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De belles histoires… on ose à peine y croire…

Qui n’aime pas les histoires et les contes?
Les enfants les adorent, les adultes les inventent!
On aime tous entendre les mots magiques : « Il était une fois… »

 

« Il était une fois… »
Des contes de fée…
Des fables fantastiques…
Des récits d’aventure…

Il y a même des épisodes intitulés : « il était une fois… la vie. »
Et moi je dis : « Il était une fois… MA vie… avec… »

Ses secrets, ses succès, ses excès…
Ses questions, ses suggestions, ses tentations…
Ses ambitions, ses aspirations, ses dévotions…
Ses sentiments, ses pressentiments, ses assentiments…
Ses effrois, ses joies, ses émois…
Ses quêtes, ses requêtes, ses enquêtes…
Ses peurs, ses ardeurs, ses petits et grands bonheurs…
Ses attentes et ses ententes…
Ses déboires, ses espoirs, ses ‘Aurevoirs’…

Innocence… Patience… Silence…

Mon Dieu! Une vie humaine, est-ce tout cela?
Tout cela et… tellement plus encore!…

Se pourrait-il alors que chaque situation, chaque sensation, devienne à son tour le chapitre d’une histoire sainte où chaque moment façonne l’image de la personne que Dieu anticipe de voir paraître devant lui?…

Et… si ce n’était pas un conte ?!

 

Source: Image: Unsplash

                                  

1er dimanche du Carême, année A – 2023

Imaginons, pour un moment, un producteur de théâtre prêt réaliser une œuvre originale.
Il a décidé d’y introduire 4 acteurs qui apparaîtront dans 3 scènes et dont le sujet présentera un seul thème.

Cette ‘œuvre originale’ remonte, en fait, à… l’aube des temps et elle nous ramène… au Jardin d’Éden.
Nous nous retrouvons précisément à la description que nous offre la 1ère lecture de ce dimanche (Genèse 2:7-9; 3:1-7).

 

 

 

 

 

Et… ‘Le titre’? demandez-vous?
Mais c’est, évidemment, ‘La condition humaine’!

Ne vivons-nous pas dans un jardin splendide où la nature regorge de beautés de toutes sortes?
Cette 1ère scène est celle du tableau des multiples créatures, toutes plus originales les unes que les autres, qui révèlent la grandeur de celui qui les a façonnées et leur a donné l’existence.

Et nous, les humains, faisons partie de cette création riche et variée dont Dieu – car c’est bien l’acteur principal – peut se réjouir.
Son souffle nous a donné la vie et il nous a partagé quelque chose de lui-même.
Il nous a doté d’une intelligence capable de connaître et de comprendre.

Hommes et femmes, nous sommes les acteurs de la 2è scène, jouissant de la beauté et de l’harmonie des merveilles de ce jardin unique.

Et la 3è scène, elle, met en place un acteur qui vient tout chambouler, déranger, bouleverser.
Son icône est celle du serpent, son caractère connu est celui de ‘père du mensonge’ (Jean 8:14).
Astucieux, rusé et trompeur, il propose et promet ce qu’il ne peut donner.

La ‘pomme’ mythique a pu être… une mangue, une goyave, ou une poire – peu importe.
Elle est l’outil que le Tentateur a utilisé pour abuser les humains.

Et il continue de le faire – de tenter de le faire – avec des outils plus sophistiqués, peut-être, et non moins néfastes.
N’est-il pas vrai que, tout comme, Ève nous sommes souvent fasciné/es et fortement attiré/es par tout ce qui est ‘désirable’?
et c’est compréhensible.

Tout comme elle, nous désirons – à tout prix – ‘la connaissance’, rien de mal à cela.
NON, Dieu n’est PAS contre la science – c’est lui qui par de nombreux messagers – nous en révèle les secrets au fil des décennies de notre histoire.
Alors, pourquoi, pourquoi en sommes-nous à faire l’expérience négative des premiers humains devenus la proie de la désillusion et de l’amertume?

N’est-ce pas parce que la connaissance que nous recherchons devient souvent mé-connaissance?
Nous voulons nous soustraire à la ligne de conduite que Dieu nous donne, lui qui veut notre bonheur.

Nous pensons savoir mieux que Dieu ce qui nous convient et ce qui nous satisfera pleinement.
Nous suivons la voie de la discrimination, de la cruauté, de l’égoïsme sous toutes ses formes.
À notre tour, nous faisons usage du mensonge, de la tromperie, de la déception pour manipuler les autres.
Et nous méconnaissons – si souvent et de tant de manières – celui à qui nous devons tout.

Au début de cette période de Carême, demandons la connaissance, la vraie, celle que l’Esprit d’intelligence –
l’Esprit même de Dieu – désire nous accorder…
Oui, depuis l’aube des temps!

 

Note: Une autre réflexion, sur un thème différent, est disponible en anglais à: https://image-i-nations.com/1st-sunday-of-lent-year-a-2023/

 

Source: Images:  JW.org    TwistedSifter

Nouvel An chinois – 22 janvier 2023

Le Nouvel An chinois 2023 se fêtera le 22 janvier 2023. Selon l’astrologie chinoise, l’année 2023 sera l’année du Lapin , qui débutera le dimanche 22 janvier 2023 et touchera sa fin le vendredi 9 février 2024.

En Chine, le Nouvel An chinois 农历新年 (NongliXinnian), ou Nouvel An lunaire, est la célébration principale et la meilleure occasion de se rencontrer avec les familles. Outre la Chine, de nombreux pays et régions du monde célèbrent également la Fête du Printemps à travers diverses activités.

Selon l’astrologie chinoise, 2023 est l’année du Lapin d’eau.

L’astrologie chinoise, ou shengxiao (en chinois), correspond à un cycle de douze année, chaque année étant représentée par un animal et un élément. Dans l’ordre, les douze signes astros chinois sont : Rat, Buffle, Tigre, Lapin, Dragon, Serpent, Cheval, Chèvre, Singe, Coq, Chien, Cochon. Les 5 éléments sont : Bois, Feu, Terre, Métal, Eau. L’astrologie chinoise affirme que la personnalité et la chance sont déterminées à la fois par le signe du zodiaque (élément) et par l’élément du cycle de 12 ans.

Chaque rue, chaque bâtiment et chaque demeure où l’on célèbre le festival du printemps sont décorés de rouge, couleur omniprésente de ce festival et qui symbolise le Bonheur et la chance. Dans les rues, on aperçoit les lanternes chinoises (toujours de couleur rouge) suspendues partout.

 

Source: Texte (abrégé): https://www.voyageschine.com/fete-chinois/le-nouvel-an-chinois/   Images: Pinterest    Freepik

18è dimanche de l’année C, 2022

Une personne qui possède tout ce qu’on peut désirer et qui n’est satisfaite de rien –
c’est le portrait qui nous est donné dans la 1ère lecture de ce dimanche (Qohélet 1:2; 2:21-23).
Désillusion, découragement, ce qu’on nomme communément ‘la déprime’ quoi!

Rien qui donne la satisfaction anticipée.
Rien qui agisse comme un baume aux blessures quotidiennes.
Rien qui ne dissipe la tristesse lancinante.
Rien qui apporte le bonheur espéré.
RIEN qui vaille – VANITÉ!

Ce mot ne désigne pas la suffisance ou l’orgueil mais plutôt la futilité, l’absence de sens au quotidien.
Le diagnostic est sérieux… et la condition qu’il décrit l’est aussi…

Et il semble que, malheureusement, cette situation soit celle de bien des gens autour de nous.
Certain/es jouissent – non, possèdent – tout ce que l’argent peut procurer mais…
leur malaise persiste…
C’est que justement ce dont ils/elles ont vraiment besoin ne s’obtient pas avec les devises les plus en valeur sur le marché mondial.

D’une telle personne, Qohélet, le sage affirme:
« Même la nuit, son cœur n’a pas de repos. »
 
Le texte de l’évangile nous donne le message de Jésus lui-même qui rappelle à ses auditeurs,
et à nous également:
« La vie de quelqu’un, même dans l’abondance, ne dépend pas de ce qu’il possède. »

La vie, la vraie, celle qui est riche non de possession mais de signification,
c’est celle que lui-même nous offre, la vie en abondance (Jean 10:10).
Cette vie qui nous permet d’être, dans les mots de Jésus: « riche en vue de Dieu » (Luc 12:13-21).

Être riche… à la manière de Dieu!
Richesse de partage et de compassion.
Richesse de sympathie et de compréhension.
Richesse d’attention aux autres et de disponibilité pour leur venir en aide.

Cette richesse ne s’évalue pas en termes monétaires, elle ne se perd pas, elle ne s’épuise pas…
mais elle est si précieuse que… seul Dieu en connaît vraiment la valeur!
 

Note: Une autre réflexion est offerte sur un thème semblable mais présenté différemment en anglais à: https://image-i-nations.com/18th-sunday-of-year-c-2022/

 

Source: Images: iStock  L’Évangile de Dieu

 

Journée mondiale de la poupée – 10 juin 2023

Journée mondiale de la poupée

Cette journée est connue aux Etats-Unis sous le nom de World Doll Day et a été lancée en 1986 par une collectionneuse américaine, Mildred Seeley. Elle voulait à l’époqque lancer un message de bonheur et d’amour !

La première édition s’est tenue un 14 juin, mais la date de la journée est variable et tombe en principe sur le deuxième samedi de juin. En 2023, c’est donc le 10 juin.

Une collectionneuse remarquable

Mildred Seeley était auteure de nombreuses publications sur les poupées et les collections de poupées anciennes.

Cette dame, née en 1918, est décédée le 10 décembre 2001. Sa collection a été vendue en 2002 et a battu le record de l’époque pour une vente de poupées (1,8 million $ pour la collection, et 215000 $ pour une seule poupée).

Un site à visiter : worlddollday.com       Source: Texte & Image: Journée Mondiale

Journée Mondiale du coloriage – 6 mai 2023

Journée Mondiale du coloriage

« […] Sous les huées des enfants prodiges
Avec des craies de toutes les couleurs
Sur le tableau noir du malheur
Il dessine le visage du bonheur
. »

                                    Jacques Prévert

Quelle belle journée que celle du coloriage, non pas qu’elle soit forcément « utile » (au sens du mot dans le jargon de l’économie) mais au moins elle met de la couleur dans nos vies. Et c’est n’est pas le Cancre de Jacques Prévert qui nous démentira !

Un thème par an

Cette journée existe depuis quelques temps déjà (depuis 2008) et, chaque année, un thème lui est atribué. En 2017, le thème retenu était « De petites têtes, de grandes idées« . Quelques années avant, en 2013, il s’agissait de colorier la protection de l’environnement. Les années précédentes avaint été illustrées de thèmes aussi différents que la gastronomie (en 2012), les arbres et les animaux de la forêt (en 2011), et même la fratrie ou encore l’astronomie un peu plus tôt.

Le thème retenu pour la journée en 2022 est « Découvre la nature – dans l’air« 

(Le thème retenu pour la journée de 2023 n’est pas encore publié (à la date du 29 mars 2023)

A vos crayons…

Plus d’une vingtaine de pays participent à l’événement, répartis sur tous les continents. Espérons que ce nombre ira en augmentant chaque année !

Un site à visiter : www.coloriage.info    Source: Texte & Image: Journée Mondiale

Journée internationale du bonheur – 20 mars

Prenez un jour « normal », sans guerre, sans catastrophe, sans aucun viol, sans fermeture d’usine, sans expulsion… ç’est bon, vous l’avez trouvé ? il ne vous reste plus qu’à créer la journée internationale du bonheur.

Présenté comme cela, c’est presque drôle. Ce qui l’est moins, c’est que cette journée existe bel et bien et qu’elle a été décrétée par l’ONU à l’unanimité des pays membres. Mieux, ni la Russie ni la Chine n’ont exercé leur droit de veto.

Une journée alibi ?

La résolution de l’assemblée générale de l’ONU est explicite, elle invite chaque état-membre à célébrer cette Journée comme il se doit, notamment dans le cadre d’initiatives éducatives et d’activités de sensibilisation.

Pour faire bonne mesure l’auguste assemblée associe à cette démarche les différents organismes des Nations Unies, toutes les organisations internationales et régionales ainsi que la société civile.

Un objectif fondamental de l’être humain

On aurait pu aussi parler de journée gadget… mais c’est loin d’être le cas et la déclaration du Secrétaire Général des Nations Unies est explicite: 

Le monde a besoin d’un nouveau paradigme économique qui reconnaît la parité entre les trois piliers du développement durable. Les bien-être social, économique et environnemental sont indissociables. Ensemble, ils définissent le bonheur brut mondial.

La journée mondiale du bonheur est bien dans l’air du temps et de la recherche d’un « mieux vivre ». Les économistes cherchent aujourd’hui à élaborer de nouveaux outils de mesures pour mieux prendre en compte l’importance du bonheur pour le développement afin d’orienter les politiques nationales.

Se lever de bonheur…

On en arrive ainsi au véritable but de cette journée : la prise de conscience par les gouvernements que la seule croissance économique ne suffit plus à assurer le « bonheur » d’un pays et qu’un développement plus équitable, équilibré et durable permettrait de mieux éliminer la pauvreté et assurer le bien-être de tous les peuples.

Un site à visiter : www.un.org      Source: Texte: Journée Mondiale   Images: abenchaalors.fr   thepressfree.fr

6è dimanche de l’année C – 2022

Dieu travaille à la racine…
C’est ce qui m’est venu à l’esprit en voyant – par hasard – cette image.

Et la 1ère lecture de ce dimanche le confirme (Jérémie 17:5-8):

« Béni soit l’homme qui met sa foi dans le Seigneur…
Il sera comme un arbre, planté près des eaux,
qui pousse, vers le courant, ses racines…
L’année de la sécheresse, il est sans inquiétude. »

Oui, Dieu travaille en profondeur – c’est là qu’il nous rejoint,
là où nous sommes vraiment nous-mêmes.
Et c’est précisément là que nous devons le retrouver.

C’est une tentation constante que de nous laisser attirer par les apparences, le superficiel.
On est souvent fasciné par ce qui semble intéressant, enrichissant, satisfaisant.

Les promesses abondent d’un bonheur à portée de la main, mais…
Ce bonheur est trop souvent non seulement facile mais… factice.
Il est trompeur et n’arrive pas à assouvir notre soif… en profondeur.

Dans un décor moins exotique, on fait parfois l’expérience du voyageur dans le désert face à ce qu’il croit être…
une oasis mais qui n’est, en fait, qu’un… mirage.

L’aridité de la vie quotidienne nous pousse souvent à chercher justement une oasis –
quelque chose de moins difficile, moins contraignant, moins exigeant que ce à quoi nous devons faire face.
Qui d’entre nous n’est pas à la poursuite du bonheur avec un B majuscule?…

L’Homme de Nazareth, ‘le Maître’, nous a enseigné où le trouver sans faire fausse route…
(évangile de ce dimanche: Luc 6 :17,20-26).

 

Note: Une autre réflexion, sur un thème différent, est disponible en anglais à: https://image-i-nations.com/6th-sunday-of-year-c-2022/

 

Source: Images: emcitv.com   PxHere

3è dimanche de l’année C – 2022

La 1ère lecture de ce dimanche nous donne une description imagée d’une célébration liturgique chez les Israelites, le peuple que Dieu a choisi (Néhémie 8:2-6,8-10).
Revenus dans leur pays après l’exil, ceux-ci peuvent désormais continuer d’honorer Dieu selon les prescriptions que, bien des siècles auparavant, Moïse leur a léguées.

De ce long texte, une phrase m’a frappée:
« Esdras lisait un passage dans le livre de la loi de Dieu,
puis les Lévites traduisaient, donnaient le sens, et l’on pouvait comprendre. »

Il y a bien longtemps j’ai lu un texte d’un auteur de livres de spiritualité.
L’une de ses paroles est demeurée avec moi jusqu’à ce jour.
Il s’exprimait en des termes semblables à ceux-ci:

« Plus que la nourriture et le breuvage,
plus que la détente et le repos,
plus que quoi que ce soit que l’on juge essentiel pour l’être humain,
ce qu’il lui faut absolument c’est de découvrir un sens à son existence. »

Si vous considérez ce que ce texte affirme, j’ose croire que vous serez bien vite convaincu/es. 
Et peut-être une question surgira-t-elle à votre esprit vous interpelant et vous incitant à vous demander:
‘Ai-je découvert un sens à MA vie sur cette planète?…’

Il en va de notre équilibre et de notre bonheur au quotidien – rien de moins!
Le taux de suicides chez les gens qui, selon l’expression courante ‘ont tout pour être heureux’, en est la preuve évidente.

Si l’on manque cet élément essentiel: la signification de l’existence sur cette planète,
alors, pourquoi se lever chaque matin, vaquer aux occupations du quotidien, s’abandonner au repos et… recommencer le lendemain?

La parole de Dieu nous livre ce secret.
Le message de Dieu qui nous rejoint personnellement nous révèle le pourquoi de notre être, la raison de notre existence.

Et alors, une joie indicible peut devenir nôtre –celle-là dont le sage disait:
« La joie du Seigneur est votre rempart ! »
 
Un rempart… symbole de protection et de sécurité…
Une sécurité qui procure la sérénité à travers tout…
 

Note: Une autre réflexion, sur un thème différent, est disponible en anglais à: https://image-i-nations.com/3rd-sunday-of-year-c-2022/

 

Source: Images: Redeedming God   unsplash.com

Le Pape François visite la Slovaquie – 13-15 septembre 2021

On peut dire du Pape François qu’il est un pèlerin sur les chemin de notre monde du 21è siècle. Il se dirige particulièrement vers les périphéries, comme il les nomme, vers les zones d’exclusion.

Il en est à son 34è voyage apostolique qui l’amène, cette fois, en Slovaquie. À chaque groupe, à chacun et chacune, il adresse un message qui les rejoint dans leur situation existentielle.

Un groupe de 20,000 jeunes sont venus le rencontrer à Kosice, dans l’est de la Slovaquie, où ils se sont réunis dans le stade de Lokomotiva.

À son arrivée, le pape a fait plusieurs tours de papamobile dans le stade après quoi il a parlé aux jeunes leur disant de ne pas entrer dans « la logique du jetable ».

Il continue de les interpeler avec ces paroles: « La vraie originalité aujourd’hui, la vraie révolution, c’est de se révolter contre la culture du provisoire. C’est aller au-delà de l’instinct et au-delà de l’instant, c’est aimer pour toute la vie et de tout notre être. »

Et le pape ajoute avec conviction: « N’écoutez pas ceux qui vous parlent de rêves et, au contraire, vendent des illusions: ce sont des manipulateurs de bonheur. »

Des paroles percutantes, un message pertinent, et non seulement pour les jeunes de Slovaquie!…

Source: Image: AP