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Journée mondiale du réfugié – 20 juin 2024

Qu’est-ce que la Journée mondiale du réfugié ? 

La Journée mondiale du réfugié est une journée internationale qui a été établie par les Nations Unies afin de rendre hommage aux réfugiés à travers le monde entier. Célébrée chaque année le 20 juin, elle met en lumière la persévérance et le courage des personnes qui ont été contraintes de fuir leur pays d’origine pour échapper au conflit ou à la persécution. La Journée mondiale du réfugié est l’occasion de favoriser une meilleure compréhension et une plus grande empathie sur le sort des réfugiés et de faire connaître leur résilience alors qu’ils démarrent une nouvelle vie. 

Pourquoi la Journée mondiale du réfugié est-elle importante ? 

Ensemble, nous pouvons défendre leur droit de rechercher la sécurité, renforcer notre soutien en faveur de leur inclusion économique et sociale, et plaider pour trouver des solutions à leur sort.
La Journée mondiale du réfugié met en lumière les droits, les besoins et les rêves des réfugiés, et contribue à sensibiliser la classe politique et à mobiliser des ressources pour que les réfugiés puissent non seulement survivre, mais aussi s’épanouir. S’il est important de protéger et de chercher à améliorer la vie des réfugiés chaque jour, des journées internationales comme la Journée mondiale du réfugié contribuent à attirer l’attention du monde entier sur le sort des personnes qui fuient les conflits ou les persécutions. Les nombreuses activités organisées pour la Journée mondiale du réfugié sont autant d’occasions de soutenir les réfugiés.  

‘En cette Journée mondiale des réfugiés, nous devons tous réfléchir à ce que nous pouvons faire pour aider ces personnes. Pour commencer, nous devons faire preuve d’unité et de solidarité. Je suis profondément préoccupé de voir que de plus en plus souvent, les réfugiés ne bénéficient pas de la protection dont ils ont besoin et à laquelle ils ont droit. Nous devons rétablir le régime international de protection des réfugiés. Aujourd’hui, aucune communauté ni aucun pays offrant refuge aux personnes qui la guerre ou la persécution ne devraient se trouver seuls et sans soutien. »  Antonio Guterres, Secrétaire Général de l’ONU

 

Source: Texte: https://www.unhcr.org/fr/comment-nous-aider/agir-aux-cotes-du-hcr/journee-mondiale-du-refugie  Image: Journée mondiale

33rd Sunday of Year C – 2022

Some people would say that the text of today’s gospel is quite shocking (Luke 21:5-19).
For them, two words may summarize the scenes we are given to witness: abomination and desolation.
It is a rather accurate perception of the ‘mood’ of this text.
The detailed description of events to take place – or taking place – in our world has something frightening about it.

Having read the text to the end, it may be good to remain there, at the end… the last verse giving us a message that is most important (verse 19).
Different versions of this verse give an interesting perspective, telling us:

“Stand firm, and you will win life”.  (New International Version
“Your endurance will win you your lives”. (Jerusalem Bible)
“By your perseverance you shall possess your souls”. (Aramaic Bible in Plain English)

In fact, what we are told is that:

  • We should not give up trying to overcome the problems and difficulties of life.
  • We should not give in to discouragement and despair.
  • We should not give way to the temptation of abandoning the struggle for good to win over evil.

Someone has coined a new expression to qualify this endurance and called it ‘stick-to-itness’!
 
Stick to the fight against injustice and pursue the path of honesty.
Stick to the resolution of siding with the poor and those deprived of their rights.
Stick to the struggle you started always to choose the way of peace and reconciliation.

Would this not be a way to avoid disputes and injustices, recrimination and discrimination, violence and wars?
I like to believe that it is worth trying… it has a gospel felling about it…

 

Note: Another reflection is available on a different theme in French at: https://image-i-nations.com/33e-dimanche-de-lannee-c-2022/

 

Source: Image: Scripture Images  

29è dimanche de l’année C, 2022

Avez-vous des ennemis?
À cette question, un visage oublié vous revient peut-être à l’esprit.
Ou, une image nette et précise de quelqu’un dont vous soupçonnez les motifs.

Il se peut que nous ayons des ennemis – des ennemis… réels ou imaginaires – mais ce ne sont pas ceux dont je parle.
Je fais allusion à des ennemis plus… subtils, souvent cachés sous de multiples couches de camouflage.
L’un d’eux nous est présenté dans l’évangile de ce 29è dimanche (Luc 18:1-8).
C’est… le DÉCOURAGEMENT!

Jésus lui-même nous en parle dans une parabole typique et tellement riche de sens.
Les personnages du juge injuste et de la veuve sont connus et leur attitude respective l’est également.

Mais la leçon que Jésus veut nous donner à travers eux ne nous rejoint peut-être pas aussi bien qu’il le désire.
Pourtant, l’auteur tu texte évangélique dit clairement dès le début:

« Jésus disait à ses disciples une parabole
sur la nécessité pour eux de toujours prier sans se décourager. » 

Qu’est-ce qui a obtenu à la veuve ce qu’elle désirait?
Elle n’avait pas d’argent à offrir, semble-t-il, et une femme juive n’aurait sans doute pas beaucoup d’influence sur un homme de loi.
Mais elle avait un atout majeur: sa détermination!

Son insistance agaçante aux yeux du juge, la répétition de sa requête avec une persévérance inlassable –
voilà ce qui a vaincu celui qui avouait ne pas craindre Dieu ni respecter personne.

Étonnamment, Jésus nous recommande d’adopter la même attitude avec… Dieu, son Père!

Ne PAS nous laisser décourager même s’il tarde à écouter nos pétitions.
Même s’il tarde à satisfaire nos requêtes, nous ne devons pas cesser de crier vers lui jour et nuit.

Mais… sommes-nous prêt/es à le faire ou permettons-nous à notre ennemi – le découragement – de nous priver de ce que nous désirons?

Note: Une autre réflexion est offerte sur un thème différent en anglais à: https://image-i-nations.com/29th-sunday-of-year-c-2022/

 

Source: Image: FreeBibleimages                

29th Sunday of Year C – 2022

The texts of the gospel come to us in different ways.
They reach us under different expressions and translations.
And they can provoke in us different reactions…

The last verse of today’s gospel text (Luke 18:1-8) does precisely this:
it awakens in us thoughts and questions.

Jesus has been teaching about prayer and about the need to persevere in prayer. 
Obviously, this requires faith.
The text goes on to quote Jesus’ last words on the matter:

“When the Son of Man comes, will he find faith on the earth?”

An astonishing statement!
Is it not amazing that Jesus himself would ask this?
It is a question that is not addressed to anyone but is possibly a reflection on Jesus’ part.

I should perhaps correct this statement…
The question of Jesus not addressed to anyone IS ADDRESSED to EVERYONE, everyone of us.
It is from each one that he expects FAITH.
It is with each one that he hopes to enter a special relationship…

A relationship

  • not based only on the acceptation of some truths,
  • not concerned solely on the following of some principles,
  • not attentive purely to follow traditions, no matter how sacred.

A relationship where one is

  • relying on him in all situations,
  • trusting his love and care, no matter what,
  • never doubting his presence,
  • sure that he is concerned about all that touches us,
  • daring to confide to him our life… and death!

It may be was Jesus’ surprising question, his seemingly strange reflection is all about…

 

Note: Another reflection is available on a different theme in French at: https://image-i-nations.com/29e-dimanche-de-lannee-c-2022/

 

Source: Image: followingmessiah.org

17th Sunday of Year C – 2022

People who persist in following us to obtain something are not always rewarded!
Those who insist to attract our attention and awaken our interest will end up, very often, disappointed.
Insistence and persistence are often seen as obstination and do not gain our favor.

But it seems that… with God, things are different!
The 1st reading and the gospel of this Sunday show this clearly.

In the 1st reading we meet Abraham who pleads with God in a way that some would see as harassment.
And, amazingly, God goes along with this and accepts Abraham’s terms time and again (Genesis 18:20-32).

In the gospel, Jesus himself, tells a story meant to be the model of our approach to God:
asking, keeping on asking… until we are given what we want! (Luc 11:1-13).

To God, perseverance appears to be an important quality when presenting ourselves – and our requests – to him!
Singlemindedness and steadfastness are attitudes that can obtain from God… all that he is eager to give us in the first place!

Unfortunately, when knocking at his door… at times, we do not allow him to answer so much in a hurry are we to explore other avenues and… lacking trust in his unfailing generosity…

 

Note: Another reflection is available on a different theme in French at: https://image-i-nations.com/17e-dimanche-de-lannee-c-2022/

 

 

Source: Images: walkwithgodthejourney.com   aleteia.org

2è dimanche de l’année B – 2021

Nous attribuons à Dieu bien des qualités.
On nous a répété qu’il est grand et tout-puissant; il connaît tout et peut accomplir toutes choses.
On enseigne qu’il est miséricordieux et toujours prêt à pardonner.

Mais avez-vous déjà lu, ou entendu, que Dieu est… persévérant ?!
C’est ce qui m’est venu à l’esprit en lisant la 1ère lecture de ce dimanche (1 Sam.3:3-10,19).
Ce texte qui rapporte comment Dieu a appelé le jeune Samuel en est un exemple évident.
Ce n’est pas une, ou même deux fois, que Dieu appelle le jeune en le tirant de son sommeil, mais bien trois fois.

Tout d’abord, Samuel n’identifie pas celui qui parle – il croit qu’Éli, le prophète, est celui qui l’appelle.
Même Éli n’identifie pas tout de suite que c’est Dieu qui appelle le jeune homme.
Ce n’est qu’à sa 3è tentative que Dieu sera enfin reconnu comme celui qui parle.

L’auteur du récit précise :
« Samuel ne connaissait pas encore le Seigneur,
et la parole du Seigneur ne lui avait pas encore été révélée. »

Je me détourne d’Éli et de Samuel pour me regarder moi-même.
Je porte attention à ce que je vis, jour après jour, et il semble qu’avec moi aussi Dieu doit se montrer… persévérant!
 
Est-ce que je sais reconnaître sa voix?
Ai-je appris, d’expérience, à l’identifier… cette voix différente de toutes les autres –
celle-là même qui parle au plus intime de nous-mêmes?
L’accent de Dieu m’est-il familier – un accent ‘divin’, oui, mais aussi combien humain!

Au fait, peut-être dois-je me demander si j’ai déjà osé lui dire :
« Parle, ton serviteur écoute. »
 
Serait-il possible que je craigne ce que j’entendrai – ce qu’il exprimera comme étant son désir, son projet pour ma vie…
Ou, suis-je trop occupé/e avec mes propres activités et les projets qui m’accaparent… je n’ai pas le temps –
le temps de me mettre à l’écoute de Dieu?…

Des questions pertinentes au début d’une nouvelles année…
Et en période de pandémie, le temps ne manque pas pour y réfléchir…

Note: Une autre réflexion est disponible en anglais sur un thème différent à: https://image-i-nations.com/2nd-sunday-of-year-b-2021/

  

Source: Image: Bible Encyclopedia

20è dimanche de l’année A – 2020

Je donnerais à cette scène de l’évangile (Mt.15:21-28) le titre de :
‘L’art de savoir importuner Dieu… avec humour !’

Cette femme que les Juifs qualifiaient de ‘païenne’ fait preuve d’une foi absolument remarquable –
Jésus lui-même ne peut s’empêcher de le dire ouvertement.
Et, bien sûr, il accorde à cette Cananéenne ce qu’elle a demandé avec audace, persévérance et, oui, humour.

J’admire à la fois le courage et la détermination de cette femme –
courage en approchant un Maître juif de qui elle devrait se tenir éloignée,
et détermination à ne pas accepter son refus… initial.

L’ayant regardée, elle, je considère MON approche de Dieu…
Peut-être n’ai-je pas encore réalisé que les refus premiers et les délais apparents de Dieu peuvent être une… astuce divine!

Astuce qu’il utilise comme une double invitation :

  • celle de prendre conscience de mes vrais besoins,
  • celle aussi de les lui confier avec une foi incapable de douter de son intervention.

Et si Dieu n’attendait que cela : ma réalisation de sa… pédagogie pour me répondre – à sa manière – ce que la Cananéenne a entendu :
 
« Grande est ta foi,
que tout se passe pour toi comme tu le veux ! »

 

Note: Cette scène de l’évangile est présentée en format vidéo à : https://image-i-nations.com/la-cananeenne/

Et une autre réflexion est disponible en anglais sur un thème semblable à: https://image-i-nations.com/20th-sunday-of-year-a-2020/

 

Source: Image: freebibleimages.org  

Un robot nommé ‘Perseverance’

Vous êtes prêt/es? Oui, prêt/es pour le lancement dans tout juste 50 minutes, (à 7h50) en ce 30 juillet 2020 au Cap Carnaveral en Floride, du ‘rover’ PERSEVERANCE.

Il doit atteindre sa destination – la planète Mars – le 18 février 2021 et, à ce moment-là, la responsabillité de le mettre au pas, si on veut, incombera à une femme de chez nous: la scientifique de Joliette: Farah Alibay, ingénieure en aérospatiale.

Le but de cette mission est de découvrir des traces d’anciens microbes ayant peut-être peuplé la planète il y a plus de trois milliards d’années.

Le responsable du lancement à la NASA, Jim Bridenstine, a dit: «C’est la première fois dans l’histoire que la NASA a consacré une mission à ce qu’on appelle l’astrobiologie: la recherche de la vie, peut-être actuelle, ou de vie ancienne dans un autre monde».

Il ajoute: “Les rovers précédents des États-Unis ont démontré que la planète rouge avait été «habitable», c’est-à-dire que les conditions qu’on pense propices à l’apparition de la vie (carbone, eau, climat favorable) étaient présentes. Mais on ne sait toujours pas si elle a été habitée, et cette mission, décidée en 2012 et baptisée «Mars 2020», va tenter de répondre à la question”. (Journal de Québec, 27 juillet 2020)

Je vous demandais si vous étiez prêt/es… pour le lancement de ‘PERSEVERANCE’, oui, mais…
êtes-vous prêt/es aussi pour… une vie de PERSÉVÉRANCE.

Mais, la persévérance, c’est quoi au juste?
C’est ce qui nous pousse vers l’avant, un peu plus chaque jour, malgré les embûches, les embâcles, les embêtements du quotidien.
C’est ce qui fait que, selon l’expression populaire, on n’lâche pas, on poursuit son chemin pour atteindre sa destination.

L’apôtre Paul en parle ainsi:
“L’affliction produit la persévérance,
la persévérance la victoire dans l’épreuve, et cette victoire l’espérance.
Or, l’espérance ne trompe point, parce que l’amour de Dieu est répandu dans nos coeurs
par le Saint Esprit qui nous a été donné.”   (Rom.5:3-5)

Alors… on se lance!
Un lancement vers l’au-delà… oui, vraiment!
Ici… maintenant!

 

Source: Images: phys.org   NASA   YouTube

33è dimanche de l’année C – 2019

« J’ai l’goût de tout lâcher! »
Vous avez entendu ces paroles à un moment ou un autre…
Un voisin ou une collègue de travail avouait avec dépit, ou désespoir :
« J’en ai assez, j’peux plus continuer! »
Il se peut qu’on soit parfois tenté soi-même de dire la même chose…

Quand une telle situation se présente, un récit me revient à la mémoire.
Il s’agit d’un fait qui a pris place en octobre 1968 au stadium olympique de la ville de Mexico.

Les gens présents avaient vu, une heure plus tôt, l’éthiopien Mamo Wolde gagner la course.
Le soir approchait, il faisait froid et les spectateurs commençaient à quitter le stadium.
Soudain, on entendit la sirène d’une ambulance et les sifflets des policiers sur place.
À l’étonnement de tous, on vit s’avancer sur la piste de course John Stephen Akhwari de la Tanzanie.

Alors qu’il parcourait le circuit de 400 mètres, on pouvait voir qu’il avait une jambe avec un bandage qui ne cachait plus le sang qui s’écoulait.
Il était tombé et s’était blessé pendant la course mais il n’avait pas voulu s’arrêter.
Quand il a finalement franchi la ligne d’arrivée, les gens se sont levés et se sont mis à applaudir.

Alors qu’il boitait pour achever le parcours et n’avait évidemment aucune chance de remporter une médaille,
on a demandé à Akhwari pourquoi il n’avait pas interrompu sa course.
Il a répondu : « Mon pays ne m’a pas envoyé au Mexique pour commencer la course mais pour la compléter! »
Et il avait complété les 42 kilomètres requis d’un marathonien!

Inspirant? Oui, bien sûr.
Et c’est pour moi l’illustration du dernier verset de l’évangile de ce dimanche (33è dimanche de l’année C – Lc.21:5-19).
La parole de Jésus – son affirmation, davantage même sa promesse :

« C’est par votre persévérance que vous garderez votre vie. » 

Ne pas lâcher, ne pas abandonner, ne pas s’arrêter en chemin… 
Ne pas s’avouer vaincu, aller jusqu’au bout…
C’est ça la persévérance, sur le chemin de la vie, beau temps, mauvais temps, jusqu’au bout!

Note : Une autre réflexion est disponible sur un thème différent en anglais à : https://image-i-nations.com/33rd-sunday-of-year-c-2019/

 

Source : Récit : Images : the olympians.com   unpoissondansle.net

abandonner

jusqu’au bout

chemin

 

29è dimanche de l’année C – 2019

Prier – nous prions, évidemment… chaque jour… ou du moins, assez souvent!
Mais… ‘prier sans se décourager’… c’est quelque chose d’autre!

Il faut croire que les gens du temps de Jésus n’étaient pas différents de nous à ce sujet 
puisque l’évangile de ce dimanche (Lc.18:1-8) nous dit :

« Jésus disait à ses disciples une parabole
sur la nécessité pour eux de toujours prier sans se décourager. »

 
Ils, et elles, étaient des disciples de Jésus, le suivaient et écoutaient son enseignement.
Sans doute, ces gens étaient fidèles à la prière régulière à la synagogue et aux célébrations juives traditionnelles.
Mais Jésus insiste sur ce point : « prier sans se décourager. »
 
Une autre traduction dit : «prier sans se lasser. »
Se lasser, se décourager – il est facile de tomber dans ce piège…

Persévérer dans cette activité ne va pas de soi.
On ne voit pas, on n’entend pas, on ne perçoit d’aucune manière ce Dieu que nous adressons…
On n’a pas le goût, on est fatigué, on s’ennuie et… ça ne donne pas de résultat, croit-on !

La tentation est bien présente de croire que:
Dieu doit se préoccuper d’autres situations dans le monde bien plus urgentes que nos requêtes…
Dieu peut considérer nos demandes comme insignifiantes comparées aux problèmes d’autres personnes…
et… évidemment , nous ne sommes pas dignes de ses faveurs…

Et pourtant, Jésus assure :

« Et Dieu ne ferait pas justice à ses élus, qui crient vers lui jour et nuit ?
Les fait-il attendre ?

Je vous le déclare : bien vite, il leur fera justice. »

C’est une promesse et de Jésus lui-même, mais… voilà : il y a parfois une attente qui s’impose…
C’est là que la persévérance doit se manifester… durer, ne pas lâcher, ne pas abandonner…
Dieu s’engage à faire le reste !

Note : Une autre réflexion sur un thème différent est disponible en anglais à : https://image-i-nations.com/29th-sunday-of-year-c-2019/

 
Source : Image : pinterest.com