?

De ceci... de cela...

Sous cette rubrique vous trouverez des mots, des idées, des propos, des pensées

se voulant une avenue pour aider à réfléchir, à découvrir, à franchir - peut-être -

une nouvelle étape vers... ce que vous désirez, espérez, anticipez!

Une héroïne québecoise

Elle gagne à la loto et claque tout dans un projet humanitaire

Alors qu’elle avait gagné un million de dollars à la loterie nationale en 2013, une Canadienne a décidé de suivre mère Teresa et a créé une association afin de « donner la chance aux riches de toucher les pauvres ».

Rachel Lapierre a toujours eu le sens des autres. Cet ancien mannequin, lauréat du concours Miss Québec de 1982 et mère de famille de quatre enfants, s’est adonnée durant des années à des activités bénévoles. Après avoir dirigé sa propre agence de mannequinat, elle a travaillé comme infirmière et multiplié les voyages humanitaires en Inde et en Haïti.

Donner du sens à son existence
En 2013, la Providence frappe à sa porte puisque Rachel gagne un « salaire à vie » à la loterie québécoise, c’est-à-dire 1.000 dollars canadiens hebdomadaires. Elle a alors pressenti qu’elle allait se consacrer à un nouveau projet au service des plus humbles. « Je désirais faire quelque chose que j’aimais pour le restant de ma vie. Je voulais me mettre au service des autres », témoigne-t-elle.

Ni une ni deux, en deux mois, elle quitte son travail et lance sa propre organisation caritative, Le Book Humanitaire, qu’elle définit comme « un lieu permettant de lier des gens de cœur à des gens dans le besoin ». Ce mouvement gère et coordonne la distribution de dons à des gens dans le besoin. Les projets sont variés : aide aux familles de réfugiés, recherche de logements pour les personnes dans le besoin, collecte de jouets pour les enfants, accompagnement de personnes malades chez un médecin, dons de vêtements…

Aujourd’hui, la vie de Rachel est loin des paillettes et du monde glamour du mannequinat. Et pourtant, c’est cette existence simple dans laquelle elle expérimente le détachement et le partage qui l’a aidée à trouver le vrai bonheur et qui a « nourri » son âme, selon ses mots. Car, prenant au mot la sainte de Calcutta, elle a donné ses mains pour servir et son cœur pour aimer.

Source : Texte : Aleteia, Rachel Molinatti | 26 août 2018 Images : missnews.com. laopinion.com

 

 

Journée mondiale de prière pour la Création – 1er septembre

C’est le Pape François qui a pris l’initiative, dans son message du 6 août 2015, d’instituer cette journée mondiale, dans la droite ligne de sa récente encyclique Laudato Sì.

Je souhaite vous communiquer ma décision d’instituer également dans l’Église catholique une “Journée Mondiale de Prière pour la Sauvegarde de la Création”. À partir de cette année (2015), cette journée sera célébrée le 1er septembre, comme cela se produit déjà au sein de l’Église orthodoxe.

Une journée appelée à une très large diffusion
Cette journée de prière offrira à chacun l’opportunité de renouveler son adhésion personnelle à sa vocation de gardien de la création.

En instituant cette journée, le Pape a répondu à une demande de l’église orthodoxe et souhaite également que d’autres églises et communautés ecclésiales rejoignent cette initiative, en particulier pour que cette journée soit célébrée en accord avec les initiatives que le conseil oecuménique des églises organise sur ce thème.

Sauvegarder la maison commune
L’encyclique du Pape est trop long et trop dense pour être résumée ici, mais le lecteur sera frappé par sa portée universelle. Nous ne sommes pas propriétaires de la création mais bien dépositaires et appelés à la sauvegarder et la transmettre… et c’est à Saint François d’Assise que nous laisserons le soin de conclure cette présentation avec une courte citation de son cantique de la création:

« Loué sois tu, mon Seigneur, pour sœur notre mère la Terre,
qui nous porte et nous nourrit,
qui produit la diversité des fruits,
avec les fleurs diaprées et les herbes. »

Un site à visiter : fr.radiovaticana.va     Source : Texte : Journée mondiale  Images:  InfoCatho  Franciscains du Canada

 

Journée internationale de prévention des overdoses – 31 août

Cette journée consacrée à la prise de conscience des dégâts liés aux overdoses existe depuis 2001, mais vous en entendrez très peu parler en Europe continentale. En effet, son origine est australienne et il semble bien qu’elle soit pour le moment célébrée uniquement dans quelques pays anglo-saxons: Australie, Etats-Unis, Canada et Grande-Bretagne.

Mes sincères condoléances…
l’International Overdose Awareness Day, de son nom anglais, tient son origine d’une discussion datant de 2001 entre deux membres australiens de l’Armée du Salut, Sally J. Finn et Peter Streker. Ils avaient organisé à l’époque une action publique consistant à offrir un ruban de « condoléances » aux entourages de personnes décédées par overdose.

Penington Institute
Depuis 2012, c’est le Penington Institute qui a repris en mains l’organisation de cet événement, après le retrait de l’Armée du Salut. Cet institut tente de promouvoir la santé et la protection des personnes en associant la recherche sur les méfaits des drogues avec des actions de terrain sur les populations. Leur site internet propose aux organisations d’enregistrer leur propre événement pour en assurer une large promotion.

Un site à visiter : www.overdoseday.com          Source : Texte : Journée mondiale  Images : Journée mondiale  Alberta Health Services

La Journée internationale de sensibilisation aux surdoses est un événement lancé en 2001, à Melbourne, en Australie, et qui s’est répandu depuis un peu partout dans le monde. L’organisation internationale de la Journée a adopté comme symbole un ruban replié fait de métal argenté.

Les symptômes de surdose varient d’une substance à une autre. Dans le cas d’opioïdes, ont peut observer les symptômes suivants : faible respiration ou absence de respiration, ronflement, gargouillement, lèvres ou bouts des doigts bleus, bras et jambes mous, aucune réaction aux stimuli, désorientation et profonde perte de conscience (la personne ne peut être réanimée). Dans le cas d’amphétamines, on note les symptômes suivants: douleur à la poitrine, confusion ou désorientation, grave mal de tête, hyperthermie (mais pas de transpiration), difficulté à respirer, agitation et paranoïa, hallucinations et perte de conscience. Même une intoxication grave à  l’alcool peut être potentiellement mortelle. Elle peut causer un arrêt respiratoire ou cardiaque, et même mener la personne à s’étouffer avec son propre vomi.

Source: Texte & Image: http://www.cran.qc.ca/fr/

Journée mondiale du blog – 31 août

Le mot Blog est issu du mélange entre Web et Log c’est à dire littéralement un carnet de bord sur le net.
Est-il étonnant de voir apparaître une journée mondiale du blog ?
Pour beaucoup, phénomène de société, pour d’autre simple effet de mode.

Un petit blog pour la route ?
Les Blogs font parler d’eux seulement depuis quelques années en France, pourtant ils sont présents sur le net depuis quasiment le début de celui-ci. Quand, en 1993, Tim Berners Lee crée le premier site internet de l’histoire il est le premier blogger de l’histoire, sans le savoir.

Nouveaux moyens d’expression sur le net, ils ont l’avantage de pouvoir être créés facilement.
Coups de gueules, coups de cœurs, journaux intimes, albums photos, vies privées, successions de liens… on trouve réellement de tout dans la planète blog que d’aucuns nomment parfois la blogosphère.

« Blog bless the World »
Les célébrités et les politiciens ouvrent tous leur propre blog. Nouvelle forme de communication, outil marketing ? Madonna, toujours à la pointe, n’hésite pas à ouvrir son blog afin que « officiellement » tous ses fans puissent lui parler et laisser des messages directement et toujours « officiellement  » c’est elle-même qui y répond. Tout cela au moment où sort un nouvel album.

Les blogs permettent à des inconnus de devenir stars, comme Salam Pax qui au début de la guerre en Irak décrivait son quotidien à la façon d’un envoyé spécial.

Andy Warhol ne se trompait pas quand il annonçait : « A l’avenir, chacun aura son quart d’heure de célébrité mondiale. « 

Un site à visiter : blogday.wikispaces.com       Source: Texte: Journée mondiale Images : Immo One   B2BQuotes.com

 

Journée Internationale des personnes disparues – 30 août

L’ONU s’inquiète de l’augmentation des cas de disparition forcée et le groupe de travail sur les disparitions involontaires de la commission des droits de l’homme des Nations Unies exprime son inquiétude sur le nombre croissant de cas de disparitions forcées dans le monde.

« Les victimes de disparition forcée, dont on ignore où elles se trouvent et quel est leur sort, ne devraient pas être rappelées à notre souvenir seulement une fois par an. Chaque jour devrait être une Journée des personnes disparues », a déclaré le groupe de travail.

De son coté, le Comité international de la Croix-Rouge basé à Genève déplore le manque de volonté politique de s’attaquer à ce problème.

Une tragédie oubliée
Dans un rapport intitulé: Personnes portées disparues – une tragédie oubliée, l’organisation attire l’attention sur le drame trop souvent ignoré que vivent des dizaines de milliers de familles, de la Bosnie au Népal, de la Géorgie au Sri Lanka.

« Il est impératif de faire face à cette tragédie et d’aider les familles de disparus à faire la lumière sur ce qu’il est advenu de leurs proches. Ne pas savoir si un être cher est mort ou vivant provoque une angoisse indicible, de la colère et un profond sentiment d’injustice, et empêche les proches de faire le deuil et de tourner la page », constate Pierre Krähenbühl, directeur du CICR.

Un site à visiter : www.un.org         Source : Texte : Journée mondiale  Image: epa european pressphoto agency

Journée Mondiale contre les essais nucléaires – 29 août

La première bombe atomique a été larguée le 6 août 1945 sur la ville d’Hiroshima au Japon, chacun s’en souvient, mais les premiers « essais nucléaires » sont un peu plus anciens puisque le premier a été tenté en juillet 1945. Depuis lors, plus de 2000 essais ont été réalisés, d’abord dans l’atmosphère, puis de façon sous-terraine ou sous-marine.

Une prise de conscience progressive
La prise de conscience des dégâts occasionnés pendant ces campagnes d’essais a été lente à venir mais, peu à peu, de plus en plus de pays ont décidé de renoncer aux essais nucléaires. On se souvient qu’en France cela avait fait partie des premières décisions prises par le Président Chirac en 1995.

Un traité sur l’interdiction totale des essais nucléaires a été ouvert à la signature en 1996… mais jamais mis en application faute, justement, de signataires en nombre suffisant !

Le polygone de Semipalatinsk
C’est en 2009 que les Nations Unies ont proclamé la création de la Journée internationale contre les essais nucléaires et choisi pour la célébrer la date du 29 août. Cette résolution (la 64/35) a été adoptée à l’unanimité.

On se souviendra qu’à l’origine de cette résolution se trouve la République du Kazakhstan, ancienne république membre de l’URSS et indépendante depuis 1991, qui souhaitait commémorer la fermeture du polygone d’essais nucléaires de Semipalatinsk, le 29 août 1991.

Le but final de la résolution de l’ONU est de sensibiliser à la nécessité d’interdire les essais d’armes nucléaires et travailler à l’édification d’un monde plus sûr.

Un site à visiter : www.un.org   Source : Texte : Journée Mondiale Images : Pressenza un.am

Journée Internationale du souvenir de la traite négrière et de son abolition – 23 août

La Journée internationale du souvenir de la traite négrière et de son abolition est célébrée le 23 août de chaque année. C’est dans la nuit du 22 au 23 août 1791 qu’a commencé à Saint-Domingue (aujourd’hui Haïti et République dominicaine) l’insurrection qui devait jouer un rôle déterminant dans l’abolition de la traite négrière transatlantique.

La route des esclaves
La Journée internationale du souvenir de la traite négrière et de son abolition vise à inscrire la tragédie de la traite dans la mémoire de tous les peuples. Conformément aux objectifs du projet interculturel  elle doit offrir l’occasion d’une réflexion commune sur les causes historiques, les modalités et les conséquences de cette tragédie, ainsi que d’une analyse des interactions qu’elle a générées entre l’Afrique, l’Europe, les Amériques et les Caraïbes.

Le Directeur général de l’UNESCO invite les Ministres de la culture de tous les États membres à organiser des actions en associant l’ensemble des populations de leurs pays et en particulier les jeunes, les éducateurs, les artistes et les intellectuels.

Note: on peut voir aussi: https://image-i-nations.com/image-symbolique-riche-evocation/

Un site à visiter : portal.unesco.org   Source : Texte & Image: Journée Mondiale  Image (à droite): cunoastelumea.ro

Journée mondiale de l’aide humanitaire – 19 août

Dans de nombreuses régions du globe, les humanitaires travaillent, parfois au péril de leur vie, souvent dans l’anonymat le plus total. Même s’ils accomplissent un travail de fourmi, leurs interventions sont indispensables et permettent souvent à des populations de retrouver un minimum de dignité.

L’ONU a promulgué le 19 août, Journée Mondiale de l’aide humanitaire en espérant sensibiliser l’opinion publique à l’assistance humanitaire et à la nécessité de soutenir ces actions partout dans le monde.

« Les travailleurs humanitaires sont ceux que nous dépêchons sur place pour montrer notre solidarité avec ceux qui souffrent. Ils représentent ce qu’il y a de meilleur dans la nature humaine mais leur travail est dangereux… »  Ban Ki-moon, Secrétaire général de l’ONU

Un site à visiter : www.un.org   Source : Texte & Image : Journée Mondiale

À l’occasion de la Journée mondiale de l’aide humanitaire, nous continuons d’attirer l’attention sur les millions de civils touchés par les conflits armés chaque jour. Ceux qui habitent dans les villes luttent pour trouver de la nourriture, de l’eau et un abri sûr, tandis que les combats chassent des millions d’autres de leurs foyers. Les enfants sont recrutés et utilisés pour se battre, et leurs écoles sont détruites. Les femmes sont maltraitées et humiliées.

Et alors que les travailleurs humanitaires apportent de l’aide et que les travailleurs médicaux traitent les blessés et les malades, ils sont directement pris pour cibles, traités comme des menaces et empêchés d’apporter secours et soins à ceux qui en ont désespérément besoin.

Ces descriptions ne représentent qu’une partie de tous ceux qui sont touchés par les conflits dans le monde. Des personnes handicapées aux personnes âgées, aux migrants et aux journalistes, tous les civils pris dans les conflits doivent être protégés.

Source : Texte & Image : ONU

Un cheminement assez spécial…

En cette Journée internationale de la Jeunesse (12 août) le récit intéressant d’un cheminement assez spécial… (note de l’éditrice)

Pour éviter la prison, il accepte de faire les chemins de Compostelle  

Le 25 juillet dernier, un tribunal italien à Venise s’est abstenu de prononcer la condamnation d’un jeune accusé. La cause de cette clémence ? Le jeune homme a accepté de faire un pèlerinage de pénitence à Saint-Jacques de Compostelle.

Âgé de 22 ans, un jeune italien avait été arrêté après avoir commis quelques délits sous l’effet de drogues. Fait rare voire unique, le juge n’a pas envoyé ce jeune homme derrière les barreaux… « Au lieu de t’envoyer en prison, je préfère que tu ailles en pèlerinage à Saint-Jacques de Compostelle », a proposé le juge de Venise au jeune délinquant, quelques mois avant qu’il ne comparaisse devant un tribunal. L’accusé a accepté et a pris la route. Résultat : parce qu’il a effectué un pèlerinage à pied de 1.500 kilomètres au sanctuaire espagnol de Saint-Jacques de Compostelle, le juge a considéré que le jeune homme avait fidèlement appliqué une peine de réinsertion originale et unique. Une étonnante histoire de réinsertion et de cheminement personnel.

Le pèlerinage ou la prison
On sait peu de choses sur le jeune pénitent. Originaire d’Afrique du Nord et de nationalité italienne, le jeune homme vient d’une famille défavorisée. Rapidement, il tombe dans l’addiction à la drogue. Il multiplie très tôt les soucis avec la justice. Quand il comparaît une nouvelle fois pour une affaire plus grave que les autres, le juge a l’idée de le confier à Lunghi Cammini (longues marches, ndlr), une association italienne fraîchement créée à Mestre (Nord de l’Italie) et qui propose aux jeunes en difficulté la marche comme moyen de réinsertion sociale.

Dans un premier temps, le jeune homme a dû suivre un stage d’adaptation à l’univers du travail professionnel. Il a également effectué différentes tâches bénévoles au sein de l’association, avec des résultats probants. Au bout de quelques mois, en collaboration avec le département d’assistance sociale du Tribunal de Venise, l’association décide de lui préparer un programme spécial pour qu’il puisse purger sa peine d’une manière inattendue.

Une marche éducative
Suivant les conseils de Lunghi Cammini, le juge lui propose donc le pèlerinage en lui imposant des conditions bien précisées. Le jeune homme  doit s’engager à faire tout le chemin à pied. Il lui est interdit de consommer drogue, alcool et tabac. De même, il s’engage à n’utiliser son portable en aucun cas. Si l’une de ces conditions n’est pas respectée, le jeune condamné sera renvoyé immédiatement derrière les barreaux.

Le contrat dans la poche, le condamné pénitent est parti accompagné d’un « ange gardien », Fabrizio, un professeur retraité bénévole de 68 ans. C’est lui qui a été chargé de témoigner du bon respect de l’exécution de la peine selon les conditions requises. Les deux pèlerins ont eu un budget de 40 euros par jour pour se nourrir, se loger et cheminer tout le long des 1.500 kilomètres à parcourir.

Entre dispute et prière
Et le chemin n’a pas toujours été aisé. Le jeune homme s’est mis régulièrement en colère et a connu de nombreux moments de doute. Le long du chemin, le temps a égrené les disputes et les prières. Peu à peu, un lien plus fort s’est finalement créé entre les deux hommes. Surmontant de nombreux moments de découragement, ils sont finalement parvenus à Saint Jacques de Compostelle.

À leur retour à Venise, ils ont témoigné chacun du cheminement bouleversant qu’ils ont vécu et de l’amitié qui est née entre eux. Fabrizio a ainsi décrit un pèlerinage qui a été pour lui un véritable « apprentissage d’ouverture, de compréhension et d’acceptation de l’autre ». Quant au jeune condamné, la marche lui a permis de « réfléchir sur sa vie ». Il a exprimé son immense gratitude envers Fabrizio : « Sa présence était pour moi comme une épine qui me piquait en permanence. Mais c’était une épine douloureuse et bonne à la fois : elle m’a montré une vraie vie et les vraies valeurs. En plus j’ai trouvé un grand père ! ».

Pour Isabella Zuliani, directrice de l’association, ces marches de réinsertion sont une solution qui permet d’éviter les risques liés à l’emprisonnement. Leur force : être marquées par la difficulté et le renoncement. C’est, selon elle, un excellent moyen d’aider les jeunes à trouver le bon chemin dans leur vie.

Source : Texte : zbieta zajaczkowska, 04 août 2018, Aleteia.fr   Image: pxhere.com
 
 

 

Journée Internationale de la jeunesse – 12 août

L’objectif de la Journée internationale de la jeunesse est de promouvoir, tout particulièrement auprès des jeunes, le Programme d’action mondial pour la jeunesse à l’horizon 2000 et au-delà.

« La jeunesse est l’avenir de l’homme »
Ce programme encourage l’action en faveur des jeunes dans dix domaines prioritaires : éducation, emploi, malnutrition et pauvreté, santé, environnement, toxicomanie, délinquance juvénile, loisirs, petites filles et jeunes femmes et pleine et entière participation des jeunes à la vie de la société et à la prise de décisions. Une action de mise en oeuvre du Programme aux niveaux national, régional et mondial y est également recommandée.

Les jeunes, qui selon les critères des Nations Unies correspondent à la tranche d’âge 15 à 24 ans, représentent un sixième de la population mondiale. La majorité de ces jeunes hommes et femmes vit dans des pays en développement et leur nombre devrait augmenter substantiellement au XXIè siècle.

C’est en 1991 que les jeunes réunis à Vienne (Autriche) pour le premier Forum mondial de la jeunesse organisé par le système des Nations Unies ont proposé d’instaurer une Journée internationale de la jeunesse. Le Forum recommandait qu’une telle Journée soit célébrée en partenariat avec des associations de jeunes dans l’objectif plus particulier d’organiser des activités promotionnelles et d’appels de fonds pour soutenir le Fonds des Nations Unies pour la jeunesse.

En 1998, par une résolution adoptée lors de la première Conférence mondiale des ministres de la jeunesse – tenue par le Gouvernement portugais en collaboration avec les Nations Unies à Lisbonne du 8 au 12 août 1998 – le 12 août a été déclaré Journée internationale de la jeunesse.

Cette recommandation a ensuite été entérinée lors de la cinquante-quatrième session de l’Assemblée générale par l’adoption de la résolution A/RES/54/120, en date du 17 décembre 1999 et intitulée « Politiques et programmes mobilisant les jeunes ».

Un site à visiter : www.un.org       Source : Texte & Image: Journée mondiale   Photo: UNICEF/Pirozzi – www.un.org