?

De ceci... de cela...

Sous cette rubrique vous trouverez des mots, des idées, des propos, des pensées

se voulant une avenue pour aider à réfléchir, à découvrir, à franchir - peut-être -

une nouvelle étape vers... ce que vous désirez, espérez, anticipez!

Journée mondiale du végétarisme – 1er octobre

Journée mondiale du végétarisme

Commençons par une définition. Le mouvement végétarien regroupe les personnes dont la pratique alimentaire exclut la consommation de chair animale, et ce pour des motivations plutôt diverses. Pour certains végétariens il s’agira simplement de santé, pour d’autres de religion ou de culture, pour une troisième catégorie enfin (les plus militants semble-t-il), passer au végétarisme signifiera l’adoption d’une critique générale de l’alimentation moderne, de sa traçabilité, des conditions d’élevage et d’abattage des animaux ou encore de l’accès aux denrées alimentaires ou de l’impact environnemental des modes de production.Il faut de tout pour faire un monde, sauf des produits animaux !

Joie et compassion

Cette journée mondiale nous vient tout droit des Etats-Unis. Elle a été décidée à l’origine en 1977 par la société végétarienne nord-américaine (NAVS) pour développer la joie, la compassion et promouvoir la vie (sic).

Dés 1978, la Journée Mondiale Végétarienne a été adoptée par l’Union Végétarienne Internationale, une organisation fondée en 1908 !

Végétarisme et santé

Cette journée est bien entendu une occasion révée pour rappeler une évidence trop souvent tue: nous mangeons trop de viandes, trop de charcuteries, trop riches et trop grasses, et c’est néfaste pour notre santé !

D’après le site www.cancer.be, les viandes rouges et les charcuteries sont notamment à l’origine d’un risque accru de cancer du côlon, de l’oesophage, de l’estomac, du poumon, du pancréas et de l’endomètre. Un menu qui laisse réveur !

Un site à visiter : www.vegetarisme.fr      Source: Texte & Image: Journée mondiale

Journée Mondiale des sourds – 30 septembre 2023

Journée Mondiale des sourds
La Fédération Mondiale des Sourds recommande à toutes les associations nationales membres (123 pays) d’organiser la journée mondiale des sourds et de la surdité dans la dernière semaine ou le dernier samedi du mois de septembre. La Journée Mondiale des Sourds est donc célébrée le samedi de la semaine internationale des sourds dans de nombreux pays du monde, soit le samedi 30 septembre en 2023. Le but est de sensibiliser la population à la reconnaissance de la culture sourde et la langue des signes.

Un peu d’histoire

L’Institution Nationale de Jeunes Sourds de Paris est un lieu riche d’histoire. A l’origine, l’Institution des Sourds de naissance fut créée sous la Constituante, par la loi du 21 et 29 juillet 1791. Elle avait pour finalité la poursuite de l’œuvre philanthropique de l’abbé Charles-Michel de l’Epée (1712-1789). Cette loi honorait ce bienfaiteur en portant son nom au rang des citoyens ayant mérité de la Patrie.

L’abbé de l’Épée qui était avocat au Parlement de Paris, s’était dévoué pour les pauvres et les indigents. Il dispensait à l’occasion des enseignements à des étudiants entendants. Il advint qu’une rencontre fortuite changea le cours de sa destinée, lorsqu’en 1760 il fut mis en présence de sœurs jumelles sourdes et muettes. Leur précepteur, le Père Vanin venait de décéder fin 1759. Jacob Rodrigues Péreire, précepteur oraliste d’enfants sourds, ayant acquis une notoriété à la cour du roi, n’enseignait alors qu’à quelques sourds et sourdes privilégiés par leur rang social. L’abbé de l’Epée venait de découvrir deux nouvelles élèves, pour lesquelles les voies traditionnelles de l’enseignement restaient lettre morte.

Sa philosophie augustinienne l’autorisait à voir dans les gestes de ses deux protégées des signes représentant directement les idées. Il imagina donc une langue de signes gestuels naturels, ordonnés selon la syntaxe française, cette syntaxe étant aperçue comme la représentation de la logique universelle humaine.

Connaissez-vous la langue des sourds ?

L’abbé de l’Epée comprit les enjeux de la langue gestuelle. Il ignorait la langue des signes que pratiquait la communauté des sourds parisiens. Cette langue existait bien, ainsi qu’en témoigne un « devenu sourd », Pierre Desloges, dans le livre qu’il fit éditer en 1779. Le projet de l’abbé de l’Epée portait bien au-delà de la classe qu’il ouvrit au 14 rue des Moulins à Paris. Ayant réuni les enfants sourds de plusieurs pensions de son quartier il conçut de développer une langue gestuelle universelle que les entendants de toutes les nations pourraient apprendre dans des collèges.

Par l’instruction dispensée, l’abbé de l’Epée rendait ses élèves sourds de tout âge non seulement à la citoyenneté, mais les intégrait aussi à un projet de paix, les gestes avaient la faculté de traverser des frontières que les langues orales franchissent difficilement. À son décès, l’abbé de l’Epée instruisait près d’une centaine d’élèves.

La reconnaissance des sourds envers leur maître reste indissociable de leur histoire associative : en créant une école publique et gratuite, ouverte à toutes les classes sociales, l’abbé de l’Epée réunissait une population abandonnée jusqu’alors. Celle-ci sut se constituer des modèles, avec ses propres maîtres sourds. Les silencieux prirent en charge la défense de leurs droits à la citoyenneté, et de leurs intérêts les plus légitimes : se marier librement, converser selon leur langue, s’associer afin d’assurer des fonctions déficitaires dans les domaines les plus diversités, de la mutualité, de la formation adulte, de l’interprétariat des tribunaux.

Citoyens à part entière

Controverses et disputes furent pour l’abbé de l’Epée des sujets de réflexion : devait-on préférer la dactylologie, l’alphabet manuel espagnol, aux signes gestuels, pour permettre une meilleure appropriation de la langue française ? Péreire était un dactylologiste avisé ; il avait conçu un alphabet phonétique plus expéditif que l’alphabet manuel figurant les lettres traditionnelles : deux représentations visuelles de la langue française s’affrontaient donc en France, à la fin du 18 ème siècle ; l’une représentait les idées par des signes, et l’autre ne figurait manuellement que la forme des mots par l’épellation alphabétique. Ainsi commençait la querelle des dactylologistes : l’abbé de l’Epée leur opposait une représentation des entités spirituelles, préférable à la simple restitution d’une enveloppe vide de sens.

Ailleurs, en Prusse, Samuel Heinicke fut le promoteur d’une méthode fondée sur l’enseignement de la parole aux muets. Heinicke reprenant la tradition de la méthode orale pure, développée en Hollande en 1700 par jean Conrad Amman. Heinicke soutînt contre l’abbé de l’Epée, que les signes gestuels ne pouvaient se graver dans la mémoire. L’écriture elle-même ne pouvait s’acquérir sans un apprentissage préalable de la parole ou de l’articulation. Ceci reposait une question fondamentale de puis l’antiquité : l’homme privé de parole possédait-il une raison ? Les sourds sans l’écriture possédaient-ils seulement une mémoire visuelle ? Les signes suffisaient-ils à vaincre les obstacles du silence ?

L’abbé de l’Epée soutenait l’importance des gestes pour l’essor de l’intelligence et l’existence d’une mémoire visuelle suppléant la mémoire auditive. Son action prouva l’éducabilité des sourds dans différents domaines, car ses traités pédagogiques, publiés anonymement en 1776 et 17843, abordaient déjà la lecture sur les lèvres et l’apprentissage de l’articulation chez le petit enfant sourd. Il mettait en garde contre les préjugés tenaces qui assuraient l’indigence des signes gestuels, et la supériorité de la parole comme unique moyen d’enseignement des sourds. L’abbé de l’Epée rappelait que trop souvent, dans une éducation strictement orale, le temps dispensé, les difficultés rencontrés et les résultats obtenus, devaient inviter les précepteurs et les pédagogues à réfléchir sur la priorité accordée soit à la possession d’une langue orale purement mécanique, dépourvue de spontanéité, soit à la culture de l’intelligence par d’autres moyens de communication, dont les signes, l’écriture et la lecture, qui permettraient à chacun de se cultiver bien au-delà de l’école.

L’abbé de l’Epée proposait une méthode ouverte, dans la mesure où il sut tenir compte des critiques de ses concurrents. il invitait d’ailleurs tout instituteur à perfectionner la voie qu’il ouvrit. Il forma de nombreux maîtres qui portèrent sa méthode en Espagne, en Autriche, en Italie, en Hollande… Sa langue universelle se constituait de signes naturels assujettis à des signes de son invention, à savoir, les signes méthodiques traduisant les désinences et les flexions verbales, les catégories du discours, les conjonctions… Elle fut pratiquée dans de nombreux pays jusqu’en 1830. Mais n’oublions pas que cette technique de visualisation gestuelle des langues orales connaît périodiquement de nouvelles versions, avec des anglais signés divers et de nouvelles versions du français signé.

Vers la même époque, la langue des signes, celle des sourds, langue à part entière, avec une syntaxe et une grammaire indépendantes des langues orales, s’était considérablement perfectionnée sous l’action conjuguée d’un pédagogue entendant, Augustin Bébian (1789-1839), et des premiers enseignants sourds. Bébian avait appris le langage naturel des Sourds-et-Muets dans son enfance : c’était le filleul de l’abbé Sicard, qui succédera à l’abbé de l’Épée. Bébian fut l’auteur d’ouvrages remarquables sur la gestualité. Il publia en 1824 une Mimographie, essai d’écriture des signes naturels.

Un site à visiter : www.sourds.net    Source: Texte & Image: Journée mondiale

Journée Mondiale de la mer – 28 septembre 2023

Journée Mondiale de la mer
Tous les ans, l’Organisation maritime internationale, ses 164 États Membres et ses trois Membres associés célèbrent la Journée mondiale de la mer, le dernier jeudi de septembre. L’occasion de faire connaître à un large public les objectifs et les réalisations de l’Organisation mais aussi de le sensibiliser davantage au rôle vital que joue le secteur maritime dans la vie de tout un chacun.

Pleins feux sur la sureté maritime

En 2002, l’OMI a souscrit à un nouvel énoncé de mission, prenant acte de l’évolution de ses priorités, le mot d’ordre « Pour une navigation plus sûre et des océans plus propres » devenant « Sécurité, sûreté et efficacité de la navigation sur des océans propres ». Cette nouvelle formulation était mieux adaptée aux objectifs plus larges de l’Organisation et donnait un schéma directeur pour les actions à entreprendre. En choisissant le thème de la Journée mondiale de la mer de cette année, nous avons voulu mettre en évidence l’importance particulière que l’OMI accorde, ces derniers temps, à la sûreté maritime.

Alors même que les risques naturels ne manquent pas en mer, chacun sait aujourd’hui que la navigation est aussi exposée au risque de la criminalité en mer et au fléau du terrorisme international. Malheureusement, ce phénomène n’a rien de nouveau. À la fin des années 70 déjà, l’OMI a dû s’occuper de la baraterie, la capture illégale de navires et de leur cargaison ou d’autres formes de fraude maritime. Depuis 1982, l’OMI surveille l’évolution de la piraterie et des vols à main armée visant les navires, dans différentes régions du monde, et a pris des mesures pour lutter contre ce phénomène dans les zones les plus touchées.

Après le drame de l’Achille Lauro en 1985, où des terroristes s’étaient emparés d’un navire de croisière italien et avaient tué un passager avant de négocier leur retraite, l’OMI a commencé à élaborer une série de dispositions techniques visant à empêcher les actes illicites contre les passagers et les équipages à bord des navires, ce qui a abouti en mars 1988 à l’adoption de la Convention pour la répression d’actes illicites contre la sécurité de la navigation maritime (Convention SUA) et de son protocole relatif aux plates-formes au large.

Un site à visiter : www.un.org     Source: Texte & Image: Journée mondiale

Journée mondiale du tourisme – 27 septembre

Journée mondiale du tourisme

La Journée Mondiale du Tourisme a été célébrée à partir de 1980, à l’initiative de l’OMT (organisation mondiale du tourisme). C’est la date du 27 septembre qui a été retenue pour marquer l’anniversaire de l’adoption des statuts de l’OMT en 1970.

Pourquoi une Journée Mondiale du tourisme ?

L’objectif principal fixé par l’OMT est la prise de conscience de l’importance du tourisme du point de vue social, culturel, économique et même politique.

Dans de nombreuses régions du globe, le tourisme arrive en tête des activités économiques, avec ses répercussions sur l’emploi, le brassage des populations, l’ouverture au monde et la circulation de l’information…

Le tourisme et ses travers (urbanisation anarchique, tourisme sexuel, …) font malheureusement souvent la une de l’actualité et ce n’est pas sans raisons que la journée du 2 juin est consacrée au tourisme responsable et respectueux !

Un site à visiter : www.un.org    Source: Texte & Image: Journée mondiale

Journée mondiale des pharmaciens – 25 septembre

La journée mondiale des pharmaciens semble exister depuis 2009, et pourtant, on en parle très peu… est-ce parce qu’elle émane de la profession elle-même et constitue une sorte de plaidoyer pro-domo ? Nous laisserons chacun se faire son opinion.

Des missions élargies

Il est loin le temps où le pharmacien était un simple distributeur de boites… ses missions ont été considérablement étendues et, outre le contrôle des ordonnances et les conseils aux patiens, il peut être amené aujourd’hui à effectuer des vaccinations et également des tests Covid.

Comme de nombreux professionnels de santé, il a été en première ligne lors de la crise sanitaire de 2020/2021. Rien

que pour cela, arrêtons-nous un peu sur cette journée et rendons hommage à nos parmaciens.

Au fait, pharmacien ou pharmacienne ?

La répartition française fait état de plus de 2/3 de pharmaciennes pour 1/3 de pharmaciens. Alors, rendons hommage à nos pharmaciennes…

Un site à visiter : jm-pharmaciens.lequotidiendupharmacien.fr   Source: Texte: Journée mondiale   Image: Pharmacies de garde    2è image:  Facebook – Ordre des pharmaciens du Québec

Journée Mondiale du migrant et du réfugié – 24 septembre 2023

Journée Mondiale du migrant et du réfugié

Après le mois de décembre (Journée internationale des migrants) et le mois de juin (Journée Mondiale des réfugiés), c’est la troisième journée consacrée à la douloureuse question des migrants.Au delà de ce téléscopage de dates, la Journée Mondiale du migrant et du réfugié a été célébrée chaque 2ème dimanche après le 6 janvier, à l’initiative de l’église catholique. A partir de 2019, la date retenue varie, et est en principe fixée au dernier dimanche de septembre. Sauf exception. En 2023, la date retenue est le dimanche 24 septembre. L’engagement de l’Eglise n’est pas nouveau et de nombreux prêtres et évèques prennent position dans le débat, au nom des droits de l’homme et du respect de la dignité humaine.

Les droits élémentaires de la personne humaine

« le fait d’être en situation irrégulière ne fait pas perdre ses droits élémentaires à quelque personne que ce soit. (…) Nous voulons dire notre admiration et notre soutien aux chrétiens qui se mettent au service de leurs frères déplacés, avec un grand désintéressement personnel et associatif… »  Mgr Vingt-Trois, ancien archevèque de Paris.

  2023, la 109 ème édition

Chaque année, la journée est placée sous un thème proposé par le Conseil Pontifical pour la Pastorale des Migrants et des Personnes en Déplacement.

Libre de choisir entre migrer ou rester

C’est le thème retenu pour l’édition 2023.

Un site à visiter : migrants-refugees.    Source: Texte & Image: Journée mondiale

 

Migrants : à Marseille, le pape dénonce le « tragique rejet de la vie  humaine »

Accueilli en vedette,  le pape François a conclu samedi par une messe géante au stade Vélodrome de Marseille une visite dans la deuxième ville de France qui a été largement dominée par la dénonciation du sort réservé aux migrants.

Dans son homélie, il a dénoncé le tragique rejet de la vie humaine, qui est aujourd’hui refusée à nombre de personnes qui émigrent, martelant une dernière fois ce message d’accueil des migrants qui a scandé son séjour de moins de 48 heures (22-23 septembre) dans ce grand port de la Méditerranée, à l’histoire et à la population façonnées par les migrations.

 

Source:Texte: https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2012613/migrants-marseille-pape-rejet-vie-humaine      Image: https://www.iom.int/fr/

Journée internationale de la paix – 21 septembre 2023

Thème 2023 – Action en faveur de la paix : nos ambitions pour les #ObjectifsMondiaux

Chaque année, la Journée internationale de la paix est célébrée dans le monde entier le 21 septembre. L’Assemblée générale des Nations Unies a déclaré cette journée consacrée au renforcement des idéaux de paix, en observant 24 heures de non-violence et de cessez-le-feu. Jamais notre monde n’a eu autant besoin de paix.

Le thème de cette année est Action en faveur de la paix : nos ambitions pour les #ObjectifsMondiaux. C’est un appel à l’action qui reconnaît notre responsabilité individuelle et collective dans la promotion de la paix. La promotion de la paix contribue à la réalisation des objectifs de développement durable (ODD), laquelle créera une culture de la paix pour tous.

Comme l’a déclaré le Secrétaire général des Nations Unies António Guterres : « La paix est nécessaire aujourd’hui plus que jamais. La guerre et les conflits provoquent la dévastation, la pauvreté et la faim et chassent des dizaines de millions de personnes de leur foyer. Le chaos climatique est omniprésent. Et même les pays pacifiques sont en proie à des inégalités criantes et à une polarisation politique. »

L’année 2023 marque la mi-parcours de la mise en œuvre des objectifs de développement durable (ODD). La célébration de la Journée internationale de la paix en 2023 coïncide avec le Sommet sur les objectifs de développement durable (18 et 19 septembre) afin de marquer l’étape à mi-parcours.

Les ODD visent à nous rapprocher de sociétés plus pacifiques, plus justes et plus inclusives, exemptes de peur et de violence. Mais sans l’adhésion et la contribution d’un large éventail d’acteurs, dont les 1,2 milliard de jeunes en vie, les objectifs ne seront pas atteints. Nous vous invitons à vous joindre à l’appel des Nations Unies pour agir en faveur de la paix : lutter contre les inégalités, prendre des mesures contre le changement climatique et promouvoir et protéger les droits de l’homme.

L’année 2023 marque également le 75ème anniversaire de la Déclaration universelle des droits de l’homme et de la Convention pour la prévention et la répression du crime de génocide. La Journée internationale de la paix 2023 encourage tous les jeunes à être ambitieux dans leur engagement en tant qu’agents sociaux positifs et constructifs, à rejoindre le mouvement pour atteindre les ODD et à contribuer à la construction d’une paix durable. Ensemble, nous pouvons contribuer à mener notre monde vers un avenir plus vert, plus équitable, plus juste et plus sûr pour tous.

 

Source: Texte & Image: https://www.un.org/

Journée internationale du bambou – 18 septembre

Nous relayons ici une journée internationale voulue par une profession et relayée par un état directement concerné, la Thaïlande.

Congrès mondial du bambou

C’est lors du huitième Congrès mondial du bambou (WBC/ World Bamboo Congress) qui s’est tenu en 2009 à à Bangkok (Thaïlande) et auquel 350 participants et représentants de 43 pays ont assisté, que la Journée mondiale du bambou a été instaurée par le Département royal des forêts.

Pourquoi une journée du bambou / World bamboo day ?

Elle a pour but de faire prendre conscience de la contribution impressionnante de cette herbe (le bambou n’est pas un arbre) à la protection de l’environnement, à la prévention de la déforestation et à la conservation de la biodiversité dans le monde entier.

Le bambou est l’un des produits forestiers non ligneux les plus précieux au monde, générant des revenus pour des millions de familles dans les communautés rurales. C’est une source naturelle renouvelable et à croissance rapide qui permet de multiples applications, de la nourriture au carburant, en passant par le mobilier et la construction.

Contribution environnementale

Les forêts de bambou fournissent d’importants services environnementaux : stabilisation des sols, élévation de la nappe phréatique et fourniture d’un important puits de carbone. Les États membres de l’INBAR (International Bamboo and Rattan Organization) se sont engagés à restaurer plus de 5 millions d’hectares de terres dégradées avec du bambou au cours de la décennie 2020-2030.

Le bambou joue également un rôle important dans la conservation de la biodiversité, en tant que source d’habitat et d’abri pour plusieurs des espèces les plus emblématiques et les plus menacées du monde.

Un site à visiter : www.inbar.int     Source: Texte: Journée mondiale      Image: unsplash

Journée mondiale pour le don de moelle osseuse – 17 septembre 2023

Journée mondiale pour le don de moelle osseuse

Assez peu médiatisée, la journée mondiale du don de moelle osseuse existe pourtant depuis quelques années puisqu’en 2023 nous célébrons sa 9ème édition… mais Il faudrait en parler davantage :  elle sauve des vies !

Sauver des vies

La moelle osseuse, riche en cellules souches, est répartie dans les os du corps, elle renouvelle régulièrement les cellules du sang (globules rouges, globules blancs, plaquettes sanguines). Son rôle est donc extrêmement important.

La greffe de moelle osseuse est indispensable pour soigner certaines pathologies graves du sang. Chaque année en France, plus de 2.000 personnes ont ainsi besoin d’une greffe de moelle osseuse. Ce sont essentiellement les malades dont la moelle ne fonctionne plus (aplasie) ou est envahie par des cellules cancéreuses (leucémie).

Une maladie affectant la moelle osseuse a de graves conséquences : en effet, l’absence de globules rouges entraîne une anémie, l’absence de globules blancs des infections, et celle des plaquettes entraine des hémorragies.

Trouver de nouveaux donneurs

C’était l’orientation de la campagne 2022… il est indispensable d’augmenter et de renouveler la base des donneurs disponibles pour pouvoir effectuer plus de greffes de donneurs compaibles. 

La France a aujourd’hui besoin d’hommes jeunes comme volontaires au don de moelle osseuse. Chaque individu a une « carte d’identité biologique » qu’on appelle système HLA (Human Leucocyte Antigen). Pour réaliser une greffe de moelle osseuse, on doit donc trouver un donneur aux caractéristiques biologiques les plus proches possibles à celles du malade (en plus court, un donneur compatible). En plus de la compatibilité HLA, il est préférable que l’âge et le sexe du donneur soient également pris en compte dans le choix réalisé par les médecins-greffeurs dans l’intérêt du malade. 

La base de donneurs actuellement à la disposition de la médecine manque d’hommes jeunes. Ceci explique cela. L’objectif du registre des donneurs de moelle osseuse est donc de recruter des volontaires de manière qualitative et ciblée car c’est cela qui permettra de multiplier les chances de greffe pour tous les malades et pas seulement le nombre d’inscrits sur le registre.

Un site à visiter : www.dondemoelleosseuse.fr    Source: Texte & Image: Journée mondiale