young woman thinking d.man thinkingÀ bien y penser... Blogue

Sous cette rubrique, divers thèmes sont abordés. Ils se veulent à la fois intéressants, percutants et, oui, intéressants.

Les textes présentés ici seront un peu plus longs que ceux des autres sections.

Comme tous les autres, ils invitent à une réflexion personnelle et à un échange avec d'autres internautes.

 

Un robot nommé ‘Perseverance’

Vous êtes prêt/es? Oui, prêt/es pour le lancement dans tout juste 50 minutes, (à 7h50) en ce 30 juillet 2020 au Cap Carnaveral en Floride, du ‘rover’ PERSEVERANCE.

Il doit atteindre sa destination – la planète Mars – le 18 février 2021 et, à ce moment-là, la responsabillité de le mettre au pas, si on veut, incombera à une femme de chez nous: la scientifique de Joliette: Farah Alibay, ingénieure en aérospatiale.

Le but de cette mission est de découvrir des traces d’anciens microbes ayant peut-être peuplé la planète il y a plus de trois milliards d’années.

Le responsable du lancement à la NASA, Jim Bridenstine, a dit: «C’est la première fois dans l’histoire que la NASA a consacré une mission à ce qu’on appelle l’astrobiologie: la recherche de la vie, peut-être actuelle, ou de vie ancienne dans un autre monde».

Il ajoute: “Les rovers précédents des États-Unis ont démontré que la planète rouge avait été «habitable», c’est-à-dire que les conditions qu’on pense propices à l’apparition de la vie (carbone, eau, climat favorable) étaient présentes. Mais on ne sait toujours pas si elle a été habitée, et cette mission, décidée en 2012 et baptisée «Mars 2020», va tenter de répondre à la question”. (Journal de Québec, 27 juillet 2020)

Je vous demandais si vous étiez prêt/es… pour le lancement de ‘PERSEVERANCE’, oui, mais…
êtes-vous prêt/es aussi pour… une vie de PERSÉVÉRANCE.

Mais, la persévérance, c’est quoi au juste?
C’est ce qui nous pousse vers l’avant, un peu plus chaque jour, malgré les embûches, les embâcles, les embêtements du quotidien.
C’est ce qui fait que, selon l’expression populaire, on n’lâche pas, on poursuit son chemin pour atteindre sa destination.

L’apôtre Paul en parle ainsi:
“L’affliction produit la persévérance,
la persévérance la victoire dans l’épreuve, et cette victoire l’espérance.
Or, l’espérance ne trompe point, parce que l’amour de Dieu est répandu dans nos coeurs
par le Saint Esprit qui nous a été donné.”   (Rom.5:3-5)

Alors… on se lance!
Un lancement vers l’au-delà… oui, vraiment!
Ici… maintenant!

 

Source: Images: phys.org   NASA   YouTube

« Comme un ami à son ami… »

Des films, il y en a de toutes sortes; certains nous intéressent, d’autres nous laissent indifférents.
D’autres encore nous procurent détente et divertissement.

Il y en a, par contre, qui nous posent question…
Quelque-uns restent dans notre mémoire pendant longtemps.
Notre imagination fait reparaître certaines scènes… en boucle!
C’est un peu comme si nous revivions le moment encore… et encore…

Le message nous a accroché/es et… nous interpelle! On ne peut y échapper…
C’est ce qui s’est produit pour moi il y a quelques jours avec le film:

EXODE: DIEUX ET ROIS (réalisation de Ridley Scott, long métrage de 150 minutes).

Dans une scène qui reste gravée dans mon esprit, on voit Moïse qui a fait sortir son peuple d’Égypte.
Ils sont parvenus à la Mer des Roseaux et… les flots n’ont rien de rassurant.
C’est alors que Moïre réalise – il réalise ce à quoi il fait face…

Seul devant la mer, il lève la tête vers le ciel et dit: “Il faut que tu m’aides.”
Et baissant la tête vers le sol, il ajoute: “Je ne suis pas l’homme que je croyais être.”
Le moment de… vérité!

Dans le livre de l’Exode, qui est la source principale du récit, on retrouve ce verset:
“L’Éternel parlait avec Moïse face à face, comme un homme parle à son ami.”  (Ex.33:11)
 
Et cette scène démontre à l’évidence que Moïse en faisait autant!
Il ose réclamer l’assistance de Dieu d’une manière audacieuse!
Il s’adresse à Dieu – l’Éternel – sans ambages, sans hésitation, sans douter qu’il sera entendu.
Il fait preuve d’une familiarité déconcertante… à laquelle Dieu accédera de bonne grâce!

Mais ce moment de vérité évoqué plus haut présente un deuxième volet.
C’est l’admission de Moïse qui reconnaît: “Je ne suis pas l’homme que je croyais être.”

Une confession si simple… vérédique, authentique.
Une admission vraie de ses limites et de son besoin.
Comment Dieu pourrait-il y être indifférent?

Il ne serait pas le Dieu de Moïse.
Il ne serait pas non plus NOTRE Dieu!

 

Source: Images: Best HD Wallpaper   Fandime Filmu
 
 

 

 

 

Un miracle?… Des miracles?…

Alors que la Covid-19 fait rage et multiplie les ravages, les commentaires vont bon train.
On s’accorde pour le dire: Nous vivons une période sans précédent.

Ce qu’il nous faut – à tout prix – c’est… un MIRACLE !
N’est-ce pas ce que tout le monde attend en ce moment?

Le MIRACLE de la disparition de la pandémie que l’on nomme CORONAVIRUS.
Le MIRACLE de la guérison des personnes atteintes.
Le MIRACLE de la rémisson, la rédemption, la libération !
Et l’abolition – enfin – de cette distanciation à laquelle nous sommes condamné/es et qui nous pèse tant.

Ce mirable, oui, c’est LE miracle que nous espérons, 
nous l’attendons impuissants devant un tueur invisible et puissant.

Soudain, une citation de Einstein me vient à l’esprit au sujet de cette réalité –
ou… est-ce un rêve? que l’on nomme un MIRACLE !
Une question surgit: se pourrait-il que l’attente de CE miracle nous cache tous les autres miracles qui se déploient en ce moment autour de nous?

– Le dévouement héroïque de tous le personnel de la santé – professionnels de toutes descriptions qui se dévouent sans arrêt pour sauver des vies.
– Les chercheurs dans les différents domaines de la science – médecine, pharmacologie, immunologie, et j’en passe – qui d’un pays à l’autre unissent leurs efforts pour produire un vaccin effectif.
– Les techniciens d’usines de fabrication de produits différents de leur expertise originale mais offrant maintenant les objets tels que masques, ventilateurs, désinfectants, etc.
– Les responsables de la sécurité, policiers, pompiers, tous et toutes qui, sans relâche, s’emploient à assurer notre bien-être en cette période perturbée.
– Ceux et celles qui continuent d’assurer les services essentiels d’alimentation, de transport, de maintenance, d’entretien, de sanitation, et quoi encore?
– Les bénévoles innombrables qui usent d’ingéniosité autant que de générosité pour venir en aide aux multiples besoins qui surgissent.
– Nos dirigeants que l’on dénigre souvent mais qui en ces moments de crise savent baliser un chemin qui endigue le découragement pour le présent et pour… l’après-Covid!
– Tout un chacun/e qui sort de sa ‘bulle’ pour faire un téléphone, envoyer une courriel, partager un texte, une vidéo, pour soutenir le moral de quelqu’un d’autre.

Et tout ces prophètes qui osent affirmer – arc-en-ciel à la main, ou peint sur les trottoirs: ‘Ça va bien aller’.
N’allons surtout pas les taxer de ‘rêveurs’ car en ces jours que nous vivons le rêve peut prouver – oh combien! – thérapeutique!

Et quand LE miracle aura fait son apparition, saurons-nous garder le souvenir si précieux des autres ‘miracles’ qui ont assuré notre survie!

 

Source: Images: Top Citations Proverbes   AQMFEP-Association Québécoise Des Milieux Familiaux Éducatifs

 

Il se nomme… Covid-19

Vous vous demandez d’où il vient
Il nous a rejoints, il nous atteint
Riches et pauvres citoyens
Une pandémie, c’est ainsi qu’on le dépeint
Sans remède, nous voilà sans soutien
on n’y peut rien…

Covid, c’est son nom
Oui, il se répand, nous le voyons   
Villages, villes et nations
Il ne fait pas d’exception
De personnes, d’âge, ou de religion
c’est sa façon…

Voilà qu’il nous trouve dépourvus
Il n’avait pas annoncé sa venue
Rien ne prédisait l’apparition de l’intrus
Un tel désastre, a-t-on jamais vu?
Si seulement on y avait cru…
au début…

C‘est son nom scientifique
On ne discute pas la logique
Rien ne change les statistiques
On ne peut ignorer le diagnostic
Non, il n’est pas porté par un moustique
Ainsi on peut le voir actif de l’Atlantique
au Pacifique…

J’allais oublier… Non, j’étais en recherche… 
C’est bien le COVID 19

19… Le message me parvient… Psaume 19, me parle:

« Agrée les paroles de ma bouche
et le murmure de mon cœur
sans trêve devant toi, Seigneur,
mon rocher, mon Rédempteur. »   (verset 15)

Murmure… tout doucement… calmement… abandonnement…

Source: Images: INSPQ   Unsplash
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On avance l’heure!

On avance l’heure… On recule l’heure – deux fois l’an, on le fait sans y manquer!
Un pas en avant, un pas en arrière – une sorte de ‘dance techno’ un peu exotique!
Une choréographie temporelle à laquelle on doit se plier.

Mais… on avance parfois… à reculons, ou on recule à regret…
Serait-ce un peu l’image de notre quotidien?
Il révèle souvent une ambivalence dont nous sommes parfois les complices!…

Parce qu’il faut bien le dire…
le temps est souvent exigeant à sa manière.
On nous dit qu’il ne faut pas perdre son temps.
Mais on nous conseille aussi de prendre son temps.
 
Perdre son temps
en le donnant à autrui,
en l’offrant au bénéfice d’une autre personne,
en s’efforçant de redécouvrir l’essentiel –
ce n’est plus perdre mais valoriser le temps!

Prendre son temps
pour remarquer la beauté d’un paysage,
pour s’émerveiller devant le sourire d’un enfant,
pour apprécier la sagesse d’une personne agée,
ou, pour simplement… redevenir soi-même –
n’est-ce pas magnifier le temps?!

Il faut l’avouer, toutes les heures n’ont pas la même texture ni la même couleur,
l’horloge ci-contre l’indique clairement. 
Il y a, bien sûr,
les heures dorées du succès,
les heures bleues de la sérénité,
les heures vertes de l’espoir,
les heures rouges de la joie…

Mais elles sont là aussi, les heures plus sombres,
celles de la souffrance, de l’incompréhension, de la peine, du deuil…

Et lorsqu’elle font leur apparition, il faut alors… TEMPORISER.

Ce mot plutôt vieillot indique l’attitude qui nous fait choisir
le moment favorable,
l’heure appropriée,
le temps qu’il faut!

On avance l’heure? Alors…

“Oubliant le chemin parcouru, je vais droit de l’avant,
tendu de tout mon être, et je cours vers le but…” (Philippiens 3:13-14)

 

Source: Image: favpng.com

La fin de l’année…

À l’approche de la fin d’une année, deux symboles se présentent : 
le calendrier et l’horloge – les marqueurs du temps.
Ces deux images surgissent spontanément dans notre esprit :
le 31 décembre alors que nous allons tourner la page…
Et minuit quand s’ouvrira le livre de 365 pages où encore rien n’est inscrit…

Symboles de tout ce qui n’est pas encore…
Tout ce qui est en attente…
Tout ce qui est possible…
Tout ce qui surviendra…
Tout ce qui se réalisera… pour nous… par nous… sans nous… malgré nous…

Comme l’alphabet qui commence évidemment avec un A,
la nouvelle année pourrait aussi commencer avec un A :

Anticiper les jours à venir avec confiance.
Abandonner les illusions trompeuses.
Arrêter les lamentations et les récriminations.
Aviver l’espoir qui ose les recommencements.
Accomplir chaque jour ce que l’on peut réaliser.
Allumer ici et là une lueur de joie pour les gens qui nous entourent.
Accommoder avec patience ses limites et celles des autres.
Accepter sans amertume ce que l’on ne peut changer.
Accorder le temps qu’il faut à ce qui en vaut la peine.
Aspirer sans se lasser à ce qu’il y a de mieux.
 
Alors, la nouvelle année pourra être belle et bonne au fil des jours!

 

Source : Images : marketbeat.com   123RF.com

 

 

 

 

 

 

 

Une invitation… une promesse!

Dernièrement, à l’entrée d’un magasin grande surface, un panneau publicitaire nous accueillai
avec un message assez original.
C’était, oui, une invitation, même une promesse! 

Vous trouverez ici tout ce que vous n’avez jamais cherché!

J’ai souri et, sur le coup, les paroles de Jésus se sont juxtaposées à celles du panneau publicitaire :

« Demandez et l’on vous donnera, 
cherchez et vous trouverez,
frappez et l’on vous ouvrira. »   (Mt.7 :7-8)

Jésus nous assure que si nous cherchons, nous trouverons, mais…
mon expérience personnelle de la façon d’agir de Dieu est qu’il emprunte parfois
la méthode du magasin grande surface!

Sa réponse à notre prière est de nous donner ce que nous n’avions ni demandé, ni cherché!
Vous savez ce dont je parle, votre propre expérience ressemble possiblement à la mienne…

Pourtant, en toute honnêteté, je dois avouer qu’il arrive, même assez souvent,
que ce qui m’est ainsi accordé surpasse – et de beaucoup – tout ce que j’aurais pu désirer !

Publicité-spiritualité : une association incongrue?
Elle débouche tout de même sur une réflection enrichissante…

 

Source : Images : pixabay.com   Unsplash

 « À tout hasard…  »                 

Récemment, une amie m’invitait à me joindre à elle pour un repas au restaurant.
Comment refuser une telle invitation?!

À l’heure convenue, elle est venue me prendre et nous étions bientôt dans l’un de ses petits bistros préférés.
Nous y avons passé des moments bien agréables et nous nous sommes rassasiées des spécialités de la maison.
Nous avons échangé des souvenirs des dernières années et des activités qui nous tiennent toutes deux bien occupées au jour le jour.

En sortant du restaurant, je l’ai regardée avec un air un peu espiègle et lui ai dit :
« Tu avais choisi un endroit bien original; depuis que nous nous connaissons, tu ne laisses vraiment rien… au hasard. »

Elle a éclaté de rire – elle comprenait bien mon allusion : nous avions fait connaissance il y a quelques années,
vraiment… par hasard, lors d’une activité de bénévolat.

Peu de temps après, je me trouvais dans un petit village où j’ai découvert avec surprise une librairie –
ce genre de boutique qui offre les choses les plus inattendues.
En entrant, j’ai vite aperçu le mur à ma gauche recouvert de petites bannières chacune avec un message inspirant.

Et voilà que le texte de l’une d’elles m’a sauté aux yeux, littéralement!  
On pouvait lire : « Le hasard c’est DIEU en habit de travail! »

N’est-ce pas que : « Le hasard fait bien les choses »?!
 

Source : Images : vecteezy.com Freepik   Pngtree.com

Un vendredi différent de tous les autres…

Un homme est mort crucifié, les pieds et les mains fixés avec des clous dans le bois d’une croix.  
Tout le monde pense : « C’est fini. »
Les Juifs sont satisfaits, ils se sont défaits de quelqu’un qui questionnait leur autorité.
Les soldats romains ont complété une tâche désagréable.
Le groupe de gens qui s’étaient rassemblés par curiosité réalisent qu’il n’y a plus rien à voir.
Et les personnes qui avaient suivi ce condamné par compassion constatent qu’il est mort.
Ils s’en retournent chez eux en secouant la tête.

Un centurion romain lui à percé le côté pour s’assurer que la vie s’était retirée de son être.
Marie, sa mère, et Jean son disciple bien-aimé, l’ont vu de près.
On l’a finalement descendu de là et on a remis son corps inerte à sa mère.
Plus rien, plus un souffle, une simple dépouille comme toutes les dépouilles humaines.
C’est fini, vraiment fini…

Puis deux hommes généreux, deux hommes courageux, bravant la colère, possiblement aussi la moquerie, de leurs compatriotes, sont venus chercher celui qu’ils avaient connu, admiré, suivi comme ses disciples.
Ils l’ont déposé dans un tombeau taillé à même le roc et ils ont roulé devant cette grotte une lourde pierre.
Le soleil tombe et c’est déjà le repos du sabbat qui s’impose – l’embaumement devra attendre et les femmes doivent patienter avec leurs aromates et leurs parfums.

Selon toute apparence, oui, c’était fini.
Alors que chacun retournait chez soi ce vendredi soir, chacun et chacune avait ses propres pensées et ses sentiments profonds:
Les chefs des Juifs étaient soulagés.
Les soldats étaient probablement fatigués.
Les gens discutaient peut-être de toute l’affaire comme on parle des événements quotidiens.
Le Centurion s’en est allé bien surpris.
Et Jean et Marie ressentaient sûrement beaucoup de tristesse et de peine.

Mais y avait-il quelqu’un qui ESPÉRAIT?
Est-ce qu’il y avait quelqu’un qui s’attendait à ce que quelque chose se produise?
Est-ce que quiconque osait penser que ce n’était pas la fin mais seulement le commencement?

Possible? Improbable? Absurde?
Une foi infantile? Une espérance trompeuse? Une attente indigne de l’intelligence humaine…
C’est lui qui avait dit: « Qui croit en moi, fût-il mort, vivra » (Jn.11:25).

Mais voilà, il faut y CROIRE . . . d’une « foi à transporter les montagnes » (Mt.21:21) – rien de moins!

Source: Image: jesus-story.net

Disciples du Christ… Semaine Sainte

Pour apprendre à lire, on commence par… l‘A, B, C – ça va de soi !
Et pour apprendre à VIVRE… à la suite du Christ, on commence par l’A…

Alors que débute la Semaine Sainte, cette réflexion m’est venue à l’esprit et je vous la partage –
Réflexion sur les attitudes du disciple du Seigneur…
 
A ccueillir les imprévus, les entrevues, les inconnus, les bévues…

A cepter ce qui plaît ou déplaît, ce qui se fait ou défait…

A vancer quoi qu’il en coûte, sur la route, malgré le doute…

A bandonner ce qui, à nos yeux, est précieux, faire de son mieux…

A nticiper ce qui est promis, attente de confiance et d’espérance…

A ssuré que Lui est là en tout, partout, à travers tout…

A vant-goût d’un ‘je-ne-sais-quoi’… à saveur d’éternité!

 

C’est simple… Euh…  
Exigeant? Assurément,
Mystérieux et merveilleux…
                                                         comme Dieu peut nous paraître à l’aube de la RÉSURRECTION !
  

Source : Images : YouTube   Crosswalk.com   Pinterest