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Journée Mondiale de l’environnement – 5 juin

Cette journée a été promulguée par le PNUE, comprenez le Programme des Nations Unies pour l’Environnement. Elle est célébrée depuis de nombreuses années et soulève régulièrement les questions essentielles de la protection de l’environnement et ses conséquences sur la qualité de vie des populations et la survie de notre planète.

Le PNUE a établi une liste de points noirs sur lesquels un effort important doit être entrepris de toute urgence :

  • lutte contre la destruction de la couche d’ozone
  • lutte contre la déforestation
  • préservation de la qualité des réserves d’eau
  • lutte contre la désertification et la sécheresse

Le constat du PNUE est sévère car peu de ces objectifs ont été atteints et le cri d’alarme lancé à l’occasion de la conférence RIO + 20 paraît désespéré !

Economie verte, en faisons-nous partie ?
Le développement économique est souvent pointé du doigt par les instances internationales qui tentent de promouvoir un développement raisonné respectueux de la planète. Notre fameux développement durable…

Le décalage entre les pays dits développés et les pays en voie de développement est criant. Si les économies européennes prennent de plus en plus en compte ces problématiques dans leur développement, que dire d’une économie US encore très en retrait sur toutes ces questions et celle de certains pays du sud-est asiatique où ces recommandations sont surtout l’expression de l’égoïsme des pays riches.

Message d’espoir
Le message envoyée par Irina Bokova, la directrice générale de l’UNESCO, à l’occasion de la Journée mondiale de l’environnement 2012, est riche de promesses :  « Nous voulons un avenir où nous pourrons vivre dans un environnement sain en entretenant des liens solides avec la nature et des relations sociales riches et diversifiées. Pour cela, nous devons créer un environnement florissant. Nous devons créer des économies vertes ».    

Un site à visiter : www.unesco.org Source : Texte & Image : Journée Mondiale 

Un programme d’action
La Journée mondiale de l’environnement est la journée la plus importante célébrée par les Nations Unies visant à encourager la sensibilisation et des actions mondiales en faveur de la protection de notre environnement. Depuis son lancement en 1974, cette journée est devenue une plate-forme mondiale de sensibilisation du public célébrée dans plus de 100 pays.

Le thème
Chaque Journée mondiale de l’environnement est organisée autour d’un thème visant à attirer l’attention du public sur une préoccupation environnementale particulièrement d’actualité. Le thème de cette année 2018 est la lutte contre la pollution plastique.

Le pays hôte
Chaque année, la journée mondiale de l’environnement est organisée par un pays hôte différent, où se déroulent les célébrations officielles. L’accent mis sur le pays hôte contribue à mettre en évidence les défis environnementaux auxquels celui-ci est confronté et chaque pays est invité à initier des efforts pour y remédier. Le pays hôte de cette année est l’Inde.

Source : Texte : https://worldenvironmentday.global Image : IndiaCelebrating.com

Saviez-vous que…

  • Chaque année la population mondiale utilise 500 milliards de sacs de plastique.
  • Durant la dernière décennie nous avons produit plus de plastique que durant tout le siècle précédent.
  • Nous achetons un million de bouteilles de plastique par minute.
  • Le plastique compte pour 10% des déchets que nous produisons.
Source : Statistiques : ONU

Journée mondiale de l’asthme – 1 mai

L’asthme, une maladie qui peut être mortelle
Malgré les progrès médicaux et la disponibilité d’inhalateurs d’urgence, trop de personnes meurent encore des conséquences d’un asthme mal contrôlé. En effet, chaque année au Canada, plus de 500 personnes décèdent de complications liées à l’asthme. Également, l’asthme est une maladie qui touche en moyenne un enfant sur cinq et constitue la première raison pour laquelle les enfants canadiens sont admis à l’urgence.

Connaître les déclencheurs
Certains facteurs, irritants ou inflammatoires, peuvent venir déclencher les symptômes d’asthme. Par exemple, les changements brusques de température, la fumée de tabac, la poussière et la pollution de l’air peuvent causer une crise d’asthme. Il est cependant possible d’exercer un certain contrôle sur ces éléments en étant attentif à son environnement. Il en est de même pour les déclencheurs de l’asthme allergique, comme par exemple les acariens, le pollen ou les spores de moisissure.

Un bon suivi médical, la clé d’une qualité de vie optimale
Pour la personne atteinte d’asthme, il est primordial de pouvoir vivre une vie normale en étant affecté le moins possible par les symptômes. Pour ce faire, la Fondation Québécoise en Santé Respiratoire recommande :

  • une consultation médicale rapide en cas de doute sur son état de santé respiratoire;
  • l’obtention de diagnostic précoce et précis;
  • l’élaboration, avec son médecin traitant, d’un plan d’action basé sur l’évolution des symptômes;
  • la prise de médication selon les directives du médecin traitant.

Comme toute maladie chronique, l’asthme nécessite un suivi professionnel et régulier afin d’assurer une bonne qualité de vie.

Source : Texte : https://pq.poumon.ca Image : healththenmore.com

 

Journée Mondiale de la santé mentale – 10 octobre

En 2004, la Journée mondiale de la santé mentale mettait l’accent sur les liens entre santé mentale et santé physique. Les données dont on dispose aujourd’hui indiquent que les personnes atteintes de maladies mentales, et en particulier celles qui sont placées en établissement, présentent des taux de mortalité par cancer et par cardiopathie plus élevés que la population générale.

Il existe des interventions qui permettent de réduire la détresse physique et mentale des individus et les pertes qu’elle cause à la société. Pourtant, on constate qu’il subsiste une proportion importante de personnes atteintes de troubles mentaux qui ne bénéficient pas du traitement dont elles auraient besoin. Dans la Région européenne de l’OMS, on estime que 50% des personnes dépressives et 20% de celles atteintes de schizophrénie ne reçoivent pas de traitement médical.

« Sans santé mentale et sans bien-être, il n’y a pas de vraie santé« 
C’est en réponse aux préoccupations suscitées dans tous les pays par le lourd tribut prélevé par les troubles mentaux et à l’urgence d’améliorer les politiques de prévention et de traitement qu’est organisée la Conférence ministérielle européenne de l’OMS sur la santé mentale.

Cette conférence témoigne de la volonté des pays de s’inspirer des nombreux exemples existants de bonnes pratiques. Ceux-ci prouvent qu’il est possible de promouvoir la santé mentale et de prévenir ou de traiter efficacement la morbidité mentale.

Relever les défis, trouver des solutions
Mettre en place des systèmes de soins complets et efficaces, promouvoir la santé mentale de la population, faire en sorte que le personnel ait les capacités requises, et donner aux utilisateurs de services de santé mentale et à leur famille les moyens de se prendre en charge. Les états devraient adopter un plan d’action, qui soulignerait l’importance fondamentale de la santé mentale pour la qualité de vie.

Un site à visiter : www.santenpdc.org Source : Texte : Journée mondiale  Image: uOttawa
 
 

Journée mondiale des soins palliatifs – 11 octobre

Qu’est-ce que la journée mondiale des soins palliatifs ?
La journée mondiale des soins palliatifs est une journée unitaire d’action qui promeut et soutient les soins palliatifs dans le monde entier.

logoTous les ans, des millions de malades en phase terminale éprouvent des douleurs et une détresse inutiles, parce qu’ils ne connaissent pas les soins dont ils ont besoin ou bien ne peuvent pas y accéder. Des soins palliatifs de grande qualité ont pour objectif de prendre en charge les besoins de la personne dans leur globalité : ils peuvent apporter une réponse à la souffrance des personnes malades ou en fin de vie ainsi qu’à leur entourage.

Parce que la question de la fin de la vie nous concerne tous, parce que nous voudrions tous pour nous-même, et pour ceux que nous aimons une fin de vie paisible et confortable, la journée mondiale des soins palliatifs chercher à mobiliser chacun et chacune, sur les cinq continents, pour :

Affirmer notre volonté de rendre les soins palliatifs plus accessibles partout dans le monde, en expliquant les problèmes qui empêchent cet accès aujourd’hui. Nous voulons influencer ceux qui font l’opinion publique et ceux qui définissent les programmes de santé et ceux qui les financent.
Augmenter la prise de conscience et la compréhension des besoins — médicaux, sociaux, pratiques, spirituels — des personnes qui vivent avec une maladie terminale et celle de leurs familles. Expliquer comment les soins palliatifs peuvent transformer la vie des gens et montrer comment ils aident à répondre à ces besoins.
Lever des fonds pour le soutien et le développement des soins palliatifs à travers le monde.
Battre en brèche certaines idées reçues :
La journée mondiale des soins palliatifs est l’occasion de faire reculer les clichés qui circulent sans raisons.

Notre but n’est pas d’aider une personne à mourir, mais plutôt d’aider les malades à vivre de la manière la plus confortable possible avec leur maladie. Les malades sont des personnes vivantes à part entière et non pas des patients en sursis ou des mourants.
Les soins palliatifs ne se limitent pas simplement au soulagement de la douleur et des symptômes, bien que ce soit là une partie très importante des ce type de soins. La démarche palliative une approche holistique (globale) qui respecte les désirs des individus et qui les aide de façon la plus adaptée possible, au plan personnel mais aussi culturel.
Les soins palliatifs ne sont pas lourds à mettre en œuvre : ils sont flexibles et adaptables. Dans beaucoup de situations, les soins peuvent êtres pratiqués à la maison, par exemple grâce au soutien à domicile d’un professionnel spécialisé ou d’un bénévole formé.
Les soins palliatifs ne sont pas nécessairement coûteux. Il y a des médicaments bon marché, des traitements et des manières de procurer du soutien qui peuvent transformer la qualité de vie d’une personne. Mais ces connaissances doivent être partagées, et la mise en place et le fonctionnement de tels programmes doivent être financés.

Source: Texte & Image: Société française d’accompagnement et de soins palliatifs