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Good Friday, Year C – 2019

When things get mixed up… there is chaos, confusion, people get… lost.
This was what we were up to and our condition was rather… desperate – we needed help.

Someone came – Someone with a capital S…
But… things got mixed up for him as well.
He had come as a servant but they made him a king! 
A case of… ‘mistaken identity’?
Pilate stood his ground: “What is written is written” (Jn.19:22).

Worse still: He was the Word,
but the religious leaders of his people used the word of God – their Torah – to condemn him!
They had tried more than once:
“The Law of Moses commanded us, what do you say?” (Jn.8:5)

Finally they had come up with: 
“You don’t seem to have grasped the situation at all!
You do not realize that it is better for you that one man die for the people
than that the whole nation perish.” (Jn.11:50)

And the text goes on:
“He did not speak in his own person, it was as high priest that he made this prophecy.”
They were afraid to lose to the Romans their ‘’Holy Place’ so… they were ready to kill the Holy One…
And they did, they obtained from the Roman procurator what he did not really want to grant them:
the condemnation of an innocent…

Today, as we look at the Crucified one, we remember his Seven Last Words.
For many years, Christians have meditated on them.
But… do we remember with the same faithfulness all the other words he spoke during his life on this earth?

Do we recall especially the ONE word he left us as his testament?
“Love one another as I have loved you.” (Jn.13:35)

It is perhaps more challenging, more demanding, more directly addressed to each one of us
than the seven others we have chosen to list and remember with devotion?…

 

Note: Another reflection is available on a different theme in French at: https://image-i-nations.com/vendredi-saint-annee-c-2019/

 

Source: Images: wikipedia   ecosia.org   youchepcatholic.org
 

Pâque juive, Pessah 2018

Vendredi 30 mars 2018 au coucher du soleil commence Pessah, ou la Pâque juive. Le premier véritable jour de fête sera donc le jour suivant, le samedi 31 mars 2018. Les festivités prendront fin au soir du samedi 7 avril 2018.

Les rites associés à Pessah :
– L’interdiction de manger toute nourriture contenant de la levure (’Hametz) pendant la fête (on ne mange pas de pain, pâtes…)
– Le commandement de manger des matzot, c’est à dire du pain n’ayant pas levé (azyme)
– Le récit de la sortie d’Égypte et l’évocation des miracles qui s’y sont déroulés (Haggada)

Le Séder est le repas rituel pris les deux premiers soirs de la fête juive de Pâque (seulement le premier soir en Israël). Au cours de ce dîner, on lit la Haggada qui retrace l’histoire de l’Exode des Hébreux hors d’Égypte où ils étaient réduits en esclavage, d’après la tradition biblique.
Le Séder répond au commandement religieux que tous les Israélites doivent rappeler et transmettre dans leurs familles le souvenir de la libération divine.

La composition du Séder
Les Juifs utilisent un plateau spécifique à l’occasion du Séder ; celui-ci doit comporter les sept éléments suivants :
– Trois Matsoth, du pain azyme, disposées l’une au-dessus de l’autre, chacune couverte séparément ;
– du Karpass, des herbes vertes (céleri, persil, radis…) ;
– de l’eau salée pour rappeler le goût des larmes des enfants d’Israël pendant leur esclavage ;
– du Maror, des herbes amères, pour rappeler l’amertume de la vie en Égypte (romaine, laitue, endives, raifort…) ;
– de la ’Harosset, un mélange fait à base de pommes, noix et cannelle dans du vin, symbole du mortier utilisé par les esclaves hébreux pour la fabrication des briques ;
– Zeroa : un os avec un peu de viande, grillé sur des braises pour rappeler le sacrifice de l’agneau Pascal à l’époque du Temple de Jérusalem ;
– Beytsa : un œuf dur, en souvenir de la destruction du Temple de Jérusalem.

Tout au long du récit de l’Exode, ces aliments sont utilisés comme symboles pour rappeler différents aspects de l’histoire rapportée par la Torah. Quatre coupes de vin (ou jus de raisin) sont bues par chaque convive à des moments spécifiques du Séder.

Un dîner est également servi pendant le Séder. On dresse la table la plus belle possible, en signe de liberté. A chaque origine un plat différent : les juifs ashkénazes mangent de la carpe à la juive, une soupe chaude contenant des boulettes de farine de matsa : « les kneidlers » ; les juifs tunisiens se régalent avec le « msoki », sorte de ragoût de légumes, et le « fadd » d’agneau ; chez les Algérois, on sert un mets semblable, la « sqiya », plat de légumes et viande et matsot brisées…

Source: Texte: www.evous.fr/Pessah-ou-la-Paque juive/  Images: Lamed.fr  Askideas.com