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World Day Against Cyber Censorship – 12 March

 

World Day Against Cyber Censorship is an online event held each year on March 12 to draw attention to the ways that governments around the world are deterring and censoring free speech online. The day was first observed on 12 March 2008 at the request of Reporters Without Borders and Amnesty International. A letter written by Jean-François Julliard, Secretary-General of Reporters Without Borders, and Larry Cox, Executive Director of Amnesty International, was sent to the Chief Executive Officers of Google, Yahoo!, Inc., and Microsoft Corporation to request observation of the day. The annual event is symbolized by a logo created by Reporters Without Borders consisting of a computer mouse breaking free from a chain.

Enemies of the Internet list

In conjunction with World Day Against Cyber Censorship, Reporters Without Borders updates its Enemies of the Internet and Countries Under Surveillance lists.

In 2006, Reporters without Borders (Reporters sans frontières, RSF), a Paris-based international non-governmental organization that advocates freedom of the press, started publishing a list of « Enemies of the Internet ». The organization classifies a country as an enemy of the internet because « all of these countries mark themselves out not just for their capacity to censor news and information online but also for their almost systematic repression of Internet users. » In 2007 a second list of countries « Under Surveillance » (originally « Under Watch ») was added.

 

Source: Text: https://en.wikipedia.org/wiki/World_Day_Against_Cyber_Censorship    Image: Wikimedia Commons

Journée Mondiale de la Météorologie – 23 mars

La journée internationale de la météorologie commémore l’entrée en vigueur, le 23 mars 1950, de la Convention qui a institué l’Organisation Météorologique Mondiale (OMM). Cette organisation a contribué au progrès rapide des sciences météo-climatiques, des technologies connexes et de la coopération internationale. Cette évolution s’est vite traduite par la mise en place de systèmes opérationnels d’envergure mondiale pour la protection des personnes et des biens et l’atténuation des effets des catastrophes naturelles, ainsi que par la mise en oeuvre de toute une série d’activités socio-économiques menées au profit d’un développement durable défini co mme le développement qui satisfait les besoins du présent sans compromettre la capacité des générations futures de satisfaire les leurs.

Une météo pas bien folichonne…
Aujourd’hui, plus que jamais, on s’aperçoit que l’économie mondiale est de plus en plus sensible au temps et au climat. Toutes les activités humaines sont soumises à l’influence du temps, du climat et de l’eau, et un nombre croissant de ces activités dispose d’une marge de manoeuvre de plus en plus réduite pour faire face aux risques.

En 2000, l’Organisation des Nations Unies a affiné et recentré sa stratégie en faveur d’un développement plus respectueux de l’environnement en incitant ses membres à réduire de moitié le pourcentage de la population qui n’a pas accès de façon durable à un approvisionnement en eau potable, mais aussi en favorisant la résolution des problèmes de vulnérabilité aux risques climatiques, en favorisant la prévention et en améliorant la qualité des interventions en cas de catastrophes. Ces objectifs ont été développés dans le Plan de mise en oeuvre du Sommet mondial pour le développement durable (Johannesburg 2002).

Les progrès accomplis en ce qui concerne l’observation à distance à l’aide de radars, de satellites et autres moyens de surveillance, le traitement des données et les communications ont permis de renforcer considérablement la compréhension scientifique des processus physiques qui se produisent dans l’atmosphère et les océans ainsi que leurs interactions avec les autres composantes du système terrestre.

Ces progrès ont débouché sur une amélioration sans précédent de la qualité et de l’exactitude des prévisions et des alertes météorologiques. Il est désormais possible d’établir des prévisions météorologiques déterministes sept à dix jours à l’avance dans les régions extra tropicales et trois à quatre jours à l’avance dans les régions tropicales.

La météo façon livre des records
La moyenne annuelle des précipitations la plus faible du monde a été enregistrée à Arica (Chili). Au cours des 59 dernières années, la moyenne annuelle n’a atteint que 0,8 mm.

La moyenne annuelle des précipitations la plus élevée du monde a été enregistrée à Lloro (Colombie). Au cours des 29 dernières années, la moyenne annuelle a atteint 13 230 mm.

La température la plus élevée du monde (58 °C) a été enregistrée à El Azizia (Libye), le 13 septembre 1922.

La température la plus basse du monde (-89.4°C) a été enregistrée à Vostok (Antarctique), le 21 juillet 1983.

Le grêlon le plus gros (environ 45 cm de circonférence, plus de 14 cm de diamètre) a été ramassé et mesuré à Coffeyville, dans le Kansas, aux États-Unis, le 3 septembre 1970. Il pesait 755 grammes. Le plus souvent, le diamètre des grêlons est inférieur à 5 cm.

La chute de neige la plus importante du monde a eu lieu à Silver Lake, dans le Colorado, aux États-Unis, le 15 avril 1921. Un manteau de 190 cm d’épaisseur s’est formé en moins de 24 heures.

Le flocon de neige le plus gros (il mesurait 20,3 cm sur 30,4 cm) du monde est tombé à Bratsk, en Sibérie, en 1971.

Entre 1992 et 2001, les catastrophes naturelles liées au temps et au climat ont tué environ 622 000 personnes, affecté la vie de plus de deux milliards d’individus, laissé derrière elles des millions de personnes sans-abri, dévasté des terres arables et contribué à la propagation des maladies.

Certaines études ont démontré que le nombre des catastrophes naturelles liées au climat a été multiplié par trois au cours de ces trente dernières années.

Un site à visiter : www.wmo.int    Source: Texte, résumé:  http://www.journee-mondiale.com  Image: https://wmo.int/topics/weather