Il y a des textes qui parlent,
oui, des mots qui nous rejoignent
là où ils apportent la lumière attendue…
Un verset de l’évangile de ce 5è dimanche de Pâques
parle à Maxim Brais
et il nous partage sa réflexion.
Il y a des textes qui parlent,
oui, des mots qui nous rejoignent
là où ils apportent la lumière attendue…
Un verset de l’évangile de ce 5è dimanche de Pâques
parle à Maxim Brais
et il nous partage sa réflexion.
Ils sont nombreux parmi nous les adeptes du moteur de recherche Google.
On le consulte pour toutes sortes d’information et on lui demande des références sur de multiple sujets.
Je viens tout juste de lui suggérer le mot ‘prière’ et… en 54 secondes il m’offre 43,900,000 sites – oui, 43 millions 900 mille sites où l’on me parlera de la prière.
La prière a bonne presse sur l’internet, direz-vous!
Et que pourrions-nous en dire nous-mêmes?…
Personnellement, je m’en remets au texte de l’évangile de ce dimanche (Luc 11:1-13).
J’y retrouve Jésus qui répond justement à la question de ses apôtres lui demandant de leur enseigner à prier.
Le texte précise qu’ils avaient observé Jésus en prière.
Jésus en prière… ce devait être quelque chose d’assez… particulier, vraiment inspirant…
J’essaie d’imaginer la scène… je n’y parviens pas vraiment…
Par contre, les mots de sa réponse nous parviennent bien clairement.
Jésus nous révèle LA prière qui devient littéralement le modèle de ce que devait être toute prière.
« Quand vous priez… » dit-il…
« Quand vous priez… » en toutes situations, à tout moment, pour tout besoin…
« Quand vous priez… » où que vous vous trouviez, quoique vous désiriez, quoique vous ressentiez…
« Quand vous priez… » nul besoin de mots recherchés, de formules compliquées…
« Dites : ‘Père’… »
Voilà! Voilà le secret – un secret qui nous est connu depuis longtemps mais que l’on oublie si souvent.
La prière qui dépend, non pas d’abord des mots que l’on utilise, mais de la réalisation de la personne à qui l’on s’adresse.
Et… du souvenir de celui qui nous a enseigné à dire, à balbutier peut-être…
Lui – Jésus – qui prononçait le nom avec un tel accent : ‘Abba’, ‘Père’…
Puis laisser les mots qui suivent s’écouler, tout simplement,
en nous ouvrant à la certitude qui s’en dégage d’être entendu/es, accueilli/es, accepté/es –
au-delà même de ce que nos lèvres ont prononcé, ou notre cœur murmuré…
Note: Une autre réflexion est offerte sur un thème différent en anglais à: https://image-i-nations.com/17th-sunday-of-year-c-2022/
Il est parfois difficile de retrouver l’origine exacte de la journée mondiale consacrée au Scrabble et pourtant, le journal Le Soir (www.lesoir.be) annonçait déjà, dans son édition du 19 octobre 1988, que la 6ème journée mondiale du célèbre jeu de lettres s’était tenue en octobre de cette année là. Le temps passe…
@Cdiscount
Journée mondiale du Scrabble
Le but : trouver le mot le plus long à poser !
Voici les lettres sur votre chevalet : A E F L M I R
Ou encore, sur le site de France Inter, en date du 14 avril 2020 : Le Scrabble – La chronique de Constance
Difficile après tous ces éléments concordants d’affirmer que cette journée n’existe pas !
Nous ne chercherons donc pas à en savoir plus et nous ne bouderons pas notre plaisir. Rendons hommage à ce jeu qui a remué les méninges de nombreuses générations et qui continue à le faire chaque jour. Bon, je vous quitte, j’ai Scrabble !