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International Volunteer Day – 5 December

International Volunteer Day (IVD) mandated by the UN General Assembly, is held each year on 5 December. It is viewed as a unique chance for volunteers and organizations to celebrate their efforts, to share their values, and to promote their work among their communities, non-governmental organizations (NGOs), United Nations agencies, government authorities and the private sector.

Apart from mobilising thousands of volunteers every year, the United Nations Volunteers (UNV) programme contributes to peace and development by advocating for the recognition of volunteers and working with partners to integrate volunteerism into development programming.

2017 Theme: Volunteers Act First. Here. Everywhere. 

IVD 2017’s theme #VolunteersActFirst. Here. Everywhere. recognizes the contributions of volunteers as first responders in times of crisis. Volunteers are present, all around us, answering calls in times of need, helping save lives today, and supporting those who want to continue living their lives with dignity tomorrow.

Risking their lives every day to care for people affected by conflict, violence and humanitarian crises, volunteers brave many dangers to help others, driven by the desire to make a difference in the face of human suffering. This year, IVD promotes the contributions of such volunteers at the local, national and international level.

Source: Text & Image: UN

 

 

International Day for the Abolition of Slavery – 2 December

Slavery is not merely a historical relic. According to the  International Labour Organisation (ILO) more than 40 million people worldwide are victims of modern slavery. Although modern slavery is not defined in law, it is used as an umbrella term covering practices such as forced labour, debt bondage, forced marriage, and human trafficking. Essentially, it refers to situations of exploitation that a person cannot refuse or leave because of threats, violence, coercion, deception, and/or abuse of power.

In addition, more than 150 million children are subject to child labour, accounting for almost one in ten children around the world.

Facts and figures:

An estimated 40.3 million people are in modern slavery, including 24.9 in forced labour and 15.4 million in forced marriage.

There are 5.4 victims of modern slavery for every 1,000 people in the world.

1 in 4 victims of modern slavery are children.

Out of the 24.9 million people trapped in forced labour, 16 million people are exploited in the private sector such as domestic work, construction or agriculture; 4.8 million people in forced sexual exploitation, and 4 million people in forced labour imposed by state authorities.

Women and girls are disproportionately affected by forced labour, accounting for 99% of victims in the commercial sex industry, and 58% in other sectors.

ILO has adopted a new legally binding Protocol designed to strengthen global efforts to eliminate forced labour, which entered into force in November 2016.

The 50 for Freedom campaign aims to persuade at least 50 countries to ratify the Forced Labour Protocol by 2018.

Source: Text: UN Image: Ecpat.UK

World Day for the Prevention of Child Abuse – November 19

In 2000, the Women’s World Summit Foundation (WWSF), a non-governmental organization, launched the World Day for Prevention of Child Abuse on November 19. WWSF, along with an international coalition of advocacy organizations for women and children’s issues, mobilized governments and societies to take action and prevent child abuse. In 2001, APA, through its International Office, joined the coalition and also marked the day, November 19, as the World Day for the Prevention of Child Abuse. APA developed the following fact sheet, « Violence Against Children in the US, » with information on violence against children in the US. It includes tips for identifying and preventing child abuse, with an outline of the association’s contributions to child abuse prevention.

Violence Against Children in the US

  • In 2004, an estimated 3 million children were alleged to have been victims of physical, sexual, verbal and emotional abuse, neglect, abandonment, and death. After investigations, almost 900,000 of these victims were found to have been victims of child maltreatment.
  • In the USA, Children are more likely to die from violence and neglect than from accidents. Child violence permanently disables 18,000 children and youth every year and seriously injures 565,000.
  • Violence and neglect against children kills more than 3 children every day in America. Most of the children who die are younger than six years of age. Of these fatalities, 85 percent were under the age of six; 44 percent of the children were under the age of one.
  • Almost 80 percent of the perpetrators are parents
Source: Text: American Psychological Association Image: ppaccentral.org

 

Journée mondiale pour la prévention des abus envers les enfants – 11 novembre

La Fondation Sommet Mondial des Femmes : Femmes et en enfant d’abord (FSMF) a lancé en 2000 la Journée Mondiale pour la Prévention des Abus envers les Enfants. Cette journée est célébrée chaque 19 novembre en synergie avec la journée des droits de l’enfant (20 novembre), a pour objectif de mettre en évidence le problème des abus ainsi que la nécessité d’intervenir de toute urgence par la diffusion de programmes de prévention.

Les abus et l’exploitation des enfants (notamment au niveau sexuel) constituent un problème universel et alarmant. Une attention accrue ainsi que des mesures efficaces et soutenues de prévention et de protection sont nécessaires, que ce soit au niveau familial, local, national ou international.

Après une longue tradition du silence, les abus sexuels dont sont souvent victimes les enfants font de plus en plus l’objet de révélations, occupant une place éminente sur la scène publique et politique.

Les Gouvernements et les organisations de la société civile doivent jouer un rôle actif dans la promotion et le respect des droits de l’enfant (énoncés dans la Convention relative aux droits de l’enfant, articles 19 et 34 *)

  • 19 / Les Etats parties prennent toutes les mesures législatives, administratives, sociales et éducatives appropriées pour protéger l’enfant contre toute forme de violence, d’atteinte ou de brutalités physiques ou mentales, d’abandon ou de négligence, de mauvais traitements ou d’exploitation, y compris la violence sexuelle, pendant qu’il est sous la garde de ses parents ou de l’un d’eux, de son ou ses représentants légaux ou de toute autre personne à qui il est confié.
  • 34 / Les Etats parties s’engagent à protéger l’enfant contre toutes les formes d’exploitation sexuelle et de violence sexuelle. A cette fin, les Etats prennent en particulier toutes les mesures appropriées sur les plans national, bilatéral et multilatéral pour empêcher (…)

Agir chaque année
Malgré les nombreux acquis réalisés au profit de l’enfance au cours de ces trente dernières années, les droits de l’enfant continuent de subir des atteintes dans de nombreuses régions, avec la persistance de l’exploitation économique des enfants et tous les préjudices physiques, psychologiques et sociaux qui en découlent, en plus des épreuves et des situations dramatiques dans lesquelles se retrouvent les enfants en période de conflits armés et les diverses formes de désespoir et de souffrance qu’ils éprouvent du fait de la propagation de la pauvreté, de la famine, des fléaux et des endémies.

Un site à visiter : www.grandirensecurite.com   Source: Texte & Image: Journée Mondiale

Journée Mondiale du refus de la misère – 17 octobre

Le 17 octobre 1987, à l’appel du Père Joseph Wresinski, 100 000 défenseurs des Droits de l’Homme se sont rassemblés sur le Parvis du Trocadéro, à Paris, pour rendre honneur aux victimes de la faim, de la violence et de l’ignorance, pour dire leur refus de la misère et appeler l’humanité à s’unir pour faire respecter les Droits de l’Homme. Une dalle, proclamant ce message, a été inaugurée à cette occasion sur le Parvis des Libertés et des Droits de l’Homme, là où fut signée, en 1948, la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme. On peut y lire l’appel du père Joseph:

« Là où des hommes sont condamnés à vivre dans la misère, les droits de l’homme sont violés. S’unir pour les faire respecter est un devoir sacré. »

Depuis cette date, le 17 octobre de chaque année, les plus pauvres et tous ceux qui refusent la misère et l’exclusion se rassemblent dans le monde entier afin de témoigner de leur solidarité et de leur engagement pour que la dignité et la liberté de tous soient respectées : ainsi est née la Journée Mondiale du Refus de la Misère.

Le 17 octobre 1992, Monsieur Javier Perez de Cuellar, ancien Secrétaire général de l’ONU, au nom d’un groupe de personnalités internationales rassemblées dans le Comité pour la Journée Mondiale du Refus de la Misère, lance un appel pour la reconnaissance du 17 octobre. Le 22 décembre 1992, le 17 octobre est proclamé Journée internationale pour l’élimination de la pauvreté par l’assemblée genérale des Nations Unies. Depuis, les initiatives pour célébrer cette journée n’ont cessé de se multiplier. Dans de nombreux lieux, des rassemblements se tiennent également le 17 de chaque mois.

Un site à visiter : refuserlamisere.org      Source: Texte: Journée Mondiale    Image: https://www.atdquartmonde.ca/journee-mondiale-du-refus-de-la-misere-17-octobre/ATD Quart Monde

World Day to Overcome Extreme Poverty – 17 October

On October 17, 1987,World Day to Overcome Extreme Poverty , at the call of Father Joseph Wresinski , 100,000 human rights defenders gathered at the Parvis du Trocadéro in Paris to honor the victims of hunger, violence, ignorance and violence. To say their refusal of misery and call on humanity to unite to make respect for Human Rights..

A slab, proclaiming this message, was inaugurated on this occasion on the Parvis des Libertés and Human Rights, where the Universal Declaration of Human Rights was signed in 1948.

Source: Text: Zyppia, NationalPedia Image:UN

 

 

World Animal Day – 4 October

It’s all about animals on October 04 – the World Animal Day (WAD). This is an international awareness day and puts the harm of animals caused by humans into the centre of attention. Often farm animals and pets are kept under bad conditions and neglected.

It was Heinrich Zimmermann, a German-Jewish author, who made an application to initiate a day dedicated to animals, in 1931 on the convention of ecologists in Florence. He had fought for animal rights for many years. His suggestion had been effectuated in shape of World Animal Day.

Animal rights groups support the rights of animals on a global basis on World Animal Day. They should be treated like living creatures and not as products or things. A species-appropriate husbandry means to care for medical treatment, feed them, and give them enough space and love. Extremely cruel treatments like violence, neglect or too long periods of transports are blasted. Very often animal homes, shelters and animal clinics organize open house on World Animal Day. Everyone shall be encouraged to rise up against cruelty towards animals.

World Animal Day takes place on the Saint’s day of Francis of Assisi. He was very fond of animals and godly monk. From his point of view even the smallest worm has to be seen as a creation of God and needs to be protected and honored. During his life he preached that animals are equal to humans and it is our sacred duty to protect them and treat them kind. That is exactly the basic idea of the modern World Animal Day.

Source: Texte:  www.cute-calendar.com  Images: Wikipedia, For Ever For Always No matter What

 

 

World Humanitarian Aid Day – 19 August

World Humanitarian Aid (WHD) is held every year on 19 August to pay tribute to aid workers who risk their lives in humanitarian service, and to rally support for people affected by crises around the world.

2017 WHD campaign: #NotATarget

Around the world, conflict is exacting a massive toll on people’s lives. Trapped in wars that are not of their making, millions of civilians are forced to hide or run for their lives. Children are taken out of school, families are displaced from their homes, and communities are torn apart, while the world is not doing enough to stop their suffering. At the same time, health and aid workers – who risk their lives to care for people affected by violence – are increasingly being targeted.

For WHD 2017, humanitarian partners are coming together to reaffirm that civilians caught in conflict are #NotATarget. Through a global online campaign featuring an innovative partnership with Facebook Live, together with events held around the world, we will raise our voices to advocate for those most vulnerable in war zones, and demand that world leaders do everything their power to protect civilians in conflict.

This campaign follows on the UN Secretary-General’s report on protection of civilians, which was launched earlier this year. Laying out his ‘path to protection’, the Secretary-General calls for enhanced respect for international humanitarian and human rights law, and protection of civilians, including humanitarian and medical workers as well as civilian infrastructure.

Source: Text & Image: UN

Journée internationale de la destruction des armes légères – 9 juillet

La Journée internationale de la destruction des armes légères a été lancée par les Nations unies en 2001.

A l’occasion de la Journée internationale de la destruction des armes légères, des victimes de la violence par les armes procèdent à la destruction d’armes aux quatre coins de la planète. Ces actions locales interviennent après la publication par les organisateurs de la campagne pour le contrôle des armes – Oxfam, Amnesty International et Réseau d’action international sur les armes légères (RAIAL) – de statistiques révélant l’existence d’une arme pour dix habitants dans le monde. En moyenne, 800 000 sont détruites chaque année, mais les armes non réglementées restent un problème majeur : pour chaque arme détruite, dix sont produites.

Lorsqu’elles tombent entre de mauvaises mains, les armes sont responsables de centaines de milliers de morts, et de bien plus encore de blessés chaque année. Les armes non réglementées sont utilisées dans des crimes perpétrés partout dans le monde : homicides, déplacements forcés, viols et actes de torture.

« La Journée internationale de la destruction des armes légères est l’occasion pour tout un chacun de prendre des initiatives visant à attaquer de front le problème des armes. Or, étant donné que pour chaque arme détruite, dix sont produites, les efforts déployés par le citoyen lambda sont minés par le refus d’agir des gouvernements : pour chaque pas en avant, on recule de dix. Tant qu’on n’aura pas créé un traité international sur le commerce des armes, les initiatives locales seront toujours sabotées par l’inaction des autorités et les armes continueront de tomber entre de mauvaises mains. »   Barbara Stocking, directrice d’Oxfam.

Les chiffres parlent d’eux-mêmes

Environ 640 millions d’armes sont en circulation, soit une pour dix personnes.

Quelque 8 millions d’armes sont produites chaque année.

Environ 14 milliards de cartouches à usage militaire sont fabriquées tous les ans, ce qui correspond à deux balles par personne.

Mille deux cent quarante-neuf entreprises implantées dans plus de 90 pays produisent des armes légères. Dans certains de ces États, les réglementations commerciales sont quasi inexistantes.

Dans les deux principaux pays producteurs d’armes – les États-Unis et la Russie – le volume de production d’armes de type militaire augmente. Au lieu de détruire les armes vétustes ou en surnombre, la plupart des États revendent leurs stocks excédentaires et assurent ainsi la prolifération toujours plus importante des armes sur la planète.

Seuls trois pays – le Nigéria, la Lettonie et l’Afrique du Sud – disposent d’une politique de destruction des excédents ou des saisies d’armes. Des informations précises font état de ventes au rabais d’armes qui se retrouvent entre les mains de criminels ou de rebelles. En moyenne, environ un million d’armes sont perdues ou volées chaque année. Plusieurs centaines de milliers d’armes sont perdues par les forces de sécurité des États chaque année.

L’exemple de l’Irak illustre de manière extrême cette dernière donnée : en 2003, des millions d’armes ont été pillées à travers le pays. Au moins 650000 tonnes d’armements et d’explosifs ont été saisis par les forces américaines et alliées sur l’ensemble du territoire, dans des dépôts militaires abandonnés ; restées quasiment sans surveillance, de grandes quantités d’armes ont été volées.

Un site à visiter : www.controlarms.org  Source: Texte & Image: Journée Mondiale

 

 

International Day in Support of Victims of Torture – 26 June

Torture seeks to annihilate the victim’s personality and denies the inherent dignity of the human being. Despite the absolute prohibition of torture under international law, torture persist in all regions of the world. Concerns about protecting national security and borders are increasingly used to allow torture and other forms of cruel, degrading and inhuman treatment. Its pervasive consequences often go beyond the isolated act on an individual; and can be transmitted through generations and lead to cycles of violence.

The United Nations has condemned torture from the outset as one of the vilest acts perpetrated by human beings on their fellow human beings.

Torture is a crime under international law. According to all relevant instruments, it is absolutely prohibited and cannot be justified under any circumstances. This prohibition forms part of customary international law, which means that it is binding on every member of the international community, regardless of whether a State has ratified international treaties in which torture is expressly prohibited. The systematic or widespread practice of torture constitutes a crime against humanity.

On 12 December 1997, by resolution 52/149, the UN General Assembly proclaimed 26 June the United Nations International Day in Support of Victims of Torture, with a view to the total eradication of torture and the effective functioning of the Convention against Torture and Other Cruel, Inhuman or Degrading Treatment or Punishment.

26 June is an opportunity to call on all stakeholders including UN Member States, civil society and individuals everywhere to unite in support of the hundreds of thousands of people around the world who have been victims of torture and those who are still tortured today.

Recovering from torture requires prompt and specialized programmes. The work of rehabilitation centres and organisations around the world has demonstrated that victims can make the transition from horror to healing.

Source: Text: UN  Image: spots.thinkglobalschool.com