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1st Sunday of Advent, Year C – 2021

There is no doubt about it: this 1st Sunday of Advent invites us to look to the future.
A promise is essentially doing this and it is a promise that we are given in the 1st reading (Jr.33:14-16).
The text of the prophet Jeremiah gives us God’s words in a clear language:

“The days are coming, declares the Lord, when I will fulfil the gracious promise I made…
In those days, I will make a righteous Branch sprout from David’s line;
he will do what is just and right in the land.”
 
We often speak of God’s grace, yes, our God is a gracious God.
He delights in showering on us his blessings of all kinds.
The promise he makes is that the Gracious One – the Righteous One – will do what is good for us.

Another translation of the text uses the words “honesty and integrity”
And the one who is coming to us in God’s name – God himself – is called:
“The Lord-our-integrity.”
 
We all want to receive good things from God, but how can we be sure that his blessings will be ours?
I would venture to say that the best way is to… ad-just ourselves to God’s ways –
that is to become just ourselves –

just in our ways of thinking
just in our ways of judging situations
just in our choices and decisions
just in the plans we make and the options we choose
just in our relations with people…

In other words: behaving with honesty and integrity.

This could be the first step in this Advent period as we set on the path to welcome anew God’s coming to us.

 

Note: Another text is available on a different theme, in French at: https://image-i-nations.com/1er-dimanche-de-lavent-annee-c-2021/

And in a short video, also in French, Ghislaine Deslières offers us another reflection on this 1st Sunday of Advent at: https://youtu.be/lpkMLsxne3s

 

Source: Image: slideplayer.com

34th Sunday of Year B, Feast of Christ the King – 2021

He came, long ago, but some still speak about him.
What he said, what he did, what he taught, how he related to people.
It was said that: “Nobody ever spoke like this man” (John 7:46).
 
He was… different, yes, everyone could see this, different yet…
There was something about him that drew people to him.
He did not look for glory or fame, no, he was concerned about others.
One day, they had tried to make him king (John 6:15) but he had escaped –
this was not at all what he had in mind.

Brought before the authority, he told a Roman procurator why he had come to our world (John 18:33-37):
“The reason I was born and came into the world is to testify to the truth.
Everyone who is of the truth listens to my voice.”

If he came back to our world today…
If he came back, would he repeat these words?
Would he find people ready to listen to his voice?

He would be all too aware of:

the fake news,
the unfounded revelation of presumed facts,
the systematic distortion of evidence,
the prevailing disinformation,
the exaggeration of narratives,
the manipulation of witnesses,
the bias of some medias,
the misrepresentation of events,
the falsification of documents,
the attempts to pervert justice…

“Everyone who is of the truth listens to my voice.”
Would there be some?
Would we be among them, no matter the cost?
 

Note: Another reflection is available on a different theme in French at: https://image-i-nations.com/34e-dimanche-de-lannee-b-fete-du-christ-roi-2021/

 

Source: Image: www.pinterest.com

Journée internationale de la fin de l’impunité pour les crimes commis contre des journalistes – 2 novembre

Depuis le début du 21ème siècle, ce sont plus de 1000 journalistes qui ont été tués parce qu’ils tentaient d’informer le public sur les faits dont ils avaient été témoins. L’inventaire des noms, connus ou moins connus, serait long et on se souviendra entre autres d’Anna Politkovskaïa, assassinée à Moscou en 2006.

Impunité

Plus grave encore, à peine 10% des crimes commis contre des professionnels des médias ont abouti à une condamnation de leurs auteurs. Cette quasi-impunité constitue un encouragement pour les criminels et les groupes armés qui se font régulièrement remarquer par leurs actions contre les journalistes.

Alors, dans ces conditions, pourquoi décréter une journée internationale ? Elle aurait pu concourir dans la catégorie du « plus long intitulé pour une journée internationale », mais elle est tout à fait sérieuse et tout à fait officielle puisque décrétée par l’assemblée générale de l’ONU en 2013.

Un voeu pieux ?

On pourra se demander aussi s’il ne s’agit pas du nième avateur de la méthode Coué et si la proclamation de la « fin de l’impunité pour les crimes commis contre des journalistes » n’engage que ceux qui la lancent.

On pourra… mais cette résolution historique a le mérite de condamner l’ensemble des attaques de toute nature perpétrées contre des journalistes. Elle engage aussi les États à faire plus pour prévenir cette violence, en permettant à la justice de rechercher et condamner les auteurs des crimes.

La volonté de l’ONU est claire: promouvoir un environnement qui permette aux journalistes  d’effectuer leur travail en toute indépendance et sans ingérence de la part des autorités.

Un site à visiter : www.un.org    Source: Texte & Image: Journée Mondiale

Journée internationale pour le droit à la vérité – 24 mars

Journée internationale pour le droit à la vérité
L’intitulé intégral de cette journée proposée par les Nations Unies est : « Journée internationale pour le droit à la vérité en ce qui concerne les violations flagrantes des droits de l’homme et pour la dignité des victimes ». Les résolutions votées par cette organisation à cette occasion précisent qu’elles concernent essentiellement les guerres déclarées depuis la création de l’ONU, la protection des victimes, la fin de l’impunité pour les crimes commis.

Protéger ceux qui recherchent la vérité

« Alors que nous célébrons ensemble aujourd’hui le courage des défenseuses et défenseurs des droits humains partout dans le monde, nous devons nous engager à protéger toutes celles et ceux qui recherchent la vérité et la justice et proposer aux victimes des recours efficaces, en leur rendant leur dignité. » António Guterres, secrétaire général des Nations Unies

Une date symbolique

Cette célébration annuelle rend hommage à la mémoire de Monseigneur Óscar Arnulfo Romero (photo), assassiné le 24 mars 1980. Monseigneur Romero s’était activement engagé à dénoncer les violations des droits de l’homme des personnes les plus vulnérables au Salvador.

Un site à visiter : www.un.org   Source: Texte & Image: Journée mondiale

Nouvelle encyclique du Pape François

Le 3 octobre le Pape François s’est rendu à Assise – lieu de naissance du Saint dont il porte le nom – où il a signé une nouvelle encyclique.

Le thème de ce texte, Fratelli tutti, est que nous sommes tous frères (le terme italien Fratelli inclut la gente féminine!).
Tous frères et soeurs et donc responsables les uns des autres au sein de notre maison commune, Planète Terre.

Dans ce document de 90 pages, on trouve une belle prière que le Pape y a insérée.

Nous pouvons la faire nôtre.

 

Prière au Créateur

Seigneur et Père de l’humanité,
toi qui as créé tous les êtres humains avec la même dignité,
insuffle en nos cœurs un esprit fraternel.
Inspire-nous un rêve de rencontre, de dialogue, de justice et de paix.
Aide-nous à créer des sociétés plus saines et un monde plus digne,
sans faim, sans pauvreté, sans violence, sans guerres.
Que notre cœur s’ouvre
à tous les peuples et nations de la terre,pour reconnaître le bien et la beauté
que tu as semés en chacun pour forger des liens d’unité, des projets communs,

des espérances partagées. Amen !

 

Source: Image: National Catholic Reporter

25è dimanche de l’année A – 2020

Il arrive que quelqu’un explique qu’il ou elle n’a pas fait ce qui avait été projeté en disant :
« J’ai changé d’idée. »
Changer d’idée, c’est assez fréquent et chacun/e de nous le fait parfois.

Mais changer ses opinions, cela est plus rare, et changer ses convictions devient encore moins commun.
Pourtant, les événements nous invitent parfois à le faire.
Et davantage encore, Dieu parfois l’attend de nous!

MAIS… la tâche est plus que difficile et parfois nous préférons ne pas considérer le changement.
Nous nous sentons ‘très bien, merci’ avec les idées qui nous sont familières et les convictions acquises chèrement, peut-être.
Mais la parole de Dieu dans la 1ère lecture (Is.55:6-9) ne cesse de nous interpeler:

« Mes pensées ne sont pas vos pensées. »
 
Il nous faut donc ajuster nos pensées à celles de Dieu…
Et cela dans bien des situations et pour bien des réalités.

La parabole de Jésus dans l’évangile de ce dimanche (Mt.20:1-16) nous en donne un exemple.
Sa pensée à lui – celle de Dieu, évidemment – sur la justice ne ressemble pas beaucoup à la nôtre…
Nous croyons savoir ce qui est juste, ce qui est approprié, la façon qui convient de traiter les gens.
Les lois du commerce et de l’entreprise dictent que l’on ne donne pas le même salaire à celui qui ne travaille qu’une heure alors qu’un autre a peiné la journée entière – ça va de soi, dirait-on!

Et pourtant, oserions-nous accuser Jésus de manquer de justice?
Serait-ce que pour lui la justice, la vraie, peut… devrait, être imprégnée de compassion?
Jésus est venu nous faire connaître ce Dieu – ce Père de « miséricorde, riche en pardon »,
un père dont la justice est miséricordieuse.

Alors, oui vraiment, il nous faut… changer d’idée!

Note: Une autre réflexion est disponible en anglais sur un thème différent à: https://image-i-nations.com/25th-sunday-of-year-a-2020/

  

Source: Image : Leaderonomics.com

Journée internationale pour le droit à la vérité – 24 mars

L’intitulé intégral de cette journée proposée par les Nations Unies est : « Journée internationale pour le droit à la vérité en ce qui concerne les violations flagrantes des droits de l’homme et pour la dignité des victimes ».
Les résolutions votées par cet organisation à cette occasion précisent qu’elles concernent essentiellement les guerres déclarées depuis la création de l’ONU, la protection des victimes, la fin de l’impunité pour les crimes commis.
Source: Texte: Journée mondiale

Le droit à la vérité est souvent invoqué dans le contexte de violations flagrantes des droits de l’homme et de violations graves du droit humanitaire. En cas d’exécutions sommaires, de disparitions forcées ou non, d’enlèvements d’enfants, de tortures, les victimes ou leurs proches exigent de savoir ce qui s’est passé. Le droit à la vérité signifie le droit de connaître la vérité absolue et complète quant aux événements qui ont eu lieu, aux circonstances spécifiques qui les ont entourés, et aux individus qui y ont participé, y compris les circonstances dans lesquelles les violations ont été commises et les raisons qui les ont motivées.

Le 21 décembre 2010, l’Assemblée générale de l’ONU a proclamé le 24 mars Journée internationale pour le droit à la vérité en ce qui concerne les violations flagrantes des droits de l’homme et pour la dignité des victimes.

L’objectif de la Journée est :

  • d’honorer la mémoire des victimes de violations flagrantes et systématiques des droits humains et promouvoir l’importance du droit à la vérité et la justice;
  • de rendre hommage à ceux qui ont consacré leur vie à, et ont perdu la vie dans la lutte pour promouvoir et protéger les droits de l’homme pour tous;
  • de reconnaître, en particulier, l’importance du travail et des valeurs de l’archevêque Oscar Arnulfo Romero, du Salvador, qui a été assassiné le 24 mars 1980, après avoir dénoncé les violations des droits de l’homme des populations les plus vulnérables et défendu les principes de protection de la vie, promotion de la dignité humaine et d’opposition à toutes les formes de violence.

Dans sa résolution l’Assemblée générale invite tous les États Membres, les organisations internationales et organisations de la société civile et les particuliers, à célébrer la Journée internationale de manière appropriée.

 

Source: Texte: http://www.un.org/fr/events/righttotruthday/documents.shtml   Image: Archbishop Romero Trust

30è dimanche de l’année C – 2019

 La parabole du Pharisien et du publicain – elle nous est si bien connue! (Lc.18:9-14)
Le Pharisien avec un P majuscule, le publicain lui n’a droit qu’au p minuscule – ça va de soi! 
Étonnant comme même l’orthographe souligne le message!

Au fil des ans, et des commentaires bibliques, ce fameux Pharisien a récolté sa part d’accusation et de blâme.
Mais que lui reproche-ton au juste?

Sa prière à l’Éternel est claire et sans ambages, ses propos ne laissent aucun doute :
« Je jeûne deux fois par semaine
et je verse le dixième de tout ce que je gagne. »

 
Rien de mal à cela, c’est même un comportement honorable.
Le problème surgit dans les paroles qui précèdent où le Pharisien remercie Dieu…

« Mon Dieu, je te rends grâce
parce que je ne suis pas comme les autres hommes
– ils sont voleurs, injustes, adultères… »
 

C’est là que la prière devient fautive parce que le cœur s’empêtre dans sa supposée noblesse !
Saint Paul a le verdict approprié pour une telle attitude quand il écrit aux chrétiens de Corinthe:

« Qu’as-tu que tu n’aies reçu?
Et si tu l’as reçu, pourquoi te glorifies-tu, comme si tu ne l’avais pas reçu? » (1 Co.4:7)

Au fond, la vraie culpabilité du Pharisien est qu’il s’attribue… l’œuvre de l’Esprit Saint – rien de moins !
L’honnêteté, la justice, la fidélité, dont il est si fier est l’œuvre de Dieu en lui.

Ceci étant dit, peut-être faut-il reconnaître qu’il n’est pas seul dans ce ‘Club des parfaits à leurs yeux’…
Et il semblerait que le 21è siècle qui est le nôtre ne manque pas de représentants d’un tel groupe…
Un pharisien moderne peut facilement se dissimuler en tout un chacun, qui pourrait le nier ?…

Note : Une autre réflexion est disponible sur un thème différent en anglais à : https://image-i-nations.com/30th-sunday-of-year-c-2019/

 

Source : Image : www.ortodoxpath.org

 

 

Journée internationale des femmes – 8 mars 2019

 

Cette année, le thème de la Journée internationale des femmes, célébrée le 8 mars, est « Penser équitablement, bâtir intelligemment, innover pour le changement ». Il place l’innovation par les femmes et les filles, pour les femmes et les filles, au cœur des efforts pour parvenir à l’égalité entre les sexes.

Source : Texte & Image : un.org

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Commençons par l’intitulé de cette journée. L’ONU parle de la journée internationale des femmes (c’est d’ailleurs l’intitulé officiel) alors que la France a plutôt tendance à privilégier la journée internationale des droits de la femme. Bien entendu la différence n’est pas anodine et nous laissons chacun (et chacune) se positionner selon ses préférences. Nous avons choisi de garder l’intitulé des Nations Unies mais nous n’en faisons ni une prise de position politique ni un casus belli avec les militantes les plus virulentes…

Une date unique dans le monde entier
La Journée internationale de la femme est célébrée le 8 mars de chaque année par des groupes de femmes dans le monde entier. Elle est également célébrée à l’ONU et, dans de nombreux pays, c’est un jour de fête nationale. Lorsque les femmes de tous les continents, souvent divisées par les frontières nationales et par des différences ethniques, linguistiques, culturelles, économiques et politiques, se réunissent pour célébrer leur Journée, elles peuvent voir, si elles jettent un regard en arrière, qu’il s’agit d’une tradition représentant au moins 90 ans de lutte pour l’égalité, la justice, la paix et le développement.

Des femmes qui ont fait l’histoire
La Journée internationale de la femme est l’histoire de femmes ordinaires qui ont fait l’histoire. Elle puise ses racines dans la lutte menée par les femmes depuis des siècles pour participer à la société sur un pied d’égalité avec les hommes. Dans l’antiquité grecque, Lysistrata avait lancé une « grève sexuelle » contre les hommes pour mettre fin à la guerre. Pendant la révolution française, des Parisiennes demandant « liberté, égalité, fraternité » ont marché sur Versailles pour exiger le droit de vote des femmes.

L’idée d’une Journée internationale de la femme s’est fait jour au tournant des XIXe et XXe siècles, période caractérisée dans le monde industrialisé par l’expansion et l’effervescence, une croissance démographique explosive et l’émergence des idéologies radicales.

Repères chronologiques
1909 – Conformément à une déclaration du Parti Socialiste américain, la première Journée nationale de la femme a été célébrée sur l’ensemble du territoire des États-Unis, le 28 février. Les femmes ont continué à célébrer cette journée le dernier dimanche de février jusqu’en 1913.

1910 – L’Internationale socialiste réunie à Copenhague a instauré une Journée de la femme, de caractère international, pour rendre hommage au mouvement en faveur des droits des femmes et pour aider à obtenir le suffrage universel des femmes. La proposition a été approuvée à l’unanimité par la conférence qui comprenait plus de 100 femmes venant de 17 pays, dont les trois premières femmes élues au Parlement finlandais. Aucune date précise n’a été fixée pour cette célébration.

1911 – À la suite de la décision prise à Copenhague l’année précédente, la Journée internationale de la femme a été célébrée pour la première fois, le 19 mars, en Allemagne, en Autriche, au Danemark et en Suisse, où plus d’un million de femmes et d’hommes ont assisté à des rassemblements. Outre le droit de voter et d’exercer une fonction publique, elles exigeaient le droit au travail, à la formation professionnelle, et la cessation de la discrimination sur le lieu de travail.

Moins d’une semaine après, le 25 mars, le tragique incendie de l’atelier Triangle à New York a coûté la vie à plus de 140 ouvrières, pour la plupart des immigrantes italiennes et juives. Cet événement a eu une forte influence sur la législation du travail aux États-Unis, et l’on a évoqué les conditions de travail qui avaient amené cette catastrophe au cours des célébrations subséquentes de la Journée internationale de la femme.

1913-1914 – Dans le cadre du mouvement pacifiste qui fermentait à la veille de la Première Guerre mondiale, les femmes russes ont célébré leur première Journée internationale de la femme le dernier dimanche de février 1913. Dans les autres pays d’Europe, le 8 mars ou à un ou deux jours de cette date, les femmes ont tenu des rassemblements soit pour protester contre la guerre, soit pour exprimer leur solidarité avec leurs soeurs.

1917 – Deux millions de soldats russes ayant été tués pendant la guerre, les femmes russes ont de nouveau choisi le dernier dimanche de février pour faire la grève pour obtenir  » du pain et la paix « . Les dirigeants politiques se sont élevés contre la date choisie pour cette grève, mais les femmes ont passé outre. Le reste se trouve dans les livres d’histoire : quatre jours plus tard, le tsar a été obligé d’abdiquer et le gouvernement provisoire a accordé le droit de vote aux femmes. Ce dimanche historique tombait le 23 février dans le calendrier julien qui était alors en usage en Russie, mais le 8 mars dans le calendrier géorgien utilisé ailleurs.

Depuis ces années, la Journée internationale de la femme a pris une nouvelle dimension mondiale dans les pays développés comme dans les pays en développement. Le mouvement féministe en plein essor, qui avait été renforcé par quatre conférences mondiales sur les femmes organisées sous l’égide de l’ONU, a aidé à faire de la célébration de cette Journée le point de ralliement des efforts coordonnés déployés pour exiger la réalisation des droits des femmes et leur participation au processus politique et économique. De plus en plus, la Journée internationale de la femme est le moment idéal pour réfléchir sur les progrès réalisés, demander des changements et célébrer les actes de courage et de détermination de femmes ordinaires qui ont joué un rôle extraordinaire dans l’histoire des droits des femmes.

La journée de la femme digitale
Prolongement logique de cette journée, un événement a été créé en 2013 en France et se renouvèle chaque année, la journée de la femme digitale. A découvrir !

Un site à visiter : www.un.org

Source : Texte & Image : Journée Mondiale

 

World Hospice and Palliative Care Day – 12 October

The Worldwide Hospice Palliative Care Alliance is pleased to announce the theme for World Hospice and Palliative Care Day 2018: Palliative Care – Because I Matter.

This theme was selected following an open consultation with people directly affected by serious illness, WHPCA members and supporters, and global hospice and palliative care advocates.

We chose ‘Because I Matter’ as this year’s theme, because it centres on the lived experience of people affected by serious illness, looking at what matters most, including the often-overlooked financial impact of palliative care needs on individuals and households. The theme also contains elements of human rights and justice, asking: If I matter, then why am I not getting the care I need?

This year is the centenary of Dame Cicely Saunders, founder of the modern hospice movement. So it is fitting that this year’s World Hospice and Palliative Care Day theme draws its wording from her iconic quote: ‘You matter because you are you and you matter until the end of your life’.

Source: Text: www.whpca.org Image: Marty’s Pharmacy and Compounding Center