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2nd Sunday of Lent, Year B – 2024

What God truly wants.
This is the title I would give to the 1st reading of this Sunday (Genesis 22:1-2,9-13,15-18).

The scene depicted in this text is vivid and refers to a situation prevalent in years long past.
It was a period when child sacrifices were not uncommon for people who wanted to please their gods.
The word ‘gods’ is used here in the plural, yet the text of Genesis speaks of Yahweh, THE God of the Jewish people, the only true God.
Some people reading this story would be amazed, and shocked, at what is proposed here.

From the beginning we are told:
“God tested Abraham”.
And what a test!

“God said, “Take your son, your only son, whom you love – Isaac –
and go to the region of Moriah. 
Sacrifice him there as a burnt offering on a mountain I will show you.”

As a true believer, Abraham does not question God’s order, and he sets out to do what is asked of him.
But the offering of Isaac as a sacrifice was NOT what God truly wanted.
God himself provided what was to be a burnt offering – a ram caught by its horns in a thicket.

For an unknown reason, verse 14 has been omitted from the reading.
Yet, it gives us a meaningful interpretation of God’s gesture:

“Abraham called that place ‘The Lord Will Provide’.
And to this day it is said, ‘On the mountain of the Lord it will be provided’.”

Three words starting with a T:
Testing, Trial, Transformation…
What God Truly wanted.

Perhaps he wanted… still wants… that we understand that if/when we really want to please him,
he will enable us to do so – HE will provide…

 

Note: Another text is available on a different theme, in French, at: https://image-i-nations.com/2e-dimanche-du-careme-annee-b-2024/

Source: Image: The Church of Jesus Christ of Latter-Day Saints

 

Journée internationale des pompiers – 4 mai

Le 4 janvier 1999, 4 pompiers périssent dans un feu de forêt en Australie… c’est le début d’une prise de conscience du rôle de ces « soldats du feu » en Australie et ailleurs. La journée du 4 mai, le jour de la Saint Florian, est choisie pour rendre hommage aux pompiers.

Saint Florian ou Sainte Barbe ?

Pour les anglo-saxons, le Saint patron des pompiers est Florian. Pour les européens, c’es plus souvent à Sainte Barbe que ce titre échoit. Faîtes votre choix !

  • Florian de Lorch ou Saint Florian est un Autrichien, mort en 304 en martyr. Il est simultanément un des saints patron de la Pologne, de la ville de Linz (au nord de l’Autriche) mais aussi des ramoneurs, des pompiers et des brasseurs. Il est fêté le 4 mai.
  • La vie de Sainte Barbe nous éclaire sur sa vocation de protectrice des Sapeurs Pompiers. Elle est morte en martyre au 3ème siècle à Nicomédie, en Asie mineure, et fut entre autres enfermée par son père dans une tour à laquelle il mit le feu. Elle est aussi la Sainte Patronne des articifiers, des mineurs et des démineurs.

Soldats du feu

« Dans le service du feu, nous combattons ensemble contre un ennemi commun, l’incendie, peu importe le pays d’où nous sommes, quel uniforme nous portons et quelle langue nous parlons. »

Lt JJ Edmondson, 1999

Dans certains pays, les sirènes des casernes de pompiers sonnent à midi en ce 4 mai, invitant à une minute de silence à la mémoire de tous les pompiers décédés en mission.

Le rôle du combattant du feu dans la société contemporaine implique engagement et sacrifice au service de la société. Sans distinction du pays d’origine et du travail exercé, les pompiers dédient leurs vies à la protection des personnes et des biens contre les incendies. Dans tout les cas, le risque ultime est le sacrifice de la vie du pompier.

La journée internationale des Pompiers est l’instant où la communauté mondiale reconnaît et rend hommage au dévouement dont font preuve les pompiers pour assurer un environnement aussi sécurisé que possible à l’ensemble de la société.

Source: Texte: Journée Mondiale     Image: histoiredespompiers.fr

  Jongler…

 Il y a des gens qui aiment jongler avec des balles.
Ils/elles fascinent leur auditoire avec toutes sortes de gestes adroits pour maintenir dans l’espace de nombreuses boules de textures différentes.

Il y en a d’autres qui, diront certains, aiment ‘jouer avec le feu’ – en fait, ils/elles jonglent justement avec le feu sous différentes formes.

Quant à moi, j’aime aussi jongler mais avec… les mots!
Les mots me parlent – c’est leur fonction évidente, non?
Ils me parlent à leur façon…

Le mot ‘jongler’ a aussi la signification de : ‘Être perdu/e dans ses pensées’.
Alors, perdue dans mes pensées, je ‘jongle’ avec des mots comme…

DON – PARDON – ABANDON.

DONNER peut sembler facile; certaines personnes sont généreuses de nature.
C’est un plaisir pour eux/elles d’offrir quelque chose à un autre.
Il se peut qu’il leur en coûte et que leur offrande soit, en fait, un sacrifice –
mais peu importe, faire un DON leur est bénéfique autant qu’à autrui.

Mais PARDONNER est beaucoup plus exigeant, nous le savons.
Cela demande d’abord d’oublier une offense, ou du moins de passer outre au mal ressenti.
Il faut considérer, non plus la faute, mais l’auteur du délit qui mérite – il faut le croire –
compassion et, oui, PARDON.

Cette attitude exige de regarder au-delà de l’action qui a causé du tort.
Regarder plus loin, plus profond.

Il est nécessaire d’ABANDONNER un sens de supériorité néfaste.
ABANDONNER aussi la conviction que l’on a droit à des excuses et que la réparation est requise.
ABANDONNER, évidemment, le scénario mental qui joue en boucle la scène de l’incident.

Impossible, croit-on parfois… certainement bien difficile dans la plupart des cas.
C’est alors qu’il faut faire un pas de plus et… S’ABANDONNER soi-même –
s’en remettre à Celui qui est la compassion incarnée – Jésus.

C’est parfois, le plus souvent même, la seule méthode – lui permettre de laisser couler à travers notre être
le courant combien thérapeutique, pour nous autant que pour l’autre, de son pardon à lui…

S’y être abandonné en donne la certitude… et le goût!

 

Source : Images : iStock  Le Républicain Lorrain

20è dimanche de l’année B

L’histoire ancienne révèle que, depuis ce que l’on nomme poétiquement ‘la nuit des temps’,
les humains ont voulu rejoindre Dieu.
C’est l’origine de la religion – cet ensemble de croyances et de rites pour s’unir à la divinité.
Différents peuples concevaient leurs dieux (généralement au pluriel) de façons multiples.

Nombreuses étaient les pratiques qui tentaient de s’assurer les faveurs d’un être divin quelle que soit la forme qu’on lui attribuait.
On voulait obtenir ses bienfaits et éviter les châtiments dont on redoutait la cruauté autant que leur manière aléatoire.
Dans ce but, on était prêt à offrir en sacrifice ses biens et même ses propres enfants.
Dans l’Ancien Testament, on constate que les Juifs ont dû résister à la tentation de suivre la pratique cananéenne d’offrir leurs enfants au dieu Moloch (ou, Molech) comme le faisaient leurs voisins.

Dieu a vu, Dieu a entendu et… Dieu est venu!
Ces quelques mots – simples et concrets – résument cet événement absolument hors de l’ordinaire et qui défit l’imagination!
Alors que les humains voulaient rejoindre Dieu, c’est lui qui est venu nous rejoindre

Et, revirement extraordinaire, loin de réclamer le sacrifice d’enfants humains,
il nous donne son propre Fils!
Et devenu humain il se révèle : ‘Dieu-avec-nous’.

Et… étant le Dieu qu’il est, cela ne lui suffisait pas…
Alors en Jésus, il nous a donné le message qui nous rejoint dans l’évangile d’aujourd’hui
(20è dimanche de l’année B – Jn.6:51-58) :

“Celui qui mange ma chair et boit mon sang
demeure en moi, et moi, je demeure en lui. »

 
Une affirmation, un don, une communion… à la mesure de Dieu.
Mais… c’en était trop pour les contemporains de Jésus.
Ils discutaient entre eux : Comment cela peut-il se faire?
Ils se refusaient à reconnaître que… Dieu est Dieu…
Et c’est ce Dieu qui veut faire sa demeure en nous.

Je me pose parfois la question :
‘Si j’avais été dans la foule des auditeurs ce jour-là, aurais-je réagi comme eux?’
Et… aujourd’hui?…

Note: Une autre réflexion est disponible sur un thème différent en anglais à: https://image-i-nations.com/20th-sunday-of-year-b/

Source : Image : virtueinthewasteland.com   stillromancatholicafteralltheseyears.com

Journée internationale des pompiers – 4 Mai

Le 4 janvier 1999, 4 pompiers périssent dans un feu de forêt en Australie… c’est le début d’une prise de conscience du rôle de ces « soldats du feu » en Australie et ailleurs. La journée du 4 mai, le jour de la Saint Florian, est choisie pour rendre hommage aux pompiers.

Saint Florian ou Sainte Barbe ?
Pour les anglo-saxons, le Saint patron des pompiers est Florian. Pour les européens, c’est plus souvent à Sainte Barbe que ce titre échoit. Faîtes votre choix !

Florian de Lorch ou Saint Florian est un Autrichien, mort en 304 en martyr. Il est simultanément un des saints patron de la Pologne, de la ville de Linz (au nord de l’Autriche) mais aussi des ramoneurs, des pompiers et des brasseurs. Il est fêté le 4 mai.

La vie de Sainte Barbe nous éclaire sur sa vocation de protectrice des Sapeurs Pompiers. Elle est morte en martyre au 3ème siècle à Nicomédie, en Asie mineure, et fut entre autres enfermée par son père dans une tour à laquelle il mit le feu. Elle est aussi la Sainte Patronne des articifiers et des mineurs.

Soldats du feu
« Dans le service du feu, nous combattons ensemble contre un ennemi commun, l’incendie, peu importe le pays d’où nous sommes, quel uniforme nous portons et quelle langue nous parlons. » Lt JJ Edmondson, 1999 

Dans certains pays, les sirènes des casernes de pompiers sonnent à midi en ce 4 mai, invitant à une minute de silence à la mémoire de tous les pompiers décédés en mission.

Le rôle du combattant du feu dans la société contemporaine implique engagement et sacrifice au service de la société. Sans distinction du pays d’origine et du travail exercé, les pompiers dédient leurs vies à la protection des personnes et des biens contre les incendies. Dans tout les cas, le risque ultime est le sacrifice de la vie du pompier.

La journée internationale des Pompiers est l’instant où la communauté mondiale reconnaît et rend hommage au dévouement dont font preuve les pompiers pour assurer un environnement aussi sécurisé que possible à l’ensemble de la société.

Source: Texte: Journée mondiale Image : stephmckay.vip-blog.com

 

International Firefighters’ Day – 4 May

 “The role of a firefighter in today’s society – be it urban, rural, natural environment, volunteer, career, industrial, defense force, aviation, motorsport, or other is one of dedication, commitment, and sacrifice – no matter what country we reside and work in. In the fire service, we fight together against one common enemy – fire–no matter what country we come from, what uniform we wear or what language we speak.”       LT JJ Edmondson, firefighter, and creator of Firefighters Day

Nobody could have put what it means to be a firefighter as well as this courageous woman did. Most of us would risk our lives for those we love—family members, friends, pets. But could you imagine risking severe injury or even death for someone whom you don’t know at all? Could you imagine going into a burning building to rescue a stranger, knowing you may not come out?

Could you imagine climbing a tree in a burning forest just to save a defenseless animal too frightened to come down on its own? These are things firefighters do every day, and though we likely see them as acts of pure heroism, for firefighters, they’re just part of the job. Few people deserve to be celebrated as much as these heroic men and women do, so let’s all make sure to celebrate Firefighters Day in their honor!

History of Firefighters Day
The first organized professionals whose job it was to combat structural fires lived in Ancient Egypt – however, at the time, firefighters worked for private companies that provided their services only to those who could afford them. Later, in Ancient Rome, Ceasar Augustus revolutionized firefighting by calling for the creation of a fire guard, called the Vigiles, that was trained, paid, and equipped by the state.

Firefighters Day was created in 1999 after 5 firefighters died tragically during a wildfire in Australia when the direction of the wind changed suddenly and engulfed them in flames. It is celebrated on May 4th because that is Saint Florian’s day, and Saint Florian, who was said to be one of the first commanding firefighters of an actual Roman battalion and saved many lives, is the patron saint of firefighters.

Source: Text: DaysoftheYEAR     Image: Journée Mondiale

 

Journée internationale des pompiers – 4 mai

Le 4 janvier 1999, 4 pompiers périssent dans un feu de forêt en Australie… c’est le début d’une prise de conscience du rôle de ces « soldats du feu » en Australie et ailleurs. La journée du 4 mai, le jour de la Saint Florian, est choisie pour rendre hommage aux pompiers.

Saint Florian ou Sainte Barbe ?
Pour les anglo-saxons, le Saint patron des pompiers est Florian. Pour les européens, c’est plus souvent à Sainte Barbe que ce titre échoit. Faîtes votre choix !

  • Florian de Lorch ou Saint Florian est un Autrichien, mort en 304 en martyr. Il est simultanément un des saints patron de la Pologne, de la ville de Linz (au nord de l’Autriche) mais aussi des ramoneurs, des pompiers et des brasseurs. Il est fêté le 4 mai.
  • La vie de Sainte Barbe nous éclaire sur sa vocation de protectrice des Sapeurs Pompiers. Elle est morte en martyre au 3ème siècle à Nicomédie, en Asie mineure, et fut entre autres enfermée par son père dans une tour à laquelle il mit le feu. Elle est aussi la Sainte Patronne des articifiers, des mineurs et des mineurs.

Soldats du feu
« Dans le service du feu, nous combattons ensemble contre un ennemi commun, l’incendie, peu importe le pays d’où nous sommes, quel uniforme nous portons et quelle langue nous parlons. »  Lt JJ Edmondson, 1999

Dans certains pays, les sirènes des casernes de pompiers sonnent à midi en ce 4 mai, invitant à une minute de silence à la mémoire de tous les pompiers décédés en mission.

Le rôle du combattant du feu dans la société contemporaine implique engagement et sacrifice au service de la société. Sans disctintion du pays d’origine et du travail exercé, les pompiers dédient leurs vies à la protection des personnes et des biens contre les incendies. Dans tout les cas, le risque ultime est le sacrifice de la vie du pompier.

La journée internationale des Pompiers est l’instant où la communauté mondiale reconnaît et rend hommage au dévouement dont font preuve les pompiers pour assurer un environnement aussi sécurisé que possible à l’ensemble de la société.

 Source: Texte &Image: Journée Mondiale  

Remembrance Day – 11 November

The Remembrance Day Ceremony has played a major role in Remembrance for decades. Every year on November 11, millions gather to collectively stand in honour of all who have fallen in the service of their country.

They shall grow not old, as we that are left grow old;dsc00158-370x245
Age shall not weary them, nor the years condemn.
At the going down of the sun and in the morning
We will remember them.
We will remember them.

Remembrance Day is an important day in the Canadian calendar and is an opportunity to give meaning to past sacrifice and acknowledge the courage of those presently serving. Each year, on the eleventh hour of the eleventh day of the eleventh month, we gather in memorial parks, community halls, workplaces, schools and homes to observe a moment of silence and mark the sacrifice of so many.

Source: Text & Image: Legion