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Journée Mondiale de la Santé – 7 avril 2019

Le 7 avril 2019, c’est la Journée Mondiale de la Santé ! Cette année, cette journée mondiale est axée sur la couverture-santé universelle. Il est important que chacun puisse obtenir les soins dont il a besoin et quand ils lui sont nécessaires. Une étude menée par une équipe chinoise a comparé la prise en charge de 306 pathologies en fonction d’un indicateur : l’EVAS (espérance de vie en fonction de l’état de santé).

L’espérance de vie en bonne santé a augmenté de 5,49 ans
Dans le monde, des millions de personnes sont privés d’un accès aux soins de santé et certains sont forcés de choisir entre les soins et d’autres dépenses quotidiennes comme l’alimentation, les vêtements ou même un logement. L’EVAS (espérance de vie en fonction de l’état de santé) permet de connaître le nombre moyen d’années de vie en bonne santé estimé pour un individu en se référant à l’expérience moyenne d’une population. Cet indicateur prend en compte : la durée de vie et la qualité de vie.

306 pathologies ont été prises en compte dans cette étude, dans 187 pays répartis sur 21 régions du monde. Entre 1990 et 2013, l’espérance de vie en fonction de l’état de santé a augmenté de 5,49 ans. Ceci est dû à une meilleure prise en charge des :

  • Maladies transmissibles
  • Pathologies maternelles et néonatales
  • Problèmes nutritionnels
  • Maladies non transmissibles
  • Traumatismes

 

Source: Texte & Image: Léa G. Santé sur le Net, April 5, 2019
Note: Image: Growing tree to save ecological sustainability, sustainable environment, and corporate social responsibility CSR in nature concept (arbre en croissance pour sauver l’écologie, l’environnement, et la responsabilité sociale des corporations)

Journée mondiale de l’eau – 22 mars 2019

Malgré le fait que l’accès à l’eau potable et à l’assainissement soit reconnu comme un Droit de l’homme depuis 2010, près de 3,5 milliards d’êtres humains n’ont encore aujourd’hui d’autre choix que de boire une eau dangereuse pour leur santé. 2,4 milliards ne disposent toujours pas de latrine, soit 40% de la population mondiale. Résultat, 2,6 millions de personnes meurent chaque année de maladies liées à l’eau, ce qui fait de l’eau insalubre une des premières causes de mortalité au monde.

Source de vie, de développement, d’économie et d’éducation, l’eau est malheureusement encore trop souvent source de pauvreté, de maladies et de mort. 2,6 millions de personnes meurent chaque année des suites de maladies liées à une eau et un environnement insalubres soit 5 décès par minute. Parmi elles, 1,5 million ont moins de 5 ans.

En 2016, 2,4 milliards de personnes manquent toujours d’un assainissement adéquat. Parmi elles, 1 milliard défèquent encore à l’air libre. « Près de 375 000 tonnes de matières fécales sont déposées dans la nature. Un seul gramme contient jusqu’à 10 000 virus dont la poliomyélite et un million de bactéries responsables de la dysenterie, de la diarrhée ou du choléra. Des maladies dont il est impensable de mourir encore aujourd’hui ».

On estime que l’accès à des toilettes et au lavage des mains systématique permettrait à 577 000 personnes de rester en vie chaque année.

L’accès à l’eau potable et à l’assainissement est un élément majeur pour accroître la résilience des populations face aux effets des crises et des catastrophes naturelles, ainsi que face aux impacts du changement climatique.

Source: Texte (extraits) : https://www.solidarités.org/fr Images : Grand Chambord   United Nations
 
 

2è dimanche du Carême, année C – 2019

Des promesses… nous en faisons parfois.
D’autres nous font aussi des promesses… mais…
Ce ‘MAIS’ est parfois lourd d’attente déçue et de regrets.

Nous avions espéré ce qui était promis mais cela ne s’était pas matérialisé.
Nous avions anticipé la réalisation de quelque chose de bon, mais cela ne s’était pas réalisé.
Désappointement et douleur est tout ce que nous avions obtenu.
C’est regrettable mais c’est parfois ce qui se passe entre nous – les promesses ne deviennent pas réalité.

Il y a d’autres promesses, celles-là ne déçoivent jamais car elles nous sont données par… Dieu!
Oui, et lui ne manque jamais à sa parole.

L’apôtre Paul nous en transmet une alors qu’il écrit aux Philippiens.
Il leur dit :
« Le Seigneur Jésus… transformera nos pauvres corps à l’image de son corps glorieux. »
 
Toute une promesse !

« Nos pauvres corps… »

  • souvent touchés par la maladie et les infirmités ; 
  • diminués par l’âge et les accidents ;
  • handicapés de bien des manières.

Se pourrait-il. qu’un jour, ils soient de nouveau pleins d’énergie et de vitalité ?
Renouvelés, raffermis, libérés – oui, TRANSFORMÉS ?!

C’est le message de ce 2è dimanche du Carême.
L’évangile relate l’épisode de la Transfiguration de Jésus (Lc.9:28-36) –
un moment privilégié pour les apôtres qui en sont les témoins.
Possiblement un encouragement à ne pas désespérer alors que Jésus vient de leur annoncer la Passion
qui sera la sienne dans un avenir prochain.

Mais c’est là aussi une scène littéralement révélatrice.
Révélatrice et prophétique de ce que Paul affirme dans la 2è lecture (Ph.3:17 – 4:1) – notre propre ‘transfiguration’ !
À nous qui souvent devons faire effort pour mettre un pas devant l’autre…

Et… une invitation à ne pas désespérer nous-mêmes quand nous sommes confronté/es aux petites ‘passions quotidiennes’ qui nous paraissent souvent plus lourdes que nous ne pouvons les supporter…

Il ne nous est pas facile d’imaginer ce que nous deviendrons mais…
Nous pouvons l’anticiper dans une foi assurée et une espérance qui ne fléchit pas.
Un pas à la fois, un autre pas qui le suit, et un autre encore… jusqu’à la TRANSFIGURATION finale !

Note : Une autre réflexion est disponible sur un thème différent en anglais à : https://image-i-nations.com/2nd-sunday-of-lent-year-c-2019/

Et aussi un blogue en français à: https://image-i-nations.com/le-jour-ou-dieu-a-invite-abraham-a-faire-de-lastronomie/

 
 Source : Image : Autostraddle

 

Journée mondiale des solitudes – 23 janvier

On estime que 12% de la population française vit aujourd’hui dans une grande solitude. Plus grave, on observe que la solitude est en forte augmentation dans de nombreux secteurs de la population. Elle est souvent invisible mais toucherait 1 français sur 3. Il n’en fallait pas plus pour que ce mal devienne le sujet d’une nouvelle journée mondiale.

Source : Texte : Journée Mondiale

La solitude ce n’est pas seulement le fait de n’avoir personne autour de soi; c’est le sentiment d’être seul et isolé mais aussi tous les sentiments de tristesse qui s’en suivent. Pour de nombreuses personnes, ce sentiment s’explique par le fait de ne pas avoir trouvé l’amour; pour d’autres, le fait de faire de nouvelles rencontres, ou même entretenir un lien quelconque, relève de l’impossible.

Des études récentes ont démontré que la solitude pouvait avoir des répercussions non seulement sur le mental, mais aussi sur la santé physique. En effet, les personnes qui se sentent vides, seules et qui ont le sentiment de ne pas être aimées, auraient plus de chance de contracter des maladies cardiovasculaires, sont plus stressées et présentent une diminution de la mémoire et de la capacité à apprendre.

Les sentiments de solitude peuvent même mener jusqu’à la dépression et au suicide. La véritable solution est d’apprendre tant l’art d’être seul que l’art d’être accompagné.

L’art d’être seul
Servez vous de cette étape pour mieux vous connaître. C’est l’occasion d’acquérir de nouvelles connaissances et de tester de nouvelles choses, d’apprendre à gérer son budget ou réparer la fuite du robinet. Découvrez l’emploi du temps qui vous convient le mieux.

Savoir que vous pouvez prendre soin de vous et que vous êtes capable de le faire correctement vous procurera un sentiment de satisfaction incomparable.

En définitive, c’est un moment d’épanouissement et de maturité. Si vous ne savez pas comment être heureux en étant seul, vous ne saurez pas être heureux dans une relation. Personne ne pourra faire office de baguette magique et faire disparaitre vos problèmes.

En conclusion, rappelez-vous que le sentiment de solitude ne vient pas du fait d’être seul, mais de la façon de percevoir une situation. Ne subissez pas la solitude, ne soyez pas une victime. Tirez-en du positif et apprenez à rebondir.

 

Source : Texte (extraits) : https://nospensées/fr   Images : Pexels Freepik

Souffrez-vous de… ‘Nomophobie’?

Il y a ce que l’on nomme les ‘maladies rares’; d’ordinaire, elles ont un nom compliqué, des symptômes inquiétants et, en général, elles sont peu connues.

Puis, il y a les maladies que je qualifie de ‘populaires’; elles sont très répandues et peuvent atteindre une intensité dont peu de gens se préoccupent.
Elles touchent de nombreuses personnes qui ignorent leur condition ou, si elles en sont conscientes, elles ne la jugent aucunement sérieuse.

Récemment, j’ai lu un article au sujet des 10 maladies technologiques qui nous touchent de nos jours.
L’une d’elles a retenu mon attention plus particulièrement.
Elle se nomme (en anglais) la ‘nomophobia’ pour décrire la ‘no mobile phobie’.

On décrit cette condition comme un état permanent:

  • de crainte d’avoir oublié son cellulaire,
  • de ne pas en avoir rechargé la batterie,
  • d’être incapable d’obtenir un signal permettant l’utilisation de ce petit instrument que l’on qualifie de ‘téléphone intelligent’!

Dans des cas extrêmes, il semblerait que certaines personnes sont sujettes à des attaques de panique si elles sont privées de ce compagnon technologique dont elles ne peuvent se séparer.

Vous souriez mais dans un article déjà publié en novembre 2017, l’auteure, Miriam Diez Bosch, posait la question suivante :
« La technologie a-elle usurpé la qualité notre vie? » *

Ceux et celles qui sont atteint/es par ce syndrome le nient la plupart du temps.                    
Ces gens sont convaincus qu’ils et elles n’utilisent cet article que lorsque c’est vraiment nécessaire de le faire.
Aucun n’admettrait passer des heures à ‘surfer’ le ‘net’ selon l’expression courante, encore moins s’adonner à des excursions peut recommandables sur la grande toile technologique…
Et pourtant… certaines ‘caches’ astucieuses et discrètes pourraient donner une version différente!…

Y a-t-il un remède?
Peut-être une prescription de… Discipline-Distance-Détachement?…
Mais qui serait prêt à avaler une potion si amère?

L’œil parcourt les courriels tout juste entrés,
l’oreille s’accroche aux messages dans la boîte vocale,
et les pouces à toute vitesse s’affairent au prochain texto!

HOMOPHOBIE… Maladie chérie!

*Texte original : “Has technology hijacked our quality of life?”

Source: Image: Alcatel Mobile   Freepik

 

Décision de l’OMS avec des répercussions sérieuses…

L’Organisation mondiale de la santé vient de mettre à jour sa Classification internationale des maladies. Pour la première fois, l’addiction aux jeux vidéo y est considérée comme une maladie à part entière.

Le phénomène d’addiction ne serait pas rare mais nécessiterait  « une fragilité initiale ». Frederic J. Brown/AFP 

Que dit l’OMS ?
Comme la cocaïne ou les jeux d’agents, les jeux vidéo sont potentiellement addictifs, écrit pour la première fois l’Organisation mondiale de la santé (OMS) à l’occasion de la 11e mise à jour de sa Classification internationale des maladies. L’organisation y reconnaît en effet officiellement l’existence d’un « trouble du jeu vidéo ».

L’addiction aux jeux vidéo, une vraie maladie
L’OMS ne bannit pas l’usage en tant que tel du jeu vidéo, qui séduit pas moins de 2,5 milliards d’adeptes dans le monde, mais l’abus de cet usage. Celui-ci se manifeste par une pratique extrême avec des conséquences négatives sur les « activités personnelles, familiales, sociales, éducatives, professionnelles, a détaillé Shekhar Saxena, directeur du département de la santé mentale et de la toxicomanie de l’OMS. La personne joue tellement que d’autres centres d’intérêt et activités sont délaissés, y compris le sommeil et les repas. »

Note: Une courte présentation vidéo offre une perspective positive sur le sujet des Jeux vidéos. On peut la visionner à: https://image-i-nations.com/ca-ca-minterpelle-4e-episode/

Source : Texte & Image : La Croix, Emmanuelle Lucas , le 19/06/2018

Journée Mondiale de l’eau – 22 mars

L’Assemblée générale des Nations Unies a adopté le 22 décembre 1992 la résolution A/RES/47/193 qui déclara le 22 mars de chaque année « Journée mondiale de l’eau », à compter de l’année 1993, conformément aux recommandations de la Conférence des Nations Unies sur l’environnement et le développement (CNUED)

Un plan d’action pour le XXI° siècle
Cette résolution invitait les États à consacrer ce jour selon le contexte national, en concrétisant des actions telles que la sensibilisation du public par des publications, des diffusions de documentaires, l’organisation de conférences, de tables rondes, de séminaires et d’expositions liés à la conservation et au développement des ressources en eau et à la mise en œuvre des recommandations d’Action 21.

L’eau à la source de la sécurité alimentaire
Plus de 20 après, l’alimentation en eau potable à travers le monde n’est pas encore assurée partout, loin s’en faut, et de nombreuses zones agricoles souffrent encore d’une alimentation médiocre, source de maladies et nuisibles au développement.

Un site à visiter : www.unwater.org   Source: Texte & Image: http://www.journee-mondiale.com

 

Journée Mondiale des premiers secours – 12 septembre

Depuis 2000, les Sociétés nationales de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge sont de plus en plus nombreuses à célébrer le deuxième samedi de septembre comme Journée mondiale des premiers secours.

En 2004, elles ont été plus de 100 à s’associer à cet événement. A cette occasion, les Sociétés nationales organisent des cérémonies et autres manifestations visant à mobiliser volontaires et membres de la communauté pour sensibiliser le public à l’importance des premiers secours.

L’objectif général consiste à faire mieux comprendre le rôle crucial des premiers secours tant dans la vie courante que dans les situations d’urgence, pour la prévention des accidents et des maladies, ainsi que pour l’intégration des groupes marginalisés de la société.

Une action concrète, savoir utiliser un défibrillateur
Dans de nombreux cas d’accident cardiaque, le coeur continue de battre, mais les contractions cardiaques sont inefficaces et le cœur ne peut plus assumer correctement sa fonction de pompe sanguine. Il est en fibrillation.

Une intervention simple peut sauver la vie des personnes concernées, à l’aide d’un défibrillateur, comme il en existe de nobreux installés dans les lieux publics, mairies, installations sportives, etc… encore faut-il savoir se servir de cet appareil !

Les centres de la croix-rouge proposent des formations à l’utilisation du défibrillateur et contribuent ainsi à permettre une agmentation des chances de survie.

Un site à visiter : www.secourisme.net   Source : Texte & Image : Journée Mondiale

Journée Mondiale des premiers secours – 10 septembre

Depuis 2000, les Sociétés nationales de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge sont de plus en plus nombreuses à célébrer le deuxième samedi de septembre comme Journée mondiale des premiers secours.

En 2004, elles ont été plus de 100 à s’associer à cet événement. A cette occasion, les Sociétés nationales organisent des cérémonies et autres manifestations visant à mobiliser volontaires et membres de la communauté pour sensibiliser le public à l’importance des premiers secours.

L’objectif général consiste à faire mieux comprendre le rôle crucial des premiers secours tant dans la vie courante que dans les situations d’urgence, pour la prévention des accidents et des maladies, ainsi que pour l’intégration des groupes marginalisés de la société.

Une action concrète, savoir utiliser un défibrillateur
Dans de nombreux cas d’accident cardiaque, le coeur continue de battre, mais les contractions cardiaques sont inefficaces et le cœur ne peut plus assumer correctement sa fonction de pompe sanguine. Il est en fibrillation.

Une intervention simple peut sauver la vie des personnes concernées, à l’aide d’un défibrillateur, comme il en existe de nobreux installés dans les lieux publics, mairies, installations sportives, etc… encore faut-il savoir se servir de cet appareil !

Les centres de la croix-rouge proposent des formations à l’utilisation du défibrillateur et contribuent ainsi à permettre une agmentation des chances de survie.

Un site à visiter : www.secourisme.net      Source : Texte & Image : Journée Mondiale