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Journée mondiale de l’environnement – 5 juin 2019

Il est indispensable de comprendre les différents types de pollution et leurs effets sur notre santé et notre environnement afin de prendre des mesures pour améliorer l’air que nous respirons.

« Il est donc temps de passer à l’action. Mon message aux gouvernements est clair : taxez la pollution, cessez de subventionner les combustibles fossiles et arrêtez de construire de nouvelles centrales à charbon. Il nous faut passer à une économie verte. » — António Guterres, Secrétaire général de l’ONU

Protégeons notre environnement
L’être humain est à la fois créature et créateur de son environnement, qui assure sa susbsistance physique et lui offre la possibilité d’un développement intellectuel, moral, social et spirituel. Dans la longue et laborieuse évolution de la race humaine sur la terre, le moment est venu où, grâce aux progrès toujours plus rapides de la science et de la technique, l’homme a acquis le pouvoir de transformer son environnement d’innombrables façons et à une échelle sans précédent.

L’Organisation des Nations Unies, consciente que la protection et l’amélioration de l’environnement est une question d’importance majeure qui affecte le bien-être des populations et le développement économique à travers le monde, a désigné le 5 juin comme Journée mondiale de l’environnement. La célébration de cette journée nous permet de développer les bases nécessaires pour éclairer l’opinion publique et donner aux individus, aux entreprises et aux collectivités le sens de leurs responsabilités en ce qui concerne la protection et l’amélioration de l’environnement. Depuis son lancement en 1974, cette journée est devenue une plate-forme mondiale de sensibilisation du public largement célébrée dans le monde entier.

Combattre la pollution de l’air
Chaque Journée mondiale de l’environnement est organisée autour d’un thème qui attire l’attention sur une préoccupation environnementale particulièrement urgente. Le thème de cette année est « La pollution de l’air », devenue désormais un problème mondial majeur.

Choisi par la Chine en tant qu’hôte des célébrations de la Journée pour 2019, le thème de cette année nous invite tous à réfléchir à la manière dont nous pouvons changer notre quotidien afin de réduire la pollution atmosphérique que nous produisons (et respirons !) et donc de contrecarrer sa contribution au réchauffement de la planète et ses effets sur notre santé.

Il est indispensable de comprendre les différents types de polluants et leur incidence sur la santé et l’environnement afin de prendre les mesures nécessaires pour améliorer la qualité de l’air. Neuf personnes sur dix dans le monde sont exposées à des niveaux de polluants atmosphériques supérieurs aux niveaux de sécurité de l’Organisation mondiale de la santé. Nous sommes confrontés à une véritable crise qui demande des actions rapides et radicales.

 

Source: Texte: www.un.org  Images: youtube   Freepik

 

 

Journée Internationale pour la préservation de l’environnement en temps de guerre – 6 novembre

A l’occasion de la Journée internationale pour la prévention de l’exploitation de l’environnement en temps de guerre et de conflit, le 6 novembre, le secrétaire général des Nations Unies a souhaité faire connaître son message :

Depuis que la guerre existe, l’environnement et les ressources naturelles en sont les victimes silencieuses. Les récoltes sont incendiées, les puits pollués, les sols empoisonnés et les animaux tués. Les objectifs ne sont pas toujours les mêmes : on peut vouloir se procurer un avantage stratégique, démoraliser des populations locales, venir à bout d’une résistance ou tout simplement nourrir ses soldats. Mais, même lorsqu’elles ne sont pas intentionnelles, les conséquences sont toujours catastrophiques. Nous assistons à des actes de destruction purs et simples, notamment le rejet de polluants et de substances dangereuses. Nous sommes témoins de bouleversements sociaux, comme la création de populations de réfugiés qui, à leur tour, mettent plus rudement les ressources à contribution. Et puisque la plupart des conflits se déroulent dans les pays pauvres, nous constatons les ravages économiques infligés par les guerres à des populations vulnérables qui sont les moins outillées pour faire face aux dégâts subis par leur environnement et pour surmonter un ralentissement du développement.

Dégâts collatéraux
Pendant la guerre du Golfe de 1991, les puits de pétrole du Koweït ont été délibérément incendiés et des millions de litres de pétrole brut ont été déversés dans les voies d’eau. Au Cambodge, 35 % de la couverture forestière a été détruite pendant les 20 ans qu’ont duré la guerre civile et les troubles. Au cours du conflit en Angola, le nombre des animaux sauvages a diminué de 90 % et, pendant la guerre du Viet Nam, des millions de tonnes d’agent orange ont été pulvérisées au-dessus des jungles de ce pays, ce qui a eu pour effet de dépouiller de toute végétation de vastes zones dont certaines ne peuvent toujours pas être cultivées aujourd’hui.

L’environnement est protégé en temps de guerre par un certain nombre d’instruments juridiques, notamment la Convention sur l’interdiction d’utiliser des techniques de modification de l’environnement à des fins militaires ou toutes autres fins hostiles (1976), la Convention sur les armes chimiques et la Convention sur la prohibition des mines antipersonnel (1997). En outre, le Protocole additionnel I aux Conventions de Genève interdit l’utilisation de  » méthodes ou moyens de guerre qui sont conçus pour causer, ou dont on peut attendre qu’ils causeront, des dommages étendus, durables et graves à l’environnement naturel  » et dispose que  » la guerre sera conduite en veillant à protéger l’environnement naturel contre des dommages étendus, durables et graves « . Mais ce qui fait cruellement défaut, ce sont les mécanismes voulus pour assurer l’application de ces conventions. De fait, il faudra peut-être que nous renforcions le chapitre  » vert  » des règles du droit humanitaire international.

(…)

Les technologies guerrières et armements modernes continuent à se développer rapidement, ce qui pourrait avoir des conséquences catastrophiques sur l’environnement. En même temps, on laisse trop de conflits s’envenimer pendant des années, voire des décennies, et épuiser petit à petit les ressources naturelles. Au moment où nous célébrons la Journée internationale pour la prévention de l’exploitation de l’environnement en temps de guerre et de conflit armé, prenons conscience du fait qu’aucune guerre et aucun conflit ne se déroule trop loin de nous pour avoir un effet sur notre environnement, quel que soit l’endroit où nous habitons. Et prenons l’engagement de faire ce que nous pourrons pour lutter contre cette menace commune et pourtant souvent oubliée qui met en péril nos vies et notre bien-être.

Un site à visiter : www.un.org        Source : Texte (abrégé) & Images: Journée mondiale

Journée mondiale pour la vue – 8 octobre 2020

Quatre-vingt pour cent de tous les cas de cécité sont évitables ou guérissables ; le droit à la vue peut et doit être mis en œuvre.

On estime à 180 millions le nombre des personnes qui souffrent d’une incapacité visuelle dans le monde. De 40 à 45 millions d’entre elles sont aveugles. Ces chiffres sont en forte augmentation, conséquence directe de l’accroissement démographique et du vieillissement des populations. Tragédie humaine, retard de développement, de nombreuses personnes se voient toujours dénier un de leurs droits fondamentaux.

La journée mondiale de la vue est consacrée chaque année au problème de la cécité dans le monde ; elle vise à sensibiliser davantage l’opinion à la prévention et au traitement de la perte de l’acuité visuelle. Les manifestations, qui ont lieu appellent l’attention sur le droit à la vue. La journée est axée sur l’engagement des gouvernements à faciliter l’accès aux services de santé pour la prévention et le traitement des affections oculaires.

Prévention de la cécité
Jusqu’à 80% des cas de cécité sont évitables, soit parce qu’ils résultent d’affections évitables (20 %), soit parce qu’ils sont guérissables (60 %). Les interventions destinées à prévenir et traiter la perte de l’acuité visuelle figurent parmi les interventions de santé les plus efficaces par rapport à leur coût et parmi celles qui réussissent le mieux: opération de la cataracte, prévention du trachome, distribution d’ivermectine pour le traitement de la cécité des rivières, vaccination antirougeoleuse, distribution de vitamine A pour prévenir la cécité infantile, fourniture de lunettes.

Vision 2020, le droit à la vue
Une personne devient aveugle dans le monde toutes les cinq secondes. Un enfant devient aveugle toutes les minutes. On estime à plus de sept millions le nombre de personnes qui deviennent aveugles chaque année. L’initiative mondiale Vision 2020 a été lancée en 1999 et vise à éliminer la cécité évitable d’ici à 2020. Plus de 40 pays ont adopté des programmes VISION 2020.

« Les partenaires, y compris les gouvernements, qui collaborent dans le cadre de VISION 2020 peuvent sensiblement améliorer par leur action la vie des millions de femmes, hommes et enfants qui souffrent déjà d’une incapacité visuelle ou qui sont exposés. Il est possible de protéger ou de rétablir la vue à peu de frais, et de soustraire ainsi les gens à la pauvreté. Ces personnes sont alors à même de participer pleinement au développement de leur famille, de leur communauté et de leur pays, «  a déclaré le Dr Gro Harlem Brundtland, Directeur général de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS).  » Les soins oculaires doivent donc être prioritaires, «  a-t-elle ajouté,  » et cette question ne concerne pas que les ministères de la santé. « 

La cécité évitable touche souvent des personnes pauvres, qui n’ont pas accès à des services de soins oculaires de qualité. La cécité évitable est plus courante chez les plus pauvres, les femmes et les groupes marginalisés. 90% des aveugles dans le monde vivent dans des pays en développement. On compte au moins 9 millions d’aveugles en Inde, six millions en Chine et sept millions en Afrique.

Le risque de cécité est de cinq à dix fois plus élevé chez les habitants des pays en développement que chez les personnes qui vivent dans des pays hautement industrialisés. VISION 2020 envisage donc l’élimination de la cécité évitable et guérissable sous l’angle du développement mondial. Les incapacités visuelles ont des incidences profondes sur tous les aspects du développement humain –sociaux et économiques et qualité de vie.

* La Journée Mondiale de la Vue est célébrée chaque 2° jeudi d’octobre

Un site à visiter : www.who.int   Source : Texte & Image : Journée Mondiale

Journée Internationale de la non violence – 2 octobre

En juin 2007, l’assemblée générale de l’ONU a décidé de célébrer la Journée Internationale de la non-violence le 2 octobre de chaque année, jour anniversaire de la naissance du Mahatma Gandhi.

Elle souhaitait par ailleurs rendre hommage à l’action de son ancien secrétaire général Kurt Waldheim, décédé le 14 juin de la même année.

La culture de la non-violence et de la paix

Dans sa réflexion, l’assemblée générale de l’ONU a proposé huit grands axes de travail qui sont:

  • le renforcement d’une culture de la paix par l’éducation
  • la promotion et le développement économique et social durable
  • la promotion et le respect de tous les droits de l’homme
  • l’égalité entre les femmes et les hommes
  • la participation démocratique
  • le développement de la compréhension, la tolérance et la solidarité
  • le soutien de la communication participative et de la libre circulation de l’information et des connaissances
  • la promotion de la paix et de la sécurité internationales.
La sculpture (ci-dessus) de Carl Fredrik Reuterswärd, intitulée “Non Violence” date de 1985 et est visible à Malmö.
Un site à visiter : www.journeedelanonviolence.org   Source : Texte & Images : Journée mondiale   askideas.com

Journée internationale de l’alphabétisation – 8 septembre

La Journée internationale de l’alphabétisation est célébrée par le monde entier chaque année le 8 septembre et rassemble les gouvernements, la société civile et l’ensemble des acteurs concernés. Elle donne l’occasion de souligner les réalisations dans le domaine de l’alphabétisation et de réfléchir aux moyens de relever les défis restants.

Ce sujet est au cœur du Programme de développement durable à l’horizon 2030 et de ses objectifs. En 2018, la Journée internationale de l’alphabétisation sera célébrée à travers le monde sous le thème « Alphabétisation et développement des compétences ».

Adoptés en septembre 2015, les objectifs de développement durable promeuvent l’accès de tous à une éducation de qualité, sur un pied d’égalité, ainsi que des possibilités d’apprentissage tout au long de la vie. L’une des cibles de l’objectif 4 est de veiller, d’ici à 2030, « à ce que tous les jeunes et une proportion considérable d’adultes, hommes et femmes, sachent lire, écrire et compter. »

La Journée est célébrée cette année sous le thème Alphabétisation et développement des compétences. Malgré les progrès réalisés, des problèmes d’alphabétisation persistent et les exigences en termes de compétences requises pour le travail évoluent rapidement. La Journée de l’alphabétisation examine et met en évidence des approches intégrées qui peuvent simultanément soutenir le développement de l’alphabétisation et des compétences, pour améliorer la vie et le travail et contribuer à rendre les sociétés équitables et durable.

Dans le contexte de la Journée 2018, les « compétences » désignent les connaissances et les compétences nécessaires à l’emploi, aux carrières et aux moyens d’existence, en particulier les compétences techniques et professionnelles ainsi que les compétences transférables et les compétences numériques.

Source : Texte : ONU Images : staffingamericalanina.com   CDÉACF

 

Journée Internationale des Populations autochtones – 9 août

En 1994, l’Assemblée générale des Nations Unies a décidé de faire du 9 août la Journée internationale des populations autochtones (résolution 49/214), chaque année pendant la Décennie internationale des populations autochtones. Cette date marque le jour de la première réunion du Groupe de travail sur les populations autochtones de la Sous-Commission de la promotion et de la protection des droits de l’homme en 1982.

Le but de cette Décennie est de renforcer la coopération internationale pour résoudre les problèmes rencontrés par les populations autochtones dans des domaines tels que les droits de l’homme, l’environnement, le développement, l’éducation et la santé. Le coordonnateur de la Décennie est le Haut Commissariat des Nations Unies aux droits de l’homme.

En avril 2000, la Commission des droits de l’homme a adopté une résolution sur l’établissement de l’Instance permanente sur les questions autochtones qui a été approuvée par le Conseil économique et social le 28 juillet 2000. (E/RES/2000/22). L’Instance permanente devra fournir des conseils sur les questions touchant au développement social et économique, aux droits de l’homme, à l’éducation, à la santé et à l’environnement.

Un site à visiter : www.un.org       Source: Texte & Image: Journée Mondiale

 

Journée Mondiale de la population – 11 juillet

En 1989, le Conseil d’administration du Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD) a recommandé de faire du 11 juillet la Journée mondiale de la population. Cette journée, issue de la Journée des cinq milliards, célébrée le 11 juillet 1987, a pour objet d’appeler l’attention sur l’urgence et l’importance des questions de population, notamment dans le cadre des plans et programmes généraux de développement et sur la nécessité de trouver des solutions. (Source: ONU)

« Chaque femme et chaque fille est un être humain unique et précieux qui a droit à jouir de chances égales et des droits de la personne universellement reconnus, où qu’elle soit née et où qu’elle vive. Le moment est venu de redoubler d’efforts pour placer l’égalité entre les sexes au sommet de l’agenda international de la paix et du développement. »   Thoraya Obaid, Directrice exécutive de l’UNFPA 

Un site à visiter : www.planetevivante.wordpress.com   Source : Texte & Image : Journée Mondiale

Cette année (2018) marque le 50e anniversaire de la Conférence internationale des droits de l’homme de 1968, où la planification familiale a été, pour la première fois, reconnue mondialement comme un droit de l’homme.

La Conférence a également adopté la résolution XVIII intitulée « Aspects des droits de l’homme de la planification familiale », qui relie ce droit à « la dignité et la valeur de la personne humaine » et note la relation entre l’accès à la planification familiale et la condition féminine.

Source : Texte (abrégé) : UNFPA

 

Journée internationale de sensibilisation à l’albinisme – 13 juin

Le 13 juin 2015, c’est la première journée internationale de l’albinisme. Son but est de sensibiliser le grand public aux difficultés rencontrées par les albinos dans leur vie quotidienne et lutter contre le rejet qu’ils peuvent parfois subir dans certaines sociétés. La journée veut aussi être un appel aux dons en faveur de la recherche.

Mieux connaître l’albinisme
Maladie relativement méconnue, l’albinisme est suscitée par un défaut de production de la mélanine, substance qui donne sa couleur à notre peau.

La mélanine a aussi un rôle protecteur de la peau par rapport aux attaques des rayons ultraviolets du soleil. Elle contribue, chez les sujets sains, au développement du système nerveux visuel et de la rétine.

Le défaut de production de mélanine, comme chez les albinos, a plusieurs conséquences possibles :
– dépigmentation partielle ou totale de la peau, des cheveux ou des yeux.
– déficiences visuelles dans la mesure où on observe un développement anormal de la rétine durant la période fœtale.
– difficulté à supporter la lumière ou photophobie. La lumière peut provoquer des sensations visuelles pénibles, voire douloureuses.

Un site à visiter : www.genespoir.org    Source : Texte Journée Mondiale Image: PaSiDupes

 

Journée Mondiale de la diversité culturelle pour le dialogue et le développement – 21 mai

Le 2 novembre 2001, l’UNESCO a adopté sa déclaration universelle sur la diversité culturelle. Elle reconnaît, pour la première fois, la diversité culturelle comme « héritage commun de l’humanité » et considére sa sauvegarde comme étant un impératif concret et éthique inséparable du respect de la dignité humaine.

Suite à cela, l’Assemblée générale des Nations Unies a proclamé le 21 mai, « Journée mondiale de la diversité culturelle pour le dialogue et le développement » afin d’approfondir nos réflexions sur les valeurs de la diversité culturelle pour apprendre à mieux « vivre ensemble ». C’est pourquoi l’UNESCO fait appel aux états membres et à la société civile pour célébrer cette journée en y associant le plus grand nombre d’acteurs et de partenaires !

Objectifs
Cette journée donne l’occasion de mieux connaître et apprécier ce que nous devons aux autres cultures, et à prendre la mesure de la diversité de leurs apports, de leur unicité, de leur complémentarité et de leur solidarité.

Connaître et reconnaître nos différences, les respecter en ce qu’elles fondent notre propre identité, c’est donner la chance aux siècles qui s’annoncent de s’épanouir enfin hors des conflits identitaires de tous ordres. La diversité culturelle est un droit humain fondamental. Lutter pour sa promotion c’est lutter contre les stéréotypes et le fondamentalisme culturels.

Les autorités publiques sont de plus en plus sensibles à la nécessité de développer le dialogue interculturel, en vue de renforcer la paix, la sécurité, et la stabilité au niveau mondial.

Promouvoir le dialogue mutuel
En instaurant le 21 mai la « Journée mondiale de la diversité culturelle pour le dialogue et le développement « , l’ONU donne une orientation importante en plaçant le dialogue mutuel – au-delà du sexe, de l’âge, de la nationalité, de l’appartenance culturelle et de la religion – au centre de tous les efforts pour parvenir à un monde de paix, capable de faire face à l’avenir. « Seul le dialogue peut servir de base à une société pluraliste et culturelle », déclare Elsbeth Müller, secrétaire générale d’UNICEF suisse à l’intégration, de même que la compréhension mutuelle entre les cultures, jouent là un rôle essentiel.“

Un site à visiter : www.un.org   Source : Texte & Image : Journée Mondiale

Journée mondiale du bonheur – 20 mars

Prenez un jour « normal », sans guerre, sans catastrophe, sans aucun viol, sans fermeture d’usine, sans expulsion… ç’est bon, vous l’avez trouvé ? il ne vous reste plus qu’à créer la journée internationale du bonheur.

Présenté comme cela, c’est presque drôle. Ce qui l’est moins, c’est que cette journée existe bel et bien et qu’elle a été décrétée par l’ONU à l’unanimité des pays membres. Mieux, ni la Russie ni la Chine n’ont exercé leur droit de veto.

Une journée alibi ?
La résolution de l’assemblée générale de l’ONU est explicite, elle invite chaque état-membre à célébrer cette Journée comme il se doit, notamment dans le cadre d’initiatives éducatives et d’activités de sensibilisation.

Pour faire bonne mesure l’auguste assemblée associe à cette démarche les différents organismes des Nations Unies, toutes les organisations internationales et régionales ainsi que la société civile.

Un objectif fondamental de l’être humain
On aurait pu aussi parler de journée gadget… mais c’est loin d’être le cas et la déclaration du Secrétaire Général des Nations Unies est explicite:

Le monde a besoin d’un nouveau paradigme économique qui reconnaît la parité entre les trois piliers du développement durable. Les bien-être social, économique et environnemental sont indissociables. Ensemble, ils définissent le bonheur brut mondial.

La journée mondiale du bonheur est bien dans l’air du temps et de la recherche d’un « mieux vivre ». Les économistes cherchent aujourd’hui à élaborer de nouveaux outils de mesures pour mieux prendre en compte l’importance du bonheur pour le développement afin d’orienter les politiques nationales.

On en arrive ainsi au véritable but de cette journée : la prise de conscience par les gouvernements que la seule croissance économique ne suffit plus à assurer le « bonheur » d’un pays et qu’un développement plus équitable, équilibré et durable permettrait de mieux éliminer la pauvreté et assurer le bien-être de tous les peuples.

Un site à visiter : www.un.org       Source: Texte: http://www.journee-mondiale.com/306/journee-mondiale-du-bonheur Image: timeanddate.com

 

Pic : timeanddate.com