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De ceci... de cela...

Sous cette rubrique vous trouverez des mots, des idées, des propos, des pensées

se voulant une avenue pour aider à réfléchir, à découvrir, à franchir - peut-être -

une nouvelle étape vers... ce que vous désirez, espérez, anticipez!

Journée internationale des femmes – 8 mars 2021

Thème de la Journée internationale des femmes de 2021 : #RelanceFéministe

Le 8 mars marque la Journée internationale des femmes, un moment visant à célébrer les contributions des femmes et des filles du monde entier, à reconnaître les femmes qui nous inspirent tous et à reprendre la discussion sur l’importance de l’égalité des genres au Canada et dans le monde. 

Répercussions de la COVID-19 sur les femmes 

Des lacunes fondamentales ont été décelées dans notre société; ces dernières ont eu un impact disproportionné sur les personnes déjà marginalisées, vulnérables ou en difficulté. Sur tous les fronts, la pandémie de COVID-19 a érodé les acquis difficilement obtenus en matière d’égalité des genres. Des licenciements au manque de garde d’enfants en passant par l’augmentation du travail non rémunéré et la montée de la violence familiale, les femmes ont été les plus profondément touchées par la crise sanitaire et économique.

Le gouvernement du Canada travaille à la création d’un plan d’action pour les femmes dans l’économie, afin d’aider les femmes à réintégrer le marché du travail et d’inscrire la réponse à cette pandémie et à cette relance dans une optique féministe et intersectionnelle. Ce plan sera dirigé par un groupe de travail diversifié d’expertes et d’experts et guidera une approche pangouvernementale.ment du Canada.

Source: Texte & Image: Gouvernement du Canada
Journée internationale des femmes

Une date unique dans le monde entier

La Journée internationale de la femme est célébrée le 8 mars de chaque année par des groupes de femmes dans le monde entier. Elle est également célébrée à l’ONU et, dans de nombreux pays, c’est un jour de fête nationale. Lorsque les femmes de tous les continents, souvent divisées par les frontières nationales et par des différences ethniques, linguistiques, culturelles, économiques et politiques, se réunissent pour célébrer leur Journée, elles peuvent voir, si elles jettent un regard en arrière, qu’il s’agit d’une tradition représentant au moins 90 ans de lutte pour l’égalité, la justice, la paix et le développement.

Des femmes qui ont fait l’histoire

La Journée internationale de la femme est l’histoire de femmes ordinaires qui ont fait l’histoire. Elle puise ses racines dans la lutte menée par les femmes depuis des siècles pour participer à la société sur un pied d’égalité avec les hommes. Dans l’antiquité grecque, Lysistrata avait lancé une « grève sexuelle » contre les hommes pour mettre fin à la guerre. Pendant la révolution française, des Parisiennes demandant « liberté, égalité, fraternité » ont marché sur Versailles pour exiger le droit de vote des femmes.

L’idée d’une Journée internationale de la femme s’est fait jour au tournant des XIXe et XXe siècles, période caractérisée dans le monde industrialisé par l’expansion et l’effervescence, une croissance démographique explosive et l’émergence des idéologies radicales.

Repères chronologiques

1909 – Conformément à une déclaration du Parti Socialiste américain, la première Journée nationale de la femme a été célébrée sur l’ensemble du territoire des États-Unis, le 28 février. Les femmes ont continué à célébrer cette journée le dernier dimanche de février jusqu’en 1913.

1910 – L’Internationale socialiste réunie à Copenhague a instauré une Journée de la femme, de caractère international, pour rendre hommage au mouvement en faveur des droits des femmes et pour aider à obtenir le suffrage universel des femmes. La proposition a été approuvée à l’unanimité par la conférence qui comprenait plus de 100 femmes venant de 17 pays, dont les trois premières femmes élues au Parlement finlandais. Aucune date précise n’a été fixée pour cette célébration.

1911 – À la suite de la décision prise à Copenhague l’année précédente, la Journée internationale de la femme a été célébrée pour la première fois, le 19 mars, en Allemagne, en Autriche, au Danemark et en Suisse, où plus d’un million de femmes et d’hommes ont assisté à des rassemblements. Outre le droit de voter et d’exercer une fonction publique, elles exigeaient le droit au travail, à la formation professionnelle, et la cessation de la discrimination sur le lieu de travail.

Moins d’une semaine après, le 25 mars, le tragique incendie de l’atelier Triangle à New York a coûté la vie à plus de 140 ouvrières, pour la plupart des immigrantes italiennes et juives. Cet événement a eu une forte influence sur la législation du travail aux États-Unis, et l’on a évoqué les conditions de travail qui avaient amené cette catastrophe au cours des célébrations subséquentes de la Journée internationale de la femme.

1913-1914 – Dans le cadre du mouvement pacifiste qui fermentait à la veille de la Première Guerre mondiale, les femmes russes ont célébré leur première Journée internationale de la femme le dernier dimanche de février 1913. Dans les autres pays d’Europe, le 8 mars ou à un ou deux jours de cette date, les femmes ont tenu des rassemblements soit pour protester contre la guerre, soit pour exprimer leur solidarité avec leurs soeurs.

1917 – Deux millions de soldats russes ayant été tués pendant la guerre, les femmes russes ont de nouveau choisi le dernier dimanche de février pour faire la grève pour obtenir  » du pain et la paix « . Les dirigeants politiques se sont élevés contre la date choisie pour cette grève, mais les femmes ont passé outre. Le reste se trouve dans les livres d’histoire : quatre jours plus tard, le tsar a été obligé d’abdiquer et le gouvernement provisoire a accordé le droit de vote aux femmes. Ce dimanche historique tombait le 23 février dans le calendrier julien qui était alors en usage en Russie, mais le 8 mars dans le calendrier géorgien utilisé ailleurs.

Depuis ces années, la Journée internationale de la femme a pris une nouvelle dimension mondiale dans les pays développés comme dans les pays en développement. Le mouvement féministe en plein essor, qui avait été renforcé par quatre conférences mondiales sur les femmes organisées sous l’égide de l’ONU, a aidé à faire de la célébration de cette Journée le point de ralliement des efforts coordonnés déployés pour exiger la réalisation des droits des femmes et leur participation au processus politique et économique. De plus en plus, la Journée internationale de la femme est le moment idéal pour réfléchir sur les progrès réalisés, demander des changements et célébrer les actes de courage et de détermination de femmes ordinaires qui ont joué un rôle extraordinaire dans l’histoire des droits des femmes.

Le rôle des Nations Unies

Rares sont les causes dont l’ONU assure la promotion qui aient suscité un appui plus intense et plus vaste que la campagne menée pour promouvoir et protéger l’égalité des droits des femmes. La Charte des Nations Unies, signée à San Francisco en 1945, était le premier instrument international à proclamer l’égalité des sexes en tant que droit fondamental de la personne humaine. Depuis, l’Organisation a aidé à créer un patrimoine historique de stratégies, normes, programmes et objectifs convenus au plan international pour améliorer la condition de la femme dans le monde entier.

Au fil des ans, l’action menée par l’ONU en faveur de la promotion de la femme a pris quatre orientations précises : promotion de mesures juridiques; mobilisation de l’opinion publique et de l’action internationale; formation et recherche, y compris compilation de statistiques ventilées par sexe; et assistance directe aux groupes désavantagés. Aujourd’hui, l’un des principes d’organisation centraux des travaux de l’ONU est qu’aucune solution durable aux problèmes sociaux, économiques et politiques les plus pressants de la société ne peut être trouvée sans la pleine participation, et la pleine autonomisation, des femmes du monde entier.

La journée de la femme digitale

Prolongement logique de cette journée, un événement a été créé en 2013 en France et se renouvèle chaque année, la journée de la femme digitale. A découvrir !

Un site à visiter : www.un.org   Source: Texte & image: Journée mondiale

Journée mondiale de prière – 5 mars 2021

Journée mondiale de prière

Chaque année, le premier vendredi du mois de mars, la Journée Mondiale de Prière (JMP) est célébrée dans plus de 170 pays.

La JMP est un mouvement de femmes chrétiennes laïques engagées dans la prière et l’action pour soulager la misère et faire acte de solidarité. Elle est le plus grand et le plus ancien mouvement oecuménique de prière.

Depuis 1887

On attribue généralement la création du mouvement à Mary Ellen James, une américaine de l’église presbytérienne, qui lance alors un appel pour une journée de prière pour la mission aux Etats-Unis.

D’année en année le mouvement s’amplifie et se structure, pour fédérer plus de 100 pays au bout de 100 ans…

Chaque année un pays différent

Les textes de prières sont rédigés chaque année par des femmes d’un pays différent, ce qui est une des particularités de cette journée.

En 2007, des femmes de diverses provenances et de différentes Églises du Paraguay avaient écrit une liturgie sous le titre « Unis sous la tente de Dieu ».

En 2014, ce sont les femmes égyptiennes qui prennent le relais. Elles font partie des différentes commuanutés chrétiennes (coptes, catholiques et évangéliques) toujours présentes en Égypte. Elles ont travaillé autour du thème de la liturgie « Ruisseaux dans le désert » et la rencontre de la Samaritaine avec Jésus au puits de Jacob.

En 2019, c’est la Slovénie qui a été mise à l’honneur et le thème retenu pour la journée était tiré de l’Evangile de Saint Luc (XIV, 15-24), dans un extrait dans lequel Jésus compare le royaume de Dieu à un banquet. Tous les invités sont excusés ; l’hôte invite les gens qui vivent en marge de la société. Que nous disent les auteurs slovènes ? Quel message lisons-nous de la parabole ? « Venez, car tout est prêt ».

2021, dans les îles Vanuatu

Face au contexte sanitaire actuel, c’est une vidéo de la célébration qui est proposée via Youtube, Vous pouvez y accéder à partir du 2 mars

Un site à visiter : journeemondialedepriere.fr      Source: Texte & Image: Journée mondiale

LE VANUATU , 5 mars 2021 ,

Ce vendredi 5 mars, pour permettre à toutes et tous d’être en communion de prière avec les femmes du Vanuatu et du monde entier, malgré le confinement imposé chez nous en France, le comité JMP-France vous invite à vous joindre à la célébration via zoom à 20h  , le lien de connexion est le suivant:

Lien pour accéder à la vidéo de la célébration  Youtube  en français ( vidéo visible à partir du 2 mars)        https://youtu.be/LXHDOIVPw5E

BATIR  SUR LE ROC (MAT 7, 24-27)

illustation Vanuaut

illustration de la célébration

L’une des premières choses que nous apprenons avec les femmes de Vanuatu est que «la terre pour un Ni-Vanuatu est ce qu’une mère est pour un bébé,

C’est avec la terre qu’il définit son identité et c’est avec la terre qu’il maintient sa force spirituelle ».

La photo choisie pour illustrer la célébration reflète le lien des femmes du Vanuatu avec la terre, la culture et la foi.

Les vanuataises nous invitent à méditer le texte de Matthieu 7, 24-27. Jésus termine son sermon sur la montagne et l’entrée au royaume des cieux en utilisant l’image d’une maison et la terre sur laquelle la maison est construite. Pour les habitants du Vanuatu, la prise en compte du terrain et du climat est cruciale pour construire sa maison dans cet archipel tropical situé dans l’océan Pacifique Sud, sujet aux tremblements de terre, aux cyclones, aux éruptions volcaniques et à l’élévation du niveau de la mer. Dans ce passage biblique, la sagesse du constructeur de la maison vient d’entendre et d’agir sur la parole de Dieu, qui est une parole d’amour. C’est le fondement sur lequel nos sœurs nous appellent pour construire nos maisons, nos nations et le monde.

« Quelle est la maison que nous voulons construire ? »

Les Ni-Vanuatu louent Dieu pour la terre fertile, la douce mélodie des oiseaux et les cris des enfants. Tous ensembles reflètent leur mode de vie et leurs luttes quotidiennes pour la production de nourriture, le respect de l’environnement et l’éducation des enfants. Ces défis sont des raisons de louer Dieu pour être la source de leur force. En recevant leur voix comme un don de sagesse, nous partageons leur espoir et nous engageons de manière créative nos communautés dans une «prière informée».

Source: Texte & Image: JMP-FRANCE JOURNÉE MONDIALE DE PRIÈRE  « S’informer, prier, agir »

Journée mondiale de l’obésité – 4 mars

Journée mondiale de l'obésité

 
Depuis 2010, date de la création de la journée européenne de lutte contre l’obésité, plusieurs journées (nationales, européennes, …) traitant de l’obésité coexistaient. A partir de 2020, bonne nouvelle, les forces se sont unies et il y a désormais UNE journée mondiale de l’obésité.

En 2021, la Journée mondiale unifiée contre l’obésité (World Obesity Day) se déroule le jeudi 4 mars.
Cette mobilisation apporte une réponse mondiale à une maladie qui gagne du terrain partout sur la planète. Mobilisée, la Ligue contre l’obésité (LCO), association qui fédère 70 associations et réunit 9,000 membres, multiplie les événements en France.

Une définition de l’obésité

L’obésité est définie habituellement comme un excès important de poids par augmentation de la masse graisseuse d’un individu.

Selon l’OMS, on peut définir l’obésité d’une personne en fonction de son IMC (indice de masse corporelle) en divisant son poids (exprimé en kg) par sa taille au carré (exprimée en m²).

A titre d’exemple, une personne mesurant 1,80 m et pesant 78 kg aura un IMC de 24.07

Même si l’IMC nécessite d’être ensuite apprécié suivant le sexe et l’âge de l’individu, on pourra tout de même utiliser la grille d’auto-évaluation suivante:

maigre IMC < 18.5
normal IMC entre 18.5 et 25
en surpoids IMC entre 25 et 30
obèse IMC > 30

L’obésité concernerait actuellement 2 milliards de personnes de plus de 20 ans dans le monde entier et 4 millions de personnes atteintes d’obésité en meurent, chaque année.

Il s’agit d’un véritable fléau pour l’OMS, qui n’hésite pas à parler d’épidémie mondiale.

Des moyens de lutte

Les 192 états membres de l’organisation ont adopté, en 2013, une résolution visant à lutter plus efficacement contre les maladies non transmissibles et faire reculer le nombre de décès causés par l’obésité.

Parmi les mesures concrètes proposées, on retrouve l’amélioration de l’étiquetage dit « nutritionnel » sur les aliments issus de l’industrie alimentaire, la diminution de la teneur en sucres dans les boissons non alcoolisées, la réduction drastique des teneurs en sel dans les plats préparés et l’abandon des acides gras utilisés dans l’industrie agroalimentaire.

On évoque aussi la création d’une taxe spéciale sur les produits jugés néfastes pour la santé… et c’est là que le bât blesse car l’alliance internationale des produits alimentaires et des boissons, qui regroupe les multinationales de l’agro-alimentaire (Coca, Pepsi, Mac-Do, Nestlé, …) ne veut pas en entendre parler. Le bras de fer risque d’être plutôt âpre…

L’OMS demande aux états membres d’avancer rapidement. Souhaitons que nous dépasserons bientôt le stade du « voeu pieux »…

En savoir plus sur l’obésité

Les internautes fidèles du site des Journées Mondiales nous permettent régulièrement d’enrichir le site et c’est encore le cas pour cette journée consacrée à l’obésité où un de nos correspondants à attiré notre attention sur une infographie richement illustrée permettant de faire le point sur la problématique de l’obésité dans nos sociétés durant les 25 dernières années.

Découvrir l’infographie « 25 ans d’obésité »

Un site à visiter : journeemondialecontrelobesite.com    Source: Texte & Images: Journée mondiale

Journée mondiale de la vie sauvage – 3 mars

 « La vie sauvage est donc certes en grave danger, mais nous pouvons, ensemble, atténuer les menaces qui pèsent sur elle. À l’occasion de cette première Journée mondiale de la vie sauvage, j’invite instamment tous les secteurs de la société à s’engager à mettre fin au trafic d’espèces de faune et de flore sauvages et à acheter, vendre et utiliser les plantes et animaux sauvages d’une manière équitable et viable à long terme.« 

Message du Secrétaire général Ban Ki-moon, 3 mars 2014

Beauté et diversité

Voulue par l’ONU, la Journée mondiale de la vie sauvage est l’occasion idéale de célébrer toutes les formes que revêtent la faune et la flore sauvages, leur beauté et leur diversité et sensibiliser l’humanité à toute ce que la nature nous apporte quotiediennement.

Cette journée a également pour but d’insister sur la nécessité d’intensifier la lutte contre les prédateurs (humains) qui s’en prennent aux espèces sauvages en fournissant une occasion de réfléchir aux répercussions économiques, environnementales et sociales qu’elles génèrent.

Un site à visiter : www.un.org    Source: Texte & Image: Journée mondiale

Journée mondiale des ONG – 27 février

Imaginée par un étudiant en 2009, puis reconnue par 12 pays situés autour de la Mer Baltique en 2010, la journée mondiale des ONG prend une dimension internationale le 27 février 2014 avec sa reconnaissance par l’ONU.

Défendre les droits fondamentaux

Déclarées d’utilité publique, les ONG (organisations non gouvernementales), ont pour but de défendre et de promouvoir les droits fondamentaux de la personne humaine (les droits de l’Homme), et donc de se dresser face aux injustices ; parfois même à leurs risques et périls.

La journée mondiale des ONG

On peut légitimement se poser la question de l’utilité de cette journée, dans la mesure où de nombreuses organisations bénéficient déjà d’un éclairage médiatique important au travers de la cause qu’ils défendent…

Ce serait oublier la multitude de petites organisations qui, pour oeuvrer dans l’anonymat, n’en font pas moins un travail indispensable. Leur consacrer une journée mondiale, c’est donc reconnaître leurs caractère incontournable et rendre hommage à tous leurs membres qui travaillent en permanence dans les zones les plus exposées de la planète. 

 

Un site à visiter : www.mediaterre.org     Source: Texte & Image: Journée mondiale

Journée mondiale de l’anosmie – 27 février

Tous ceux qui ont vu « L’aile ou la cuisse » connaissent l’agueusie (la perte du goût). La journée mondiale dont il est question ici, concerne l’anosmie, c’est à dire la perte de l’odorat.
Cette journée mondiale a été lancée pour sensibiliser la population sur les troubles de l’olfaction et plus particulièrement sur l’anosmie, qui est la perte totale de l’odorat qui touche 5% de la population mondiale. Elle n’est pas encore connue en France et son origine est anglo-saxonne (Anosmia Awareness Day).

Qui est concerné ?

Cette affection est fréquemment causée par l’altération du nerf olfactif qui se trouve au-dessus de la racine du nez. C’est une lésion assez fréquente dans les cas de traumatismes crâniens. Elle peut également être congénitale (acquise dès la naissance).

Le nombre de personnes touché par l’anosmie est incertain. Une étude réalisée en 2014 au Royaume-Uni estime qu’environ 5 % de la population mondiale souffrirait d’anosmie.

Un site à visiter : www.anosmie.org     Source: Texte & Image: Journée mondiale

Journée mondiale pour sauver les ours – 23 février

Journée mondiale pour sauver les ours

Cette journée exsite depuis 2007 aux Etats-Unis et semble avoir un peu de mal à se faire une place dans le calendrier européen.

International Save Bears Day

Quoiqu’il en soit, la date du 23 février doit être inscrite dans le calendrier de tous ceux qui aiment les ours (pas seulement en peluche) et qui militent pour la sauvegarde de cette espèce protégée.

Nous devrions parler au pluriel car elles sont nombreuses et toutes également menacées, qu’il s’agisse de l’ours blanc de la banquise ou des populations des forêts américaines et africaines menacées par la déforestation, la chasse et le braconnage.

Un site à visiter : www.journeemondialepoursauverlesours.fr

Journée mondiale de la justice sociale – 20 février 2021


S’il est bien une notion aussi peu et mal partagée sur les différents continents, c’est bien celle de la justice sociale. Et quand l’assembée générale des Nations Unies a proclamé le 20 février, Journée mondiale de la justice sociale, elle a certainement mesuré la distance qui séparait le voeu de certaines réalités…

Elle invite les États Membres à célébrer cette journée mondiale en menant à l’échelon de leur pays des activités concrètes visant à promouvoir les buts et les objectifs proclamés lors du sommet mondial pour le développement social.Cette journée existe depuis 2009 et doit rappeler à tous que les gouvernements se sont engagés à faire de l’élimination de la pauvreté et du chômage une de leurs priorités. Le renforcement de la justice, la promotion de l’équité, la démocratie, la participation et la transparence sont les axes de travail proposés par l’assemblée.

Mais d’où nous vient-elle ?

Parler de justice sociale nous amène invariablement à nous interroger sur l’origine de cette notion. Habituellement, les historiens nous situent l’émergence de ce combat au début du 20° siècle, à l’époque des premières réactions organisées contre la société industrielle toute puissante et son étalage insolent de richesse côtoyant l’extrême pauvreté de la classe ouvrière.

Les combats menés alors ont permis d’une part une réelle prise de conscience et, pratiquement, des avancées notables dans le droit du travail, au moins dans les pays développés.

Les uns y ont vu l’influence directe de la pensée marxiste, les autres ont d’avantage reconnu l’affirmation d’un courant de pensée humaniste en lien avec l’émergence de la doctrine sociale de l’Église promue par le Pape Léon XIII.

Il ne nous revient pas d’arbitrer ce débat. L’important ait qu’il ait eu lieu et que la prise de conscience des uns et des autres ait pu faire avancer les choses. Les raisons de se réjouir existent, celles de s’alarmer aussi car, dans de trop nombreux pays, la notion de justice sociale reste un voeu pieu et n’entre pas en compte dans les réflexions gouvernementales.

Un site à visiter : www.un.org     Source: Texte: Journée mondiale  Image: 123rf.com
 

Journée mondiale du pangolin – 20 février 2021

Journée mondiale du pangolin

Un animal méconnu et pourtant célèbre. Et il aura fallu la menace d’extinction de ce petit mammifère pour que l’actualité braque ses feux sur lui en lui consacrant pas moins qu’une journée mondiale…

Le mammifère le plus trafiqué au monde

Cette petite « boule d’écailles » est aussi le mammifère le plus trafiqué au monde, ce qui en fait une espèce en danger d’extinction. Chaque année, ce sont plus de 40 tonnes d’écailles de pangolin qui sont saisies en Afrique, ce qui revient à dire que plus de 30 000 animaux sont massacrés chaque année.

Il est encore temps d’agir

Peuplant de vastes régions d’Asie et d’Afrique, cet animal est recherché et abattu pour de bien mauvaises raisons : on attribue à son armure de kératine des vertus curatives. On le chasse également parce que sa viande est considérée comme un mets très raffinés dans certaines cultures.

Le pangolin n’est pas encore une espèce disparue… le but de cette journée mondiale « exotique » est la sensibilisation des populations et des gouvernants à cette grave question. Espérons !

La journée mondiale du pangolin est théoriquement célébrée le 3ème samedi du mois. Ce sera la 20 février en 2021.

 

Journée internationale de la baleine – 19 février

Les baleines sont recherchées pour leur chair, leurs fanons et leur graisse qui fut largement utilisée par l’homme. Au xixe siècle, certaines villes de la Nouvelle-Angleterre, sur la côte est des États-Unis, dépendaient entièrement de la chasse à la baleine. Aujourd’hui, la baleine joue un rôle culturel important chez de nombreux peuples qui pratiquaient ou pratiquent encore la chasse traditionnelle, tels les Amérindiens de la côte ouest du Canada, ceux du nord des États-Unis et les peuples Inuits de l’Arctique. C’est pourquoi certains peuples aborigènes vivant aux États-Unis, au Canada et dans les îles du Pacifique bénéficient de clauses qui leur permettent de chasser des espèces menacées, mais à très petite échelle.

À la suite d’une chasse intensive pendant le xixe siècle et  xxe  siècle, de nombreuses espèces sont maintenant en voie de disparition. Des traités internationaux limitent aujourd’hui de façon très stricte la chasse à la baleine. Cependant certains pays, comme le Japon et la Norvège, invoquant l’impact négatif des cétacés sur les stocks de poissons, dont leurs économies dépendent, continuent à ne pas respecter les moratoires successifs votés lors des réunions de la Commission baleinière internationale.

Source: Texte & image: Wikipedia

Illustration: Ouvriers de Steam Whaling (fabrique norvégienne d’huile de baleine) posant sur une baleine, baie des Sept-Iles(Canada), v. 1910

Pour les écologistes du monde entier, le 19 février est traditionnellement celui où on célèbre la Journée internationale de la baleine.

Par extension, cette journée est également consacrée à la défense et la protection de l’ensemble des mammifères marins.

Interdiction de la chasse commerciale

En 1982, la Commission Baleinière Internationale avait pu interdire la chasse « commerciale » aux cétacés, cette subtilité de langage permettant tout de même à certains états de poursuivre leur chasse à des fins « scientifiques » (pauvre science !).

Le combat des protecteurs des baleines est loin d’être gagné !

Source: Texte & Image (à droite): Journée mondiale