Une journée mondiale consacrée à l’organisme qui est à l’origine d’un grand nombre de journées mondiales… il fallait y penser.
Le 24 octobre 1945…
« La Journée des Nations Unies nous offre l’occasion de réaffirmer les idéaux énoncés dans la Charte des Nations Unies, qui jour pour jour est entrée en vigueur il y a de cela 74 ans. En cette époque de tumulte généralisé, la Charte reste notre point de repère. » — António Guterres, Secrétaire général de l’ONU
Le choix de cette date a été arrêté pour marquer l’anniversaire de la création de cette organisation mondiale, en 1945.
Pour la petite histoire, notons que la Journée des Nations Unies a été proclamée en 1947, ce qui en fait une des plus anciennes recensées dans ce site !
ONU75 : Façonnons notre avenir ensemble
À l’occasion de la Journée des Nations Unies, le Secrétaire général, António Guterres, a annoncé que le 75e anniversaire de l’Organisation des Nations Unies, en 2020, serait célébré par un vaste débat inclusif à l’échelle planétaire sur le rôle de la coopération mondiale dans la construction de l’avenir que nous souhaitons.
Vous avez dit improbable ? Et pourtant elle existe.
Il faut aller chercher du côté des États-Unis pour en retrouver l’origine et il faut reconnaître que ce pays travaille à la conservation de cette espèce menacée d’extinction.
Les léopards des neiges ont besoin de notre aide
Une initiative conjointe de l’Agence des États-Unis pour le développement international (USAID) et du World Wildlife Fund, baptisée Conservation de la nature et adaptation des collectivités dans les hautes montagnes d’Asie, vise à protéger les léopards des neiges et leur habitat montagneux.
La population de ces félins légendaires diminue de façon inquiétante à cause du braconnage et de l’empiètement sur leur habitat par les activités humaines. Il n’existe plus que quelques milliers de léopards des neiges sur des étendues qui vont de l’Ouzbékistan à la Mongolie et à la région occidentale de la Chine.
La journée mondiale du bégaiement est l’occasion d’une prise de conscience par les non bégayants, des difficulté relationnelles qu’entraine cette infirmité…
1% de la population mondiale bégaierait, selon les estimations, soit environ 60 millions de personnes… soit la population entière de la France. On en reste muet !
Contrôler et guérir
Même si les spécialistes n’ont pas encore déterminé, de façon certaine, les causes de ce trouble du langage, il est possible de le contrôler ou de le guérir par des traitements orthophoniques, psychologiques, etc.
Moqueries des camarades de classe, pression des parents ne comprenant pas… Le bégaiement est sans doute encore plus terrible chez l’enfant que chez l’adulte. Profitez de cette journée pour vous renseigner sur ce trouble : plus le dépistage est effectué tôt (cela est possible dès 2-3 ans), moins le traitement sera long.
Les bègues célèbres
On ne sait même pas toujours d’eux qu’ils étaient (ou sont) bègues. Comme quoi…
Aristote (philosophe)
François Bayrou (politicien)
Bruce Willis
Winston Churchill (premier ministre, prix Nobel de littérature)
Charles Darwin
Albert II (Prince de Monaco)
Georges Clemenceau
Georges VI (voir « Le discours d’un Roi »)
Gérard Depardieu (acteur français)
Julia Roberts (actrice américaine: Erin Brockovich, Pretty Woman, …)
Ben Johnson (athlète. Pour sprinter, c’est pas gênant)
Tiger Woods (golfeur)
Louis Jouvet (acteur: « ça vous chatouille, ou ça vous gratouille ? »)
Albert Einstein (comme quoi tout est relatif !)
Marylin Monroe (l’origine du célèbre Pom… Pom… Pidou ?)
Louis II « Le Begue » (pour celui-là, on s’en doutait un peu…)
Depuis 2005, le troisième jeudi du mois d’octobre a été choisi pour célébrer la « journée internationale pour la résolution des conflits ». Cette initiative est née de l’Association pour la Résolution des Conflits.
Parce que chaque conflit mérite d’abord une solution
Face à un différend, qu’il soit d’ordre familial, de voisinage, commercial, ou social, la médiation s’impose. Lorsque les oppositions se font au niveau de régions ou de pays, touts les énergies doivent être employées à la résolution amiable du conflit, à la négociation, sans arriver jamais aux confrontations physiques, ou militaires.
La solution durable d’un conflit ne saurait être basée sur l’humilation de l’autre. Celle-ci génère la rancune et le ressentiment, et finit toujours par relancer un nouveau conflit. L’histoire mondiale récente est pleine de ces coups de forces et négociations biaisées qui ont portées en elles nombre de révoltes et de guerres.
L’armée aussi
De nombreuses organisations relayent cette journée et s’il ne surprendra personne de retrouver parmi elles le réseau médiation, il est intéressant de voir que des forces armées (en l’occurrence canadiennes) s’investissent aussi dans ces questions et prônent la négociation comme préalable à toute intervention. Comme quoi…
Et l’école ?
Nous vous proposons de parcourir un site Québecois consacré à la résolution des conflits dans les classes. Voir ci-dessous. (Éditrice)
L’origine de cette journée internationale remonte au 20 octobre 2004, au moment de la célébration inaugurale de la profession de chef à travers le monde.
Les objectifs affichés de cette journée étaient à l’époque de susciter une reconnaissance de la profession de chef cuisinier, en les impliquant dans des événement caritatifs et des compétitions ou démonstrations culinaires.
International Chefs Day
C’est le nom original de cette journée, d’origine anglo-saxonne, qui est aujourd’hui mise en avant par le WACS (Fédération Mondiale des Sociétés de Cuisiniers), qui se présente [elle-même] comme étant l’Autorité Mondiale en Cuisine. Son origine remonte à 1928 en France.
Plusieurs sites espagnols mentionnent son existence mais la date en semble assez variable. Nous avons retenu le 19 octobre qui semble recueillir le maximum de suffrage. N’oublions pas que le 19 octobre tombe en plein dans la mobilisation Octobre Rose.
Race for the Cure®
Signalons une initiative belge pour cette cause : soutenez les personnes touchées par le cancer du sein en paricipant à une épreuve de course à pieds, la Race for the Cure®, organisée en collaboration avec Think Pink Europe. Il s’agit d’un événement annuel, le plus grand événement sportif en Europe qui soutient la lutte contre le cancer du sein, selon les organisateurs. Alors, vous participez ?
Octobre Rose
En réalité l’événement le plus médiatique concernant le cancer du sein est Octobre Rose. En fait, il ne s’agit pas d’un mais de nombreux événements répartis sur tout le mois d’octobre. Découvirez-en plus dans le site cancerdusein.org (ci-dessous).
Octobre Rose est une occasion de mettre en lumière celles et ceux qui combattent cette maladie, d’intensifier l’information et la sensibilisation et de réunir des fonds pour aider les chercheurs et les soignants. De grands évènements ont marqué les différentes campagnes d’Octobre Rose, et le plus spectaculaire est l’illumination (en rose bien entendu) de la Tour Eiffel.
En 2021, nous célébrons la 28ème campagne d’Octobre Rose.
Description
Le sein féminin est composé de glandes mammaires et de canaux galactophores (servant à acheminer le lait vers le mamelon) qui sont entourés de tissu graisseux et de tissu conjonctif. Une croissance anarchique des cellules dans l’un ou l’autre de ces tissus peut provoquer le cancer du sein.
Le cancer du sein est la forme de cancer féminin la plus répandue.
Il survient généralement à un âge plus précoce que les autres formes de cancer, les crises cardiaques et les accidents vasculaires cérébraux. La probabilité de cancer du sein augmente de façon spectaculaire avec l’âge : 13 femmes sur 1 000 femmes quadragénaires; 23 femmes sur 1 000 femmes quinquagénaires; 29 femmes sur 1 000 femmes sexagénaires; 31 femmes sur 1 000 femmes septuagénaires.
Les cas de cancer du sein masculin sont rares et représentent moins de 1 % de tous les cas. Par contre, le cancer du sein féminin occupe le 2e rang parmi les causes de décès lié au cancer.
Causes
Les cellules de l’organisme se reproduisent tout au long de la vie afin de remplacer de façon ordonnée les cellules des tissus qui se sont détériorés. Le cancer du sein, comme toutes les formes de cancer, survient lorsque ce processus est compromis et que les cellules commencent à se diviser à un rythme inhabituellement rapide.
Il n’y a pas une cause unique ni un seul déclencheur du cancer du sein.
(…) En fait, pour la plupart des femmes, le seul facteur de risque est leur âge, quand elles ont plus de 50 ans. Toute inquiétude à ce sujet doit être abordée avec le médecin.
Source: Texte: https://ressourcessante.salutbonjour.ca/condition/getcondition/cancer-du-sein Image: FDA
L’OMS s’associe à la Journée mondiale contre la douleur célébrée tous les ans le 3° lundi du mois d’octobre.
Le traitement de la douleur et les soins palliatifs font partie intégrante du droit à jouir d’une bonne santé, estime l’Organisation mondiale de la Santé.
Proposer des traitements
« C’est en majorité dans les pays à revenu faible ou moyen, où les maladies chroniques comme le cancer et le Sida gagnent du terrain, que les malades sont privés de traitement anti-douleur », explique le Dr Catherine Le Galès-Camus, chargée à l’OMS du groupe Maladies non transmissibles et santé mentale. « Ce n’est pas parce que les ressources sanitaires sont comptées que les malades et leur famille doivent se voir refuser ce traitement ».
L’Association internationale pour l’étude de la douleur (IASP) et la Fédération européenne des sections locales de l’IASP (EFIC) coordonnent les actions mises en place pour cette Journée mondiale.
Selon l’IASP et l’EFIC, une personne sur cinq souffre de douleurs chroniques modérées à fortes, et la douleur rend une personne sur trois incapable ou difficilement capable de mener une vie indépendante. En outre, une personne sur quatre rapporte que la douleur perturbe ou détruit ses relations avec sa famille et ses amis.
La morphine par voie orale s’est avérée d’un bon rapport coût-efficacité pour le traitement de la douleur modérée à forte chez les cancéreux et les personnes vivant avec le VIH/SIDA, note l’OMS dans un communiqué. Toutefois, ces analgésiques ne sont pas partout disponibles, en particulier dans les pays en développement à cause d’une méconnaissance de leur usage médical, de restrictions réglementaires et de leur prix.
« Le soulagement de la douleur devrait être un droit de tout être humain, qu’il soit atteint d’un cancer, d’une infection à VIH/SIDA ou de n’importe quelle autre maladie douloureuse », affirme Sir Michael Bond, président de l’IASP.
Un problème sous-estimé
Pour le Pr. Harald Breivik, président de l’EFIC, « la douleur chronique est l’un des problèmes les plus sous-estimés par les services de santé dans le monde aujourd’hui » alors qu’elle devrait être considérée comme « une maladie en tant que telle ».
Depuis 2005, l’OMS a promulgué la journée mondiale du don d’organes et de la greffe. Elle se tient chaque année le 17 octobre.
Cette journée est partie d’un constat alarmiste : en France, en 2005, il n’y a eu que 4238 transplantations d’organes pratiquées alors que près de 12 000 malades avaient besoin d’une greffe.
Des milliers de patients subissent toujours l’angoisse de l’attente, alors qu’on sait que chaque jour passé sur la liste dans l’espoir d’une greffe est une perte de chance.
Chaque jour, des hommes, des femmes et des enfants meurent faute d’avoir pu être transplantés à temps, alors que la médecine aurait été en mesure de les sauver. Cette situation est essentiellement due à un déficit d’information du grand public…
Un site à visiter : www.greffedevie.fr Source : Texte : Journée mondiale Image : GMPA
Don d’organes et de tissus
Au Québec, une personne peut décider de donner ses organes et ses tissus au moment de son décès. Le don d’organes et de tissus peut sauver jusqu’à huit vies et redonner la santé à 20 autres personnes.
Le don d’organes et de tissus est un geste anonyme, volontaire, libre et gratuit.
Don d’organes
Le don d’organes est possible uniquement lorsque la personne décède à l’hôpital, et ce, dans des circonstances précises. Seul 1,4 % des personnes qui décèdent à l’hôpital peut devenir un donneur d’organes, soit l’équivalent de 450 à 500 personnes par année pour tout le Québec si toutes les conditions sont réunies chaque fois.
Les organes pouvant être prélevés chez un donneur en vue d’une transplantation sont tout particulièrement :
les deux reins;
le cœur;
les deux poumons;
le foie (peut être divisé en deux);
le pancréas;
l’intestin;
le visage.
Chaque donneur décédé offre ainsi la chance à huit personnes en attente d’une transplantation de recevoir un nouvel organe.
L’attribution des organes s’effectue selon des protocoles rigoureux tenant compte de différents facteurs :
le groupe sanguin du donneur et du receveur potentiel;
la compatibilité des antigènes entre le donneur et le receveur potentiel;
le poids et la taille du donneur et du receveur potentiel;
le statut d’urgence médicale de la personne en attente d’un organe;
la date d’inscription du receveur sur la liste d’attente d’une transplantation.
Au cours des dernières années, 180 donneurs ont permis plus de 500 transplantations en moyenne chaque année. Le taux de survie des personnes greffées varie selon les types d’organes, mais se situe généralement entre 70 % et 90 %, et ce, 10 ans après la chirurgie.
La première édition de cette journée a été célébrée le 16 octobre 2012.
En France, cette journée a été marquée par une mobilisation des chiropracteurs qui ont proposé une évaluation gratuite des dysfonctionnements vertébraux et des troubles de l’appareil locomoteur. En effet, une personne sur deux dans le monde souffrirait de douleurs de dos au moins une fois dans l’année, et bien plus fréquemment dans la plupart des cas.
Pourquoi une journée consacrée à la colonne vertébrale ?
La Journée mondiale de la colonne vertébrale entend faire prendre conscience de ce que vivent les personnes souffrant de douleur vertébrale. Avec la participation de nombreux professionnels de la santé, la Journée mondiale de la colonne vertébrale est célébrée sur tous les continents.
Depuis 2000, une ONG engagée dans la recherche sur les troubles musculo-squelettiques, la Bone and Joint Decade, milite pour l’amélioration de la qualité de vie des personnes souffrantes.
C’est la fédération internationale des boulangers (UIB) qui a déclaré la journée du 16 octobre jour du pain. On peut s’interroger sur le choix de cette date qui est parallèlement celle retenue pour la Journée Mondiale de l’alimentation.
Historiquement, le pain a été une part essentielle de la nourriture et c’est peut être tout simplement là qu’il faut chercher un élément de réponse… à moins que, comme moi, vous ne sachiez pas résister à la bonne odeur d’un pain fraîchement sorti du four !
The World bread day
Le nombre et la variétés de pains que l’on peut trouver chez nos boulangers ne manque pas d’étonner et laisse réveur quand on songe à l’extrême simplicité originelle du pain : de la farine, de l’eau et du sel…
Chaque pays a ses coutumes et ses traditions, chaque région a son pain et le regain d’intérêt accordé au pain avec la vague écolo a multiplié l’offre disponible.
Le pain « quotidien » signifie encore quelque chose pour la plupart d’entre nous et cela mérite bien qu’on lui consacre une journée mondiale.