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Journée mondiale de prévention de la noyade – 25 juillet

Journée mondiale de prévention de la noyade Il s’agit d’une journée mondiale très officielle, proclamée par l’ONU en vertu de la résolution A/RES/75/273 intitulée « Prévention mondiale de la noyade », adoptée par l’Assemblée générale des Nations Unies en avril 2021.
Elle est, depuis cette date, célébrée le 25 juillet de chaque année.

Eviter la noyade / sauver des vies

Le but de la journée mondiale de prévention de la noyade est de sensibiliser le grand public aux conséquences tragiques de la noyade pour les familles et les communautés et de proposer des solutions pour les éviter.

On estime que 236 000 personnes se noient chaque année dans le monde. La noyade fait partie des dix principales causes de décès chez les enfants et les jeunes âgés de moins de 20 ans. Rien qu’en France, les noyades sont responsables de près de 500 décès accidentels chaque été, mais ce sont les zones rurales des pays aux plus faibles revenus qui sont le plus touchées par le phénomène. Une donnée à méditer.

Apprendre à nager…

Le statistiques officielles sont cruelles et nous apprennent qu’un français sur 7 ne sait pas nager (chiffres 2017). Et les choses ne vont pas en s’améliorant si on se réfère aux données les plus récentes. 

Un site à visiter : www.who.int        Source: Texte & Image: Journée Mondiale 

Plus de 90 % des décès par noyade surviennent dans les cours d’eau, les lacs, les puits et les réservoirs d’eau domestiques dans les pays à revenu faible ou intermédiaire, et les enfants et les adolescents des zones rurales sont touchés de manière disproportionnée.

Les déplacements sur l’eau

Les trajets quotidiens et les voyages effectués par les migrants ou les demandeurs d’asile se déroulent souvent sur des navires bondés, peu sûrs, sans équipement de sécurité, ou sont confiés à du personnel non formé pour faire face à des accidents de transport ou de navigation. Le personnel sous l’emprise de l’alcool ou de la drogue représente aussi un risque.

Autres facteurs de risque

Les facteurs suivants sont également associés à un risque accru de noyade :

  • un faible statut socio-économique, l’appartenance à une minorité ethnique, un faible niveau d’instruction et le fait de vivre en milieu rural sont des facteurs qui tendent à être associés, même si ce lien peut varier d’un pays à l’autre ;
  • le fait de laisser des nourrissons sans surveillance ou seuls avec un autre enfant à proximité d’un point d’eau ;
  • la consommation d’alcool à proximité de l’eau ou dans l’eau ;
  • des affections médicales, par exemple l’épilepsie ; et
  • l’ignorance des touristes qui ne connaissent pas les risques et particularités des milieux aquatiques locaux.
Source: Texte: https://www.who.int/fr/campaigns/world-drowning-prevention-day

Journée internationale de l’épilepsie – 13 février 2023-2024

L’épilepsie reste une maladie encore mal connue. C’est pourquoi, malades et médecins ont décidé de sortir l’épilepsie de l’ombre en organisant, depuis l’an 2000 une Journée nationale dédiée à l’épilepsie. La Journée Internationale de l’Epilepsie se déroule, depuis 2015, le 2ème lundi de février, et ce dans plus de 120 pays. La plupart d’entre nous confondent l’épilepsie avec sa manifestation la plus spectaculaire, la crise tonico-clonique ou généralisée; et seulement 20 % savent qu’elle traduit un dysfonctionnement du cerveau.

Il n’y a pas une mais des épilepsies…

L’épilepsie est une maladie neurologique. Elle est l’expression d’un fonctionnement anormal de l’activité du cerveau. Les influx naviguent depuis le corps de la cellule nerveuse via le nerf jusqu’au muscle à activer. Ils peuvent être assimilés à une activité électrique, qui est anormale chez les sujets épileptiques. Cet influx électrique excessif et anormal gagne toutes les cellules nerveuses de proche en proche et provoque la crise d’épilepsie. Cependant compte-tenu des diverses formes de ces crises et de leur évolution, il n’existe pas une mais des épilepsies.

Apprendre les bons gestes

Un des buts de cette journée est d’informer tout un chacun sur les bons gestes devant une personne en crise; en particulier il est inutile de mettre un objet dans la bouche, ni de l’empêcher de se débattre. La meilleure attitude est de la placer en position latérale de sécurité et de la protéger des regards curieux ou effrayés.

Un traitement efficace

Les épileptologues (médecins neurologues spécialistes de l’épilepsie) se réjouissent de la panoplie de médicaments désormais à la disposition des malades. Une vingtaine de molécules actives ont été mises au point, qui agissent sur les différents types d’épilepsie. Aujourd’hui, 70 % des cas d’épilepsie peuvent être soignés avec succès. Après 2 à 5 ans sans nouvelle crise, environ 70 % des enfants et 60 % des adultes pourront suspendre, sous contrôle médical, le traitement sans risque de rechute.

Un thème pour 2023

« Épilepsie, lavons les préjugés« 
pour mieux faire disparaitre les idées fausses sur l’épilepsie et ses différentes manifestations, 
pour combattre la méconnaissance et les préjugés autour de l’épilepsie. 

 

Note de l’éditrice du site: Pas de thème disponible pour 2024…

 

Source: Texte & Image: Journée mondiale

Journée internationale de l’épilepsie – 14 février 2022

Journée internationale de l'épilepsie

L’épilepsie reste une maladie encore mal connue. C’est pourquoi, malades et médecins ont décidé de sortir l’épilepsie de l’ombre en organisant, depuis l’an 2000 une Journée nationale dédiée à l’épilepsie. La Journée Internationale de l’Epilepsie se déroule, depuis 2015, le 2ème lundi de février, et ce dans plus de 120 pays.

La plupart d’entre nous confondent l’épilepsie avec sa manifestation la plus spectaculaire, la crise tonico-clonique ou généralisée ; et seulement 20 % savent qu’elle traduit un dysfonctionnement du cerveau.

Il n’y a pas une mais des épilepsies…

L’épilepsie est une maladie neurologique. Elle est l’expression d’un fonctionnement anormal de l’activité du cerveau. Les influx naviguent depuis le corps de la cellule nerveuse via le nerf jusqu’au muscle à activer. Ils peuvent être assimilés à une activité électrique, qui est anormale chez les sujets épileptiques. Cet influx électrique excessif et anormal gagne toutes les cellules nerveuses de proche en proche et provoque la crise d’épilepsie. Cependant compte-tenu des diverses formes de ces crises et de leur évolution, il n’existe pas une mais des épilepsies.

Apprendre les bons gestes

Un des buts de cette journée est d’informer tout un chacun sur les bons gestes devant une personne en crise ; en particulier il est inutile de mettre un objet dans la bouche, ni de l’empêcher de se débattre. La meilleure attitude est de la placer en position latérale de sécurité et de la protéger des regards curieux ou effrayés.

Un traitement efficace

Les épileptologues (médecins neurologues spécialistes de l’épilepsie) se réjouissent de la panoplie de médicaments désormais à la disposition des malades. Une vingtaine de molécules actives ont été mises au point, qui agissent sur les différents types d’épilepsie. Aujourd’hui, 70 % des cas d’épilepsie peuvent être soignés avec succès. Après 2 à 5 ans sans nouvelle crise, environ 70 % des enfants et 60 % des adultes pourront suspendre, sous contrôle médical, le traitement sans risque de rechute.

Un thème pour 2022

« L’épilepsie, parlons-en !« 
pour mieux faire connaître l’épilepsie et ses différentes manifestations
pour combattre la méconnaissance et les préjugés autour de l’épilepsie. 
 

Un site à visiter : www.epilepsie-france.com   Source: Texte & Image: Journée Mondiale

Journée internationale de l’épilepsie – 8 février

La journée « européenne » de l’épilepsie est devenue « internationale » en 2015. Elle est traditionnellement célébrée le 2ème lundi de février. Son but est de promouvoir les droits des malades épileptiques dans le monde entier.

Un site à visiter : www.lfce.fr

Source: Texte: Journée Mondiale  

L’épilepsie touche sept Français sur 1 000 mais mais fait toujours l’objet d’a priori et de fausses idées. L’épilepsie reste encore trop souvent associée à sa manifestation la plus spectaculaire : la crise de « grand mal» marquée par des spasmes brutaux. En réalité, ses symptômes varient selon la zone du cerveau touchée par l’hyperactivité des neurones.

Les différentes formes d’épilepsie ont une cause commune : une décharge anormale et simultanée de nombreux neurones. Des traitements antiépileptiques bloquent les altérations de la transmission entre les synapses (connexions entre les neurones). Mais au quotidien, le patient doit éviter tout élément susceptible de déclencher une crise…

« Les épilepsies nocturnes existent, et une simple privation de sommeil peut déclencher des crises à répétition. L’alcool est également un déclencheur, tout comme les drogues… » Ces recommandations s’appliquent à tous les patients. D’autres formes plus rares demandent des précautions supplémentaires.

Source: Texte & Image:  ?Dr pourquoi docteur?