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Journée internationale des femmes et des filles de science – 11 février

 C’est seulement en 2015 que l’assemblée générale de l’ONU a adopté la résolution A/RES/70/212 qui proclame que, désormais, le 11 février de chaque année, c’est la Journée internationale des femmes et des filles de science. C’est fait.

Une avancée inéluctable

Quels sont les points communes entre Henrietta Leavitt, Rosalind Franklin et Marie Curie ?
Vous vous en doutez, ce soit trois immenses femmes scientifiques, précurseurs en leur temps, et qui ont dû -en plus- affronter de nombreux préjugés pour pouvoir être reconnues comme scientifiques par la société de l’époque.

L’égalité des genres est une des priorités de l’UNESCO, et l’accompagnement des jeunes filles, leur formation et leur pleine aptitude à faire entendre leurs idées sont considérés comme des leviers de développement et de paix.

Les grands défis du développement durable nous imposent également de fomer un maximum de talents parmi les nouvelles générations. C’est pourquoi il est impératif d’augmenter le nombre de femmes actives dans les domaines scientifiques. La diversité dans la recherche élargit le bassin de chercheurs talentueux, apportant ainsi de nouvelles perspectives, du talent et de la créativité.

Une journée à relayer

La Journée internationale des femmes et des filles de science, sera donc célébrée chaque année le 11 février. Son but est de promouvoir l’accès et la participation des femmes et des filles à la science. Cette journée permet de rappeler que les femmes et les filles jouent un rôle essentiel dans la communauté scientifique et technologique et que leur participation doit être renforcée.

Un site à visiter : fr.unesco.org   Source: Texte & Image: Journée mondiale

Journée internationale des légumineuses – 10 février

 La journée internationale des légumineuses à lieu chaque 10 février. Ce sont les Nations Unies qui ont fixé la date. On aurait pu vous l’annoncer hier, pour tenir compte du temps du trempage des légumineuses avant la cuisson. On aurait pu…
Nous sommes donc en face d’une très officielle journée voulue par les Nations Unies (Résolution A/RES/73/251). On peut désormais tenter de comprendre son intérêt.

Pourquoi les légumineuses sont-elles importantes ?

La réponse se résume en trois idées : valeur nutritionnelle, sécurité alimentaire, respect de l’environnement.  qCes cultures traditionnelles cumulent en effet un ensemble de qualitésui les rendent plus que recommandables pour les consommateurs de tous les continents.

Valeur nutritionnelle

Les légumineuses sont riches en nutriments et ont une teneur élevée en protéines. très intéressant dans les régions où la viande et les produits laitiers sont difficiles d’accès. Les légumineuses ont une faible teneur en matières grasses et une forte teneur en fibres. En raison de ces qualités, elles sont recommandées par les organismes de santé dans le traitement du diabète et les maladies cardiaques. Les légumineuses ont également montré qu’elles aidaient à lutter contre l’obésité.

Sécurité alimentaire

Pour les agriculteurs, les légumineuses représentent une culture importante car elles peuvent être à la fois vendues et consommées sur place, préservant ainsi l’autonomie et la stabilité économique de l’exploitation.

Les experts estiment que jusqu’à un tiers des aliments préparés pour la consommation humaine dans le monde se perdent ou sont gaspillés. Or, les légumineuses ont une conservation stable, c ‘est-à-dire que dans un emballage étanche, elles se conserveront des mois voire des années sans perdre leurs qualités nutritionnelles.

Respect de l’environnement

Les légumineuses peuvent être produites en grande quantité sans abimer les sols. Elles ont besoin de moins d’eau que les autres cultures pour grandir et jouent aussi un rôle dans la lutte contre l’érosion et l’appauvrissement des sols : en effet elles n’ont pas besoin d’engrais azotés car elles fixent l’azote elles-mêmes. Cette autosuffisance permet de limiter fortement l’émission de gaz à effet de serre.

A vos casseroles !

Et en plus c’est bon. Les cuisiniers les remettent à la mode, mais vous pouvez aussi le faire chez vous… après les avoir laissé tremper. Alors, à demain autour d’un bon plat pour célébrer la journée internationale des légumineuses…

Un site à visiter : www.un.org    Source: Texte & Image: Journée mondiale

Journée mondiale « merci » – 11 janvier 2021

Journée mondiale

L’ONU n’en parle pas, ni l’OMS, ni aucune ONG, aucune église, aucun groupement… on en trouve quelques traces éparses en effecutant une recherche sur son moteur de recherche favori.

De quoi s’agit-il ?
Simplement de la journée du Merci. Selon certaines sources (non identifiées), la Journée mondiale du «merci» aurait été inventée par des employés zélés, pour augmenter les ventes de leur enseigne de cartes postales. Il nous sera difficile de tirer le vrai du faux mais en tous cas,  quelle bonne idée !

Dire merci, pour soi, pour les autres, pour le plaisir

La tradition de dire des mots de remerciement est apparue il y a longtemps dans le langage et cette marque de gratitude a permis de marquer toute l’attention qui nous est accordée et que nous accordons aux autres.

Les mots magiques

Les psychologues croient que les mots de gratitude mettent les gens en harmonie et favorisent les relations positives. En exprimant sa gratitude envers les gens, on améliore sa santé physique et on crée un état émotionnel positif qui aide à faire face au stress.

En ces temps troublés où chacun a tendance à marcher en regardant le bout de ses chaussures, caché derrière son masque et en se méfiant du contaminateur potentiel, cela peut être utile.

Cela me donne une idée, il faudra qu’on crée une journée du bonjour

Un site à visiter : www.ukrinform.fr    Source: Texte & Image: Journée mondiale

Journée Mondiale des orphelins de guerre – 6 janvier

 
5 jours après la Journée Mondiale de la Paix, on parle des orphelins de guerre. Leur journée mondiale est d’origine Onusienne et c’est d’ailleurs la convention relative aux droits de l’enfant qui affirme que les droits des enfants doivent être respectés même en période de guerre ou de conflit armé.

Les enfants ne sont pas responsables…

… et ne doivent pas devenir les victimes de la bêtise de leurs parents. Les enfants ont le droit d’être protégés dans toutes les circonstances et de vivre dans un environnement pacifique, même si les adultes n’ont pas été capables de régler leurs conflits de façon intelligente.

Orphelins de guerre de par le monde

La situation matérielle des orphelins de guerre dans les zones touchées par les conflits reste extrêmement problématique et l’appel aux états pour remédier à cet état de fait toujours aussi nécessaire…

Une initiative du musée virtuel canadien mérite d’être relayée dans ce site: elle trouve sa source dans le sort d’un groupe d’orphelins juifs de la deuxième guerre mondiale qui a émigré au Canada. Cette histoire (vraie) appartient autant au passé qu’au présent et peut constituer un appel et une mise en garde contre l’indifférence et la passivité de ceux qui ne sont pas touchés par ces questions.

Il y a actuellement de très nombreux réfugiés pour cause de guerre dans le monde; plus de la moitié sont des enfants et parmi eux les orphelins sont très nombreux.

Un site à visiter : www.in-terre-actif.com    Source: Texte: Journée mondiale       Image: Unsplash (free download)
 

Journée internationale de la solidarité humaine – 20 décembre 2020

Journée internationale de la solidarité humaineUne journée dont la célébration est bien appropriée et dont l’idéal s’est exprimé de bien des manières pendant cette période de pandémie mondiale… (Note de l’éditrice)Dans notre calendrier, cette journée a remplacé la journée mondiale de l’humanisme. suggérée à l’origine par l’association des professeurs de lettres classiques du Sénégal (en 2012), mais qui trouvait difficilement son écho dans les médias.

La journée internationale de la solidarité humaine a été décrétée par l’ONU en 2006 (résolution A/RES/60/209), ce qui -si cela ne la rend pas populaire- lui donne au moins une existence « officielle ».

L’ONU et la solution de solidarité

Le concept de solidarité a guidé le travail des Nations Unies depuis la naissance de l’organisation. L’ONU a en effet été fondée sur la base du principe de sécurité collective entre nations qui s’appuie sur la solidarité entre ses membres en vue de « maintenir la paix et la sécurité internationales ».

Dans la Déclaration du Millénaire, adoptée par les États Membres en l’an 2000, la solidarité est définie comme étant l’une des valeurs fondamentales des relations internationales au XXIe siècle… on mesure combien est grande la distance entre le souhait et la réalité !

Les textes onusions l’affirment : « ceux qui souffrent ou qui sont particulièrement défavorisés méritent une aide de la part des privilégiés »

La Journée internationale de la solidarité humaine a été voulue pour nous rappeler l’importance de la solidarité dans les objectifs internationaux, les programmes d’action et les accords multilatéraux.

Plaidoyer pour la solidarité humaine

Publié récemment, cet extrait de Fratelli Tutti mérite qu’on s’y arrête un instant : « L’isolement et le repli sur soi ou sur ses propres intérêts ne sont jamais la voie à suivre pour redonner l’espérance et opérer un renouvellement, mais c’est la proximité, c’est la culture de la rencontre. Isolement non, proximité oui. Culture de l’affrontement non, culture de la rencontre, oui ».

Un site à visiter : www.un.org   Source: Texte & Image: Journée mondiale

Journée internationale des migrants – 18 décembre

Le 18 décembre est célébrée la Journée Internationale des Migrants. C’est l’occasion, dans le monde entier, de réaffirmer et de promouvoir les droits des migrants. La date a été choisie par l’ONU pour attirer l’attention sur une convention adoptée par l’assemblée générale des Nations unies le 18 décembre 1990 mais restée inapplicable faute de ratifications suffisantes.

Une convention que la France* n’a toujours pas ratifiée…

Cette Convention pour la protection des droits de tous les travailleurs migrants et de leur famille concerne tous les migrants qui  » vont exercer, exercent et ont exercé  » un travail pendant  » tout le processus de migration « . Pour tous, avec ou sans papiers, des droits fondamentaux sont réaffirmés en  » considérant la situation de vulnérabilité dans laquelle se trouvent fréquemment les travailleurs migrants et les membres de leurs familles « .

Les migrants dans le monde

L’Europe accueille 15 Millions d’immigrés sur les 175 Millions de par le monde.
La Convention n’est entrée en vigueur que le 1er juillet 2003. A ce jour, 27 Etats l’ont ratifiée : seulement des pays d’émigration, aucun des pays les plus industrialisés. Depuis quatorze ans, la France, ses partenaires européens et la plupart des pays d’immigration de la planète éludent la ratification. Pourtant la défense des droits de l’homme a une portée universelle et ne peut donc pas exclure les migrants.

Pas de nouveaux droits

Depuis 1990, la précarisation des droits des migrants est en aggravation constante. L’Union européenne offre la libre circulation aux citoyens des Etats membres tout en durcissant, pour les autres, les règles de l’asile et du séjour ; le principe de non-discrimination inscrit dans le traité d’Amsterdam a pourtant exclu la discrimination fondée sur la nationalité.

Face à la dégradation des droits des migrants, les Nations unies ainsi que de nombreuses institutions européennes ou organisations de la société civile rappellent l’importance de la convention des Nations unies. Le gouvernement français qui prône un rôle accru des Nations unies dans les affaires internationales ne doit pas rester sourd à ces appels.

Les pays signataires

Les pays ayant ratifié la Convention à la date de janvier 2011 sont (par ordre alphabétique) : Albanie, Algérie, Argentine, Azerbaïdjan, Belize, Bolivie, Bosnie-Herzégovine, Burkina Faso, Cap-Vert, Chili, Colombie, Égypte, Équateur, Ghana, Guatemala, Guyana, Guinée, Honduras, Kirghizistan, Lesotho, Libye, Mali, Maroc, Mexique, Nicaragua, Pérou, Philippines, Salvador, Sénégal, Seychelles, Sri Lanka, Saint-Vincent-et-les-Grenadines, Syrie, Tadjikistan, Timor oriental, Turquie, Ouganda et Uruguay.

* comme aucun autre pays occidental

Un site à visiter : www.un.org     Source: Texte: Journée mondiale        Image: Espace Manager

Journée internationale de prévention des génocides – 9 décembre

En fait, le véritable nom de cette journée est « Journée internationale de commémoration des victimes du crime de génocide, d’affirmation de leur dignité et de prévention de ce crime ». Nous lui avons préfére le nom anglais « genocide prevention Day » qui a tout de même le mérite de la concision, sans perdre pour antant le sens de la journée…

« Les États Membres et la communauté internationale doivent rendre hommage aux victimes du génocide et à leur famille, en mémoire des souffrances qu’elles ont endurées, et pour ce faire lutter encore plus fort contre les manifestations de haine, d’intolérance, de racisme et de xénophobie. »Ban Ki-moon, Secrétaire général de l’ONU de 2007 à 2016.

Une résolution adoptée à l’unanimité

C’est en septembre 2015 que l’Assemblée générale des Nations Unies a déclaré le 9 décembre, Journée internationale de commémoration des victimes du crime de génocide, d’affirmation de leur dignité et de prévention de ce crime.

Cette date n’est pas le fruit du hasard puisque le 9 décembre est précisément la date anniversaire de l’adoption de la Convention de 1948 pour la prévention et la répression du crime de génocide.

Convention sur le génocide

L’objectif de cette Journée Internationale est de faire connaître au grand public les intentions de cette Convention sur le génocide et son rôle dans la lutte contre le génocide et la prévention de ce crime. Elle vise aussi à rendre hommage aux victimes.

En adoptant la résolution sans vote, l’Assemblée de 193 membres a confirmé la responsabilité de chaque État de protéger ses populations du génocide, et renforcer les actions de prévention de ce crime et de l’incitation au génocide.

Un site à visiter : www.un.org    Source: Texte: Journée mondiale      Images: Journée Mondiale   Crif
 

Journée mondiale du souvenir des victimes des accidents de la route – 15 novembre

Journée mondiale du souvenir des victimes des accidents de la route
Cette journée fait partie des célébrations décrétées directement par l’ONU, qui invite, depuis 2005, « Les États Membres et la communauté internationale à célébrer chaque année, le troisième dimanche de novembre, la Journée mondiale du souvenir des victimes de la circulation routière, en hommage aux victimes des accidents de la route et à leurs familles. » (extrait de la résolution RES/60/5 du 1er décembre 2005).

Cette Journée mondiale est depuis lors commémorée dans un certain nombre de pays, même si elle reste assez peu relayée dans les grands médias.
Elle cherche à attirer l’attention du grand public sur l’ampleur des dégâts causés par les accidents de la route, aussi bien matériels qu’émotionnels, et rendre hommage à toutes les victimes de la route ainsi qu’aux services de secours et de soutien.

Beaucoup d’accidents auraient pu être évités

C’est avec cette idée forte que de nombreuses associations luttent et tentent de promouvoir des comportements civiques et sécuritaires plus forts chez les conducteurs, sans négliger l’action auprès des pouvoirs publics, reponsables quant à eux, de la subsistance de nombreux points noirs.

Ironie de la situation

En 2020, avec les 2 confinements, on a beaucoup moins roulé. Les chiffres de mortalité sur les routes se sont améliorés.

Un site à visiter : www.violenceroutiere.org    Source: Texte & Image: Journée mondiale

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ONU

Journée mondiale de l’énergie – 22 octobre

Le 22 octobre a été désignée « Journée mondiale de l’énergie » lors de l’ouverture du Forum mondial de l’énergie en 2012. Cette date était alors symbolique car c’était alors la première fois que le forum se tenait en dehors du siège de l’ONU, les 25 pays présents se réunissant en effet à Dubaï.

Energie pour tous

Aujourd’hui on compte encore 1,5 milliard d’habitants de la planète sur les 7 milliards qui la peuplent, qui sont privés d’électricité. Ces chiffres posent un défi à relever par la coopération internationale et la coordination entre pays avancés et pays en voie de développement.

Cette journée rappelle un des enjeux majeur de demain qui est de pouvoir offrir l’énergie au plus grand nombre d’habitants du globe.

Développement durable

Il est difficile de parler d’énergie sans aborder la question cruciale de l’écologie et du développement durable. Produire de l’énergie oui, mais dans quelles conditions ?

Le débat entre l’utilisation des énergies fossiles souvent polluantes et les énergies renouvelables fournies par la nature prend un sens nouveau quand on songe que ce sont les pays en voie de développement qui sont souvent contraints d’utiliser les sources d’énergies les plus polluantes (charbon par exemple) pour arriver à une certaine indépendance…

Là encore, sans coopération internationale, ill sera difficile d’avancer rapidement dans le bon sens. Et pourtant, il y a bel et bien urgence !

Un site à visiter : www.statistiques.developpement-durable.gouv.fr    Source: Texte & Image: Journée Mondiale

Journée Mondiale de l’alimentation – 16 octobre

 Chaque année, le 16 octobre, l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture célèbre la Journée mondiale de l’alimentation, qui commémore la date de sa création, en 1945.

La naissance de l’agriculture

Bien que le passage de la chasse et de la cueillette à une production alimentaire fondée sur la culture et l’élevage – autrement dit, la naissance de l’agriculture – se soit produit de façon indépendante dans de nombreuses régions du monde voilà environ 10 000 ans, l’histoire de l’agriculture est riche d’exemples d’échanges interculturels aux conséquences majeures. La première trace archéologique d’activité agricole en Europe atteste d’une technologie avancée, en l’absence d’outils plus élémentaires.

Selon une théorie en vigueur, les populations du Moyen-Orient auraient apporté en Europe leurs outils et leurs technologies. Il semblerait que de telles migrations de populations agricoles aient eu lieu en Afrique, en Amérique centrale et du Sud, en Chine, en Inde et en Asie du Sud-Est.

Pourquoi ces individus se sont-ils déplacés? L’agriculture, en offrant une source de nourriture plus sûre, entraînait un accroissement de la population, dont une partie finissait par migrer vers de nouvelles terres pour éviter la surpopulation.

Lutter contre le gaspillage alimentaire

Le gouvernement français a lancé, en 2013, une contribution à la journée de l’alimentation sous la forme d’une journée nationale de lutte contre le gaspillage alimentaire. L’objectif affiché est de diviser par deux les quantités jetées. Nous ne pouvons ici que saluer cette initiative en stigmatisant les comportements des sociétés « riches » par rapport à l’alimentation !

Lutter contre la malnutrition

Cette page serait incomplète si on y évoquait pas les ravages causés dans le monde par la malnutrition.

Dans un contexte où plus de 3 millions d’enfants de moins de 5 ans meurent chaque année dans le monde de causes de malnutrition, et où 159 millions d’enfants de moins de cinq ans souffrent d’un retard de croissance, l’enjeu est essentiel.

La FAO a décidé la mise en place d’une décennie pour lutter contre la malnutrition et, dans ce cadre, défini ses axes d’action :

  • intégrer la nutrition dans les programmes scolaires,
  • contribuer à la prise en compte de la nutrition dans les politiques des pays particulièrement affectés par la malnutrition,
  • contribuer à accroitre la mobilisation internationale et européenne en faveur de la nutrition,
  • contribuer à la recherche scientifique sur la nutrition.

Ce programme de travail doit être soumis à la prochaine assemblée mondiale de la santé, à la FAO, ainsi qu’au secrétaire général des Nations Unies.

 

Un site à visiter : www.fao.org    Source: Texte & Image: Journée mondiale