Assez peu mentionnée dans le web francophone, il semble que cette journée soit d’origine anglo-saxonne et remonte à 2012. Son nom originel est World Sepsis Day et sa date est fixée au 13 septembre.
Cette maladie concerne près de 30 millions de personnes sur la planète et causerait la mort de 6 à 9 millions de personnes.
La Journée mondiale contre le Sepsis a pour but de sensibiliser le grand public et les décideurs à ce problème majeur de santé publique, et d’aider à la mise en place d’une recherche à la hauteur des enjeux identifiés.
Le sepsis désigne les conséquences néfastes sur les fonctions vitales des infections graves qui provoquent une mortalité très élevée en dépit des avancées de la médecine.
On parle de septicémie lorsque les pathogènes se retrouvent dans la circulation sanguine, utilisant parfois le terme d’empoisonnement sanguin.
Le sepsis est un réel problème de santé publique qui s’illustre par un nombre d’hospitalisations qui a presque doublé ces dix dernières années. Dans les pays « avancés », la mortalité due au sepsis est équivalente à celle due à l’infarctus du myocarde.
Même si elle touche essentiellement les personnes âgées dans les pays développés, le sepsis touche également de nombreux nouveau-nés et est la deuxième source de décès après les hémorragies des femmes ayant accouché.
La résistance accrue des bactéries aux antibiotiques, la manque de tests de diagnostic rapide et précis, les coûts des traitements ainsi que les conséquences neurologiques chez les survivants nous indiquent que des efforts soutenus doivent être consentis pour combattre cette maladie.
« Lorsque nous respectons les droits fondamentaux des victimes et que nous leur apportons appui et information, nous réduisons le dommage durable causé par les terroristes aux individus, aux communautés et aux sociétés. »
António Guterres, Secrétaire général de l’ONU
Cette journée internationale a été promulguée par l’assemblée générale de l’ONU le 19 décembre 2017, sur recommandation du Conseil des droits de l’homme (résolution 72/165). Cette journée vise à honorer et soutenir les victimes et les survivants du terrorisme et à promouvoir et protéger le plein exercice de leurs libertés et de leurs droits fondamentaux.
Soutien aux victimes
Trop souvent, les victimes du terrorisme doivent encore lutter pour faire entendre leur voix, l’atrocité des faits subis ne suffisant apparamment pas à leur permettre d’obtenir automatiquement une assistance et faire respecter leurs droits.
Coopération internationale
À travers cette résolution, l’Assemblée générale des Nations Unies affirme également sa volonté de renforcer la coopération internationale pour prévenir et combattre le terrorisme sous toutes ses formes.
Elle rappele également que tous les actes de terrorisme sans exception sont criminels et injustifiables, quels qu’en soient les motivations, le lieu, l’époque ou les auteurs.
Le 10 août marque la journée mondiale du lion.
A cette occasion, l’Union internationale pour la conservation de la nature n’a pas manqué de rappeler la menace qui plane au-dessus de ces grands félins. Leur espèce étant confrontée à un déclin désastreux.
Une baisse qui serait due principalement au changement climatique et aux conflits entre l’homme et la faune sauvage.
» Les gens se sont installés et ont fait de l’agriculture dans les zones où les lions avaient l’habitude de se déplacer et l’augmentation de la population humaine a également entraîné le déclin des espèces de proies en dehors des zones protégées, ce qui a également été un problème parce que maintenant, si les espèces de proies ne sont pas là, les lions vont chercher l’alternative qui est principalement le bétail et cela provoque un conflit entre l’homme et le lion. « a déclaréShadrack Ngene, responsable de la gestion de la conservation des espèces.
Kenya Wildlife Service.
« Cette première Journée mondiale de la dignité des victimes de la traite d’êtres humains (en 2013) est un appel à l’action pour faire cesser ce crime et donner de l’espoir aux victimes, qui vivent souvent autour de nous alors que nous ignorons tout de leur sort. Pour arrêter les trafiquants, il nous faut couper leurs voies de financement et saisir leurs avoirs. J’exhorte tous les pays à ratifier et à appliquer intégralement la Convention des Nations Unies contre la criminalité transnationale organisée et son Protocole additionnel relatif à la traite d’êtres humains ».
Ban Ki-moon, Secrétaire général de l’ONU
Une urgence planétaire
L’ONU nous invite à nous interroger sur la question de l’esclavage moderne et il est vrai que cette question concerne au moins 2,5 millions de personnes réparties sur la planète. Il s’agit aussi bien d’hommes, de femmes que d’enfants qui tombent aux mains de trafiquants dans leur pays et à l’étranger. L’esclavage dit « moderne » n’a rien à envier à ce que l’humanité a pu connaître par le passé et il est non seulement honteux dans son principe que par les maltraitances qu’il engendre.
L’escalavage, quelle que soit sa forme, n’a pas sa place dans ce monde !
En vue de la Journée mondiale contre la traite des êtres humains, célébrée le 30 juillet prochain, Caritas Internationalis demande aux gouvernements d’intensif-ier leurs efforts pour identifier les victimes de la traite et de l’exploitation. En cette période de pandémie de Covid-19, le nombre de victimes de ce phénomène augmente de façon alarmante.
Caritas Internationalis et Coatnet, un réseau de 46 organisations chrétiennes engagées dans la lutte contre la traite des êtres humains, élèvent la voix à l’approche de la Journée mondiale contre la traite des êtres humains.
«En ce temps de propagation de la Covid-19, déclare le Secrétaire général de Caritas Internationalis Aloysius John dans ce communiqué commun, nous dénonçons une réalité inquiétante pour les personnes vulnérables qui risquent davantage de devenir victimes de la traite». En effet, l’attention portée à la pandémie «ne doit pas nous empêcher de prendre soin des personnes les plus exposées à l’exploitation», en leur fournissant des «filets de sécurité» et un «soutien matériel, médical, juridique et psychologique» pour «les accompagner dans leurs difficultés». Les gouvernements devraient donc davantage tenir compte des «dommages collatéraux de la pandémie mondiale, en particulier sur les migrants et les travailleurs informels, désormais plus vulnérables à la traite».
En 1986, la journée mondiale des dauphins a été instaurée dans le but de mettre la lumière sur ce cétacé en voie de disparition. L’humain a un rôle à jouer dans sa survie puisque parmi les plus grandes menaces du dauphin, on pense à la pollution matérielle et sonore, au trafic maritime et à la pêche. En effet, les filets ont l’inconvénient d’emprisonner accidentellement plusieurs dauphins chaque année. Sachant que leur durée de vie moyenne est de quinze ans, il est important de faire tout en notre pouvoir pour garder en vie ce mammifère qui se positionne au sommet de la chaîne alimentaire.
On adore les dauphins pour leur tempérament sociable, sensible, joueur et leur grande intelligence. Il n’est pas surprenant que leur cerveau soit physiquement plus gros que le nôtre.
L’écholocalisation est la façon qu’ils ont développée pour communiquer et se reconnaître sous forme de sifflements. Ces sons leur permettent aussi de repérer les objets environnants puisque l’écho leur donne un indice de la distance à parcourir par rapport à une quelconque matière. Le sonar du dauphin s’élève à 120 kilohertz contre la voix humaine qui atteint en moyenne 20 kilohertz.
Le dauphin se nourrit principalement de poissons et de calmars pour avoir l’énergie nécessaire pour parcourir jusqu’à 65 kilomètres par jour. Il est donc cruel de les emprisonner dans un bassin à des fins de divertissement. L’idéal est de les laisser vivre dans leur milieu de vie naturel, c’est-à-dire dans les eaux tempérées des océans à travers le monde. Au Canada, il est interdit d’en garder en captivité, mais sachez que c’est sur les côtes que vous aurez le plus de chance d’en observer un jour. Ce spectacle est bel et bien possible puisqu’on en compte jusqu’à huit espèces au pays et une trentaine sur la planète.
Source: Texte: https://www.meteomedia.com/fr/nouvelles/nature/biodiversite/23-juillet-journee-mondiale-des-dauphins
La pollution occasionnée par la prolifération des sacs en plastique et – surtout – par leur abandon au gré des vents et des courants, menace de très nombreuses espèces animales. Qui n’a jamais entendu parler du « huitième continent » * aura du mal à se représenter l’ampleur des dégâts causés dans la nature par cette source de pollution.
Le Centre national d’information sur les déchets (Cniid) a, à de nombreuses reprises, attiré l’attention du public sur la nécessité d’une modification en profondeur de nos habitudes de consommation. Il ne s’agit plus aujourd’hui de produire plus de déchets recyclables, mais bel et bien de produire globalement moins de déchets et gérer autrement les déchets existants.
Entre 1960 à 2000, le tonnage d’ordures ménagères produit a doublé
La croisade contre l’utilisation des sacs plastiques entre symboliquement dans cette logique de réduction des déchets.
Les sacs en plastiques présentent en effet le double désavantage d’être très peu biodégradables et de se disperser très facilement au gré des vents et des courants. Ils pourraient assez facilement être remplacés par des sacs réutilisables et recyclables, voire par des emballages papier même si ces derniers ne sont pas une panacée.
* Note de l’éditrice: Le vortex de déchets du Pacifique nord est une zone du gyre subtropical du Pacifique nord, également connue sous le nom de gyre de déchets, soupe plastique2, sixième ou septième continent, vortex d’ordures2 ou encore grande zone d’ordures du Pacifique (GPGP pour Great Pacific Garbage Patch). Pour les océans, le terme « continent de plastique » est également rencontré. Une zone similaire a été découverte dans le nord de l’océan Atlantique. (https://fr.wikipedia.org/wiki/ )
Qu’est-ce que la Journée nationale des peuples autochtones?
Le 21 juin est la Journée nationale des peuples autochtones. C’est une occasion spéciale de souligner, pour tous les Canadiens, le patrimoine unique, la diversité culturelle et les réalisations remarquables des Premières Nations, des Inuitet des Métis. La Constitution canadienne reconnaît ces trois groupes comme peuples autochtones.
Bien qu’il y ait beaucoup de points communs entre ces groupes, chacun d’entre eux a son patrimoine, sa langue, ses pratiques culturelles et ses croyances spirituelles.
En collaboration avec les organisations autochtones nationales, le gouvernement du Canada a choisi le 21 juin, date du solstice d’été, pour célébrer la Journée nationale des Autochtones. Pendant des générations, de nombreux groupes et collectivités autochtones ont célébré leur culture et leur patrimoine à cette date ou à cette période de l’année étant donné la signification que revêt le solstice d’été : le jour le plus long de l’année.
Pourquoi avoir créé la Journée nationale des peuples autochtones?
La Journée nationale des peuples autochtones a été annoncée en 1996 par le gouverneur général de l’époque, Roméo LeBlanc, grâce à la Proclamation désignant le 21 juin de chaque année comme Journée nationale des peuples autochtones. Cette journée a été créée à la suite de consultations auprès de divers groupes autochtones, qui ont fait des déclarations d’appui à cet égard.
Le 21 juin 2017, le premier ministre a fait une déclaration annonçant son intention de renommer cette journée « National Indigenous Peoples Day »; le nom reste le même en français.
Covid-19
En raison de la gravité de la crise de la COVID-19, le gouvernement du Canada invite les Canadiens à célébrer le Mois national de l’histoire autochtone et la Journée nationale des peuples autochtones à la maison. Assurez votre propre sécurité, ainsi que celle de votre famille et de votre communauté, en suivant les instructions des responsables de la santé et d’autres sources fiables.
Vous pouvez en apprendre davantage sur le patrimoine unique, les cultures diverses et les contributions exceptionnelles des peuples des Premières Nations, des Inuit et des Métis en lisant une copie numérique de l’un des livres de la liste de lecture de #LecturesAutochtones ou en explorant une exposition virtuelle dans votre musée préféré.
Pendant des années, plusieurs pays et régions ont célébré leur propre Journée des réfugiés, voire parfois leur semaine. L’une parmi les plus connues est la Journée africaine des réfugiés, qui est célébrée le 20 juin dans plusieurs pays.
Solidarité africaine
En témoignage de solidarité avec l’Afrique, qui abrite le plus grand nombre de réfugiés, et envers qui elle a toujours montré une grande générosité, l’Assemblée générale des Nations Unies a adopté la résolution 55/76 le 4 décembre 2000.Dans cette résolution l’assemblée générale a noté que l’année 2001 marquait le cinquantième anniversaire de la Convention de 1951 relative au statut des réfugiés et que l’Organisation de l’unité africaine (OUA) avait accepté que la Journée internationale des réfugiés coïncide avec la Journée du réfugié africain du 20 juin.
L’Assemblée générale des Nations Unies a décidé par conséquent qu’à compter de 2001, le 20 juin marquerait la Journée mondiale des réfugiés.Une seconde journée est consacrée aux réfugiés : la journée mondiale du migrant et du réfugié, instituée par l’église catholique et célébrée le 17 janvier.
Un record dont on se passerait volontiers…
Le Haut-Commissariat de l’ONU pour les réfugiés (HCR) a publié le 19 juin 2019 son rapport annuel. Il nous révèle que le monde comptait fin 2018 un nombre record de 70,8 millions de déracinés ayant fui des guerres ou des persécutions. Il s’agit d’un niveau jamais atteint depuis la création du HCR, il y a 70 ans.
Le mode de calcul de l’ONU permet de catégoriser le nombre total de « déracinés » dans le monde de la façon suivante :
Cette année, nous célébrons la Journée mondiale du réfugié dans un contexte de forte mutation sociale.
Une pandémie a éprouvé notre résistance et mis en lumière des inégalités chroniques. Elle nous a également permis de créer d’autres types de relations et de renouveler notre motivation à agir pour l’égalité.
En cette période de Covid, nous célébrons les réfugiés qui sont en première ligne pour combattre la pandémie, avec le soutien de leurs pays d’accueil et des travailleurs humanitaires. Nous avons vu des héros du quotidien issus de toutes les couches sociales se proposer pour rejoindre les forces vives.
Qui que vous soyez et d’où que vous veniez, pandémie ou pas, chacun de nous peut agir. Chaque geste compte.
Il ne faut pas manquer de souligner que cette réalité a malheureusement été présente during la période que nous traversons – une période non de conflit mais de pandémie… (Note de l’éditrice)
La création de cette journée est récente. 2015 pour être plus précis. En effet, c’est le 19 juin 2015 que l’assemblée générale de l’Organisation des Nations Unies (ONU) l’a instituée.
Un cri éthique !
Cette Journée n’est certes associée à aucun conflit en particulier mais fait référence à « une tragédie pour l’humanité ». Le Président de l’assemblée a insisté pour que la priorité soit accordée à la prévention et à l’attention aux victimes. Elles ont besoin d’une aide globale et dr débarrasser les de leur honte qui doit rejaillir sur les criminels.
La violence sexuelle [en temps de conflit] n’est pas un phénomène nouveau et nous pouvons notamment nous souvenir que les atrocités commises en Ouganda ont fini par par la révolte du peuple qui s’est finalement levé contre le Gouvernement qui perpétuait ces atrocités. L’utilisation du viol comme arme de guerre doit être combattue par tous les moyens et les violeurs et leurs supérieurs traduits en justice.
Une journée « pas comme les autres »
Selon les représentants de l’ONU, la Journée internationale pour l’élimination de la violence sexuelle en temps de conflit ne peut pas être considérée comme une journée qui s’ajoute simplement à 120 autres, elle doit être une source d’inspiration pour des normes internationales de reddition de comptes. Tout un programme.
L’assemblée a par ailleurs souligné le rôle que pourrait jouer la Cour pénale internationale (CPI) dans la lutte contre la violence sexuelle et a appelé à la sensibilisation des dirigeants politiques, des Casques Bleus et des policiers en service dans les missions de maintien de la paix de l’ONU.