 12 septembre de chaque année à compter de 2012. Vous suivez ?