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Hier et aujourd'hui . . .

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Ce que cette page vous réserve . . .

     

Les lectures bibliques des dimanches et jours de fête de l'année liturgique offrent un trésor dont la richesse est toujours actuelle.

De semaine en semaine, elles nous donnent l'occasion de faire de nouvelles découvertes.

La parole de Dieu devient alors signifiante et active dans nos vies et nous permet de rencontrer celui qui est lui-même Parole de Vie.

2è dimanche de l’année A – 2023

Les dimanches et fêtes, durant notre célébration eucharistique nous sommes invité/es are réciter le ‘Credo’ – le ‘Je crois en Dieu’.
Nous affirmons notre foi en Dieu Père, Fils et Esprit, en l’Église, en la communion des saints, la rémission des péchés, la résurrection, la vie éternelle.

Aujourd’hui j’ajouterais… un autre article de foi: celui d’Isaïe dans la 1ère lecture de ce dimanche (Isaïe 49:3,5-6).
Le prophète ose dire :
            « J’ai de la valeur aux yeux du Seigneur. »
 
Une affirmation audacieuse, oui, mais elle est l’expression d’une foi authentique.
Elle surgit de la prise de conscience d’une réalité profonde:
Ma personne est précieuse aux yeux de Dieu!
Le langage quotidien dirait: ‘Je lui tiens à cœur!’
 
Certain/es objecteront prétendant qu’il s’agit là d’un orgueil insensé.
D’autres y verront un manque évident d’humilité.
L’un ou l’autre hésitera en pensant: ‘Peut-on vraiment être précieux pour Dieu?’

Isaïe a acquis cette conviction de Dieu lui-même qui lui a révélé (Isaïe 43:4):
 « Tu as du prix à mes yeux… tu as de la valeur et je t’aime. » 
 
Chacun/e de nous pourrait l’affirmer en toute vérité –

  • Non pas à cause de la fidélité à ses commandements…
  • Non pas à cause d’une générosité édifiante…
  • Non pas à cause d’une vie quotidienne inspirante…
  • Non pas à cause de prières ardentes…
  • Non pas à cause de sacrifices exemplaires…

Ce n’est pas dans cette direction qu’il faut trouver la source de notre valeur.
C’est dans la contemplation de Celui qui, LUI, nous revêt d’une valeur inestimable
Celle d’être ses enfants bien-aimés: TOUT EST LÀ!

Alors, oui, il est possible, il faut même oser proclamer sans l’ombre d’un doute:
           « J’ai de la valeur aux yeux du Seigneur. »

 

Note: Une autre réflexion, sur un thème différent, est disponible en anglais à: https://image-i-nations.com/2nd-sunday-of-year-a-2023/

 

Source: Image: La Bible 1001 versets

Fête de l’Épiphanie, année A – 2023

Le récit des Mages d’Orient a de quoi susciter la curiosité, l’intérêt et, pour certains, la recherche.
Ces personnages ont, depuis des siècles, fasciné petits et grands.

On dit qu’ils étaient trois, mais il a été mentionné qu’un 4è les suivrait plus tard.
On a affirmé qu’ils étaient des rois, mais comment l’assurer.
On présume qu’ils venaient de pays aux cultures diverses, peut-être mais on ne l’a pas prouvé.

Une chose semble certaine: ils se sont mis en marche.
Ils ont décidé de se mettre en chemin –
en chemin vers une destination inconnue, un pays lointain, un endroit vaguement perçu.

Le texte de l’évangile de ce jour nous dit qu’ils avaient une question en tête (Matthieu 2:1-12):
« Où est le roi des Juifs qui vient de naître ? »
 

Se mettre en chemin, se diriger vers une destination – c’est là une expérience qui nous est bien familière.
Et avoir des questions à l’esprit, cela fait aussi partie de notre expérience.

Alors que je considère ces Sages qui se sont mis en route, je pense à nos cheminements.
Tout ce que représentent nos pérégrinations.
Et l’image soudain me vient à l’esprit… celle de la lettre S… 

J’y vois le chemin :         

Sinueux…       
Sombre…
Solitaire…
Sans issue…

 

 

Je me rappelle les:

Situations inquiétantes…
Souvenirs douloureux…
Secrets pénibles…
Soucis obsédants…

Mais je revois aussi tout ce que les longues marches sur le chemin m’ont appris et apporté:

Sagesse au quotidien…
Sécurité au fil des jours…
Sérénité malgré l’incertitude…
Sens de la vie…
Silence offrant la solution à un problème…
Soulagement à l’issue de l’épreuve surmontée…
Satisfaction d’avoir surmonté l’obstacle…

Tout cela grâce, oui, don gratuit de Celui que recherchait ces Sages de l’Orient: Dieu-avec-nous!

Que nos cheminements en cette nouvelle année nous fassent découvrir qu’Il marche avec nous sur la route Celui que les Mages ont trouvé …

 

Note: Une autre réflexion, sur un thème différent, est disponible en anglais à: https://image-i-nations.com/feast-of-the-epiphany-year-a-2023/

 

Source: Image: Country Life 

 

 

Fête de Marie, Mère de Dieu, année A – 2023

                                                              ‘Temps des Fêtes’… on pense souvent: ‘Temps des cadeaux’!

 

Les gens se précipitent dans les centres d’achat, magasins grande surface, boutiques.
D’autres sont désormais enclins à faire leurs emplettes en ‘mode connecté’.
Certaines personnes se sont mises à la tâche très tôt pour confectionner des cadeaux personnalisés.

Achats ou créations, on les échange à Noël et au Jour de l’An.
Mais… y aurait-il des cadeaux qui n’ont pas à être achetés ou confectionnés?
Existe-t-il des super-aubaines disponibles tout à fait gratuitement?
De vrais cadeaux, quoi!
 

Il en est une – c’est celle qui nous est offerte dans la 1ère lecture de cette fête (Nombres 6:22-27):

« Que l’Éternel te bénisse, et qu’il te garde!
Que l’Éternel fasse luire sa face sur toi, et qu’il t’accorde sa grâce!
Que l’Éternel tourne sa face vers toi, et qu’il te donne la paix! » 

Une bénédiction – elle nous est offerte, non, donnée et par Dieu lui-même.
Une bénédiction… c’est quoi au juste?

Une bénédiction peut prendre la forme…

 

  • d’une guérison…
  • de la libération d’une dépendance…
  • d’une vision nouvelle de la vie, des gens…
  • d’une sensation de bien-être, de sérénité retrouvée…
  • de l’acceptation d’une situation pénible mais porteuse de sens…
  • de la protection constante et infaillible de Celui sur qui on peut toujours compter…

Et cela est pur don, un cadeau qui n’a pas à être cherché ni mérité!

En cette fête de Marie, Mère de Dieu, nous nous rappelons la salutation que sa cousine, Élisabeth, lui a adressée :  
    « Tu es bénie entre les femmes »  (Luc 1:42).
Marie était bénie d’une bénédiction toute particulière parce qu’elle avait accueilli en elle Dieu lui-même.

En accueillant Dieu chez nous, en nous, sa bénédiction est nôtre au fil des jours.
Un cadeau bien spécial au début de cette nouvelle année!

 

Note: Une autre réflexion, sur un thème différent, est disponible en anglais à: https://image-i-nations.com/feast-of-mary-mother-of-god-year-a-2023/

 

Source: Images: Unsplash    Zervant    FreeImages   DailyVerses.net 

Fête de la Nativité du Seigneur, année A – 2022-2023

Tellement ordinaire…

La naissance d’un enfant…
Un nouveau-né dans les bras de sa mère…
Un petit être dépendant…
Un tout-petit emmailloté, attendant sa   tétée…

 

 

Tellement extraordinaire…

Dieu-Enfant…
Dieu dans les bras d’une mère humaine…
Dieu dépendant…
Dieu attendant…

C’est Lui le Dieu de Noël…

À l’aube des temps, il avait donné une nature humaine à un être créé par lui.
Il l’avait revêtu de chair et lui avait insufflé son propre souffle.

 

Et voilà qu’il s’approprie maintenant cette nature humaine et se revêt de chair.
L’apôtre Jean résume en ces mots cette aventure divine – cette RÉALITÉ invraisemblable mais VRAIE:

« Le Verbe était Dieu…
Le Verbe s’est fait chair. »    (Jean 1:1,14)

Et l’invraisemblable se continue…

« À tous ceux qui l’ont accueilli,
Il a donné pouvoir de devenir enfants de Dieu. »   (Jean 1:13)

Les mots sont impuissants à traduire

  • ce que Dieu était
  • ce que Dieu est devenu
  • ce que Dieu a fait
  • ce que nous sommes, en devenir…

Contemplation, adoration…
Silence dans la présence à Sa Présence…
 

Note: Une autre réflexion, sur un thème différent, est disponible en anglais à: https://image-i-nations.com/feast-of-the-nativity-of-the-lord-year-a-2022-2023/

 

Source: Images: Unsplash     123RF

4è dimanche de l’Avent, année A – 2022-2023

On peut dire que les textes bibliques de ce jour offrent signes, songes et… surprises!

Un roi refuse d’obéir à un prophète mais recevra quand même le signe que Dieu veut donner (Isaïe 7:10-16).

Une vierge est enceinte, non de la manière humaine, mais par l’intervention de l’Esprit –
l’Esprit de Dieu même.
L’enfant qui naîtra en portera la marque à jamais – il sera Dieu fait homme (Matthieu 1:18-24).

Le messager de Dieu qui l’apprend à Joseph, le fiancé de la jeune femme, révèle déjà le double nom de cet enfant-Dieu:

« Emmanuel: Dieu-avec nous. »
« Jésus: Dieu-sauve. »

Grâce à lui – et il s’agit vraiment de ‘grâce’ – Dieu sera, Dieu EST avec nous à jamais.
En lui, nous sommes sauvé/es, délivré/es, libéré/es, ‘gracié/es’ – littéralement, absolument!

Ayant dit cela, que pourrait-on ajouter?…

 

Note: Une autre réflexion, sur un thème différent, est disponible en anglais à: https://image-i-nations.com/4th-sunday-of-advent-year-a-2022-2023/

  

Source: Images: preach brother bob   Pinterest

3è dimanche de l’Avent, année A – 2022-2023

Des doutes – nous en avons, bien sûr, à certains moments, dans certaines situations…

  • Est-ce que je réussirai sous peu à trouver un logement?
  • Mon conjoint arrivera-t-il à obtenir enfin un emploi?
  • Pourra-t-on guérir mon enfant de cette maladie mystérieuse?

Et il arrive que nous ayons aussi des doutes au sujet de… Dieu.
On peut hésiter à se l’avouer à soi-même, mais les doutes persistent…
bien cachés au fond de nous, inquiétants, dérangeants…

Au lieu de culpabiliser, on fait mieux de réaliser que…
si telle est notre situation, nous sommes en bonne compagnie!
Ce fut le cas de plusieurs saint/es – ces ami/es de Dieu – et parfois jusqu’à la fin de leur vie.

C’est le cas aussi de quelqu’un que nous retrouvons dans l’évangile d’aujourd’hui:
Jean le Baptiste (Matthieu 11:2-11).
Il avait annoncé la venue de Jésus, le Messager de Dieu.
Il avait appelé les gens à la conversion pour reconnaître cet Envoyé de Dieu parmi eux.

Mais voilà qu’il n’est plus certain qu’il ait identifié la bonne personne… il a des doutes
Il se pose des questions et… ces questions l’inquiètent alors qu’il se trouve en prison.

Ces questions, il ne craint pas de les poser à Jésus en lui envoyant des messagers.
Ils devront demander à Jésus :

         « Es-tu celui qui doit venir,
ou devons-nous en attendre un autre ? »

Le questionnement est direct, sans détour et attend une réponse qui le sera également.
Jésus reçoit le message et accueille les questions –

  • Il ne démontre pas d’étonnement…
  • Il ne se met pas en colère…
  • Il ne se réfugie pas dans le silence…

Il donne tout simplement aux envoyés de Jean la réponse qui dissipera ses doutes.
Jésus mentionne ouvertement ce qu’il fait et ses actions parlent d’elles-mêmes.
Elles sont les actions de celui que les gens attendaient comme le Messie – l’envoyé de Dieu lui-même –
celui qui allait les libérer.

Personnellement, j’ose croire que Dieu – incarné en Jésus – n’a pas changé!
MES doutes – multiples et lancinants parfois – il les accueille comme Jésus a reçu ceux de Jean:

  • Il ne démontre pas d’étonnement devant mes doutes…
  • Il ne se met pas en colère pensant que je devrais croire en lui…
  • Il ne se réfugie pas dans le silence pour me faire sentir coupable…

Et il accomplira pour moi, au temps opportun, la libération désirée.
Cette période de l’Avent est un bon moment pour m’en souvenir…

Note: Une autre réflexion, sur un thème différent, est disponible en anglais à: https://image-i-nations.com/3rd-sunday-of-advent-year-a-2022-2023/

 

Source: Images: Sandford Health News   www.northjersey.com

2è dimanche de l’Avent, année A – 2022-2023

Qui d’entre nous n’essaie pas d’imaginer Dieu – qui il est et… comment il nous voit.
À certains moments, on ne peut s’empêcher de se demander ce que nous sommes à ses yeux…
Pour parler d’une manière humaine – c’est la seule qui nous soit accessible – nous tentons de percevoir quels sont ses sentiments envers nous.

La 1ère lecture de ce dimanche nous donne quelques lignes qui sont l’esquisse d’une réponse.
Le prophète Isaïe dit de Dieu (Isaïe 11:1-10):

« Il ne jugera pas sur l’apparence ;
il ne se prononcera pas sur des rumeurs.

Il jugera les petits avec justice ;
avec droiture, il se prononcera en faveur des humbles du pays ».

Un texte touchant et consolant pour nous qui nous considérons souvent petits et humbles.
Il nous arrive de ne pas croire que nous ayons beaucoup de valeur aux yeux de nos semblables.
Et devant Dieu… nous ne pouvons prétendre être dignes ou mériter ses faveurs.

Mais voilà que le prophète nous assure que Dieu va au-delà des apparences.
Nos faiblesses et nos manquements sont précisément ce dont il ne se préoccupe pas.
Ce qu’il voit, c’est ce que lui-même a déposé au plus profond de notre être.
En nous, il reconnaît sa propre image.

Il se peut que, au fil du temps et des circonstances, cette image soit devenue peut semblable à l’original…
Mais pour Dieu ce n’est pas la copie définitive… elle est encore en devenir.
La fidélité du Seigneur, dont parle Isaïe, continue de restaurer cette image du Dieu qui nous a créé/es et continue de nous recréer.

Une pensée, davantage encore, une conviction… et il est bon de s’en imprégner en cette période de l’Avent…

 

Note: Une autre réflexion, sur un thème différent, est disponible en anglais à: https://image-i-nations.com/2nd-sunday-of-advent-year-a-2022-2023/

Source: Image: WonbyOne

1er dimanche de l’Avent, année A – 2022-2023

Le quotidien, et tout ce qu’il nous réserve, est parfois plus que surprenant.
On s’attendait à ceci… on espérait cela… on anticipait autre chose…

Et voilà que nous arrive… l’inattendu, l’imprévu et… pas du tout ce que l’on désirait.
Nous n’étions pas préparé/es pour… ce qui nous tombe dessus soudainement!

Le texte de l’évangile d’aujourd’hui nous présente justement de telles situations (Matthieu 24:37-44).
Des événements se produisant subitement et, le texte dit :

« Les gens ne se sont doutés de rien… »  

Alors que nous entrons dans la période liturgique de l’Avent,
l’évangile nous invite à considérer précisément cela: ce qui peut ‘advenir’ –
c’est le sens du mot ‘Avent’.

C’est un appel à vaincre notre indifférence, à surmonter notre négligence.
Un appel à porter attention, à centrer notre vision sur… le réel, sur l’essentiel…

Le texte de l’évangile aide notre réflexion en nous disant:
« Si le maître de maison avait su… »

Combien de fois n’avons-nous pas utilisé cette expression: « Si j’avais su!… »
Avec regret, nous murmurons : « Si j’avais su… je n’aurais pas dit, je n’aurais pas fait ceci ou cela… »
Ou encore: J’aurais dit telle parole de réconfort, j’aurais fait tel geste de partage, j’aurais… »

Vous l’aurez noté: les verbes sont au conditionnel!
La ‘condition’ est de… se faire présent au présent pour accueillir tout ce que le Seigneur utilisera pour nous y rencontrer…

 

Note: Une autre réflexion, sur un thème différent, est disponible en anglais à: https://image-i-nations.com/1st-sunday-of-advent-year-a-2022-2023/

 

Source: Images: unsplash   WallpaperTip

 Fête du Christ, Roi de l’univers, année C, 2022

Dieu devenu humain.

Né dans une grotte, réfugié à l’étranger, il se fait accueil pour tout un chacun.

Le Maître s’agenouillant aux pieds de ses disciples, lave leurs pieds.

Sa compassion, son pardon, toujours offerts, on l’accuse faussement.

Verbe, Parole de Dieu, on le réduit au silence.

Portant nos douleurs et nos souffrances, il subit la torture.

Innocent et juste par excellence, il est condamné à mort.

Il était… le Roi-Serviteur.

L’aviez-vous reconnu?…

 

Note: Une autre réflexion est offerte sur un thème différent en anglais à: https://image-i-nations.com/feast-of-christ-the-king-of-the-universe-year-c-2022/

 

Source: Image: Christianity

 

 

33è dimanche de l’année C, 2022

Nous approchons de la fin de l’année liturgique.
Les dimanches se sont succédé, chacun apportant son message.
Celui d’aujourd’hui revient chaque année à cette période et il est toujours… déroutant.
Déroutant par les scènes qu’il décrit, déroutant aussi parce que ces scènes nous sont trop familières.

Violence, destruction, guerre, trahison, famines, épidémies –
toutes ces situations qui nous affligent, nous désorientent et nous découragent.

Vous aurez remarqué que les verbes sont… au temps présent!
Nous pouvons facilement identifier des endroits et des situations qui répondent à ces réalités de notre temps.
Il est facile de repérer des points géographiques et de nommer des personnes impliquées dans de tels événements tragiques.

Peur et anxiété nous assaillent parfois et nous osons espérer que nous et les nôtres serons épargnés.
Mais… il y a toujours la possibilité qu’un virus nous atteigne, qu’un ennemi nous rejoigne et alors…

C’est la condition humaine – celle de la vie fragile, exposée, menacée…
Menacée par l’égoïsme, la haine, l’ambition, la corruption…
Tous ces virus qui ne relèvent pas du monde médical mais…
Ils minent l’être humain qui n’a pas accepté la libération que Dieu offre.

L’ambition et la corruption alimentent la violence et font surgir les guerres.
La jalousie et l’égoïsme provoquent les conflits entre individus et sociétés.
La discrimination et le mépris conduisent aux tueries de masse que l’on connaît.

Nous en sommes conscient/es: pour survivre il faut être guéri.
Et la guérison est précisément cela: une libération
C’est ce que la 1ère lecture promet dans les mots du prophète Malachie qui nous assure (Malachie 3:19-20):

« Pour vous qui craignez mon nom, (dit le Seigneur)
le Soleil de justice se lèvera:
il apportera la guérison dans son rayonnement. »

Addiction, compulsion, obsession,
colère, cupidité, insouciance – ce sont là nos vrais ennemis.
Ils font de nous les esclaves qui ont oublié le chemin de la paix, de l’acceptation des autres, de la réconciliation.

La guérison nous est offerte mais encore faut-il que nous la désirions
et que nous la demandions à Celui qui désire nous la donner…

 

Note: Une autre réflexion est offerte sur un thème différent en anglais à: https://image-i-nations.com/33rd-sunday-of-year-c-2022/

 

Source: Image: foienchrist.org