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Semaine Sainte… un cheminement…

Hier, Dimanche des Rameaux, nous sommes entré/es dans ce que l’on nomme la ‘Semaine Sainte’ –
la période qui marque les derniers jours et les actions ultimes de la vie de celui qui était connu comme ‘l’Homme de Nazareth’.
Mon esprit s’est mis à l’oeuvre, stimulé par mon imagination – en voici le résultat!

Pour apprendre à lire, on commence par… l‘A, B, C – ça va de soi !
Et pour apprendre à VIVRE… à la suite du Christ, on commence par l’A…

Alors que débute la Semaine Sainte, cette réflexion m’est venue à l’esprit et je vous la partage –
Réflexion sur les attitudes du disciple du Seigneur…
 
A ccueillir les imprévus, les entrevues, les inconnus, les bévues…

A cepter ce qui plaît ou déplaît, ce qui se fait ou défait…

A vancer quoi qu’il en coûte, sur la route, malgré le doute…

A bandonner ce qui, à nos yeux, est précieux, faire de son mieux…

A nticiper ce qui est promis, attente de confiance et d’espérance…

A ssuré que Lui est là en tout, partout, à travers tout…

A vant-goût d’un ‘je-ne-sais-quoi’… à saveur d’éternité!

 

C’est simple… Euh…  
Exigeant? Assurément,
Mystérieux et merveilleux…
                                                         comme Dieu peut nous paraître à l’aube de la RÉSURRECTION !
  

Source : Images : YouTube   Crosswalk.com   Pinterest  

13è dimanche de l’année A – 2020

Aimer le Christ plus que tout autre personne…
Perdre sa vie…
Prendre sa croix…
Accueillir le Christ, accueillir l’autre…
Donner, ne fut-ce qu’un verre d’eau feaîche…

En résumé, l’évangile de ce dimanche et… le portrait du chrétien (Mt.10:37-42).
Dans toutes ses exigences…
Un appel, une interpellation, une vocation.
On n’y arrive pas – évidemment!
On ne réussit pas – ce n’est pas étonnant!
C’est l’humain qui devient à l’image de Dieu, de plus en plus, au jour le jour.

Cela n’est pas à notre portée, c’est bien au-delà de nos forces.
Cela ne sera jamais notre oeuvre.
Seul l’Esprit en nous peut nous y porter…
Et il le fait, si seulement nous le lui permettons.

 

Note: Une autre réflexion est disponible sur un thème différent en anglais à: https://image-i-nations.com/13th-sunday-of-year-a-2020/

 

Source: Image: Paroisse Saint-Stanislas d’Ascot Corner

 

 

 

 

Disciples du Christ… Semaine Sainte

Pour apprendre à lire, on commence par… l‘A, B, C – ça va de soi !
Et pour apprendre à VIVRE… à la suite du Christ, on commence par l’A…

Alors que débute la Semaine Sainte, cette réflexion m’est venue à l’esprit et je vous la partage –
Réflexion sur les attitudes du disciple du Seigneur…
 
A ccueillir les imprévus, les entrevues, les inconnus, les bévues…

A cepter ce qui plaît ou déplaît, ce qui se fait ou défait…

A vancer quoi qu’il en coûte, sur la route, malgré le doute…

A bandonner ce qui, à nos yeux, est précieux, faire de son mieux…

A nticiper ce qui est promis, attente de confiance et d’espérance…

A ssuré que Lui est là en tout, partout, à travers tout…

A vant-goût d’un ‘je-ne-sais-quoi’… à saveur d’éternité!

 

C’est simple… Euh…  
Exigeant? Assurément,
Mystérieux et merveilleux…
                                                         comme Dieu peut nous paraître à l’aube de la RÉSURRECTION !
  

Source : Images : YouTube   Crosswalk.com   Pinterest  

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

L’histoire se répète ou… se continue…

L’histoire se répète ou… se continue…
Des dizaines de milliers de Rohingya doivent fuir leur pays, le Myanmar, où ils sont persecutés.
Plusieurs ont réussi à entrer au Bangladesh mais on refuse désormais de les accueillr.
On rapporte que 400 d’entre eux ont péri la semaine dernière (dernière semaine d’août 2017).

One ne les accepte pas chez eux… on ne veut pas les accueillir ailleurs…
POURQUOI faut-il que cette situation se répète dans tant de coins du globe?…

Source: Images: NY Daily News, Time Magazine

3è dimanche de Pâques, année A

Dans ce récit des Disiciples d’Emmaüs (Lc.24:13-35). il y a bien des aspects intéressants, fascinants même.
Ce qui retient mon attention aujourd’hui – et mon admiration – c’est l’image de Jésus qui est présentée dans ce texte.
Et puisque Jésus est la présence de Dieu parmi nous, je dis : l’image de Dieu qui est présentée.

« Jésus lui-même s’approcha, et il marchait avec eux.
Mais leurs yeux étaient empêchés de le reconnaître.
Jésus leur dit : « De quoi discutez-vous en marchant ? »

 Jésus ne prétend pas savoir ce dont parle tout le monde à Jérusalem.
Il demande aux disciples de lui faire part de leur conversation, il veut leur version des faits !
Attitude qui démontre le désir de se mettre à l’écoute – oui, Dieu, le Dieu que Jésus révèle est un Dieu qui écoute, un Dieu qui NOUS écoute !
Le croyez-vous ?…

Quand Cléphas et son ami ont bien expliqué ce qui les habite et partagé les sentiments dont leurs cœurs sont remplis, ils ont marché avec l’étranger pendant un bon moment, le texte ajoute alors :

« Quand ils approchèrent du village où ils se rendaient,
Jésus fit semblant d’aller plus loin.
Mais ils s’efforcèrent de le retenir : « Reste avec nous. »

 S’avoir respecter la… distance dont l’autre a besoin jusqu’à ce qu’il/elle manifeste le désir de proximité.
Dieu qui respecte NOS distances ?
Oui, précisément !

Dieu attend que nous soyons prêt/es à le reconnaître, à l’accueillir, à lui partager notre vécu.
Il… ‘patiente’ jusqu’à ce moment – qu’il attend – où, enfin, nous pourrons lui partager notre quotidien et tout ce qui le façonne.
Étrangement, et contrairement à ce que certains peuvent penser : c’est un Dieu qui ne s’impose pas !
Il attend que l’on… « s’efforce de le retenir »… pas toujours l’image que l’on se fait de Dieu… et pourtant !

Un Dieu respectueux, un Dieu patient, un Dieu qui s’ajuste à nous, à nos lenteurs…
Un Dieu avec nous, un Dieu pour nous !

 

On peut voir aussi: http://image-i-nations.com/route-vers-emmaus/

Source: Images: LDS.org

 

Dimanche des rameaux, Année A

Dimanche dernier (5è dimanche du Carême, année A) nous parlions de questions – questions de toutes sortes qui surgissent au quotidien.
(On peut voir: http://image-i-nations.com/5e-dimanche-careme-annee-a/ )

En ce dimanche des rameaux (année A), dans l’évangile au tout début de la célébration (Mt.21 :1-11), une question est posée dont l’écho nous parvient à travers les temps jusqu’à aujourd’hui.

Une foule est venue accueillir l’Homme de Nazareth connu sous le nom de Jésus.
Des gens venus d’un peu partout, il semble, s’ajoutent à ceux déjà là et viennent élargir la foule venue l’accueillir alors qu’il entre à Jérusalem monté sur un âne.

Et voilà que surgit la question : « Qui est cet homme? »
Son nom est connu et celui de son village d’origine également.
Mais LUI, qui est-il?
 
Alors qu’il enseignait les foules, déjà on se demandait : « D’où vient cette sagesse qui lui a été donnée?… N’est-il pas le charpentier, le fils de Marie? » (Mc.6 :2-3).Ils voulaient en savoir davantage, savoir vraiment : « Qui est cet homme? »

Ayant entendu dire qu’il guérissait les malades de toutes conditions, Jean le Baptiste avait envoyé des messagers pour demander : « Es-tu celui qui doit venir ou devons-nous en attendre un autre?…? (Mt.11 :3).

 Après qu’il eut rendu à la vie la fille de Jaïre, le chef de la synagogue, les témoins de la scène « furent aussitôt saisis d’une grande stupeur… » (Mc.5 :42). Ils se posaient sans doute la même question: « Qui est cet homme? »
 
Le jour où il avait nourri 5000 personnes avec cinq pains, les gens étaient évidemment ébahis et ils disaient entre eux : « Celui-là n’est-il pas le fils de Joseph dont nous connaissons le père et la mère » (Jn.6 :42).

Quand il avait calmé le vent et les vagues qui menaçaient de faire couler leur barque, les apôtres « furent saisis d’une grande crainte et ils se disaient les uns aux autres : ‘Qui est-il donc celui-là?’… »  (Mc.4 :41).
 
Le Pharisien, Nicodème, avait reconnu qu’il venait « de la part de Dieu comme un Maître » (Jn.3 :2) et il était venu le rencontrer la nuit tombée pour savoir vraiment : « Qui est cet homme? »
 
Quand il avait demandé à boire à la Samaritaine, elle lui avait posé la question : « Serais-tu plus grand que notre père Jacob? » (Jn.4 :12). Elle aussi voulait savoir : « Qui est cet homme? »

L’aveugle-né questionnait aussi l’identité de son guérisseur : « Qui est-il que je croie en lui? » (Jn.9 :36)
Lui aussi étaient de ceux qui se demandaient : « Qui est cet homme? »  

Et, bien sûr, les Pharisiens, plus que bien d’autres peut-être, voulaient savoir, ils se devaient de savoir ! « Qui est cet homme? »  Ils lui demandaient ouvertement : « Qui es-tu? » (Jn.8 :25). Et avec insistance, ils revenaient à la charge : « Qui prétends-tu être? » (Jn.8 :53)

Tout au long de sa vie, la même question avait, dirait-on, ‘inquiété’ ceux qui l’approchaient, ceux qui l’entendaient parler de Dieu, ceux qui voyaient ce qu’il accomplissait.
Maintenant qu’il entre dans Jérusalem, on l’acclame comme « Celui qui vient au nom du Seigneur. »

Et, c’est bien ce qu’il est, ce qu’il veut être, pour chacun et chacune de nous :
Il est la présence même de Dieu avec nous.

Pour certains, il est le MAÎTRE que l’on suit au fil des jours.
Pour d’autres, il est l’AMI fidèle sur qui on peut toujours compter.
Pour d’autres encore, il est le RÉCONFORT dans les difficultés.
Pour plusieurs il est le SAUVEUR qui délivre des esclavages de toutes sortes.
Pour tous, il est le VISAGE MISÉRICORDIEUX de Dieu qui attend toujours ses enfants rebelles ou inconscients.

On l’acclame comme un roi, mais il n’a rien d’un roi avec serviteurs et soldats comme entourage.
L’auteur du texte évangélique s’empresse d’affirmer : « Il est humble… »
Assez humble pour désirer être accueilli dans notre vie… quelles qu’en soient les expériences qui l’ont façonnée jusqu’ici…

« Béni ( = Bienvenu) soit celui qui vient au nom du Seigneur! »

Source: Image: LDS.org