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2nd Sunday of Advent, A

pinterest-winnowingThe Bible speaks of God in so many ways. It describes his qualities and relates his actions. It also tells of his wishes for us, human beings. Often too, it speaks of his future interventions. All this in a language which is not abstract but quite vivid, one could almost say picturesque.

It is the case in today’s gospel (2nd Sunday of Advent, A) where we are told that the Lord is coming “with his winnowing fan in his hand” (Mt.3:1-12).

In our modern high-tech world we do not see much winnowing being done as it was in Jesus’ time. Such activity can still be observed in some areas of Africa or Asia but many of us would not have seen this otherwise than on television.

This does not mean that the message of the gospel text is no longer relevant. If we ask ourselves why winnowing is being done, the answer is clear: To separate the good grain from the straw or other unwanted material. This example speaks of sorting out, or getting rid of something to keep the good, the best.

Is Advent not a good period to do exactly this in our lives? We could look at it as a ‘Sorting out season’ – sorting out the different areas of our daily living: our opinions, our judgements, our values, our attitudes, our choices, our decisions, our plans, our habits, our expectations…

John the Baptist is calling people to ‘Repent…’ This involves a change, a ‘straightening up’ – the text says it clearly: “Prepare a way for the Lord, make his paths straight.” Perhaps the best way to do this is… to make straight our own paths!

To move away from our crooked ways, our distorted vision of life and people, our narrow-minded opinions, all that is us is a deviation from truth, justice, respect of others. Indeed, winnowing can still be part of a ‘modern’ life-style!

Source: Image: Pinterest

World day in memory of abolition of the slave trade – 23 August

220px-Marcus_Garvey_1924-08-05The Universal Negro Improvement Association and African Communities League (UNIA-ACL) is a black nationalist fraternal organization founded by Marcus Mosiah Garvey. The organization enjoyed its greatest strength in the 1920s, prior to Garvey’s deportation from the United States of America, after which its prestige and influence declined.

According to the preamble of the 1929 constitution as amended, the UNIA is a « social, friendly, humanitarian, charitable, educational, institutional, constructive and expansive society, and is founded by persons desiring to do the utmost to work for the general uplift of the people of African ancestry of the world. And the members pledge themselves to do all in their power to conserve the rights of their noble race and to respect the rights of all mankind, believing always in the Brotherhood of Man and the Fatherhood of God. The motto of the organization is ‘One God! One Aim! One Destiny!’ Therefore, let justice be done to all mankind, realizing that if the strong oppresses the weak, confusion and discontent will ever mark the path of man but with love, faith and charity towards all the reign of peace and plenty will be heralded into the world and the generations of men shall be called Blessed. »

The broad mission of the UNIA-ACL led to the establishment of numerous auxiliary components, among them the Universal African Legion, a paramilitary group; the African Black Cross Nurses; African Black Cross Society; the Universal African Motor Corps; the Black Eagle Flying Corps; the Black Star Steamship Line; the Black Cross Trading and Navigation Corporation; as well as the Negro Factories Corporation. By 1920 the association had over 1,900 divisions in more than 40 countries.

Source: Text & image: Wikipedia

21è dimanche de l’année, C

43_i-am-the-bread-of-life_1800x1200_300dpi_2J’admire la pédagogie de Jésus! Un aspect de cette pédagogie est ce que j’appelle : ‘L’art de ne pas répondre aux questions’… mais de faire bien plus!
Le texte de l’évangile d’aujourd’hui (21è de l’année, C – Luc 13 :22-30) en est un exemple typique. Quelqu’un approche Jésus et lui demande : « Seigneur, n’y a-t-il que peu de gens qui soient sauvés ? »

Question importante s’il en est une! Et Jésus qui est venu ‘pour le salut du monde’ doit la reconnaître comme une question essentielle mais… il ne donne pas l’information attendue de la personne qui a posé la question. Sa réponse vient claire et exigeante : « Efforcez-vous d’entrer par la porte étroite, car, je vous le déclare, beaucoup chercheront à entrer et n’y parviendront pas. »

Ce qu’il dit, en fait, est : « Peu importe le nombre des élus, assurez-vous d’être parmi eux! » C’est là l’essentiel! Quelqu’un disait récemment : ‘L’évangile est si simple et nous pouvons être si compliqués!’ Oui, nos vies sont parfois compliquées, enchevêtrées, débordées et… désordonnées! Il y manque l’ordre de… la justice.

Jésus continue son enseignement en donnant comme exemple les gens qui tenteront d’entrer dans le royaume sans passer par cette ‘porte étroite’. Ils affirment avoir mangé et bu avec lui et l’avoir entendu prêcher dans leur village mais il leur répondra : « Éloignez-vous de moi, vous tous qui commettez l’injustice. »

Qu’est-ce donc que la justice que le Seigneur attend de nous? Plusieurs définitions peuvent se présenter à l’esprit. Pour moi, la justice c’est de faire justement – précisément – ce qu’il convient de faire dans telle ou telle situation envers les personnes concernées et y mettant tout ce dont je suis capable. Voilà!

Et qui dira ce qu’il convient de faire dans cette situation – ici et maintenant? La Parole de Dieu et son Esprit ne peuvent manquer de guider quiconque le demande...

Source: Image: johnib.wordpress.com

Journée Internationale pour l’élimination de la discrimination raciale – 21 mars

La Journée internationale pour l’élimination de la discrimination raciale est célébrée chaque année le 21 mars, pour commémorer ce jour de 1960 où, à Sharpeville (Afrique du Sud), la police a ouvert le feu et tué 69 personnes lors d’une manifestation pacifique contre les lois relatives aux laissez-passer imposées par l’apartheid. En proclamant la Journée internationale en 1966, l’Assemblée a engagé la communauté internationale à redoubler d’efforts pour éliminer toutes les formes de discrimination raciale [résolution 2142 (XXI)].wcar_sm

Le message de Kofi Annan
A l’occasion de la journée 2004, Kofi Annan, secrétaire général des Nations unies, a eu l’occasion de diffuser le message suivant:

Le 21 mars 1960, une manifestation non violente de protestation contre la loi sur les laissez-passer – une des institutions les plus honnies de l’apartheid – eut lieu à Sharpville, en Afrique du Sud. Bilan : 69 morts parmi les manifestants. Le massacre de Sharpville fut un moment décisif dans la lutte contre l’apartheid. Il amena aussi l’Assemblée générale [des Nations unies] à instituer cette journée annuelle, dont l’objet est d’appeler l’attention sur la lutte contre le racisme, où qu’il se manifeste et quelle que soit l’époque.

Cette année (2004) est celle du dixième anniversaire du génocide rwandais, ce qui nous rappelle les horreurs que peut entraîner la haine ethnique et raciale. C’est aussi celle du bicentenaire de la révolution à Haïti, grâce à laquelle les peuples des Caraïbes et d’Amérique latine furent libérés de l’esclavage. Et 2004 est enfin, comme l’a décidé l’Assemblée générale, l’Année internationale de commémoration de la lutte contre l’esclavage et de son abolition. A travers ces trois événements, nous devons non seulement honorer la mémoire des victimes de tragédies passées, mais aussi manifester notre ferme volonté d’éviter que d’autres ne subissent un sort semblable à l’avenir.

Cela veut dire que nous devons mettre fin aux conséquences, qui persistent à ce jour, de l’esclavage et du commerce des esclaves. Ces injustices historiques sont parmi les causes de la pauvreté, du sous-développement, de la marginalisation, de l’exclusion sociale, des disparités économiques, de l’instabilité et de l’insécurité dont beaucoup souffrent aujourd’hui dans différentes parties du monde, en particulier dans les pays en développement. A la Conférence mondiale contre le racisme, la discrimination raciale, la xénophobie et l’intolérance qui y est associée qui s’est tenue en 2001, les Etats ont reconnu que l’esclavage et le commerce de l’esclavage avaient été des tragédies effroyables pour l’humanité et figuraient parmi les principales causes du racisme. L’Organisation des Nations Unies demeure fermement déterminée à aider les peuples et les pays à surmonter cet héritage du passé, ainsi qu’à combattre les formes contemporaines de l’esclavage – comme le travail forcé, notamment à des fins d’exploitation sexuelle – qui continuent de peser sur notre conscience collective.

Le racisme est aussi une des racines du génocide. Les pratiques racistes, les idéologies racistes, et les discours déshumanisants qui nient la dignité et les droits de groupes entiers doivent être condamnés. Mais condamner ne suffit pas: nous devons aussi renforcer nos capacités d’alerte rapide et de prévention des génocides, des massacres, des nettoyages ethniques et des autres crimes du même genre et soutenir vraiment les efforts déployés pour que les coupables soient traduits en justice, notamment devant la Cour pénale internationale. Je compte nommer prochainement un conseiller spécial pour la prévention du génocide et faire d’autres propositions visant à renforcer notre action dans ce domaine.

La tolérance, le dialogue interculturel et le respect de la diversité sont plus indispensables que jamais dans un monde où les peuples sont plus interconnectés que jamais. Nous comptons sur les gouvernements, en particulier, pour qu’ils aient la volonté politique nécessaire et agissent résolument. Cette Journée internationale pour l’élimination de la discrimination raciale est l’occasion pour chacun de nous de repenser au principe fondamental énoncé dans la Charte des Nations Unies et la Déclaration universelle des droits l’homme, celui de l’égalité de tous les êtres humains, et le mettre en pratique.

Un site à visiter : www.stop-discrimination.info         Source: Texte & Image: Journée mondiale (Illustration:Nations U, New York, 17 mars 2004)

Journée de la mémoire de l’Holocauste et de la prévention des crimes contre l’humanité – 27 janvier

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« Le bourreau tue toujours deux fois, la seconde fois par l’oubli. » (Elie Wiesel)
« (…) Nous célébrons la « Journée de la mémoire de l’holocauste et de la prévention des crimes contre l’humanité ». Une mémoire qui repose sur les témoignages des acteurs et sur les travaux des historiens. Une mémoire d’autant plus vive, paradoxalement, que les survivants disparaissent, ayant à cœur, s’ils ne l’ont déjà fait, de transmettre aux générations nouvelles ce que, bien souvent, si longtemps, ils ont eu tant de peine à exprimer : « Il est dur pour la langue de prononcer de tels mots, pour l’esprit d’en comprendre le sens, de les écrire sur le papier » (Abraham Lewin).

Prévention des crimes contre l’humanité en même temps que mémoire de la Shoah, cette journée a également pour but d’intégrer à ce travail de mémoire toutes les victimes des crimes contre l’humanité. Et d’abord, pour en revenir aux victimes de la terreur nazie, outre les com- munautés juives d’Europe, qui en forment la majeure partie, les populations tziganes ou encore les malades mentaux. Ce devoir de mémoire, et de prévention est plus actuel que jamais.

Aujourd’hui comme hier, aujourd’hui comme demain, aucune forme de racisme et d’antisémitisme quelle qu’elle soit ne saurait être tolérée.

Et pourtant des faits récents perpétrés contre la communauté juive de Strasbourg nous rappellent qu’il faut rester vigilants. Une vigilance qui souligne que l’enjeu de la commémoration de la libération du camp d’Auschwitz, camp de concentration et « centre de mise à mort » (Raul Hilberg), ne concerne pas que les bourreaux et leurs victimes juives. Elle est le lieu de mémoire commun d’une mémoire européenne qui ne cesse de se constituer et l’horizon d’une humanité fondée sur la justice, la paix et la tolérance.

Un site à visiter : www.cercleshoah.org
Source: Texte & image: Journée mondiale  B.O. n°46 du 11 décembre 2003 : www.education.gouv.fr
 

Autour du monde… le climat

20,000 pairs of shoes

 

En France, des marches de plus de 500,000 personnes ont dû être annulées pour raison de sécurité, mais les ‘Avaazers’ se sont rassemblés et ont collecté plus de 20,000 paires de souliers de gens qui auraient voulu marcher – incluant les souliers du Pape et ceux du Secrétaire Général des Nations Unies. Ces souliers ont été placés à la Place de la République là même où se tiennent les discussions sur le climat. Au sujet des marches organisées par le groupe en différents endroits, le représentant du Pape François a déclaré: « Aujourd’hui le Pape s’unit en esprit aux centaines de milliers, main dans la main avec les pauvres et ceux qui cherchent la justice pour le climat. »

Emma Ruby-Sachs – Avaaz Newsletter, November 30, 2015