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De ceci... de cela...

Sous cette rubrique vous trouverez des mots, des idées, des propos, des pensées

se voulant une avenue pour aider à réfléchir, à découvrir, à franchir - peut-être -

une nouvelle étape vers... ce que vous désirez, espérez, anticipez!

Journée mondiale du bandeau blanc contre la pauvreté – 1er juillet 2023

Journée mondiale du bandeau blanc contre la pauvreté

Il y a des journées mondiales qu’on aimerait ne plus célébrer… celle-ci en fait partie. Elle tire son origine de l’opération « 2005 : plus d’excuses ! » dont la première édition remonte à… 2005 ! Mais chaque 1er juillet, la journée revient, les bonnes intentions sont affichées, et bien peu de progrès concrets sont enregistrés.Le port du bracelet blanc à votre poignet est un signe de soutien à l’action mondiale contre la pauvreté. De nombreuses associations sont partie prenante dans de nombreux pays.

Réduire la pauvreté de moitié d’ici… 2015

Vous n’avez pas révé, nous sommes bien en 2023, le site a bien été mis à jour !

La coalition à l’origine de cette journée a pour objectif d’interpeller les Etats, qui ont signé les Objectifs du Millénaire en 2000, pour qu’ils respectent leurs engagements et prennent dès maintenant des mesures concrètes pour réduire de moitié la pauvreté dans le monde. Le Secours Catholique / Caritas France est fortement engagé dans cette campagne. Il est une des 6 organisations du comité de pilotage, avec Agir Ici, le CCFD, le CRID, Coordination Sud et la CFDT.

En France, ce sont plus de soixante organisations et syndicats réunis au sein de « 2005 : plus d’excuses ! » qui portent la campagne. Le bandeau blanc est le symbole de l’Action Mondiale contre la pauvreté qui regroupe des centaines d’organisations et de citoyens à travers le monde.

Un site à visiter : www.fondationcaritasfrance.org           Source: Texte & 1ère Image: Journée mondiale    2è image: ZAKWELI

Journée internationale de la phénylcétonurie (PCU) – 28 juin

Les journées mondiales consacrées à des maladies rares ou orphelines sont nombreuses dans ce site, et la phénylcétonurie (ou PCU) en fait partie. Il s’agit d’une maladie génétique qui reste encore trop méconnue aujourd’hui. Le grand public est insuffisamment informé et sensibilisé aux risques encourus par les porteurs de cette maladie.

PKU-DAY, mieux comprendre la maladie

La phénylcétonurie est une maladie génétique héréditaire qui empêche les enfants qui en sont atteints d’assimiler une substance naturellement présente dans l’alimentation, la phénylalanine.

Quand elle n’est pas diagnostiquée et traitée très tôt, la maladie entraîne une accumulation de phénylalanine dans l’organisme, substance particulièrement toxique pour le cerveau en développement de l’enfant.

C’est pourquoi, en France et dans d’autres pays, la phénylcétonurie est dépistée systématiquement à la naissance. L’identification très rapide des nouveau-nés atteints permet de les traiter, et empêche l’apparition des manifestations de la maladie. Ce traitement leur permet par la suite de mener une vie normale.

Le choix du 28 juin

La date a été choisie en hommage au grand médecin Robert Guthrie, né le 28 juin 1916. Il est considéré dans le monde entier comme le grand pionnier des tests de masse chez les nouveau-nés.

Un site à visiter : www.pkuday.org      Source: Texte & 2è image: Journée mondiale    1ère image: Robert Guthrie PKU

La journée Helen Keller – 27 juin

Dans certaines régions, le 27 juin on célèbre ‘Helen Keller Day’ – la Journée Helen Keller.
Cette journée est considérée comme étant d’un intérêt particulier pour la société.
Helen Keller a été une femme exceptionnelle et ses réalisations sont à la fois surprenantes et des plus intéressantes.

Dans la vidéo qui suit, l’un  des épisodes de la série ‘Les mardis de Lise’,
Lise Massé nous présente cette femme remarquable qu’a été Helen Keller.

 

Source: Image: Aleteia

 

 

Journée des micro, petites et moyennes entreprises – 27 juin

Contexte

Les MPME représentent 90 % des entreprises, 60 à 70 % des emplois et 50 % du PIB dans le monde. Véritable colonne vertébrale des sociétés partout dans le monde, elles contribuent aux économies locales et nationales et au maintien des moyens de subsistance, en particulier pour les travailleurs pauvres, les femmes, les jeunes et les groupes en situation de vulnérabilité.

Les MPME ont le potentiel de transformer les économies, de favoriser la création d’emplois et de promouvoir une croissance économique équitable si elles bénéficient d’un soutien adéquat. L’événement de la Journée des MPME vise à mettre en lumière leur rôle essentiel et à explorer les possibilités leur permettant de continuer à se développer.

L’Assemblée générale des Nations Unies a proclamé le 27 juin « Journée des micro, petites et moyennes entreprises » (A/RES/71/279) afin de sensibiliser le public à l’immense contribution des MPME à la réalisation des objectifs de développement durable (ODD).

Le saviez-vous ?

  • 600 millions d’emplois seront nécessaires d’ici 2030 pour absorber la main-d’œuvre mondiale croissante, ce qui fait du développement des PME une priorité pour de nombreux gouvernements dans le monde.
  • Dans les marchés émergents, la plupart des emplois formels sont générés par les PME, qui créent 7 emplois sur 10.
  • L’accès au financement est particulièrement difficile pour les petites entreprises des pays les moins avancés (PMA). En effet, 41 % des PME des PMA déclarent que l’accès au financement est un obstacle majeur à leur croissance et à leur développement, contre 30 % dans les pays à revenu intermédiaire et seulement 15 % dans les pays à revenu élevé.

 

Source: Texte & Image: https://www.un.org/fr/observances/micro-small-medium-businesses-day

Journée internationale des Nations Unies pour le soutien aux victimes de la torture – 26 juin

Les tortionnaires ne doivent jamais être autorisés à échapper aux conséquences de leurs crimes, et les systèmes qui permettent la torture devraient être démantelés ou transformés.

Secrétaire général António Guterres

La torture : un crime contre l’humanité

La torture vise à briser la personnalité de la victime et constitue une négation de la dignité inhérente à l’être humain. Malgré l’interdiction absolue de la torture en vertu du droit international, elle persiste dans toutes les régions du monde. La protection des frontières et la sécurité nationale sont des moyens utilisés pour justifier la torture et d’autres formes de traitements cruels, inhumains et dégradants. Ses conséquences vont souvent au-delà de l’acte isolé sur un individu et peuvent être transmises à des générations et conduire à des cycles de violence.

L’ONU a toujours condamné la torture comme l’un des actes les plus viles commis par des êtres humains sur leurs semblables.

La torture est un crime en vertu du droit international et fait l’objet d’une interdiction absolue qui ne peut être justifiée en aucune circonstance. Cette interdiction fait partie du droit international et s’applique à tous les membres de la communauté internationale, que l’État ait ou non ratifié les traités internationaux dans lesquels la torture est expressément interdite. La pratique systématique ou généralisée de la torture constitue un crime contre l’humanité.

Par la résolution 52/149 adoptée le 12 décembre 1997, l’Assemblée générale des Nations Unies a proclamé le 26 juin Journée internationale des Nations Unies pour le soutien aux victimes de la torture, en vue d’éliminer totalement la torture et d’assurer l’application effective de la Convention contre la torture et autres peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants, qui est entrée en vigueur le 26 juin 1987.

Le 26 juin est l’occasion de faire appel à toutes les parties prenantes, y compris les États Membres de l’ONU, la société civile et les individus à travers le monde pour s’unir et soutenir les centaines de milliers de personnes qui ont été (ou sont encore) victimes de torture.

Guérir grâce à la réadaptation

Des programmes de réhabilitation sont nécessaires pour permettre aux victimes une transition de l’horreur à la guérison. Le Fonds de contributions volontaires des Nations Unies pour les victimes de la torture, administré par le Bureau des droits de l’homme, est un mécanisme unique, axé sur les victimes et leur famille afin de leur apporter un soutien financier. Créé en 1981, avec pour mandat de soutenir les victimes de torture et leurs familles, le Fonds fonctionne en acheminant des contributions volontaires vers des organisations de la société civile fournissant des services juridiques, sociaux, humanitaires, psychologiques et médicaux. Les bénéficiaires comprennent les défenseurs des droits de l’homme, les personnes privées de liberté, les enfants et les adolescents, les réfugiés et les migrants, les victimes de disparitions forcées, les peuples autochtones, les victimes de violences sexuelles et sexistes et les personnes LGBTI, entre autres. Vous pouvez soutenir le Fonds de contributions volontaires des Nations Unies pour les victimes de la torture en faisant un don.

Pourquoi le 26 juin ?

Le 26 juin marque le jour où, en 1987, la Convention contre la torture et autres peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants est entrée en vigueur. Aujourd’hui, 173 États sont parties à la convention.

Au cours des années 80 et 90, des progrès ont été accomplis aussi bien dans l’élaboration de normes et d’instruments juridiques que dans la mise en œuvre de l’interdiction de la torture.

La Convention contre la torture et autres peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants a été quant à elle adoptée par l’Assemblée générale en 1984 et est entrée en vigueur en 1987. Son application par les États parties est surveillée par un organe d’experts indépendants, le Comité contre la torture.

Le premier Rapporteur spécial sur la torture, qui était un expert indépendant chargé de faire rapport sur la situation de la torture dans le monde, a été nommé par la Commission des droits de l’homme en 1985.

En 2002, le Protocole facultatif se rapportant à la Convention contre la torture a été adopté. Ce traité vise à empêcher la torture et les traitements cruels, inhumains ou dégradants en permettant la mise en place d’un système international d’inspection des lieux de détention. Le protocole oblige également les États à mettre en place des mécanismes nationaux de prévention indépendants chargés d’examiner le traitement des personnes en détention, de formuler des recommandations aux autorités gouvernementales afin de renforcer la protection contre la torture et de formuler des observations sur la législation existante ou en projet. Il est administré par le Sous-comité pour la prévention de la torture. À ce jour, 91 États sont parties au protocole.

 

Source: Texte (abrégé): https://www.un.org/fr/observances/torture-victims-day

Image: Le « fil d’unité », fabriqué par les enfants de survivants comme symbole d’unité. À droite : dans ce pot, les participants peuvent placer des symboles de qualités qu’ils souhaitent voir en eux-mêmes.  PHOTO :ONU/Sergii Kharenko

Journée internationale du dépistage de la scoliose – 26 juin

Journée internationale du dépistage de la scoliose

Le 26 juin, c’est la Journée internationale de sensibilisation à la scoliose, journée d’origine anglo-saxonne, connue sous le nom de « International Scoliosis Awareness Day » qui évoque plus la sensibilisation à la maladie que son dépistage.

International Scoliosis Awareness Day

La scoliose se manifeste par une déformation de la colonne vertébrale, qui se tord et se courbe sur le côté, affectant l’apparence et la posture. Elle est connue depuis fort longtemps et on retrouve même des traces dans l’antiquité greque qui évoquaient déjà la maladie en 400 avant JC.

Les causes de la scoliose sont encore assez mal connues et il en va malheureusement de même pour son traitement. Les plus efficaces peuvent être prescrits aux jeunes enfants, d’où l’importance du dépistage précoce de la scoliose et l’intérêt même de cette journée internationale !

Dépistage

De nombreux sites parlent du dépistage de la socliose et de son traitement. Nous n’avons pas vocation à choisir quel est le bon, nous vous en indiquons plusieurs qui vous permettront dêtre mieux informés :

 

Source: Texte & Image: Journée mondiale

Journée Mondiale contre l’abandon des animaux de compagnie – 24 juin 2023

Journée Mondiale contre l'abandon des animaux de compagnie

Cette journée mondiale est une initiative de Solidarité Animal et est soutenue par de nombreuses autres associations dont bien entendu la SPA.la Journée Mondiale contre l’abandon des animaux de compagnie (animaux domestiques selon certaines sources) a été lancée pour dénoncer et alerter les pouvoirs publics, sensibiliser le grand public et agir contre cette injustice faite à nos compagnons à quatre pattes.

Un délit

L’abandon d’animaux constitue un délit depuis 1976. Il est considéré comme un acte de cruauté, au même titre que la maltraitance animale. Rien qu’en France, ils seraient ainsi plus de 100 000 à être abandonnés.

Une date symbolique

Le dernier samedi du mois de juin est symboliquement celui du premier grand départ des juillettistes, dans la plupart des pays d’Europe. Pour 2023, il tombe le 24 juin et c’est donc cette date qui a été retenue pour mobiliser les citoyens et réunir les associations de protection animale.

Les refuges de la SPA sont submergés par les arrivées d’animaux abandonnés et cette journée mondiale de sensibilisation permettra de dénoncer un fléau qui sévit chaque année à l’aube des départs en vacances. 

Un site à visiter : www.solidarite-animal.com     Source: Texte & Image: Journée mondiale

Journée nationale des peuples autochtones – 21 juin 2023

À propos de la Journée nationale des peuples autochtones

Pendant des générations, de nombreux groupes et communautés autochtones ont célébré leur culture et leur patrimoine le 21 juin ou à cette période de l’année étant donné la signification que revêt le solstice d’été : le jour le plus long de l’année.

La Journée nationale des peuples autochtones a été annoncée en 1996 par le gouverneur général de l’époque, Roméo LeBlanc, grâce à la Proclamation désignant le 21 juin de chaque année comme Journée nationale des peuples autochtones. Cette journée a été créée à la suite de consultations auprès de divers groupes autochtones, qui ont fait des déclarations d’appui à cet égard.

  • En 1982, la Fraternité des Indiens du Canada (maintenant l’Assemblée des Premières Nations) a demandé l’établissement de la Journée nationale de la solidarité autochtone
  • En 1995, l’Assemblée spirituelle, conférence nationale d’Autochtones et de non-Autochtones, présidée par Elijah Harper, a proposé la création d’une fête nationale pour souligner la contribution des Autochtones
  • Toujours en 1995, la Commission royale sur les peuples autochtones a recommandé l’adoption d’une journée nationale des Premiers Peuples.

Le 21 juin 2017, le premier ministre a fait une déclaration annonçant son intention de renommer cette journée « National Indigenous Peoples Day »; le nom reste le même en français.

La Journée nationale des peuples autochtones fait partie des festivités de Canada en fête, qui incluent également la Saint-Jean-Baptiste le 24 juin, la Journée canadienne du multiculturalisme le 27 juin et la fête du Canada le 1er juillet.

Le gouvernement du Canada offre des occasions de financement pour les événements festifs communautaires ainsi que pour les commémorations lors de la Journée nationale de la vérité et de la réconciliation.

 

Source: Texte & Image: https://www.rcaanc-cirnac.gc.ca/fra/

Journée internationale de la girafe – 21 juin

Journée internationale de la girafe

Parmi les nombreuses journées internationales ou mondiales consacrées à telle ou telle espèce menacée, celle consacrée à la girafe nous invite à prendre de la hauteur.Et il y a de quoi : 4.30 m en moyennes pour les femelles et jusqu’à 5.50 m pour les mâles… mais cet animal est attachant à bien d’autres titres.

L’animal qui a inventé le clapet anti-retour

Eh oui, pour permettre au sang de monter du coeur jusqu’au cerveau il a bien fallu ruser un peu; et dame nature a mis les moyens. A ce propos, on lira avec profit l’article de Libé intitulé « Le cou de sang de la girafe« 

L’animal de tous les superlatifs

On qualifie souvent la girade d’animal de tous les superlatifs. L’énumeration qui suit vous explique pouquoi (données empruntées au site du zoo de beauval)

  • La girafe est le plus grand animal vivant sur notre planète. Un mâle peut atteindre 5 m et peser jusqu’à 1 tonne, tandis que les femelles affichent 4,30 m en moyenne.
  • La girafe dort très peu : 2 heures par jour et encore, par tranches de quelques minutes. Elle arrive ainsi à concilier digestion et surveillance les prédateurs potentiels. Une histoire à dormir debout. C’est d’ailleurs la position qu’elle choisit pour son sommeil.
  • Elle a autant de vértèbres que l’homme, c’est à dire 7 vertèbres malgré la taille de son cou. Chez la girafe chaque vértèbre mesure 40 cm d’épaisseur alors que chez l’homme on frôle les 4 cm !
  • On ne sait pas si elle bavarde, mais en tous cas elle a une grande langue : 50 cm. Son organe est de couleur bleu sombre tirant sur le noir. Elle est très efficace pour attraper les feuilles d’acacia dont elle raffole.
  • La girafe est dotée d’un cœur hors norme. Il peut peser jusqu’à 11 kg et bat deux fois plus vite que celui d’un homme. Il est soumis à rude épreuve dans la mesure où il doit pomper 60 litres de sang par minute pour irriguer la totalité du corps.

Un animal menacé

On doit malheureusement ranger la girafe parmi les expèces menacées et, dans les régions africaines où elle vit en liberté, sa population a diminué de moitié durant le XXème siècle. Heureusement, de nombreux pays ont pris conscience du phénomène et tentent de la protéger des méfaits de la chasse et de ceux de l’extension des zones de cultures.

Un site à visiter : actus.zoobeauval.com       Source: Texte & Image: Journée mondiale

Journée Mondiale des réfugiés – 20 juin 2023

Journée Mondiale des réfugiés

Ce n’est qu’ensemble que nous pourrons mettre fin à cette pandémie et nous rétablir. Ce n’est qu’ensemble que nous pourrons relancer nos économies. Et alors, ensemble, nous pourrons tous revenir aux choses que nous aimons. »

Le Secrétaire général de l’ONU, António Guterres

L’historique de la journée mondiale des réfugiés es, si on peut parler ainsi, africaine. Pendant des années, plusieurs pays et régions ont célébré leur propre Journée des réfugiés, voire parfois leur semaine. L’une des plus connues était la Journée africaine des réfugiés, qui est célébrée le 20 juin dans plusieurs pays de ce continent.

Solidarité africaine

C’est en témoignage de solidarité avec l’Afrique, que l’Assemblée générale des Nations Unies a adopté la résolution 55/76 le 4 décembre 2000. Dans cette résolution l’assemblée générale notait que l’année 2001 marquait le cinquantième anniversaire de la Convention de 1951 relative au statut des réfugiés et que l’Organisation de l’unité africaine (OUA) avait accepté que la Journée internationale des réfugiés coïncide avec la Journée du réfugié africain du 20 juin.

L’Assemblée générale des Nations Unies a ainsi décidé qu’à compter de 2001, le 20 juin marquerait la Journée mondiale des réfugiés. En 2023, nous célébrons donc la 22 ème édition de cette journée et son actualité reste brûlante avec la multiplication des conflits locaux et leurs corollaires que constituent les déplacements forcés de population.

Une seconde journée est consacrée aux réfugiés : la journée mondiale du migrant et du réfugié, instituée par l’église catholique et célébrée le 17 janvier.

Un record dont on se passerait volontiers…

Le Haut-Commissariat de l’ONU pour les réfugiés (HCR) avait publié le 19 juin 2019 son rapport annuel. Il nous révèlait que le monde comptait fin 2018 un nombre record de 70,8 millions de déracinés ayant fui des guerres ou des persécutions. Il s’agissait d’un niveau jamais atteint depuis la création du HCR, il y a 70 ans.

  • 2 fois plus de personnes déracinées qu’il y a 20 ans
  • 2,3 millions de personnes supplémentaires par rapport à l’année 2017

Le mode de calcul de l’ONU permet de catégoriser le nombre total de « déracinés » dans le monde de la façon suivante :

  • les réfugiés (25,9 millions)
  • les déplacés internes (41,3 millions)
  • les demandeurs d’asile (3,5 millions).
Un site à visiter : www.un.org     Source: texte & Image:  Journée mondiale