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Jour du souvenir – 11 novembre

Le 11 novembre 1918, à 11 h le matin, après plus de quatre ans d’horribles combats, les canons du front occidental se sont tus. La Grande Guerre est-elle terminée? En tout cas, l’armistice vient d’être signé entre la France, la Grande-Bretagne ainsi que les États-Unis et l’Allemagne. On impose un cessez-le-feu, c’est la fin des combats en France et en Belgique.

Cet armistice, prévu pour une durée de 36 jours, sera renouvelé. Il reconnaît de facto la défaite de l’Allemagne et la victoire des Alliés, mais il ne s’agit pas d’une capitulation. Ce sera la première étape pour mettre fin à la Première Guerre mondiale.

 

Source: Texte (extraits): https://www.journaldemontreal.com/2023/11/11/    Image: Radio Canada

Journée Mondiale contre l’esclavage des enfants – 16 avril

Parallèlement à la journée de lutte pour l’abolition de l’esclavage (2 décembre) ou la commémoration de l’abolition de l’esclavage en france métropolitaine (le 10 mai), on « célèbre » aussi une Journée de lutte contre l’esclavage des enfants.
Cette journée a été instituée en 1995 après la mort d’un jeune pakistanais de 12 ans qui avait tenté de dénoncer les mauvais traitements subis depuis qu’il avait été vendu pour rembourser une dette familiale. Ce n’est pas une coquille, vous avez bien lu « vendu » !

10 % de la main d’oeuvre potentielle

Les enfants représenteraient plus de 10% du potentiel de la main-d’œuvre mondiale, c’est dire les enjeux. Les enfants esclaves contribuent chaque année pour plus de 13 milliards d’euros au PIB mondial.

Un instrument de guerre commerciale

L’esclavage des enfants est devenu un instrument de la guerre commerciale planétaire qui voit arriver dans nos linéaires habillement, chaussures de sports et autres objects manufacturés.

Certaines grosses entreprises, diffusant des marques connues dans le monde entier, exploitent des jeunes filles et jeunes garçons dans les pays les plus pauvres. Les enfants constituent ainsi le groupe de travail le plus vulnérable et le moins protégé.

Fort heureusement, d’autres entreprises s’engagent aussi dans des combats éthiques pour tenter d’éradiquer ce fléau.

Un site à visiter : www.fides.org    Source: Texte & Image: Journée mondiale

La date du 16 avril a été retenue en l’honneur du pakistanais Iqbal Masih, qui après avoir lui-même échappé à l’esclavage, est devenu, pendant les années 1980-90, un fervent défenseur des droits des enfants, et le visage de la lutte contre l’esclavage moderne.

En 1995, alors qu’il n’avait que 12 ans, Iqbal Masih a été retrouvé assassiné dans des circonstances douteuses.  
 
Depuis, le 16 avril est devenu l’occasion de se pencher sur le sort des quelques 8.5 millions d’enfants esclaves et des 215 millions d’enfants qui travaillent dans le monde.  
 
Joost Kooijmans, conseiller principal d’UNICEF en matière de travail des enfants.

Source: Texte & Image: http://ici.radiocanada.ca (2015)

 

Journée mondiale de la justice sociale – 20 février

S’il est bien une notion aussi peu et mal partagée sur les différents continents, c’est bien celle de la justice sociale. Et quand l’assemblée générale des Nations Unies a proclamé le 20 février, Journée mondiale de la justice sociale, elle a certainement mesuré la distance qui séparait le voeu de certaines réalités…

Elle invite les États Membres à célébrer cette journée mondiale en menant à l’échelon de leur pays des activités concrètes visant à promouvoir les buts et les objectifs proclamés lors du sommet mondial pour le développement social.

Cette journée existe depuis 2009 et doit rappeler à tous que les gouvernements se sont engagés à faire de l’élimination de la pauvreté et du chômage une de leurs priorités. Le renforcement de la justice, la promotion de l’équité, la démocratie, la participation et la transparence sont les axes de travail proposés par l’assemblée.

Mais d’où nous vient-elle ?
Parler de justice sociale nous amène invariablement à nous interroger sur l’origine de cette notion. Habituellement, les historiens nous situent l’émergence de ce combat au début du 20° siècle, à l’époque des premières réactions organisées contre la société industrielle toute puissante et son étalage insolent de richesse côtoyant l’extrême pauvreté de la classe ouvrière.

Les combats menés alors ont permis d’une part une réelle prise de conscience et, pratiquement, des avancées notables dans le droit du travail, au moins dans les pays développés. Les uns y ont vu l’influence directe de la pensée marxiste, les autres ont d’avantage reconnu l’affirmation d’un courant de pensée humaniste en lien avec l’émergence de la doctrine sociale de l’église promue par le Pape Léon XIII.

Il ne nous revient pas d’arbitrer ce débat. L’important ait qu’il ait eu lieu et que la prise de conscience des uns et des autres ait pu faire avancer les choses. Les raisons de se réjouir existent, celles de s’alarmer aussi car, dans de trop nombreux pays, la notion de justice sociale reste un voeu pieu et n’entre pas en compte dans les réflexions gouvernementales.

Un site à visiter : www.un.org    Source: Texte: Journée Mondiale  Image : ENTRÉE LIBRE, Journal communautaire de Sherbrooke

 

 

L’armistice – 11 novembre

11 nove. Fr.

Chaque année, on célèbre l’armistice – la fin de la ‘Grande Guerre’.

Mais… il y a ce que quelqu’un a nommé nos ‘guéguerres’ – tous ces débats qui deviennent des combats pour surpasser, supplanter, supprimer ces autres qui ne sont pas de notre camp, qui n’appartiennent pas à notre clan.

À quand l’armistice au quotidien?…

 

Voir aussi la vidéo: « Le soldat revenu de la guerre » sur la page ON M’A PARLÉ DE…