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Journée internationale du cancer de l’enfant – 15 février

Le cancer chez l’enfant est la deuxième cause de mortalité dans les pays développés.

Cette journée internationale vise à mieux faire connaître cette réalité et promouvoir les actions de prévention, mes aussi les soins et la recherche.

La stratégie de lutte contre les cancers 2021-2030

Les cancers pédiatriques font de longue date partie intégrante des plans gouvernementeaux, aussi bien au niveau de la recherche que pour la prise en charge des enfants malades et de leurs familles. Cet effort se poursuit avec la nouvelle stratégie mise en place.

En France, 2500 nouveaux cas dénombrés chaque année

Le cancer chez l’enfant est une maladie rare qui représente 1 à 2 % de l’ensemble des cancers. On dénombre près de 2 500 nouveaux cas chaque année en France. Certaines formes de cancers sont spécifiques à l’enfant et, inversement, la plupart des cancers de l’adulte n’existent pas chez l’enfant.

Les facteurs favorisant le développement du cancer ont été clairement identifiés chez l’adulte (alcool, tabac, produits toxiques, virus, etc.), mais ces cause sont très rarement présentes chez l’enfant.

Les traitements ont fait des progrès considérables au cours des dernières décennies et on atteint aujourd’hui un taux de guérison de 80%. Les efforts se poursuivent.

Une loi pour le droit à l’oubli

Bonne nouvelle, on guérit du cancer. De plus en plus. Mais la société n’a pas encore adapté son comportement à cette nouvelle donne et les anciens malades souffrent toujours de discriminations. Accès à l’assurance, à l’emprunt, discriminations à l’embauche… les anciens enfants malades doivent pouvoir bénéficier du droit à l’oubli et concrètement ne plus devoir mentionner cette maladie dans les déclarations d’assurance.

Un site à visiter : www.ligue-cancer.net    Source: Texte: Journée Mondiale    Image: Fondation Bomoko

Journée mondiale de la protection des données – 28 janvier

C’est une journée d’origine anglo-saxonne (data privacy day) et, suivant les traductions, on la retrouve tantôt sous le vocable « Journée mondiale des données à caractère personnel » ou encore « journée mondiale de la vie privée »… ce qui ne recouvre pas exactement la même chose !

La difficulté vient du fait que la notion de la protection de la vie privée n’a pas du tout le même sens dans le monde anglo-saxon que dans le monde latin, ce qui n’est d’ailleurs pas sans poser des problèmes juridiques ardus quand on songe aux habitudes de sociétés américaines comme Google pour qui la transparence est la règle et la notion d’oubli inexistante !

L’Europe avant les USA

C’est le Conseil de l’Europe qui a, le premier, proclamé une journée européenne de la protection des données à caractère personnel. Elle existe depuis 2007. Les américains ont suivi de peu et c’est en 2009 que s’est célébrée la première journée nord américaine.

La convention de Strasbourg

L’initiative de cette journée est à rechercher dans la ligne de la « Convention pour la protection des personnes à l’égard du traitement automatisé des données à caractère personnel », élaborée par le Conseil de l’Europe. Ouverte à la signature des états depuis le 28 janvier 1981 elle est devenue une référence dans le monde entier. Malheureusement, seulement 44 états l’ont ratifiée…

Un site à visiter : www.nextinpact.com   Source: Texte:: Journée Mondialre     Image: unsplash.com  (Desola Lanre-Ologun)

Alzheimer… il craignait cette terrible maladie…

Il était là dans la salle d’attente dans une clinique,
Il n’était pas certain mais…
Il avait observé des signes inquiétants.
Les émissions à la télévision donnaient des détails.
Se pouvait-il qu’il en soit atteint lui-aussi,
atteint de cette terrible maladie redoutée de tous.
Il en parle avec Josuah (personnifié par Yves Charron).

(Le patient est personnifié par Miguel Therrien).

Si c’était moi…

Des messages, il nous en vient d’un peu partout.
Chaque jour, des voix nous rejoignent, d’ici, de là, qui apportent une vérité, suggèrent un questionnement, invitent à la réflexion.
Il suffit de prêter l’oreille, et de donner… l’attention du cœur!

Récemment, un message m’est parvenu par l’entremise de… ma voisine.
Elle serait surprise de l’apprendre, mais ses paroles ont suscité en moi une réflexion qui se poursuit.
Lors de nos rencontres occasionnelles, souvent je l’entends dire : « Si c’était moi… »
Et ces mots ont encore un écho en moi.

La semaine dernière, elle me racontait une visite qu’elle avait faite à une dame âgée qui se sent bien seule.
Ma voisine me racontait sa sortie et ajoutait : « Tu sais, je n’avais vraiment pas le goût de me préparer, me maquiller, prendre l’autobus et me rendre chez cette dame, mais je me suis dit : ‘Si c’était moi…’ moi qui me sens seule, qui n’ai jamais de visite… si c’était moi… alors, j’ai fait un effort et je suis allée. »

Ma voisine n’en est pas consciente mais, pendant nos conversations, elle utilise cette expression assez souvent.
Chaque fois, je me sens interpelée et, de retour chez moi, je continue à imaginer des situations en me répétant : ‘Si c’était moi…’

  • Si c’était moi qui suis prisonnier de mon fauteuil roulant et ne peut sortir que rarement…
  • Si c’était moi qui n’ai plus de famille et me sens inutile et souvent ‘déprimée’…
  • Si c’était moi qui me répète toujours les mêmes choses et… qui en oublie tant d’autres…
  • Si c’était moi qui suis lente à comprendre et… gauche pour m’exprimer…
  • Si c’était moi le jeune qui cherche… qui se cherche…
  • Si c’était moi la mère monoparentale encore enceinte sans le vouloir…
  • Si c’était moi le réfugié qui balbutie avec peine les mots d’une langue difficile…
  • Si c’était moi le prisonnier condamné injustement… (ça arrive parfois, vous savez!…)

SI C’ÉTAIT MOI…

Oui, si c’était moi, j’aimerais, oh combien j’aimerais une visite amicale, une parole encourageante, un regard qui dit qu’on comprend, une taquinerie qui me fasse sourire – alors que j’ai presque oublié ce que c’est que de sourire!
J’aimerais tellement qu’on pense un peu à moi, qu’on réalise que je suis là et que j’ai besoin d’un peu de chaleur humaine.

Évidemment, on ne peut pas dire ces choses-là, mendier ouvertement, ça ne se fait pas… mais… peut-être qu’un jour quelqu’un se dira : ‘Si c’était moi…’ et… et fera quelque chose…

Source: Images: dissolve   thegioiamxuc.vn, psst.ph

Elle était… oubliée

Il était une fois une grand’mère qui était bien triste… Elle se sentait oubliée, abandonnée…
Seule avec ses souvenirs, les siens ne semblaient plus se rappeler qu’elle existait.
Puis un jour, Josuah est venu lui rendre visite et désormais sa vie n’a plus été la même.
Elle nous raconte ce qui s’est passé.