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Journée mondiale du chien – 26 août

Journée mondiale du chien

La journée mondiale du chien s’adresse bien entendu à l’homme qui se trouve être (heureusement !) le meilleur ami du chien… je m’égare. La journée mondiale du chien, qui se tient chaque 26 août, insiste surtout sur le lien qui unît depuis des millénaires les hommes et les chiens partout dans le monde.

Son origine, comme c’est le cas pour de nombreuses journées mondiales, est anglo-saxonne et elle est fortement soutenue par le IFAW (le Fonds international pour la protection des animaux). Cet organisme œuvre au quotidien à l’amélioration des conditions de vie des chiens dans le monde entier en apportant son soutien à toutes sortes de projets qui visent à améliorer la qualité des soins qui sont prodigués à nos chers toutous.
Un site à visiter : www.ifaw.org   Source: Texte & Image: Journée Mondiale

Fête de la Sainte Trinité, année B – 2021

Inutile de chercher: on ne trouve pas la ‘Sainte Trinité’ dans la Bible –
on ne trouve pas, précisons-le, ce vocable ou ce titre pour identifier Dieu.
Mais Jésus nous en a définitivement fait la révélation dans l’évangile.
L’évangile de Jean, et tout particulièrement les paroles de Jésus durant le dernier repas qu’il a partagé avec ses apôtres, nous présentent le Père et l’Esprit avec qui Jésus affirme ne faire qu’un.

C’est le Pape Jean XXll (1316-1334) qui a institué cette Fête pour toute la chrétienté et, en 1911, Le Pape Pie X en a fait une fête encore plus solennelle pour l’Église entière.

Mais cette fête souligne quoi exactement?
Que voulons-nous célébrer précisément en fixant notre regard –
l’attention de notre esprit et la dévotion de notre cœur sur la TRINITÉ.

Les théologien/nes et les exégètes ont chacun/e leur manière d’approcher cette réalité.
Pour ma part, je dirais que cette fête nous aide à réaliser que notre Dieu est un Dieu de relation.
Un Dieu de relation en lui-même et un Dieu qui nous invite à partager cette relation.

Un Dieu qui nous rejoint avec la tendresse d’un Père – le meilleur des pères que nous puissions imaginer!
Un Dieu qui a partagé notre humanité – et continue de le faire – et nous accompagne comme un Frère et un Ami sans pareil, lui le Fils du Père.
Et un Dieu qui se fait notre Conseiller et notre Défenseur en toutes situations, lui l’Esprit du Père et du Fils qui nous attire à eux, les Trois.

De nombreux textes, des thèses variées, des volumes multiples disent et redisent cela de bien des manières.
Mais cette réalité e x t r a o r d i n a i r e nous est révélée par LUI, par EUX, en nous faisant y participer…
si nous osons y croire!

 

Note: Une autre réflexion sur un thème différent est disponible en anglais à: https://image-i-nations.com/feast-of-pentecost-year-b-2021-2/

 

Source: Image: Toi suis moi

 

 

4è dimanche de l’année B

De tous temps, les messagers de Dieu ont exhorté son peuple à faire bien des choses.
Leurs paroles et leurs écrits présentent le message de Dieu dans toute son exigence.
À temps et à contretemps, ils rappellent ce que l’on doit faire… et ne PAS faire!

En ce dimanche (4è dimanche de l’année B) l’auteur du Psaume (Ps.94(95):1-2,6-7,9) redit avec insistance :
« Aujourd’hui, ne fermez pas votre cœur,
mais écoutez la voix du Seigneur.»
 
Un conseil? Un commandement? Une mise en garde? Une ligne de conduite à suivre?
Sans doute un peu de tout cela, mais surtout une règle de vie qui peut favoriser une rencontre –
la rencontre de Dieu lui-même dont la voix nous rejoint au plus intime.

De nos jours, ils sont probablement peu nombreux les gens qui pensent qu’ils, ou elles, entendront la voix de Dieu d’une manière tangible.
Mais peut-être sont-ils aussi peu nombreux – malheureusement – à croire qu’on peut pas entendre la voix de Dieu de quelle que manière que ce soit!

Fermer son cœur? On le fait de bien des manières…
Distraction… Indifférence… Lassitude… Routine… Découragement… et quoi encore?
Ah oui, manque de temps!
Nos occupations et nos préoccupations multiples ferment notre cœur à tout ce qui n’est pas… immédiatement présent et… essentiel!
Et si nous manquions ainsi l’Essentiel?!

La voix de Dieu peut prendre bien des formes et des nuances…

Oui, bien des formes et des nuances.
Ne PAS fermer son cœur, surtout pas!

Source : Image : YouTube

Note: Un autre texte de réflexion est disponible en anglais sur un thème différent à:  https://image-i-nations.com/4th-sunday-of-year-b/

Dimanche des rameaux, Année A

Dimanche dernier (5è dimanche du Carême, année A) nous parlions de questions – questions de toutes sortes qui surgissent au quotidien.
(On peut voir: http://image-i-nations.com/5e-dimanche-careme-annee-a/ )

En ce dimanche des rameaux (année A), dans l’évangile au tout début de la célébration (Mt.21:1-11), une question est posée dont l’écho nous parvient à travers les temps jusqu’à aujourd’hui.

Une foule est venue accueillir l’Homme de Nazareth connu sous le nom de Jésus.
Des gens venus d’un peu partout, il semble, s’ajoutent à ceux déjà là et viennent élargir la foule venue l’accueillir alors qu’il entre à Jérusalem monté sur un âne.

Et voilà que surgit la question : « Qui est cet homme? »
Son nom est connu et celui de son village d’origine également.
Mais LUI, qui est-il?
 
Alors qu’il enseignait les foules, déjà on se demandait : « D’où vient cette sagesse qui lui a été donnée?… N’est-il pas le charpentier, le fils de Marie? » (Mc.6:2-3).Ils voulaient en savoir davantage, savoir vraiment : « Qui est cet homme? »

Ayant entendu dire qu’il guérissait les malades de toutes conditions, Jean le Baptiste avait envoyé des messagers pour demander : « Es-tu celui qui doit venir ou devons-nous en attendre un autre?…? (Mt.11:3).

 Après qu’il eut rendu à la vie la fille de Jaïre, le chef de la synagogue, les témoins de la scène « furent aussitôt saisis d’une grande stupeur…» (Mc.5:42). Ils se posaient sans doute la même question: « Qui est cet homme? »
 
Le jour où il avait nourri 5000 personnes avec cinq pains, les gens étaient évidemment ébahis et ils disaient entre eux : « Celui-là n’est-il pas le fils de Joseph dont nous connaissons le père et la mère » (Jn.6:42).

Quand il avait calmé le vent et les vagues qui menaçaient de faire couler leur barque, les apôtres « furent saisis d’une grande crainte et ils se disaient les uns aux autres : ‘Qui est-il donc celui-là?’… »  (Mc.4:41).
 
Le Pharisien, Nicodème, avait reconnu qu’il venait « de la part de Dieu comme un Maître » (Jn.3:2) et il était venu le rencontrer la nuit tombée pour savoir vraiment : « Qui est cet homme? »
 
Quand il avait demandé à boire à la Samaritaine, elle lui avait posé la question : « Serais-tu plus grand que notre père Jacob? » (Jn.4:12). Elle aussi voulait savoir : « Qui est cet homme? »

L’aveugle-né questionnait aussi l’identité de son guérisseur : « Qui est-il que je croie en lui? » (Jn.9:36)
Lui aussi étaient de ceux qui se demandaient : « Qui est cet homme? »  

Et, bien sûr, les Pharisiens, plus que bien d’autres peut-être, voulaient savoir, ils se devaient de savoir ! « Qui est cet homme? »  Ils lui demandaient ouvertement : « Qui es-tu? » (Jn.8 :25). Et avec insistance, ils revenaient à la charge : « Qui prétends-tu être? » (Jn.8:53)

Tout au long de sa vie, la même question avait, dirait-on, ‘inquiété’ ceux qui l’approchaient, ceux qui l’entendaient parler de Dieu, ceux qui voyaient ce qu’il accomplissait.
Maintenant qu’il entre dans Jérusalem, on l’acclame comme « Celui qui vient au nom du Seigneur. »

Et, c’est bien ce qu’il est, ce qu’il veut être, pour chacun et chacune de nous :
Il est la présence même de Dieu avec nous.

Pour certains, il est le MAÎTRE que l’on suit au fil des jours.
Pour d’autres, il est l’AMI fidèle sur qui on peut toujours compter.
Pour d’autres encore, il est le RÉCONFORT dans les difficultés.
Pour plusieurs il est le SAUVEUR qui délivre des esclavages de toutes sortes.
Pour tous, il est le VISAGE MISÉRICORDIEUX de Dieu qui attend toujours ses enfants rebelles ou inconscients.

On l’acclame comme un roi, mais il n’a rien d’un roi avec serviteurs et soldats comme entourage.
L’auteur du texte évangélique s’empresse d’affirmer : « Il est humble… »
Assez humble pour désirer être accueilli dans notre vie… quelles que soient les expériences qui l’ont façonnée jusqu’ici…

« Béni ( = Bienvenu) soit celui qui vient au nom du Seigneur! »

Source: Image: LDS.org