image-i-nations trésor

Une tempête… pas comme les autres

Ce  mercredi de la 1ère semaine du Carême nous présente une section de l’histoire du prophète Jonas.
Le chapitre précédant le texte d’aujourd’hui évoque une forte tempête
qui menaçe d’engloutir l’embarcation dans laquelle se trouve le prophète.
L’évangile rapporte une tempête semblable dont la menace n’est pas moindre.
Marie Hébert nous en parle et nous livre sa réflexion sur cet événement.

 

Journée Mondiale de prévention du suicide – 10 septembre

La Journée mondiale de prévention du suicide attire l’attention sur le nombre estimatif d’un million de vies perdues par an à cause du suicide.

En 2005, les organisateurs souhaitent insister sur le fait que la prévention du suicide concerne tout un chacun et n’est pas de la seule responsabilité des experts. Au cours de cette journée, ils demandent instamment aux communautés, aux individus, aux professionnels et aux bénévoles de prendre part aux activités de sensibilisation à ce problème de santé publique et de lancer de nouvelles initiatives et méthodes de prévention.

L’Organisation mondiale de la Santé (OMS) considère le suicide comme un problème de santé publique énorme mais en grande partie évitable, aujourd’hui à l’origine de près de la moitié de toutes les morts violentes. On compte actuellement près d’un million de décès annuels dus au suicide, et le coût économique se chiffre en milliards de dollars. Selon les estimations, le nombre de décès dus au suicide pourrait passer à 1,5 million d’ici 2020.

Après le succès de la Journée mondiale de prévention du suicide de l’an dernier, la Journée sera organisée à nouveau le 10 septembre par l’OMS et l’Association internationale pour la Prévention du Suicide (AIPS) pour attirer l’attention de l’opinion mondiale et lancer un appel en faveur de l’action. (…)

Les associations qui agissent pour la prévention du suicide sont nombreuses et nous citerons par exemple: www.sos-suicide-phenix.org dont l’accroche mérite à elle seule le détour : En parler, c’est déjà revivre !

Un site à visiter : www.who.int       Source: Texte: Journée Mondiale  Image: VideoBlocks

 

Journée internationale de prévention des overdoses – 31 août

Cette journée consacrée à la prise de conscience des dégâts liés aux overdoses existe depuis 2001, mais vous en entendrez très peu parler en Europe continentale.

En effet, son origine est australienne et il semble bien qu’elle soit pour le moment célébrée uniquement dans quelques pays anglo-saxons: Australie, Etats-Unis, Canada et Grande-Bretagne.

Mes sincères condoléances…
l’International Overdose Awareness Day, de son nom anglais, tient son origine d’une discussion datant de 2001 entre deux membres australiens de l’Armée du Salut, Sally J. Finn et Peter Streker. Ils avaient organisé à l’époque une action publique consistant à offrir un ruban de « condoléances » aux entourages de personnes décédées par overdose.

Penington Institute
Depuis 2012, c’est le Penington Institute qui a repris en mains l’organisation de cet événement, après le retrait de l’Armée du Salut. Cet institut tente de promouvoir la santé et la protection des personnes en associant la recherche sur les méfaits des drogues avec des actions de terrain sur les populations.

Leur site internet propose aux organisations d’enregistrer leur propre événement pour en assurer une large promotion.

Un site à visiter : www.overdoseday.com    Source: Texte: Journée Mondiale  Image: Pittsburgh Post-Gazette

Journée mondiale contre l’hépatite – 28 juillet

Cette journée mondiale, voulue par l’OMS, est destinée à faire connaître les différentes formes d’hépatite au grand public et fournir des axes d’action:

  • comment reconnaitre les hépatites ?
  • comment l’hépatite se transmet-elle ?
  • qui est exposé à l’hépatite ?
  • quelles sont les différentes méthodes de prévention et de traitement ?

Malgré les ravages provoqués, les différentes hépatites sont en grande partie méconnues, elle ne sont souvent pas diagnostiquées ni traitées. Plus d’un milliard de personnes sont infectées par une hépatite B ou C.

L’OMS tire le signal d’alarme
La journée contre l’hépatite vient à point nommé nous rappeler l’ampleur du fléau : les risques hépatiques représentent un risque majeur pour la santé dans le monde avec près de 1,4 million de décès enregistrés chaque année et des centaines de millions de personnes touchées par cette affection chronique.

Hépatite A : 1,4 million de cas d’hépatite A sont enregistrés chaque année.
Hépatite B : 2 milliards de personnes infectées par l’hépatite B
Hépatite C : 150 millions de personnes sont porteuses de l’infection chronique par l’hépatite C.

Des actions de dépistage
Des manifestations dans le but de sensibiliser la population existent dans de nombreux pays et enregistrent des résultats.
Le Ministère de la santé canadien a mis un place un mois complet de sensibilisation.

Un site à visiter : www.hepatites-info-service.org   Source : Texte & Image : Journée Mondiale

 

Journée Mondiale des orphelins du SIDA – 7 mai

La journée mondiale des orphelins du sida a été créé en 2002 , dans le but d’attirer l’attention sur la détresse des millions d’enfants affectés par la pandémie. C’est une journée de solidarité et de sensibilisation. C’est une situation pathétique pour ces enfants qui ont été contaminés à la naissance, ou sont tout simplement restés orphelins après le décès de leurs parents. Certains d’entre eux sont abandonnés, sans aucun soutien, déscolarisés, ils errent à longueur de journée, et sont à la merci de tous les vices.

Pour bon nombres d’associations et bien d’autres observateurs, 10 pour-cent des fonds alloués dans la lutte contre le VIH sida devraient être consacrés au soutien des orphelins et des enfants rendus vulnérables à cause du virus.
Malgré les efforts effectués dans la prévention du sida, le traitement et la prise en charge des enfants, il est important de mettre un accent sur toute la famille. Car en cas de décès , les enfants se meurent à petits feux. Traumatisés non seulement par la disparition de leurs parents, mais aussi par le choc de la maladie. Parfois la pilule est si dure à avaler qu’ils dépriment.

Il est vrai qu’avec l’avancée des recherches en matière de transmission mère-enfant, il est désormais possible qu’une femme séropositive, mette au monde un enfant sain, si le traitement est bien suivi. Il y’a plusieurs années en arrière, ce n’était pas le cas. D’où ce chiffre alarmant des enfants orphelins et contaminés. Aujourd’hui encore, dans des villages et autre zones reculées, les femmes accouchent sans faire un réel suivi.

Ces jeunes sont l’avenir de demain, c’est la raison pour laquelle, un suivi rigoureux, une prise en charge globale et familiale, et un réel encadrement sont nécessaires, afin qu’ils ne se sentent pas condamnés.

 Source: Texte & Image: Laotravoz.info

 

Journée Mondiale du paludisme – 25 avril

 Le partenariat « Faire reculer le paludisme » a été créé en 1998. Il fédère les efforts de l’OMS, de l’UNICEF, de la Banque mondiale, du PNUD et d’autres partenaires dans la lutte contre le paludisme ils sont à l’origine de cette journée pour lancer un appel aux laboratoires pharmaceutiques et aux pays donateurs afin qu’ils soutiennent l’initiative visant à rendre disponible un nouveau médicament qui sauverait la vie chaque année de centaines de millions de personnes touchées par cette maladie.
L’UNICEF entend s’appuyer sur son réseau d’approvisionnement mondial pour mener le combat mondial en vue de réduire la mortalité due au paludisme.

Qu’est-ce que le paludisme ?
Le paludisme est une maladie parasitaire potentiellement mortelle transmise par des moustiques. On pensait à l’origine que cette maladie provenait des zones marécageuses, d’où le nom de paludisme dérivé du mot ancien ‘palud’, marais. En 1880, les scientifiques ont découvert la véritable cause du paludisme, un parasite unicellulaire appelé plasmodium. Ils ont ensuite découvert que le parasite était transmis d’une personne à une autre par les piqûres d’un moustique Anophèle femelle, qui a besoin de sang pour nourrir ses oeufs.
 
Le paludisme en chiffres
Chaque année 300 millions de personnes sont atteintes du paludisme et tue plus de 3000 personnes par jour, en Afrique subsaharienne. Le taux de mortalité dû au paludisme est d’au moins 85% en Afrique, de 8% en Asie du Sud-est, de 5% dans l’Est de la Méditerranée et de 1% dans l’Ouest du Pacifique. Actuellement, environ 40% de la population mondiale habitants des pays les plus pauvres du monde pour la plupart sont exposés au paludisme.
Le paludisme, une maladie transmise par un moustique, est responsable de plus d’1 million de décès d’enfants par an – la plupart d’entre eux ayant moins de cinq ans. Quatre-vingt-dix pour cent des décès surviennent en Afrique, au sud du Sahara. Le paludisme est la première cause de mortalité infantile en Afrique. Sur les dizaines de millions qui survivent à cette maladie, un bon nombre sont handicapés physiquement et mentalement. Le paludisme tue un enfant africain toutes les 30 secondes. Si les secteurs privé et public collaborent efficacement, nous pourrons rapidement réorganiser le marché des médicaments antipaludiques et faire d’énormes progrès dans la lutte pour faire reculer cette maladie.
 
Les actions de l’UNICEF
UNICEF et ses partenaires travaillent avec les plus gros fabricants du monde afin de développer la production de médicaments de grande qualité, de telle sorte que chaque enfant et chaque communauté ayant besoin de ces médicaments puissent les obtenir rapidement. L’UNICEF lance également un appel aux pays donateurs pour qu’ils aident les pays où le paludisme est endémique à effectuer le paiement des nouveaux médicamentsOutre son combat pour améliorer l’accès aux médicaments, l’UNICEF soutient les programmes de lutte contre le paludisme dans plus de 30 pays d’Afrique. En plus des médicaments antipaludiques, l’UNICEF a fourni l’an dernier près de 5 millions de moustiquaires, ainsi que des insecticides utilisés pour imprégner les moustiquaires, pour une valeur totale d’environ 17 millions de dollars EU. En empêchant le moustique de piquer et en tuant le moustique porteur de paludisme, la moustiquaire imprégnée d’insecticide peut diminuer les cas de contamination de façon spectaculaire – et les décès.
Source: Texte & Image: Journée Mondiale

Chez nous au Canada, des statistiques inquiétantes…

Une crise sévit à Vancouver qui, à juste titre, en inquiète plusieurs.
Il s’agit du nombre de décès causés par l’usage de stupéfiants en dose massive (overdose).
En 2016, il y a eu 900 cas de ce genre, une augmentation de 80% sur l’année précédente.

La situation a conduit le gouvernement provincial à déclarer une situation d’urgence.
Pour sa part l’archevêque de ce diocèse a fait appel à tous les catholiques les invitant à réagir à cet état de choses qui « détruit les familles et les communautés. »

Source: Image: www.listland.com

Journée Mondiale de prévention du suicide – 10 septembre

suicideLa Journée mondiale de prévention du suicide attire l’attention sur le nombre estimatif d’un million de vies perdues par an à cause du suicide. En 2005, les organisateurs souhaitent insister sur le fait que la prévention du suicide concerne tout un chacun et n’est pas de la seule responsabilité des experts. Au cours de cette journée, ils demandent instamment aux communautés, aux individus, aux professionnels et aux bénévoles de prendre part aux activités de sensibilisation à ce problème de santé publique et de lancer de nouvelles initiatives et méthodes de prévention.

L’Organisation mondiale de la Santé (OMS) considère le suicide comme un problème de santé publique énorme mais en grande partie évitable, aujourd’hui à l’origine de près de la moitié de toutes les morts violentes. On compte actuellement près d’un million de décès annuels dus au suicide, et le coût économique se chiffre en milliards de dollars. Selon les estimations, le nombre de décès dus au suicide pourrait passer à 1,5 million d’ici 2020. Après le succès de la Journée mondiale de prévention du suicide de l’an dernier, la Journée sera organisée à nouveau le 10 septembre par l’OMS et l’Association internationale pour la Prévention du Suicide (AIPS) pour attirer l’attention de l’opinion mondiale et lancer un appel en faveur de l’action. (…)

Les associations qui agissent pour la prévention du suicide sont nombreuses et nous citerons par exemple: www.sos-suicide-phenix.org dont l’accroche mérite à elle seule le détour : En parler, c’est déjà revivre !

Un site à visiter : www.who.int   Source: Texte & Image: Journée Mondiale

Journée Mondiale sur la sécurité et la santé au travail – 28 avril

Des travailleurs, des employeurs, des gouvernements et des ministères de la santé et de la sécurité, en collaboration avec l’Organisation internationale du travail (OIT), célèbrent partout dans sante-travaille monde cette journée avec l’objectif commun de promouvoir la  » culture de la sécurité « .

Depuis 1996, chaque année, le 28 avril, le mouvement syndical mondial rend hommage aux victimes des accidents et des maladies du travail. C’est en 2003 que le BIT a entrepris d’observer une « Journée mondiale pour la sécurité et la santé au travail » en mettant l’accent sur la prévention des accidents du travail et maladies professionnelles, tirant parti de ce qui fait traditionnellement la force de l’Organisation, à savoir le tripartisme et le dialogue social.

La sécurité en chiffres
Le principal objectif de cette journée est de promouvoir dans le monde entier une culture de la sécurité et de santé au travail.
A l’occasion de cette journée, le Bureau international du travail a publié un rapport « La sécurité en chiffres » qui montre que 2,2 millions de travailleurs dans le monde meurent chaque année dans le cadre de leur travail, à la suite d’un accident du travail ou d’une maladie professionnelle, soit 5 000 personnes par jour.

Accidents et maladies
D’après une nouvelle estimation du BIT des accidents du travail et des maladies professionnelles1 qui causent la mort de deux millions de personnes chaque année, le risque professionnel est en augmentation du fait de la rapide industrialisation de certains pays développés.
D’après cette évaluation, le risque de maladie professionnelle serait aujourd’hui le plus grand danger auquel seraient exposés les travailleurs sur leur lieu de travail. En effet, ces maladies tuent 1,7 million de personnes par an, ce qui donne un rapport de quatre décès causés par une maladie professionnelle pour un décès causé par un accident.

Il ressort des dernières estimations du BIT que, en plus des décès liés au travail, il se produit chaque année près de 268 millions d’accidents du travail non mortels, qui sont suivis d’au moins trois jours consécutifs de congé, sans compter les 160 millions de nouveaux cas de maladies professionnelles qui sont enregistrés chaque année. L’OIT a déjà estimé à près de 4 pour cent la part des indemnités et absences du travail dues aux accidents du travail et aux maladies professionnelles dans le PIB mondial.

Les maladies et le travail
Les maladies professionnelles les plus courantes sont légion: cancers provoqués par une exposition à des substances dangereuses, affections musculo-squelettiques, maladies respiratoires, perte de l’audition, maladies circulatoires, maladies contagieuses causées par une exposition à des agents pathogènes, et bien d’autres encore. Dans beaucoup de pays industrialisés où le nombre des décès causés par un accident du travail a diminué, le nombre des décès causés par une maladie professionnelle, comme l’abestose, est lui, au contraire, en augmentation.

A en croire cette évaluation, l’abestose serait à l’origine de 100 000 morts par an dans le monde ayant un rapport avec le travail. Parallèlement, rien que dans le secteur agricole, qui emploie à lui seul la moitié de la main-d’œuvre mondiale, et qui est le principal secteur d’activité économique de la plupart des pays sous-développés, on enregistrerait déjà près de 70 000 décès par an pour cause d’empoisonnement dû à l’usage de pesticides, sans compter les maladies non mortelles aiguës ou chroniques, encore plus nombreuses.

Un site à visiter : www.ilo.org  Source et Image: Journée mondiale

Journée mondiale de lutte contre le paludisme – 25 avril

malaria-photo-630Chaque année, l’Organisation mondiale de la Santé et ses partenaires se réunissent autour d’un thème commun à l’occasion de la Journée mondiale de lutte contre le paludisme. Le thème pour 2016, qui est le suivant: «en finir définitivement avec le paludisme», reflète la vision d’un monde exempt de la maladie tel que défini dans la Stratégie technique mondiale contre le paludisme 2016-2030. Adoptée par l’Assemblée mondiale de la Santé en mai 2015, cette stratégie vise à réduire les taux de mortalité et les nouveaux cas d’au moins 90% en 15 ans.

3,2 milliards  de personnes sont exposées au risque de paludisme.
438 000 C’est le nombre de décès causés par le paludisme en 2015.
57 pays ont réussi à réduire d’au moins 75% les nouveaux cas de paludisme.

Ces 15 dernières années, on a observé une baisse spectaculaire de la charge mondiale du paludisme. Près de 60 pays ont réduit d’au moins 75% le nombre de cas de paludisme. Mais il reste encore beaucoup de chemin à parcourir.

Source: Texte & Image: OMS