image-i-nations trésor

C’est la journée du blog… vous bloguez?

Eh oui, c’est bien aujourd’hui la Journée Mondiale du BLOG (31 août) –
il ne faut surtout pas manquer l’occasion de… bloguer!
Vous serez tenté/es de le faire en lisant le texte qui suit…

 

B L O G U E . . .

 
Je blogue…
Tu blogues…
Il blogue…

C’est à la mode!

Sur des thèmes variés
Laisser venir les idées
Et la pensée s’envoler
En toute liberté.

On se met à lire
Voilà qu’une phrase inspire
Un mot fait sourire
Il suffit de se laisser conduire.

Se laisser conduire par Lui
Toujours présent, l’Esprit
Qui au cœur murmure et dit
Le message qui réconforte, réjouit…
 

Nous bloguons
Vous bloguez
Ils bloguent…

Ils voguent
C’est la mode!

 

N.B. Le blogue est une forme de littérature assez récente. Il présent, tout particulièrement sur la grande toile de l’internet (world wide web = www)
L’office québecois de la langue française dit ceci au sujet des blogues :
« Dans les blogues, on peut donner son point de vue, publier des billets (courts textes) ou des articles (textes plus longs) dont le contenu et la forme, très libres, restent à l’entière discrétion des auteurs, qui peuvent ainsi communiquer leurs idées et leurs impressions.

5è dimanche de l’année B – 2021

Je venais de lire la 1ère lecture de ce dimanche (Jb 7:1-4,6-7) et, soudain, je me suis exclamée :
Mais on pourrait donner à ce texte le titre de:
‘Lamentation en temps de pandémie’.

Évidemment, Job qui exprime sa douleur et son amertume ne vit pas en période de pandémie.
Mais il connaît une souffrance et un désespoir que certains de nos contemporains reconnaîtraient facilement.
Il se plaint sur son sort d’une manière qui le fait proche de nous.

« Vraiment, la vie de l’homme sur la terre est une corvée…
Comme l’esclave qui désire un peu d’ombre,
comme le manœuvre qui attend sa paye.
Depuis des mois, je ne compte que des nuits de souffrance.
À peine couché, je me dis: “Quand pourrai-je me lever ?”
Je suis envahi de cauchemars jusqu’à l’aube. »

Ce que la pandémie de Covid-19 impose comme fardeau à tant de gens suscite beaucoup de compassion.
Certains d’entre eux se disent qu’ils n’en peuvent plus.
Ils et elles se sentent à bout, à court de ressources, physiques, psychologiques et financières, bien souvent.
Ces personnes, en proie au découragement, avouent ne plus savoir où se tourner pour trouver un peu de réconfort.

Les dernières lignes de cette 1ère lecture peuvent leur être une inspiration :

« Souviens-toi, Seigneur: ma vie n’est qu’un souffle,
mes yeux ne verront plus le bonheur. »

 
Et, selon moi, le Seigneur est un Dieu qui se souvient… et qui prend pitié :

« Le Seigneur se souvient de nous: il bénira ! » (Ps.115:12)
« Proche est le Seigneur des cœurs brisés, il sauve les esprits abattus. » (Ps.34:19)

 

Note: Une autre réflexion sur un thème différent est disponible en anglais à: https://image-i-nations.com/5th-sunday-of-year-b-2021/

 

Source: Image: Bible Study

En temps de crise…

Des temps de crise –
il y en a eu de toutes sortes
à travers l’histoire.
Chacune apporte son lot de misère
qui touche chacun et chacune
causant des souffrances multiples.
Nous faisons présentement l’expérience 
d’une crise qui a visage de pandémie.
Pour cette période unique,
un message particulier est requis.
La vidéo qui suit offre un tel message de réconfort et d’espoir…

 

 

 

Discrétion et audace, cette femme gardait espoir

Douze ans à attendre une guérison –
c’est long, terriblement long.
Surtout quand son état se détériore malgré tous ses efforts,
Cette femme est à la fois astucieuse et audacieuse
et elle sera récompensée au-delà de son attente!

Dimanche des rameaux, Année A

Dimanche dernier (5è dimanche du Carême, année A) nous parlions de questions – questions de toutes sortes qui surgissent au quotidien.
(On peut voir: http://image-i-nations.com/5e-dimanche-careme-annee-a/ )

En ce dimanche des rameaux (année A), dans l’évangile au tout début de la célébration (Mt.21:1-11), une question est posée dont l’écho nous parvient à travers les temps jusqu’à aujourd’hui.

Une foule est venue accueillir l’Homme de Nazareth connu sous le nom de Jésus.
Des gens venus d’un peu partout, il semble, s’ajoutent à ceux déjà là et viennent élargir la foule venue l’accueillir alors qu’il entre à Jérusalem monté sur un âne.

Et voilà que surgit la question : « Qui est cet homme? »
Son nom est connu et celui de son village d’origine également.
Mais LUI, qui est-il?
 
Alors qu’il enseignait les foules, déjà on se demandait : « D’où vient cette sagesse qui lui a été donnée?… N’est-il pas le charpentier, le fils de Marie? » (Mc.6:2-3).Ils voulaient en savoir davantage, savoir vraiment : « Qui est cet homme? »

Ayant entendu dire qu’il guérissait les malades de toutes conditions, Jean le Baptiste avait envoyé des messagers pour demander : « Es-tu celui qui doit venir ou devons-nous en attendre un autre?…? (Mt.11:3).

 Après qu’il eut rendu à la vie la fille de Jaïre, le chef de la synagogue, les témoins de la scène « furent aussitôt saisis d’une grande stupeur…» (Mc.5:42). Ils se posaient sans doute la même question: « Qui est cet homme? »
 
Le jour où il avait nourri 5000 personnes avec cinq pains, les gens étaient évidemment ébahis et ils disaient entre eux : « Celui-là n’est-il pas le fils de Joseph dont nous connaissons le père et la mère » (Jn.6:42).

Quand il avait calmé le vent et les vagues qui menaçaient de faire couler leur barque, les apôtres « furent saisis d’une grande crainte et ils se disaient les uns aux autres : ‘Qui est-il donc celui-là?’… »  (Mc.4:41).
 
Le Pharisien, Nicodème, avait reconnu qu’il venait « de la part de Dieu comme un Maître » (Jn.3:2) et il était venu le rencontrer la nuit tombée pour savoir vraiment : « Qui est cet homme? »
 
Quand il avait demandé à boire à la Samaritaine, elle lui avait posé la question : « Serais-tu plus grand que notre père Jacob? » (Jn.4:12). Elle aussi voulait savoir : « Qui est cet homme? »

L’aveugle-né questionnait aussi l’identité de son guérisseur : « Qui est-il que je croie en lui? » (Jn.9:36)
Lui aussi étaient de ceux qui se demandaient : « Qui est cet homme? »  

Et, bien sûr, les Pharisiens, plus que bien d’autres peut-être, voulaient savoir, ils se devaient de savoir ! « Qui est cet homme? »  Ils lui demandaient ouvertement : « Qui es-tu? » (Jn.8 :25). Et avec insistance, ils revenaient à la charge : « Qui prétends-tu être? » (Jn.8:53)

Tout au long de sa vie, la même question avait, dirait-on, ‘inquiété’ ceux qui l’approchaient, ceux qui l’entendaient parler de Dieu, ceux qui voyaient ce qu’il accomplissait.
Maintenant qu’il entre dans Jérusalem, on l’acclame comme « Celui qui vient au nom du Seigneur. »

Et, c’est bien ce qu’il est, ce qu’il veut être, pour chacun et chacune de nous :
Il est la présence même de Dieu avec nous.

Pour certains, il est le MAÎTRE que l’on suit au fil des jours.
Pour d’autres, il est l’AMI fidèle sur qui on peut toujours compter.
Pour d’autres encore, il est le RÉCONFORT dans les difficultés.
Pour plusieurs il est le SAUVEUR qui délivre des esclavages de toutes sortes.
Pour tous, il est le VISAGE MISÉRICORDIEUX de Dieu qui attend toujours ses enfants rebelles ou inconscients.

On l’acclame comme un roi, mais il n’a rien d’un roi avec serviteurs et soldats comme entourage.
L’auteur du texte évangélique s’empresse d’affirmer : « Il est humble… »
Assez humble pour désirer être accueilli dans notre vie… quelles que soient les expériences qui l’ont façonnée jusqu’ici…

« Béni ( = Bienvenu) soit celui qui vient au nom du Seigneur! »

Source: Image: LDS.org