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Journée mondiale d’action pour le travail décent – 7 octobre

A l’initiative du mouvement syndical, la journée du 7 octobre est devenue, depuis 2008, la Journée mondiale d’action pour le travail décent.Les syndicats et toutes les organisations œuvrant pour le travail décent dans le monde entier y voient une occasion sans précédent de se rallier à une large mobilisation mondiale plaçant l’homme au centre de la réflexion sur le travail. Une nouvelle mondialisation à inventer qui prônerait d’abord le respect de la dignité humaine en commençant par le droit de chacun d’accéder à un travail décent.

Qu’est-ce qu’un travail décent ?

Tout individu, partout dans le monde, devrait pouvoir exercer un métier qui lui permette de mener une vie digne et répondant à ses besoins essentiels ainsi qu’à ceux de sa famille.

Pourtant, dans de nombreuses régions du monde, on constate qu’il n’y a ni salaire équitable ni conditions de travail dignes… au profit d’une vision de l’économie uniquement basée sur les profits. Le combat pour un travail décent reste pourtant la meilleure manière de lutter contre la pauvreté mondiale et le but de cette journée mondiale est de favoriser les actions qui permettront d’y parvenir.

Rendons à César ce qui revient à César…

Au fait, nous avons signalé au démarrage de ce billet que l’origine de cette journée était le mouvement syndical… il faut se souvenir de ceux qui se sont battus depuis plus d’un siècle sont d’horizons philosophiques très diversifiés et que c’est l’Eglise Catholique elle-même qui a œuvré la première dans cette direction avec sa Doctrine Sociale, élaborée au temps du Pape Léon XIII.

Dans un souci d’équilibre, il nous est difficile de ne pas mentionner l’action de la CGT en faveur du travail décent et inciter nos internautes à visiter leur site internet : www.cgt.fr

Un site à visiter : 2015.wddw.org     Source: Texte & Image: Journée mondiale

Journée mondiale contre l’esclavage des enfants – 16 avril – 2019

La date du 16 avril a été retenue en l’honneur du pakistanais Iqbal Masih, qui après avoir lui-même échappé à l’esclavage, est devenu, pendant les années 1980-90, un fervent défenseur des droits des enfants, et le visage de la lutte contre l’esclavage moderne.

En 1995, alors qu’il n’avait que 12 ans, Iqbal Masih a été retrouvé assassiné dans des circonstances douteuses.  
 
Depuis, le 16 avril est devenu l’occasion de se pencher sur le sort des quelques 8.5 millions d’enfants esclaves et des 215 millions d’enfants qui travaillent dans le monde.  
 
Joost Kooijmans, conseiller principal d’UNICEF en matière de travail des enfants.

Source: Texte & Image : http :ici.radiocanada.ca (2015)

 

Journée Internationale des personnes âgées – 1er octobre

Le 1er octobre a lieu la Journée Internationale des Personnes Agées. Les différentes activités organisées tout au long de cette journée ont pour but de rappeller que les droits des personnes âgées sont indissociables des principes énoncés par l’ONU.

Tout au long de cette journée, plusieurs initiatives sont organisées. On y fera le point en ce qui concerne le respect des droits des personnes âgées dans le monde depuis la mise en place des principes en faveur des personnes âgées énoncés pour la première fois par les Nations Unies en 1991 : indépendance, participation, épanouissement personnel et dignité. Il sera également question de la mise en oeuvre des Recommandations du Plan d’Action sur le vieillissement adopté par l’ONU lors de la Deuxième Assemblée Mondiale (Madrid, avril 2002).

Augmentation de l’espérance de vie
Selon Kofi Annan, Secrétaire Général de l’ONU,  » Nous sommes tous témoins d’une révolution silencieuse « . Durant la deuxième moitié du vingtième siècle, l’espérance de vie a augmenté de vingt ans. Dans les trente prochaines années, un tiers de la population des pays développés aura plus de 60 ans et parmi celle-ci, 10% sera âgée de plus de 80 ans. Ce changement ne doit pas être réduit à la dimension démographique. Il comportera des implications sociales, économiques, culturelles et éthiques dont il faudra tenir compte.

Un rôle à jouer dans la société
Partout dans le monde, une génération qui a connu des périodes beaucoup plus difficiles que celle que nous traversons aujourd’hui demande, à travers ses organisations représentatives, que la société prête davantage attention à ses conditions de vie et au respect de ses droits. 70 millions de personnes âgées cherchent une place plus adéquate dans nos sociétés européennes.

De leur coté, les institutions de l’Union Européenne ne reconnaissent pas encore le rôle social que les citoyens que des citoyens de plus de 60 ans ont à jouer. Ces derniers sont tenus à l’écart de tous les processus décisionnels et même de ceux qui ont trait aux questions liées à leurs conditions de vie et à leurs droits sociaux. En Europe, la consultation des organisations représentatives des personnes âgées, recommandée par les institutions internationales de l’ONU et de l’UNECE est encore loin d’être appliquée.

A l’occasion de la Journée Internationale des Personnes Âgées, la FERPA entend clairement faire comprendre qu’en Europe les personnes âgées poursuivront leur combat pour une participation active à la vie de l’UE et aux choix à opérer pour garantir à l’Europe un avenir où protection sociale, démocratie, citoyenneté et valorisation des relations intergénérationnelles formeront un ensemble homogène ! Les personnes âgées ont mérité leur place dans la société européenne. Elles constituent un patrimoine précieux pour l’Europe du futur, comme elles l’ont été pour l’Europe du passé.

Source : Texte : Journée mondiale Image : Conférence des Tables régionales de concertation des aînés

Journée Mondiale de l’enfant Africain – 16 juin

La Journée de l’enfant africain commémore la marche de 1976 à Soweto, en Afrique du Sud, lorsque des milliers d’élèves africains sont descendus dans la rue pour protester contre la mauvaise qualité de leur éducation et exiger que soit respecté leur droit à recevoir un enseignement dans leur propre langue. Des centaines de jeunes garçons et filles ont été abattus et pendant les quinze jours de manifestation qui ont suivi, plus d’une centaine de personnes ont été tuées et plus d’un millier blessées.

En l’honneur de ceux et celles qui ont été tués et pour rappeler le courage de tous les manifestants, la Journée de l’enfant africain est célébrée le 16 juin de chaque année depuis 1991, année de sa création par l’Organisation de l’unité africaine. Elle attire aussi l’attention sur la vie des jeunes Africains d’aujourd’hui.

En investissant de façon stratégique dans la survie et le bien-être des enfants, même des pays qui disposent de ressources limitées, comme le Malawi par exemple, ont réussi à réduire considérablement leur taux de mortalité infantile.  

Au cours des dernières années, les taux de scolarisation en Afrique subsaharienne ont augmenté bien plus rapidement que dans les années 1990, certains pays comme le Bénin, l’Éthiopie, le Mozambique et la République-unie de Tanzanie enregistrant de rapides progrès. De surcroît, les disparités entre garçons et filles sont en train de se réduire à l’école primaire.

Source : Texte : https://www.unicef.fr  Image: noorinfo.com

Journée Mondiale de la diversité culturelle pour le dialogue et le développement – 21 mai

Le 2 novembre 2001, l’UNESCO a adopté sa déclaration universelle sur la diversité culturelle. Elle reconnaît, pour la première fois, la diversité culturelle comme « héritage commun de l’humanité » et considére sa sauvegarde comme étant un impératif concret et éthique inséparable du respect de la dignité humaine.

Suite à cela, l’Assemblée générale des Nations Unies a proclamé le 21 mai, « Journée mondiale de la diversité culturelle pour le dialogue et le développement » afin d’approfondir nos réflexions sur les valeurs de la diversité culturelle pour apprendre à mieux « vivre ensemble ». C’est pourquoi l’UNESCO fait appel aux états membres et à la société civile pour célébrer cette journée en y associant le plus grand nombre d’acteurs et de partenaires !

Objectifs
Cette journée donne l’occasion de mieux connaître et apprécier ce que nous devons aux autres cultures, et à prendre la mesure de la diversité de leurs apports, de leur unicité, de leur complémentarité et de leur solidarité.

Connaître et reconnaître nos différences, les respecter en ce qu’elles fondent notre propre identité, c’est donner la chance aux siècles qui s’annoncent de s’épanouir enfin hors des conflits identitaires de tous ordres. La diversité culturelle est un droit humain fondamental. Lutter pour sa promotion c’est lutter contre les stéréotypes et le fondamentalisme culturels.

Les autorités publiques sont de plus en plus sensibles à la nécessité de développer le dialogue interculturel, en vue de renforcer la paix, la sécurité, et la stabilité au niveau mondial.

Promouvoir le dialogue mutuel
En instaurant le 21 mai la « Journée mondiale de la diversité culturelle pour le dialogue et le développement « , l’ONU donne une orientation importante en plaçant le dialogue mutuel – au-delà du sexe, de l’âge, de la nationalité, de l’appartenance culturelle et de la religion – au centre de tous les efforts pour parvenir à un monde de paix, capable de faire face à l’avenir. « Seul le dialogue peut servir de base à une société pluraliste et culturelle », déclare Elsbeth Müller, secrétaire générale d’UNICEF suisse à l’intégration, de même que la compréhension mutuelle entre les cultures, jouent là un rôle essentiel.“

Un site à visiter : www.un.org   Source : Texte & Image : Journée Mondiale

Journée mondiale de la liberté de la presse – 3 mai

Le 3 mai a été proclamé Journée mondiale de la liberté de la presse par l’Assemblée générale des Nations Unies en 1993, suivant la recommandation adoptée lors de la vingt-sixième session de la Conférence générale de l’UNESCO en 1991. Ce fut également une réponse à l’appel de journalistes africains qui, en 1991, ont proclamé la Déclaration de Windhoek sur le pluralisme et l’indépendance des médias.

Tous les ans, la Journée mondiale de la liberté de la presse permet de :

  • célébrer les principes fondamentaux de la liberté de la presse;
  • d’évaluer la liberté de la presse à travers le monde;
  • de défendre l’indépendance des médias; et
  • de rendre hommage aux journalistes qui ont perdu leur vie dans l’exercice de leur profession.

Cette année l’UNESCO célèbrera la 25e édition de la Journée mondiale de la liberté de la presse sur le thème Médias, justice et état de droit : les contrepoids du pouvoir, et les célébrations porteront sur les questions des médias et de la transparence du processus politique, de l’indépendance du système judiciaire et de ses connaissances en matière de médias, et de la responsabilité des institutions de l’État vis-à-vis du public. La journée sera aussi l’occasion d’examiner les défis actuels de la liberté de la presse en ligne.

La contribution des médias à la bonne gouvernance et au développement a été reconnue dans le Programme de développement à l’horizon 2030, adopté par les États Membres des Nations Unies en septembre 2015. Alors que les Objectifs du Millénaire pour le développement (OMD) qui ont guidé les actions menées par la communauté internationale pour le développement entre 2000 et 2015 ne faisaient aucune référence explicite au rôle des médias, les objectifs de développement durable (ODD) reconnaissent l’importance de l’accès du public à l’information et aux libertés fondamentales, y compris la liberté d’expression.

Source : Texte & Image : ONU Image : en.unesco.org

Journée mondiale de la justice sociale – 20 février

S’il est bien une notion aussi peu et mal partagée sur les différents continents, c’est bien celle de la justice sociale. Et quand l’assemblée générale des Nations Unies a proclamé le 20 février, Journée mondiale de la justice sociale, elle a certainement mesuré la distance qui séparait le voeu de certaines réalités…

Elle invite les États Membres à célébrer cette journée mondiale en menant à l’échelon de leur pays des activités concrètes visant à promouvoir les buts et les objectifs proclamés lors du sommet mondial pour le développement social.

Cette journée existe depuis 2009 et doit rappeler à tous que les gouvernements se sont engagés à faire de l’élimination de la pauvreté et du chômage une de leurs priorités. Le renforcement de la justice, la promotion de l’équité, la démocratie, la participation et la transparence sont les axes de travail proposés par l’assemblée.

Mais d’où nous vient-elle ?
Parler de justice sociale nous amène invariablement à nous interroger sur l’origine de cette notion. Habituellement, les historiens nous situent l’émergence de ce combat au début du 20° siècle, à l’époque des premières réactions organisées contre la société industrielle toute puissante et son étalage insolent de richesse côtoyant l’extrême pauvreté de la classe ouvrière.

Les combats menés alors ont permis d’une part une réelle prise de conscience et, pratiquement, des avancées notables dans le droit du travail, au moins dans les pays développés. Les uns y ont vu l’influence directe de la pensée marxiste, les autres ont d’avantage reconnu l’affirmation d’un courant de pensée humaniste en lien avec l’émergence de la doctrine sociale de l’église promue par le Pape Léon XIII.

Il ne nous revient pas d’arbitrer ce débat. L’important ait qu’il ait eu lieu et que la prise de conscience des uns et des autres ait pu faire avancer les choses. Les raisons de se réjouir existent, celles de s’alarmer aussi car, dans de trop nombreux pays, la notion de justice sociale reste un voeu pieu et n’entre pas en compte dans les réflexions gouvernementales.

Un site à visiter : www.un.org    Source: Texte: Journée Mondiale  Image : ENTRÉE LIBRE, Journal communautaire de Sherbrooke

 

 

Journée internationale de sensibilisation aux cardiopathies congénitales – 14 février

Une journée consacrée aux maladies cardiaques le 14 février, fête des amoureux ? le raccourci est facile mais il permettra au moins de penser un peu plus aux peines de coeur les plus sérieuses… l’histoire commence en 1999, aux USA, où J. Imperati, mère d’un enfant atteint d’une malformation cardiaque, a l’idée que le jour de la Saint Valentin serait un jour de sensibilisation du grand public aux cardiopathies congénitales.

En quelques mois, grâce à l’élan de l’association C.H.I.N (Congenital Heart Information Network), de nombreux états des Etats-Unis et de nombreux pays dont l’Australie, le Canada, l’Allemagne, la République Indienne, le Liban, l’Irlande, la Pologne, Les Emirats Arabes, l’Angleterre et d’autres acceptent cette proclamation.

Le nom officiel de cette journée est « Congenital Heart Defect Awareness Day », que l’on pourra traduire « Journée Nationale de sensibilisation aux malformations cardiaques congénitales ».

Vous avez dit cardiopathie congénitale…
Il naît chaque année en France entre 6500 à 8000 enfants portant une malformation cardiaque, appelée cardiopathie congénitale. Ces malformations peuvent être plus ou moins invalidantes, sont – ou ne sont pas – opérables, mais constituent dans tous les cas un handicap durable pour les personnes atteintes.

Des association luttent pour permettent aux personnes atteintes de mieux s’insérer et voir reconnaître leurs droits dans la société.

Un site à visiter : www.ancc.asso.fr    Source: Texte: Journée Mondiale      Image: Unsplash

 

Journée internationale des migrants – 18 décembre

Le 18 décembre est célébrée la Journée Internationale des Migrants. C’est l’occasion, dans le monde entier, de réaffirmer et de promouvoir les droits des migrants. La date a été choisie il y a quatre ans par l’ONU pour attirer l’attention sur une convention adoptée par l’assemblée générale des Nations unies le 18 décembre 1990 mais restée inapplicable faute de ratifications suffisantes.

Cette Convention pour la protection des droits de tous les travailleurs migrants et de leur famille concerne tous les migrants qui  » vont exercer, exercent et ont exercé  » un travail pendant  » tout le processus de migration « . Pour tous, avec ou sans papiers, des droits fondamentaux sont réaffirmés en  » considérant la situation de vulnérabilité dans laquelle se trouvent fréquemment les travailleurs migrants et les membres de leurs familles « .

Les migrants dans le monde
L’Europe accueille 15 Millions d’immigrés sur les 175 Millions de par le monde.
La Convention n’est entrée en vigueur que le 1er juillet 2003. A ce jour, 27 Etats l’ont ratifiée : seulement des pays d’émigration, aucun des pays les plus industrialisés. Depuis quatorze ans, la France, ses partenaires européens et la plupart des pays d’immigration de la planète éludent la ratification. Pourtant la défense des droits de l’homme a une portée universelle et ne peut donc pas exclure les migrants.

Pas de nouveaux droits
Depuis 1990, la précarisation des droits des migrants est en aggravation constante. L’Union européenne offre la libre circulation aux citoyens des Etats membres tout en durcissant, pour les autres, les règles de l’asile et du séjour ; le principe de non-discrimination inscrit dans le traité d’Amsterdam a pourtant exclu la discrimination fondée sur la nationalité.

Face à la dégradation des droits des migrants, les Nations unies ainsi que de nombreuses institutions européennes ou organisations de la société civile rappellent l’importance de la convention des Nations unies. Le gouvernement français qui prône un rôle accru des Nations unies dans les affaires internationales ne doit pas rester sourd à ces appels.

Pays signataires par ordre chronologique :
Egypte, Salvador, Maroc en 1993
Seychelles en 1994
Colombie, Philippines, Ouganda en 1995
Sri Lanka, Bosnie-Herzégovine en 1996
Cap Vert en 1997
Azerbaïdjan, Mexique, Sénégal en 1999
Ghana, Guinée Bissau, Bolivie en 2000
Belize, Uruguay en 2001
Equateur, Tadjikistan en 2002
Guatemala, Mali, Burkina Faso, Kirghizstan en 2003
Timor Occidental, Libye, Turquie en 2004.

Un site à visiter : www.un.org   Source : Texte & Image : Journée Mondiale

 

 

Journée Internationale pour l’abolition de l’esclavage – 2 décembre

 

Sous l’égide du Ministère de la Culture en partenariat avec l’UNESCO, cet événement commémore la date anniversaire de l’adoption par l’Assemblée Générale des Nations Unies, de la Convention pour la répression et l’abolition de la traite des êtres humains et de l’exploitation de la prostitution d’autrui, le 02 décembre 1949.

Un combat de tous les jours
La célébration de cette journée, tout en s’inspirant de l’esprit de l’abolition de la traite des noirs, actualise le combat permanent contre toutes les autres formes d’esclavage moderne qui privent à de très nombreux êtres humains, leurs libertés et leurs droits les plus élémentaires à la dignité, au travail libre, à la vie tout simplement.

Kofi Annam, le Secrétaire Général des Nations Unies, dans son message du 02 décembre 2001, en rappelant l’abolition de l’esclavage, ajoutait ceci:  » Bien des gens pensent sans doute que ce traité n’a plus lieu d’être au XXIe siècle. Or il nous faut bien admettre que l’esclavage et la servitude restent encore trop fréquents, cachés sous les noms de travail obligatoire, travail forcé, exploitation de la main d’œuvre enfantine et traite des êtres humains « , marginalisation, exclusion des groupes sociaux.

L’esclavage actuel
Aujourd’hui, le travail forcé et l’exploitation sexuelle dont sont victimes les enfants, la prostitution des femmes. Le traitement discriminatoire des travailleurs migrants, les agressions quotidiennes contre les droits de l’homme la détérioration des termes de l’échange, le poids de la dette inique et injuste ont autant de formes de privation de libertés synonymes d’un esclavage de type moderne.

L’ONU et ses organismes affiliés en collaboration avec la communauté internationale ( ONU, syndicats, société civile…), renforcent leurs instruments internationaux pour l’éradication de toutes ces t’ormes modernes d’esclavage. Il s’agit notamment de l’adoption de nouvelles conventions:

La Convention internationale sur la protection des droits de tous les travailleurs migrants et des membres de leur famille;
La Convention des Nations Unies contre la criminalité transnationale organisée;
La Déclaration de la Conférence mondiale contre le racisme etc…

Approfondir la réflexion sur l’ensemble de ces questions, sensibiliser l’opinion sur cette lutte actuelle contre l’esclavage de type moderne, tels sont les enjeux de la célébration de cette Journée Internationale pour l’abolition de l’esclavage du 02 décembre.

Objectifs
Vulgariser et sensibiliser l’opinion sur les graves violations des libertés individuelles en particulier le trafic des enfants et des femmes;
Développer et partager la réflexion sur la nécessaire mobilisation de tous les secteurs de la société pour combattre ce fléau;
Amener les Etats et les Institutions internationales à faire à appliquer les traités internationaux et les lois nationales.

Un site à visiter : www.un.org        Source: Texte & Images: Journée Mondiale   2è image: National Day Calendar