La 1ère lecture de ce dimanche (Genèse 2:18-24) s’exprime dans le langage imagé des auteurs du premier livre de la Bible: la Genèse.
Elle nous décrit d’abord le « sommeil mystérieux » de l’homme qui n’a pas encore de compagne qui lui ressemble.

À ce « sommeil mystérieux » de l’homme s’ajoute le rêve de Dieu, un plan tout aussi mystérieux.
Et un Dieu… qui ne l’est pas moins.

Ce Dieu projette pour ses nouvelles créatures que, lui et elle, lui ressemblent : qu’ils reflètent son image.
Qu’en les voyant, lui et elle, on pense à celui qui leur a donné le souffle de vie.

Ce Dieu semble tout ignorer des mathématiques auxquelles nous nous fions, celles où: un et un font deux!
Ce qu’il désire, lui, c’est que… un et une fassent… UN – un couple uni à un point tel que:

« L’homme… sa femme… tous deux ne feront plus qu’un. » 

Le mois dernier, le Pape François visitait la Slovaquie. Aux jeunes venus le rencontrer à Kosice dans l’est de la Slovaquie, le 14 septembre, le Pape a dit:

« Mes amis, ne banalisons pas l’amour, car l’amour n’est pas seulement émotion et sentiment, cela, c’est plutôt le commencement. »
Il ajoutait qu’il faut « aimer pour toute la vie et de tout son être… L’amour est fidélité, don, responsabilité. »
 
Le sommeil de l’homme, le rêve de Dieu…
qu’en est-il de la réalité en ce temps qui est le nôtre?…

 

Note: Une autre réflexion, sur un thème différent, est disponible en anglais à: https://image-i-nations.com/27th-sunday-of-year-b-2021/

 

Source: Images: The Stick Kit