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Journée internationale de la girafe – 21 juin

Journée internationale de la girafe

Parmi les nombreuses journées internationales ou mondiales consacrées à telle ou telle espèce menacée, celle consacrée à la girafe nous invite à prendre de la hauteur.Et il y a de quoi : 4.30 m en moyennes pour les femelles et jusqu’à 5.50 m pour les mâles… mais cet animal est attachant à bien d’autres titres.

L’animal qui a inventé le clapet anti-retour

Eh oui, pour permettre au sang de monter du coeur jusqu’au cerveau il a bien fallu ruser un peu; et dame nature a mis les moyens. A ce propos, on lira avec profit l’article de Libé intitulé « Le cou de sang de la girafe« 

L’animal de tous les superlatifs

On qualifie souvent la girade d’animal de tous les superlatifs. L’énumeration qui suit vous explique pouquoi (données empruntées au site du zoo de beauval)

  • La girafe est le plus grand animal vivant sur notre planète. Un mâle peut atteindre 5 m et peser jusqu’à 1 tonne, tandis que les femelles affichent 4,30 m en moyenne.
  • La girafe dort très peu : 2 heures par jour et encore, par tranches de quelques minutes. Elle arrive ainsi à concilier digestion et surveillance les prédateurs potentiels. Une histoire à dormir debout. C’est d’ailleurs la position qu’elle choisit pour son sommeil.
  • Elle a autant de vértèbres que l’homme, c’est à dire 7 vertèbres malgré la taille de son cou. Chez la girafe chaque vértèbre mesure 40 cm d’épaisseur alors que chez l’homme on frôle les 4 cm !
  • On ne sait pas si elle bavarde, mais en tous cas elle a une grande langue : 50 cm. Son organe est de couleur bleu sombre tirant sur le noir. Elle est très efficace pour attraper les feuilles d’acacia dont elle raffole.
  • La girafe est dotée d’un cœur hors norme. Il peut peser jusqu’à 11 kg et bat deux fois plus vite que celui d’un homme. Il est soumis à rude épreuve dans la mesure où il doit pomper 60 litres de sang par minute pour irriguer la totalité du corps.

Un animal menacé

On doit malheureusement ranger la girafe parmi les expèces menacées et, dans les régions africaines où elle vit en liberté, sa population a diminué de moitié durant le XXème siècle. Heureusement, de nombreux pays ont pris conscience du phénomène et tentent de la protéger des méfaits de la chasse et de ceux de l’extension des zones de cultures.

Un site à visiter : actus.zoobeauval.com       Source: Texte & Image: Journée mondiale

Journée mondiale pour sauver les ours – 21 février 2023

Cette journée existe depuis 2007 aux Etats-Unis (merci Théodore Roosevelt) mais semble avoir un peu de mal à se faire une place dans le calendrier européen.

International Save Bears Day

Quoiqu’il en soit, la date du 21 février doit être inscrite dans le calendrier de tous ceux qui aiment les ours (pas seulement en peluche) et qui militent pour la sauvegarde de cette espèce protégée. En 2023, l’association française qui relaie l’événement (AVES France) a opté pour une célébration répartie sur 3 jours, du 21 au 25 février 2023.

Ours blancs également…

Nous devrions parler au pluriel car les éspèces ménacées sont nombreuses, qu’il s’agisse de l’ours blanc de la banquise ou des populations des forêts américaines et africaines menacées par la déforestation, la chasse et le braconnage.

Un site à visiter : www.journeemondialepoursauverlesours.fr    Source: Texte & Image: Journée Mondiale

Note de l’éditrice: Il n’y apas d’information additionnelle disponible pour 2024

Journée mondiale pour sauver les ours – 23 février

Journée mondiale pour sauver les ours

Cette journée exsite depuis 2007 aux Etats-Unis et semble avoir un peu de mal à se faire une place dans le calendrier européen.

International Save Bears Day

Quoiqu’il en soit, la date du 23 février doit être inscrite dans le calendrier de tous ceux qui aiment les ours (pas seulement en peluche) et qui militent pour la sauvegarde de cette espèce protégée.

Nous devrions parler au pluriel car elles sont nombreuses et toutes également menacées, qu’il s’agisse de l’ours blanc de la banquise ou des populations des forêts américaines et africaines menacées par la déforestation, la chasse et le braconnage.

Un site à visiter : www.journeemondialepoursauverlesours.fr

Journée internationale de la baleine – 19 février

Les baleines sont recherchées pour leur chair, leurs fanons et leur graisse qui fut largement utilisée par l’homme. Au xixe siècle, certaines villes de la Nouvelle-Angleterre, sur la côte est des États-Unis, dépendaient entièrement de la chasse à la baleine. Aujourd’hui, la baleine joue un rôle culturel important chez de nombreux peuples qui pratiquaient ou pratiquent encore la chasse traditionnelle, tels les Amérindiens de la côte ouest du Canada, ceux du nord des États-Unis et les peuples Inuits de l’Arctique. C’est pourquoi certains peuples aborigènes vivant aux États-Unis, au Canada et dans les îles du Pacifique bénéficient de clauses qui leur permettent de chasser des espèces menacées, mais à très petite échelle.

À la suite d’une chasse intensive pendant le xixe siècle et  xxe  siècle, de nombreuses espèces sont maintenant en voie de disparition. Des traités internationaux limitent aujourd’hui de façon très stricte la chasse à la baleine. Cependant certains pays, comme le Japon et la Norvège, invoquant l’impact négatif des cétacés sur les stocks de poissons, dont leurs économies dépendent, continuent à ne pas respecter les moratoires successifs votés lors des réunions de la Commission baleinière internationale.

Source: Texte & image: Wikipedia

Illustration: Ouvriers de Steam Whaling (fabrique norvégienne d’huile de baleine) posant sur une baleine, baie des Sept-Iles(Canada), v. 1910

Pour les écologistes du monde entier, le 19 février est traditionnellement celui où on célèbre la Journée internationale de la baleine.

Par extension, cette journée est également consacrée à la défense et la protection de l’ensemble des mammifères marins.

Interdiction de la chasse commerciale

En 1982, la Commission Baleinière Internationale avait pu interdire la chasse « commerciale » aux cétacés, cette subtilité de langage permettant tout de même à certains états de poursuivre leur chasse à des fins « scientifiques » (pauvre science !).

Le combat des protecteurs des baleines est loin d’être gagné !

Source: Texte & Image (à droite): Journée mondiale
 

Journée Mondiale de l’alimentation – 15 octobre

Chaque année, le 16 octobre, l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture célèbre la Journée mondiale de l’alimentation, qui commémore la date de sa création, en 1945.

La naissance de l’agriculture
Bien que le passage de la chasse et de la cueillette à une production alimentaire fondée sur la culture et l’élevage – autrement dit, la naissance de l’agriculture – se soit produit de façon indépendante dans de nombreuses régions du monde voilà environ 10 000 ans, l’histoire de l’agriculture est riche d’exemples d’échanges interculturels aux conséquences majeures. La première trace archéologique d’activité agricole en Europe atteste d’une technologie avancée, en l’absence d’outils plus élémentaires.

Selon une théorie en vigueur, les populations du Moyen-Orient auraient apporté en Europe leurs outils et leurs technologies. Il semblerait que de telles migrations de populations agricoles aient eu lieu en Afrique, en Amérique centrale et du Sud, en Chine, en Inde et en Asie du Sud-Est.

Pourquoi ces individus se sont-ils déplacés? L’agriculture, en offrant une source de nourriture plus sûre, entraînait un accroissement de la population, dont une partie finissait par migrer vers de nouvelles terres pour éviter la surpopulation.

Lutter contre le gaspillage alimentaire
Le gouvernement français a lancé, en 2013, une contribution à la journée de l’alimentation sous la forme d’une journée nationale de lutte contre le gaspillage alimentaire. L’objectif affiché est de diviser par deux les quantités jetées. Nous ne pouvons ici que saluer cette initiative en stigmatisant les comportements des sociétés « riches » par rapport à l’alimentation !

Un site à visiter : www.fao.org   Source: Texte & Image: Journée Mondiale