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Psalm Sunday, Year A – 2020

“Who is this man?”
The question is old…
In fact, it is over 2000 years old…

It comes at the last verse of this Palm Sunday gospel text (Mt.21:1-11).
People acclaim Jesus entering Jerusalem on a donkey –
they throw branches on the ground, they wave palms and they shout praises with joy.
But, some are puzzled and voice THE question:
“Who is this man?”
 
After the calming of the storm, the apostles were asking precisely this:
“Who is this? Even the wind and the waves obey him!” (Mk.4:41)

They had heard people discussing among themselves saying:
« Some say John the Baptist; others say Elijah; and still others, one of the prophets. » (Mk.8:28)

The leaders of the Jews had asked him directly:
“Who are you?” (Jn.8:25)

Herod wanted to see him to make up his mind:
“Who is this I hear such things about?” (Lk.9:9)

Pilate wanted to know what Jesus had to say for himself:
« Are you the king of the Jews? » (Jn.18:33)

Years of exegetical research, centuries of theological reflection, a long list of Councils
have pondered over the very same question about… the Man-God, God-become-man…
Philosophers, historians, scientists, artists, believers and unbelievers alike,
all have asked… and they are still asking…

The question remains – now addressed to each one of us personally:
“Who is this man”… for me?

 

Note: Another reflection is available on a different theme in French at: https://image-i-nations.com/dimanche-des-rameaux-annee-a-2020/

 

Source: Image: crosswalk.com

 

 

Feast of the Presentation of Jesus in the Temple, Year A – 2020

A young Jewish couple brings their first-born child to the Temple, as it was the custom.
An older man is there, Simeon, who is known to be faithful to the Lord.
Of this man, it was said that he was:

“looking forward to the consolation of Israel.”

The gospel of this Sunday is a long text (Lk.2:22-40),
But there is one sentence that struck me and… questioned me…
The question addressed to me is whether I expect the consolation of God.

Our prayers to him are of different kinds, and length, and intensity!
Of course, we praise him and we thank him.
But, we – most of us – have a long list of petitions that we address to him regularly,
especially in times of doubt, difficulty, distress.

But do we look forward – as if we were sure that it will come – to his consolation?
It may be that, for a long time, God has wanted to give us this special gift and…
he has not been asked for it!

Or, is it that… we did not recognize it?
Simeon held a baby in his arms and he recognize God’s salvation!

We are told that he was “guided by the Spirit”,
perhaps we need to allow this same Spirit to guide us also…

Note: Another reflection is available on a different theme in French at: https://image-i-nations.com/fete-de-la-presentation-de-jesus-au-temple-annee-a-2020/

 

Source: Image: youtube.com

 

 

 

 

26th Sunday of the Year C – 2019

Some people who find it hard to believe the Christian message will sometimes say:
“If someone came back from the dead to tell us how things are after we die,
then we would believe.”

This statement describes the attitude of people searching for a convincing answer –
an answer that takes away questions and doubts about where our human life is heading to.
But then, where would faith come in?

Amazingly, an answer has been given long ago.
We find it in the last words of Jesus’ story in the gospel text today (Lk.16:19-31):

If they do not listen to Moses and the Prophets,
they will not be convinced even if someone rises from the dead.”
 
If we do not accept God’s message spoken by his messengers,
neither will we be inclined to accept this message from someone returning from the world of the dead.

But the strangest thing is that, in fact, someone HAS returned from the dead!
Jesus has – we affirm this when we recite the Creed saying:
“He has risen from the dead.”
 
He has told us about where we are going: to the very place he has prepared for us (Jn.14:2-3).
What else do we need? 

Note: Another reflection is available on a different theme in French at: https://image-i-nations.com/26e-dimanche-de-lannee-c-2019/

 

Source: Image: GOD IS REAL

 

 

21è dimanche de l’année C – 2019

Quand vous leur posez une question, il y a des gens qui répondent… par une autre question.
Ou encore, leur réponse oriente la conversation sur un sujet différent!
Agaçant?
Peut-être, mais parfois intéressant et inspirant!

Vous avez peut-être noté que c’est exactement la méthode de… Jésus!
Il est passé maître – c’est le cas de le dire – dans l’art d’interpeller ses auditeurs et auditrices.
Il ne leur permet pas de demeurer en surface ou de présenter des prétextes.

Le texte de l’évangile de ce dimanche en est un bon exemple (Lc.13:22-30). 

« Quelqu’un lui demanda :
‘Seigneur, n’y a-t-il que peu de gens qui soient sauvés ?’
Jésus leur dit : ‘Efforcez-vous d’entrer par la porte étroite’… »

 
Celui qui pose la question parle en général, sa question est abstraite.
Jésus le ramène… à lui-même, à sa vie personnelle.
En langage d’aujourd’hui, la réponse aurait pu dire ceci :
‘Ce qui importe ce n’est pas si des milliers, ou des millions, de gens seront sauvés, mais
qu’en sera-t-il de toi ?’
 
Bien des gens préfèrent invoquer des situations qui ne les touchent pas personnellement.

Leur questionnement réfère à des ‘critères d’admission’ qui ne témoignent aucun engagement de leur part :

« Nous avons mangé et bu en ta présence,
et tu as enseigné sur nos places. »
 

La ‘porte étroite’ que nous recommande Jésus a été présentée de différentes manières
par les spécialistes des textes bibliques.
Ne serait-elle pas tout simplement celle qui ouvre sur la voie du disciple qui suit le Maître
en adoptant ses valeurs et son mode de vie au fil des jours?…

Note : Une autre réflexion est disponible sur un thème différent en anglais à : https://image-i-nations.com/21st-sunday-of-year-c-2019/

 

Source : Image : churchofjesuschrist.org

 

20è dimanche de l’année C – 2019  

Les lectures de la célébration de ce dimanche présentent le tableau plus sombre de notre quotidien :
tentative d’homicide, horreur, supplice, hostilité, lutte, divisions, angoisse. 
Tous ces termes – tous ces aspects de la réalité se retrouvent dans les textes proposés à notre lecture.

Proposés à notre lecture et… à notre réflexion car ces mêmes aspects de la réalité se retrouvent dans le bulletin quotidien de nouvelles à la radio, ou à la télé.
Les descriptions peuvent varier mais les faits demeurent tristement les mêmes.

On entend souvent la question :
‘Pourquoi un Dieu bon permet-il toutes ces manifestations du mal?
Pourquoi lui, qui est tout-puissant, n’intervient-il pas pour empêcher tous ces actes mauvais?’

On peut poser la question, et la réponse nous sera donnée… un jour.
Pour le moment, il doit nous suffire de constater que Jésus lui-même ne s’est pas soustrait à cet ordre des choses dans notre univers.

La 2è lecture affirme :
« Jésus… renonçant à la joie qui lui était proposée, a enduré la croix » (He.12:1-4).

Lui connaît la raison… la réponse à notre question…
Oui, un jour elle nous sera révélée.

Pour le moment, le dernier verset du Psaume demeure notre inspiration :
« Je suis pauvre et malheureux, mais le Seigneur pense à moi.
Tu es mon secours, mon libérateur : mon Dieu, ne tarde pas ! » 
(Ps.40:18)

Note : Une autre réflexion est disponible sur un thème différent en anglais à : https://image-i-nations.com/20th-sunday-of-year-c-2019/
 
 

Source : Image : 1736 Family Crisis Center
 

3è dimanche de Pâques, année C – 2019

‘Un pique-nique au bord du lac’ – ce pourrait être un titre qui attire lecteurs et lectrices!
Mais la scène de détente que le décor suggère se change vite en une situation plus sérieuse,
beaucoup plus sérieuse.

On est soudain confronté à un questionnement plutôt direct :
« Pierre, m’aimes-tu? »

Quelle question!
Et connaissant le texte, nous savons que Jésus la répétera trois fois.
Et chaque fois, il semble que s’intensifie la ‘charge émotionnelle’, diraient les psychologues!
Ça ne fait pas de doute, le texte de l’évangile (Jn.21:1-19) le mentionne :
« Pierre fut peiné parce que, la troisième fois, Jésus lui demandait : ‘M’aimes-tu’ ? »

Évidemment, on imagine que Pierre n’a pas oublié une autre scène avec un feu de braise…
celle qui s’était passée dans la cour du palais du grand prêtre où Jésus avait été amené et…
où Pierre avait trois fois nié connaître celui dont il partageait la vie depuis trois ans!
Le lien était facile à faire, la relation s’établissait d’elle-même !

La troisième réponse de Pierre est peut-être la meilleure qu’il ait prononcée de toute sa vie !
« Seigneur, toi, tu sais tout: tu sais bien que je t’aime. »

On pourrait s’émerveiller de sa réponse et… en rester là, mais…
Mais relire un texte, se remémorer une scène – même de l’évangile – cela n’est qu’un début.
Ça ne suffit définitivement pas !
Il faut… en VIVRE.

Et en vivre, cela implique quoi ?
Peut-être est-ce permettre à Dieu de nous interpeller.
De nous questionner, personnellement, comme il l’a fait pour Pierre.

Et, bien sûr, de lui donner une réponse non moins personnelle –
une réponse qui révèle notre personnalité.
Une réponse dans des paroles – pas nécessairement celles de Pierre –
mais des mots qui traduisent notre moi profond.

Une expression tout à fait nôtre qui manifeste notre désir d’une relation intime avec Dieu.
Rien de moins !

Note: Une autre réflexion est disponible sur un thème différent en anglais à: https://image-i-nations.com/3rd-easter-sunday-year-c-2019/

 

Source: Images: Heartlight

Holy Thursday, Year C – 2019

So many ideas come to mind when we observe and reflect on what happened on the first Thursday
we now call Holy Thursday.
We need to see, yes, but we need also to… listen,
listen to what is said by this man who is aware that his life is soon coming to an end.

He has much to say to his apostles, the friends who have walked with him for the past 3 years.
But very early on during their celebration of the Passover meal, he asked them a question.
A very simple question, one that we ask one another very often.
But the answer to HIS question is very… demanding:

“Do you understand?…” (Jn.13:12)

During the years spent with him, many times his apostles had not understood what he was saying
or what he was doing.
They waited to question him at night time, away from the crowds. (Mk.4:10; 7:17)

One day, he had openly asked them:
“Do you not yet understand? Have you no perception? Are your minds closed?” (Mark 8:17)
 
That was some time ago, what about tonight?… 
He had just done something unusual for the ‘Teacher’ that he is: He had washed their feet –
the work of a servant.
No wonder, he needs to ask:

“Do you understand what I have done for you?”
 
He goes on to explain the meaning of his unusual gesture.
They are to learn from it – learn the hard lesson of service.

I ask myself: ‘What if Christ asked me today that very same question…’ 
What he has done for me… in my life… over the years…
Have I understood?
Somehow, I feel I need still to understand much of what he did… what he does for me every day…

Note: Another reflection is available on a different theme in French at: https://image-i-nations.com/jeudi-saint-annee-c-2019/
And a blog is also offered at: https://image-i-nations.com/noublie-pas-2/

 

Source: Images: Free Bible Images   Pinterest

Dimanche des Rameaux, année C – 2019

Il était monté à Jérusalem (v. 28) et il montait maintenant un ânon (v. 35).
On allait bientôt le faire monter sur une croix – mais pas encore, il restait cinq jours…

‘Monter en grade’, ‘monter dans l’opinion des gens’, ‘monter dans la liste des honneurs’ –
c’est la façon humaine de souligner la condition honorable de l’un d’entre nous.

Mais aux yeux de Dieu, les choses peuvent être tellement différentes!
Monter un ânon, ça n’avait rien de glorieux, dans la Palestine du temps, bien des gens le faisait pour se déplacer.
Et les Romains au pouvoir n’auraient accepté rien d’autre qu’un cheval – ça au moins c’était honorable.

La scène que ce Dimanche des Rameaux rappelle dans le texte de Luc (Lc.19:28-40) est exceptionnelle, rien de moins.
Les ‘manchettes’ n’existaient pas à l’époque, mais la nôtre ferait les grands titres avec des caractères gras :

Inédit, du jamais-vu, les gens s’emballent, les chefs religieux s’indignent… et lui se réjouit de cette manifestation.’ 

La question qui surgit avec insistance à notre esprit, ou timidement au fond de notre cœur est : POURQUOI?
Ça ne cadrait pas avec l’attitude ordinaire de Jésus, ça ne correspondait pas à son caractère.
Certains auraient dit : ‘Ce n’est tout simplement pas lui!’

Qui pourrait déchiffrer cette énigme? Qui saurait la réponse à cette question?
Bien des réponses peuvent s’offrir mais…
Peut-être qu’au-delà de LA réponse, il y a des… réponses ‘personnalisées’…

Peut-être qu’au-delà des cris d’acclamation et des cris d’indignation,
plus profond que l’honneur ou la peur,
plus vraie et durable que la manifestation de la foule ou l’intervention inutile des pharisiens,
il y a… ‘la petite voix’… oui…
celle qui, au plus secret de nous, murmure la révélation :
« Il s’est abaissé… Dieu l’a exalté » (2è lecture : Ph.2:6-11).
 
Mais il devait passer par… le 5è jour qui suivrait – celui qu’on a nommé : le Vendredi Saint…

Note : Une autre réflexion est disponible sur un thème différent en anglais : https://image-i-nations.com/palm-sunday-year-c-2019/

Source : Images : youtube.com   imagenesmy.com   canalmormon.org

 

 

20è dimanche de l’année B

L’histoire ancienne révèle que, depuis ce que l’on nomme poétiquement ‘la nuit des temps’,
les humains ont voulu rejoindre Dieu.
C’est l’origine de la religion – cet ensemble de croyances et de rites pour s’unir à la divinité.
Différents peuples concevaient leurs dieux (généralement au pluriel) de façons multiples.

Nombreuses étaient les pratiques qui tentaient de s’assurer les faveurs d’un être divin quelle que soit la forme qu’on lui attribuait.
On voulait obtenir ses bienfaits et éviter les châtiments dont on redoutait la cruauté autant que leur manière aléatoire.
Dans ce but, on était prêt à offrir en sacrifice ses biens et même ses propres enfants.
Dans l’Ancien Testament, on constate que les Juifs ont dû résister à la tentation de suivre la pratique cananéenne d’offrir leurs enfants au dieu Moloch (ou, Molech) comme le faisaient leurs voisins.

Dieu a vu, Dieu a entendu et… Dieu est venu!
Ces quelques mots – simples et concrets – résument cet événement absolument hors de l’ordinaire et qui défit l’imagination!
Alors que les humains voulaient rejoindre Dieu, c’est lui qui est venu nous rejoindre

Et, revirement extraordinaire, loin de réclamer le sacrifice d’enfants humains,
il nous donne son propre Fils!
Et devenu humain il se révèle : ‘Dieu-avec-nous’.

Et… étant le Dieu qu’il est, cela ne lui suffisait pas…
Alors en Jésus, il nous a donné le message qui nous rejoint dans l’évangile d’aujourd’hui
(20è dimanche de l’année B – Jn.6:51-58) :

“Celui qui mange ma chair et boit mon sang
demeure en moi, et moi, je demeure en lui. »

 
Une affirmation, un don, une communion… à la mesure de Dieu.
Mais… c’en était trop pour les contemporains de Jésus.
Ils discutaient entre eux : Comment cela peut-il se faire?
Ils se refusaient à reconnaître que… Dieu est Dieu…
Et c’est ce Dieu qui veut faire sa demeure en nous.

Je me pose parfois la question :
‘Si j’avais été dans la foule des auditeurs ce jour-là, aurais-je réagi comme eux?’
Et… aujourd’hui?…

Note: Une autre réflexion est disponible sur un thème différent en anglais à: https://image-i-nations.com/20th-sunday-of-year-b/

Source : Image : virtueinthewasteland.com   stillromancatholicafteralltheseyears.com

Vendredi-Saint, année B

Par hasard, on rencontre une personne…
Par hasard, on retrouve un objet disparu depuis longtemps…
Par hasard, on entend à la radio une mélodie oubliée…

Par hasard, j’ai reçu un texte qui m’a immédiatement amenée à aujourd’hui, ce jour du Vendredi-Saint.
Je vous le partage, sans réflexion ou commentaire personnel.
Seule une question surgira naturellement…
Puisse ce texte vous être une inspiration, comme il l’a été pour moi.

SAUVÉE

Une petite orpheline vivait avec sa grand-mère et dormait à l’étage. Une nuit, la maison prit feu et la grand-mère mourut en essayant de sauver sa petite-fille. L’incendie se propagea rapidement et le rez-de-chaussée fut vite envahi par les flammes.

Des voisin appelèrent les pompiers, puis attendirent sans pouvoir aider, incapables d’entrer dans la maison à cause des flammes qui bloquaient toutes les entrées. Juste au moment où la rumeur circulait que les pompiers arriveraient avec quelques minutes de retard, parce qu’ils étaient tous occupés à éteindre un autre incendie, la petite fille apparut à une des fenêtres de l’étage, pleurant et criant à l’aide.

Soudain un homme apparut avec une échelle et disparut à l’intérieur. Lorsqu’il réapparut, il tenait dans ses bras la petite fille. Il la remit aux gens qui attendaient en bas de l’échelle et disparut dans la nuit. L’enquête qui fut menée révéla que l’enfant n’avait aucun parent vivant. Quelques semaines plus tard, les autorités municipales tinrent séance pour déterminer qui prendrait charge de l’enfant pour l’élever.

Une enseignante proposa de prendre la petite fille chez elle en disant qu’elle pourrait lui donner une bonne éducation. Puis un fermier offrit d’élever l’enfant sur sa ferme. Il affirma que la vie de ferme était saine et bonne. D’autres encore se proposèrent en expliquant ce qu’ils avaient à offrir à la petite fille.

Finalement, l’homme le plus riche de la ville se leva et dit : « Je peux donner à cette enfant tout ce que vous venez de mentionner, plus de l’argent et tout ce que cet argent peut acheter. »

Durant toute cette discussion la petite fille était demeurée silencieuse, les yeux baissés.

« Y-a-t-il quelqu’un d’autre qui veut prendre la parole », demanda le président de la séance. Du fond de la salle un homme s’approcha. Il marchait lentement et paraissait souffrir. Lorsqu’il arriva en avant, il s’arrêta devant la petite fille et tendit les bras. La foule fut stupéfaite. Ses bras et se mains portaient de terribles cicatrices.

L’enfant s’écria alors : « C’est l’homme qui m’a sauvée! » Spontanément elle sauta dans ses bras, le tenant comme elle l’avait tenu la nuit de l’incendie, comme pour s’accrocher à la vie. Elle enfouit son visage dans le cou de l’homme et sanglota un moment. Puis elle le regarda et lui sourit.

« La séance est levée », annonça le président.  

 

La petit fille reconnut celui qui l’avait sauvée et… elle s’en est remise à lui.
Et nous?…

 

Note: Une autre réflexion est disponible en anglais sur un thème différent à: https://image-i-nations.com/good-friday-year-b/

Source : Texte : tiré de Leadership… with a human touch, dans Concentré de Bouillon de Poulet pour l’Âme, Jack Canfield, Mark Victor Hansen, Patty Hensen, p.95-97      Images: freeimages.com   pierrelacroix.com