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La justice, quelle sorte?

 

L’évangile du vendredi de la 1ère semaine du Carême (Mt.5:20-26) nous montre que
la justice des Pharisiens n’a rien pour impressionner Jésus;
il le dit clairement et nous met en garde
si la nôtre n’est pas plus profonde et authentique.
Francis Bégin a trouvé de l’inspiration à ce sujet
chez une sainte… bien sympathique !
 

34è dimanche de l’année, A – Fête du Christ Roi

Nous, les humains, pouvons parfois avoir des attitudes assez surprenantes.
Nous célébrons aujourd’hui la fête du Christ-Roi alors que lui, le Christ, nous a dit bien clairement :
« Moi, je suis au milieu de vous comme celui qui sert… » (Lc.22:27) 

Jésus avait, pour ainsi dire, illustré ces paroles alors qu’il avait lavé les pieds de ses apôtres.
Il avait parlé aussi d’une manière forte et sans équivoque pendant les années de son enseignement un jour qu’il corrigeait l’esprit de compétition entre eux.
Il leur avait dit:

« Les chefs des nations les commandent en maîtres; les grands leur font sentir leur pouvoir.
Parmi vous, il ne doit pas en être ainsi.
Celui qui veut devenir grand parmi vous sera votre serviteur.
Celui qui veut être parmi vous le premier sera l’esclave de tous:
car le Fils de l’homme n’est pas venu pour être servi, mais pour servir. » (Mc.10:44-45)

Quand Dieu lui-même se fait serviteur, que pouvons-nous observer ?
Le très beau texte de la 1ère lecture (Ez. 34:11-12,15-17) nous le décrit d’une manière merveilleuse.
Il nous donne la description du Berger-serviteur. 

« Je m’occuperai de mes brebis,
et je veillerai sur elles…

J’irai les délivrer dans tous les endroits où elles ont été dispersées.
C’est moi qui ferai paître mon troupeau,
et c’est moi qui le ferai reposer.

La brebis perdue, je la chercherai ;
l’égarée, je la ramènerai.
Celle qui est blessée, je la panserai.
Celle qui est malade, je lui rendrai des forces.
Celle qui est grasse et vigoureuse,
je la garderai, je la ferai paître selon le droit. »
 

En ce jour de célébration,
ces paroles retiennent mon attention,
elles nourrissent ma réflexion
elles me sont une inspiration durable,
et, en cas de besoin, une consolation permanente…

Source: Images: Free Bible Images, Youtube.com

World Suicide Prevention Day – 10 September

Every year, more than 800,000 people die by suicide and up to 25 times as many make a suicide attempt. Behind these statistics are the individual stories of those who have, for many different reasons, questioned the value of their own lives.

Each one of these individuals is part of a community. Some may be well linked in to this community, and have a network of family, friends and work colleagues or school mates. Others may be less well connected, and some may be quite isolated. Regardless of the circumstances, communities have an important role to play in supporting those who are vulnerable.

This sentiment is reflected in the theme of the 2017 World Suicide Prevention Day: As members of communities, it is our responsibility to look out for those who may be struggling, check in with them, and encourage them to tell their story in their own way and at their own pace. Offering a gentle word of support and listening in a non-judgemental way can make all the difference.

Taking a minute can change a life
People who have lived through a suicide attempt have much to teach us about how the words and actions of others are important. They often talk movingly about reaching the point where they could see no alternative but to take their own life, and about the days, hours and minutes leading up to this. They often describe realising that they did not want to die but instead wanted someone to intervene and stop them. Many say that they actively sought someone who would sense their despair and ask them whether they were okay.

Sometimes they say that they made a pact with themselves that if someone did ask if they were okay, they would tell them everything and allow them to intervene. Sadly, they often reflect that no one asked.

The individuals telling these stories are inspirational. Many of them recount reaching the point where they did try to take their own lives, and tell about coming through it. Many of them are now working as advocates for suicide prevention. Almost universally, they say that if someone had taken a minute, the trajectory that they were on could have been interrupted.

Life is precious and sometimes precarious. Taking a minute to reach out to someone – a complete stranger or close family member or friend – can change the course of their life.

Source: Text: IASP  Image: ZME Science

 

 

 

Je blogue, tu blogues…

B L O G U E . . .

 
Je blogue…
Tu blogues…
Il blogue…

C’est à la mode!

Sur des thèmes variés
Laisser venir les idées
Et la pensée s’envoler
En toute liberté.

On se met à lire
Voilà qu’une phrase inspire
Un mot fait sourire
Il suffit de se laisser conduire.

Se laisser conduire par Lui
Toujours présent, l’Esprit
Qui au cœur murmure et dit
Le message qui réconforte, réjouit…
 

Nous bloguons
Vous bloguez
Ils bloguent…

Ils voguent
C’est la mode!

N.B. Le blogue est une forme de littérature assez récente. Il présent, tout particulièrement sur la grande toile de l’internet (world wide web = www)
L’office québecois de la langue française dit ceci au sujet des blogues :
« Dans les blogues, on peut donner son point de vue, publier des billets (courts textes) ou des articles (textes plus longs) dont le contenu et la forme, très libres, restent à l’entière discrétion des auteurs, qui peuvent ainsi communiquer leurs idées et leurs impressions.

Réflexion sur Les Mardis de Lise

Pendant 12 semaines, Lise Massé nous a présenté des personnalités
dont le vécu et l’expérience personnelle avaient vraiment
de quoi nous intéresser et nous inspirer.
Aujourd’hui, Diane Dargis qui avait d’abord présenté la série
réfléchit avec nous sur les différents épisodes des Mardis de Lise.

Journée internationale pour l’élimination de la violence sexuelle en temps de conflit – 19 juin

La création de cette journée est récente. 2015 pour être plus précis. En effet, c’est le 19 juin 2015 que l’assemblée générale de l’Organisation des Nations Unies (ONU) l’a créée.

Un cri éthique !
Cette Journée n’est certes associée à aucun conflit en particulier mais fait référence à « une tragédie pour l’humanité ».  Le Président de l’assemblée a insisté pour que la priorité soit accordée à la prévention et à l’attention aux victimes. Elles ont besoin d’une aide globale et de les débarrasser de leur honte qui doit rejaillir sur les criminels.

La violence sexuelle [en temps de conflit] n’est pas un phénomène nouveau et nous pouvons notamment nous souvenir que les atrocités commises en Ouganda ont fini par la révolte du peuple qui s’est finalement levé contre le Gouvernement qui perpétuait ces atrocités.  L’utilisation du viol comme arme de guerre doit être combattue par tous les moyens et les violeurs et leurs supérieurs traduits en justice.

Une journée « pas comme les autres »
Selon les représentants de l’ONU, la Journée internationale pour l’élimination de la violence sexuelle en temps de conflit ne peut pas être considérée comme une journée qui s’ajoute simplement à 120 autres, elle doit être une source d’inspiration pour des normes internationales de reddition de comptes. Tout un programme.

L’assemblée a par ailleurs souligné le rôle que pourrait jouer la Cour pénale internationale (CPI) dans la lutte contre la violence sexuelle et a appelé à la sensibilisation des dirigeants politiques, des Casques Bleus et des policiers en service dans les missions de maintien de la paix de l’ONU.

Un site à visiter : www.un.org   Source : Texte : Journée Mondiale  Image : leconomistemaghrebin.com


 
 

3rd Sunday of Lent, Year A

There is much in our lives which is expressed in the… conditional form !
Our conversations often run along these lines: ‘If only I had said this…’ ‘If only he had done that…’ ‘If only she had gone there…’

In the gospel of this 3rd Sunday of Lent (Jn. 4: 5-15-19-26.39-42), it is Jesus himself who uses such words: “If you only knew…”
 
As she usually does, a Samaritan woman came to draw water from the well and she found Jesus there.
She does not know him and she is astonished – and rather shocked – that he asks her for water.
Their exchange is lively and the woman is not shy to speak her mind but suddenly the tone of the conversation changes… it become somehow much more personal and deeper too.

Then Jesus speaks these words: “If you only knew…” and goes on saying: “what God is offering.”
 
Do we know, REALLY, what God is offering?…
Do we know who our God is – the kind of God he is, the God he wants to be for us?

In the 1st reading (Ex 17, 3-7), we have heard the Israelite asking: “Is God with us or not?”
At times, we may ask ourselves the same question…

Do we know that God is, REALLY with us, having decided to make his home in us (Jn.14:23).
And in Jesus he offers us the water that satisfies our thirst.

This can take the form of light in our dark moments…
Inspiration when we should make a choice or take a decision…
Strength when we just can’t cope any longer…
Comfort when we feel unable to face life’s problems…
Guidance when we are wondering which direction to give our lives…

Long before the time of Jesus, in the words of the prophet Jeremiah, God was lamenting:
“My people have abandoned me, the fountain of living water,
only to dig cisterns for themselves,
leaky cisterns that hold no water.” (Jer.2:13)

Are we doing the same… when the source of living water is offered to us?…
IF WE ONLY KNEW………..

Voir aussi: http://image-i-nations.com/the-samaritan-woman-2/

Source: Images: www.danburr.com