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De ceci... de cela...

Sous cette rubrique vous trouverez des mots, des idées, des propos, des pensées

se voulant une avenue pour aider à réfléchir, à découvrir, à franchir - peut-être -

une nouvelle étape vers... ce que vous désirez, espérez, anticipez!

Journée internationale de la solidarité humaine – 20 décembre

Dans notre calendrier, cette journée a remplacé la journée mondiale de l’humanisme suggérée à l’origine par l’association des professeurs de lettres classiques du Sénégal (en 2012), mais qui trouvait difficilement son écho dans les médias.
La journée internationale de la solidarité humaine a été décrétée par l’ONU en 2006 (résolution A/RES/60/209), ce qui – si cela ne la rend pas populaire – lui donne au moins une existence « officielle ».

L’ONU et la solution de solidarité

Le concept de solidarité a guidé le travail des Nations Unies depuis la naissance de l’organisation. L’ONU a en effet été fondée sur la base du principe de sécurité collective entre nations qui s’appuie sur la solidarité entre ses membres en vue de « maintenir la paix et la sécurité internationales ».

Dans la Déclaration du Millénaire, adoptée par les États Membres en l’an 2000, la solidarité est définie comme étant l’une des valeurs fondamentales des relations internationales au XXIe siècle… on mesure combien est grande la distance entre le souhait et la réalité !

Les textes onusions l’affirment: « ceux qui souffrent ou qui sont particulièrement défavorisés méritent une aide de la part des privilégiés ».

La Journée internationale de la solidarité humaine a été voulue pour nous rappeler l’importance de la solidarité dans les objectifs internationaux, les programmes d’action et les accords multilatéraux.

Plaidoyer pour la solidarité humaine

(Les paroles du Pape François dans) cet extrait de Fratelli Tutti mérite qu’on s’y arrête un instant : « L’isolement et le repli sur soi ou sur ses propres intérêts ne sont jamais la voie à suivre pour redonner l’espérance et opérer un renouvellement, mais c’est la proximité, c’est la culture de la rencontre. Isolement non, proximité oui. Culture de l’affrontement non, culture de la rencontre, oui ».

Un site à visiter : www.un.org       Source: Texte & Image: Journée mondiale

Journée nationale de prière en solidarité avec les peuples autochtones – 12 décembre 2021

 

Source: Texte:Éditions de la CECC  Canada’s History, St. Kateri Tekakwitha, Kahnawake

 

Journée mondiale des enfants partis trop tôt – 12 décembre 2021

Journée mondiale des enfants partis trop tôt.

En 2004, le sénat des Etats-Unis d’Amérique a unanimement voté la résolution 436, qui prévoit que le 2éme dimanche du mois de décembre devient officiellement une journée mondiale commémorative des enfants décédés. Outre atlantique, leur action est connue sous le vocable « The Compassionate Friends« .

Lors de la première édition, c’est à dire le 12 décembre 2004 à 19 heures précises, les communautés à travers le monde se sont associées aux « Amis Compatissants » en allumant une bougie pendant une heure.

Une bougie pendant une heure

Dés le début, plusieurs pays se sont joints à l’initiative et on retrouve notamment parmi eux le Canada, l’Allemagne, le Porto-Rico, la Thailande, le Royaume-Uni. La France a rejoint le mouvement un peu plus tard et, depuis lors, cette date est régulièrement célébrée dans de très nombreux pays.

En 2021, cette journée se déroule le dimanche 12 décembre.

Un site à visiter : www.familles-deuil-enfant.fr   Source: Texte & Image: Journée mondiale

Journée Mondiale des Nations Unies contre la corruption – 9 décembre

Les Nations Unies lancent une nouvelle Convention mondiale contre la corruption le 9 décembre, désormais Journée internationale de lutte contre la corruption. Elle établit de nouvelles normes et constitue une avancée considérable en matière de recouvrement des avoirs illicites envoyés à l’étranger. Mais son succès exige une volonté politique et un engagement à faire le suivi de sa mise en œuvre.

La Convention des Nations Unies contre la corruption, ouverte à la signature dès décembre 2003 à Mérida, Mexique, est une étape importante dans l’effort international pour combattre la corruption, selon Transparency International, principale organisation non gouvernementale internationale se consacrant à la lutte contre la corruption. La cérémonie de signature de la Convention, le 9 décembre, date récemment adoptée comme journée internationale anti-corruption par l’Assemblée générale de l’ONU, est le résultat de 3 ans d’efforts de 129 pays pour agir contre la corruption au niveau mondial.

Faciliter les poursuites judiciaires

La convention de l’ONU prévoit l’instauration d’un système d’assistance juridique mutuelle qui devrait faciliter les poursuites judiciaires dans les cas de corruption transfrontalières. Les cas de corruption internationaux où des autorités judiciaires persevérantes ont obtenu des résultats après des années d’efforts restent rares. Beaucoup plus fréquement en effet sont les cas abandonnés parce que le manque de coopération avec l’étranger rendait quasiment impossible toute tentative de remonter la piste de l’argent.

La convention de l’ONU suscite également l’espoir que des fonds transférés à l’étranger par des chefs d’Etat corrompus (les accusations les plus connues ont été portées contre messieurs Abacha, Taylor, Mobutu, Fujimori, Bhutto et Suharto) pourront être restitués aux pays d’où ils ont été pillés et employés pour améliorer le bien-être du peuple.

Bien que la Convention des Nations Unies ouvre de grandes perspectives, elle ne prévoit pas de processus qui garantisse l’efficacité de sa mise en œuvre. L’expérience des autres conventions anti-corruption, y compris celles de l’OCDE, du Conseil de l’Europe, et de l’Organisation des États américains, a clairement démontré que les procédures de mise en oeuvre étaient essentielles pour s’assurer que les promesses diplomatiques se transforment en une action gouvernementale efficace contre la corruption.

Une convention profondément amputée…

Au cours des 3 années de négociations, d’autres dispositions de la Convention des Nations unies ont aussi été édulcorées : un article important, qui exigeait des Etats-parties qu’ils prennent des mesures sur la transparence et l’obligation de rendre compte au niveau du financement des partis politiques, a été remplacée par une disposition facultative presque insignifiante. Une autre disposition appelant les Etats à criminaliser les pots-de-vin dans le secteur privé a, elle aussi été rendue facultative. Cependant, l’inclusion de la corruption au sein du secteur privé dans le texte, en dépit de l’absence d’un consensus concernant des dispositions impératives spécifiques, a au moins eu pour conséquence que la corruption d’entreprise est un sujet de préoccupation majeur au niveau mondial.

Transparency International qui a participé à toutes les sessions de négociation, s’engage à soutenir le développement d’un processus efficace de suivi de la Convention des Nations Unies. TI et ses quatre-vingt-dix sections nationales présentes dans le monde entier ont une grande expérience de la mise en œuvre des conventions existantes.  » Etablir un mécanisme efficace et constructif pourrait prendre du temps,  » a expliqué Peter Rooke,  » mais TI se réjouit d’avoir la possibilité de contribuer à ce processus. « 

« La tâche la plus importante est dorénavant d’exhorter les Etats à ratifier la Convention aussi vite que possible, afin qu’elle devienne un instrument opérationnel et juridiquement opposable aux Etats parties.  » La Convention requiert le dépôt de 30 instruments de ratification pour pouvoir entrer en vigueur. Cependant, l’impact qu’aura la Convention sur le combat contre la corruption dépendra de sa mise en œuvre efficace ainsi que de son application par un grand nombre d’Etats. « 

Prendre conscience et agir

« Comme instrument mondial de lutte contre la corruption, la Convention donne une occasion unique de créer une prise de conscience publique et d’augmenter l’engagement à lutter contre la corruption  » a déclaré Rooke.  » Cela inclut la sensibilisation sur les conséquences tragiques de la corruption, ainsi que sur l’existence de mesures qui peuvent être prises pour la limiter. La Convention est la preuve d’un engagement mondial, et fournit aux citoyens du monde entier une base à partir de laquelle ils pourront s’assurer que leurs gouvernements respectifs mettent leurs projets à exécution.  » TI se réjouit donc de l’inclusion dans la résolution de l’Assemblée Générale sur l’adoption de la Convention de la décision de retenir le 9 Décembre comme Journée internationale anti-corruption.

Un site à visiter : www.oecd.org   S0urce: Texte & Image: Journée Mondiale         2è Images: share.america.gov

Journée Mondiale du Climat – 8 décembre

Y’a plus d’saisons ma bonne dame… à l’initiative de plusieurs associations écologiques de France et de Belgique, nous célébrons, le 8 décembre, la journée mondiale du climat (ou journée mondiale contre le changement climatique).

Réchauffement climatique

Il ne se passe pas une semaine sans qu’on nous parle du réchauffement climatique et des conséquences qu’il fait peser sur l’avenir de la planète. Il est vrai que la situation que nous vivons actuellement est grave et que les quelques mesurettes prises ici ou là ne sont pas là d’endiguer le phénomène.

Ceci dit, en climatologie comme ailleurs, la simplification à outrance n’aide pas vraiment la réflexion et une étude de la planète sur une très longue période fait apparaître une alternance de périodes chaudes et glaciaires ayant toutes eu des conséquences très importantes sur la survie de nombreuses espèces animales…

Ce qui change aujourd’hui, c’est que la puissance d’action de l’homme s’est considérablement accrue tout au long du siècle dernier, ne serait-ce que par l’augmentation de la population (nous sommes passés de 1 milliard d’humains sur terre en 1900 à plus de 7 milliards aujourd’hui). Au rythme où nous exploitons les richesses de notre terre, il nous en faudrait au moins 3 pour espérer survivre longtemps…

Il est urgent de prendre conscience que la terre ne nous appartient pas et que nous en sommes comptables auprès des générations qui nous suivront !

Des sites à visiter

Nous avons recherché des sites environnementaux qui nous paraissaient donner des informations fiables et nous vous proposons de les visiter (leurs contenus restant sous la responsabilité de leurs auteurs) .

Un site à visiter : uicn.fr    Source: Texte & Image: Journée Mondiale    2è image: NEPCO

Journée Internationale de l’aviation civile – 7 décembre 2021

Journée Internationale de l'aviation civile

Le 6 décembre 1996, l’Assemblée générale de l’ONU a proclamé le 7 décembre Journée de l’aviation civile internationale et a prié instamment les gouvernements ainsi que les organisations intergouvernementales, internationales, régionales et nationales concernées de prendre les mesures voulues pour observer cette journée (résolution 51/33).

Cette journée a été proclamée en 1994 par l’Assemblée de l’Organisation de l’aviation civile internationale (OACI), institution spécialisée des Nations Unies, pour mettre en évidence l’importance de l’aviation civile internationale et contribuer à sa promotion.

La célébration de cette journée a été observée pour la première fois le 7 décembre 1994, date du cinquantième anniversaire de la signature de la Convention sur l’aviation civile internationale portant création de l’OACI.

Une journée à contre courant ?

A l’heure où il est de bon temps de faire son « bilan carbone » avant tout déplacement, il est intéressant de noter que cette journée veut nous fait réflechir aux progrès apportés à la communauté internationale par les déplacements aériens.

Le monde de l’aviation n’est pas non plus insensible à ces problématiques et les avions les plus récents (par exemple l’Airbus A320 NEO, photo ci-contre) ont, en utilisant de plus en plus de matériaux composites, considérablement réduit leurs consommations au passager transporté !

Un site à visiter : www.icao.int    Source: Texte & Image: Journée Mondiale

Journée mondiale des sols – 5 décembre

On n’y pense pas suffisamment, mais savons-nous ce que nous devons à ce sol qui nous porte, nous supporte, nous nourrit ? C’était l’occasion ou jamais de décreter une journée mondiale consacrée aux sols.

Fort curieusement, on associe cette journée du 5 décembre à la date anniversaire de Sa Majesté le Roi de Thaïlande… il faut dire que la journée a été promulguée par l’Union Internationale de la Science du Sol (IUSS) lors de son 17ème congrès mondial qui se tenait précisément à Bangkok en août 2002. Le Roi de Thaïlande est par ailleurs connu pour ses nombreuses actions pour promouvoir la science des sols ainsi assurer leur protection.

En 2015, ce fût l’année internationale des sols

Cette décision a été prise par les Nations Unies. Elle vise principalement à rappeler l’importance des sols dans l’alimentation de la population mondiale et mettre en évidence d’autres fonctions, hydrologiques, protection de la biodiversité, ou en rapport avec le stockage du carbone.

Un site à visiter : www.lajourneemondialedessols.org   Source: Texte & Image: Journée Mondiale

Journée internationale des banques – 4 décembre

Mmenfin… ils sont tombés sur la tête chez Journée Mondiale ?

lls se sont définitivement rangés sous le joug de la finance mondiale ?

Eh non, pas du tout, la journée internationale des banques existe bel et bien et elle a été promulguée par l’ONU (résolution 74/245) le 19 décembre 2019 !

Développement multilatéral

Une petite explication s’impose. Les Nations Unies ont voulu, en choisissant le 4 décembre pour célébrer cette journée, reconnaître (et encourager) le rôle incontournable des banques dans les projets de développement multilatéraux et dans le développement durable.

Réduite l’extrême pauvreté

« La mondialisation et les changements technologiques ont contribué à réduire l’extrême pauvreté à l’échelle mondiale, mais la répartition inégale des avantages a laissé de nombreuses personnes à l’écart de ce progrès et miné le soutien à la cohésion mondiale ».

Un site à visiter : www.un.org    Source: Texte & Image: Journée Mondiale

Journée mondiale de la générosité – 30 novembre 2021

Journée mondiale de la générosité

Le nom complet de cette journée est « Journée Mondiale de la générosité et de la solidarité ». Elle est aussi connue sous le nom « Giving Tuesday », dévoilant ainsi son origine Nord-Américaine.

Le nom fait référence au mardi qui suit Thanksgiving. Il s’agit d’un mouvement de charité au début des fêtes de fin d’année. La première édition semble avoir été 2012 aux USA.

La première édition en France s’est déroulée le 27 novembre 2018 et a rencontré un grands succés. Plus de 300 projets ont pu être menés à bien par 180 partenaires mobilisés partout en France.

A l’Institut Pasteur de Lille…

Les exemples concrets d’action initiées dans le cadre de cette journée sont nombreux et comme nous ne pouvons pas parler de toutes les initiatives, nous en avons choisi une.

L’Institut Pasteur de Lille est une fondation de recherche reconnue d’utilité publique dont l’objectif est d’élaborer les traitements de demain contre certaines maladies : cancer, maladie d’Alzheimer, maladies cardiovasculaires, diabète, etc…

Comme le dit la sagesse populaire, la santé de tous n’a pas de prix, mais la recherche a un coût !

Chacun est invité à soutenir les actions de l’Institut en diffusant les visuels présentés au sein d’un kit de communication comportant un mode d’emploi et différents supports à imprimer pour agrémenter ses photos.

 

Un site à visiter : givingtuesday.fr    Source: Texte & Images: Journée Mondiale

Journée Internationale de solidarité avec le peuple palestinien – 29 novembre

Journée Internationale de solidarité avec le peuple palestinien

En 1977, l’Assemblée générale de l’ONU a demandé que soit célébrée chaque année, le 29 novembre, la Journée internationale de solidarité avec le peuple palestinien. Car c’est le 29 novembre 1947 qu’elle avait adopté la résolution sur le partage de la Palestine.

Des droits inaliénables 

L’Assemblée, le 3 décembre 2001, a autorisé le Comité pour l’exercice des droits inaliénables du peuple palestinien à continuer à promouvoir l’exercice de ces droits, à apporter à son programme de travail les aménagements qu’il jugerait nécessaires compte tenu de l’évolution de la situation et à mettre l’accent sur la nécessité de mobiliser aide et appui en faveur du peuple palestinien.

Terre contre paix

Le 3 décembre 2003, l’Assemblée a souligné la nécessité de s’attacher à la vision de la solution de deux États et au principe de la terre contre la paix, et d’appliquer les résolutions du Conseil de sécurité. Elle a également souligné la nécessité d’assurer le retrait d’Israël du territoire palestinien occupé depuis 1967 et d’assurer la réalisation des droits inaliénables du peuple palestinien dont, au premier rang, le droit à l’autodétermination et le droit de créer un État indépendant.

Un site à visiter : www.france-palestine.org    Source: Texte & Image: Journée Mondiale