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International day of the deaf – 30 September 2023

International day of the deaf. This day is celebrated worldwide on the initiative of the UN on the last Sunday of September, in honor of the establishment in 1951 of the International Federation of the deaf.

The beginning of the formation and development of societies deaf people in many countries has been made possible thanks to the meetings and associations of graduates of schools for the deaf.

The founder of facial communication method and a supporter of the language is considered to be the French of the Abbe Charles Michel de L’ÉPÉE, founded in the 18th century the world’s first Institute for the deaf in Paris. Since the beginning of the 19th century graduates of this institution, was built in the tradition of the birthday celebration de L’ÉPÉE. On the bicentennial anniversary of the birth of the great Frenchman, was invited many deaf people from different countries, and it became the first international meeting of the communities that initiated the contact.

On the planet about two and a half thousand tongues but there is one form of communication — language attitudes and gestures. In 50-ies of the world Federation of the deaf in order to maintain the international deaf events, we developed a special system of gestures, which he called Gestuno. In the first dictionary Gestuno, published in 1965, recorded 300 gestures, the third edition is already 1500.

Unlike Gestuno, the international language of gestures developed in a natural way, in the course of the study which noted the use of natural and iconic gestures, a large number of iterations, use drawings and labels, lexical and grammatical elements of national sign languages. Freer deaf and dumb man speaks the national language, the easier it is given to international communication.

A huge contribution to the development of sign language was made the General Secretary of the world Union of the Deaf Magicians, Simon Carmel. Carmel a long time exploring the life and culture of deaf people in different countries and is fluent in sign language. He is also the author of a book titled ‘international manual alphabet of the Deaf”, which describes 43 dactylic alphabet used in 59 countries around the world.

Source: Text & Image: Russian Events and Holidays

 

International Day for the Remembrance of the Slave Trade and its Abolition – 23 August

The night of 22 to 23 August 1791, in Santo Domingo (today Haiti and the Dominican Republic) saw the beginning of the uprising that would play a crucial role in the abolition of the transatlantic slave trade.

International Day for the Remembrance of the Slave Trade and its Abolition is intended to inscribe the tragedy of the slave trade in the memory of all peoples. In accordance with the goals of the intercultural project « The Slave Route », it should offer an opportunity for collective consideration of the historic causes, the methods and the consequences of this tragedy, and for an analysis of the interactions to which it has given rise between Africa, Europe, the Americas and the Caribbean.

The Director-General of UNESCO invites the Ministers of Culture of all Member States to organize events every year on that date, involving the entire population of their country and in particular young people, educators, artists and intellectuals.

International Day for the Remembrance of the Slave Trade and its Abolition was first celebrated in a number of countries, in particular in Haiti (23 August 1998) and Goree in Senegal (23 August 1999). Cultural events and debates too were organized. The year 2001 saw the participation of the Mulhouse Textile Museum in France in the form of a workshop for fabrics called « Indiennes de Traite » (a type of calico) which served as currency for the exchange of slaves in the seventeenth and eighteenth centuries.

Circular CL/3494 of 29 July 1998 from the Director-General to Ministers of Culture invites all the Member States to organize events to mark 23 August each year. The UNESCO Executive Board adopted Resolution 29 C/40 at its 29th session

Source: Texte: UN Image: commoditizedidentity.wordpress.com

Journée Mondiale sur la sécurité et la santé au travail – 28 avril

Des travailleurs, des employeurs, des gouvernements et des ministères de la santé et de la sécurité, en collaboration avec l’Organisation internationale du travail (OIT), célèbrent partout dans le monde cette journée avec l’objectif commun de promouvoir la  » culture de la sécurité « .

Depuis 1996, chaque année, le 28 avril, le mouvement syndical mondial rend hommage aux victimes des accidents et des maladies du travail. C’est en 2003 que le BIT a entrepris d’observer une « Journée mondiale pour la sécurité et la santé au travail » en mettant l’accent sur la prévention des accidents du travail et maladies professionnelles, tirant parti de ce qui fait traditionnellement la force de l’Organisation, à savoir le tripartisme et le dialogue social.

La sécurité en chiffres
Le principal objectif de cette journée est de promouvoir dans le monde entier une culture de la sécurité et de santé au travail.
A l’occasion de cette journée, le Bureau international du travail a publié un rapport « La sécurité en chiffres » qui montre que 2,2 millions de travailleurs dans le monde meurent chaque année dans le cadre de leur travail, à la suite d’un accident du travail ou d’une maladie professionnelle, soit 5 000 personnes par jour.

Accidents et maladies
L’augmentation des accidents du travail et des maladies professionnelles continue.
Face à l’augmentation du nombre des accidents et des maladies, ainsi que des décès liés au travail, le Bureau international du Travail (BIT) et l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) ont décidé de marquer la Journée internationale de la sécurité et de la santé au travail par un appel conjoint pour le développement d’une culture de la sécurité préventive.

D’après une nouvelle estimation du BIT des accidents du travail et des maladies professionnelles1 qui causent la mort de deux millions de personnes chaque année, le risque professionnel est en augmentation du fait de la rapide industrialisation de certains pays développés.
D’après cette évaluation, le risque de maladie professionnelle serait aujourd’hui le plus grand danger auquel seraient exposés les travailleurs sur leur lieu de travail. En effet, ces maladies tuent 1,7 million de personnes par an, ce qui donne un rapport de quatre décès causés par une maladie professionnelle pour un décès causé par un accident.

Il ressort des dernières estimations du BIT que, en plus des décès liés au travail, il se produit chaque année près de 268 millions d’accidents du travail non mortels, qui sont suivis d’au moins trois jours consécutifs de congé, sans compter les 160 millions de nouveaux cas de maladies professionnelles qui sont enregistrés chaque année. L’OIT a déjà estimé à près de 4 pour cent la part des indemnités et absences du travail dues aux accidents du travail et aux maladies professionnelles dans le PIB mondial.

Plus de cent pays participeront à la célébration de la Journée mondiale pour la sécurité et la santé au travail en organisant des manifestations et activités spéciales dans ce cadre. Conjointement, l’OMS et le BIT uniront leurs forces pour promouvoir et renforcer leur coopération au niveau national entre les ministères du Travail et ceux de la Santé de même qu’avec les milieux d’affaires, les organisations de travailleurs et d’employeurs et d’autres acteurs de la société civile.


 

Conseil consultatif féminin au Vatican


Ce mardi 7 mars 2017, le Conseil pontifical pour la culture a présenté son conseil consultatif 100% féminin, destiné à renforcer le rôle des femmes au sein du dicastère dirigé par le cardinal Gianfranco Ravasi. Ce dernier a d’ailleurs fait remarquer que jusqu’à hier, les femmes n’étaient pas représentées au sein des organes de direction de son Conseil pontifical.

Ce conseil consultatif est né en juin 2015, mais il est entré officiellement en fonction ce mardi, et il permettra, a expliqué le cardinal Ravasi, d’enrichir l’Église d’une contribution féminine. «Ce sera un regard féminin sur l’activité du dicastère, sur deux niveaux», développe le prélat. Ce conseil consultatif apportera l’expérience féminine de ses membres, l’expérience professionnelle et l’expérience de laïques. Ensuite, sur le style, il essaiera d’introduire une lecture plus globale et colorée de la réalité et des thèmes affrontés au sein du dicastère. Une analyse plus complète donc, et moins exclusivement théologico-philisophique propre à un langage strictement ecclésial. Ce nouvel organe consultatif ne sera pas une opération de simple maquillage esthétique, mais un élément pleinement impliqué dans la politique culturelle du Conseil pontifical.

Les 37 membres du conseil consultatif féminin proviennent de différents horizons : universitaires, chef d’entreprises, artistes, journalistes, femmes engagées en politique et seulement deux religieuses. La diversité culturelle et cultuelle est également représentée, par la présence d’une théologienne musulmane, l’Iranienne Shahrazad.

Source: Texte: Vatican \ Activités |  (RV) (JCP) 08/03/2017 Images: LifeSiteNews.com; Radio Vatican ANSA  Les 37 membres du conseil consultatif féminin 

World Day of Social Justice – 20 February

The 20th February every year is designated by the United Nations as the World Day of Social Justice, a day to recognise the ongoing importance of a principle that is central to all work towards  global peace and prosperity. Below is an excerpt about the significance of this day, from the United Nations:

Social justice is an underlying principle for peaceful and prosperous coexistence within and among nations. We uphold the principles of social justice when we promote gender equality or the rights of indigenous peoples and migrants. We advance social justice when we remove barriers that people face because of gender, age, race, ethnicity, religion, culture or disability.

For the United Nations, the pursuit of social justice for all is at the core of our global mission to promote development and human dignity. The adoption by the International Labour Organization of the Declaration on Social Justice for a Fair Globalization is just one recent example of the UN system’s commitment to social justice. The Declaration focuses on guaranteeing fair outcomes for all through employment, social protection, social dialogue, and fundamental principles and rights at work.

Source: Text: Justice, Ecology and Development Office, Archdiocese of Perth, Australia; Image: EntertainStuff.com

Journée Mondiale de la Télévision – 21 novembre

televisionL’UNESCO célèbre le 21 novembre la Journée mondiale de la télévision, proclamée par l’Assemblée générale des Nations Unies en 1996 pour encourager des échanges mondiaux de programmes télés se concentrant sur la paix, la sécurité, le développement social et économique et l’amélioration de l’échange culturel.

L’UNESCO et la télévision
L’UNESCO reconnaît l’importance de la télévision en tant que premier moyen de communication et passage normal de l’information de masse, ceci est d’autant plus important dans les pays les moins développés. La télévision joue un véritable rôle en ce qui concerne la diffusion de l’information et de la connaissance et constitue un puissant outil reflétant et déterminant les conditions et les aspirations humaines.

Les programmes de l’UNESCO, y compris le Programme international pour le développement de la communication (PIDC), donne la priorité à l’encouragement de la liberté d’expression et au renforcement de la diversité culturelle dans les médias, en particulier en améliorant les capacités endogènes de production et en soutenant la distribution de programmes audiovisuels de qualité.

L’UNESCO s’est engagé à soutenir et à améliorer la radiotélévision indépendante du point de vue de la rédaction mais aussi la conservation de ses contenus, contribuant de ce fait à l’inclusion sociale et au renforcement de la société civile. L’UNESCO favorise la radiotélévision publique comme unique service fournissant un accès universel à l’information et au savoir, par la qualité et les divers contenus reflétant les besoins, les inquiétudes et les espérances des diverses audiences, en particulier les communautés désavantagées. L’action de l’UNESCO sur la radiotélévision publique se concentre principalement sur la mise en valeur de l’utilité des télévisions comme véhicule éducatif et culturel ; sur des recommandations faites aux Etats membres sur des questions d’ordre juridique, financier, mais aussi sur des questions de normalisation et d’autres toutes aussi importantes; et sur l’encouragement des professionnels des médias à réduire la violence au sein des actualités et des programmes fictifs dans des médias électroniques, avec une considération toute particulière pour les enfants et la jeunesse.

Pour des programmes de qualités
La création et la diffusion de contenu local reflétant les valeurs et l’expérience des communautés et des cultures locales sont nécessaire à la conservation de la diversité culturelle. La tâche du programme de l’UNESCO pour la création de contenu, de réaliser non seulement une programmation de télévision de qualité mais de manière importante, augmente la production de contenu local reflétant de telles valeurs. La stratégie du programme est réalisée grâce au pourvoi de formation, au financement de productions locales et à l’établissement de plates formes destinées à la diffusion de contenu local pour les auteurs, les producteurs et les animateurs de télévision.

L’UNESCO croit fortement qu’une programmation télévisée, de haute qualité et soutenue, résulte en un public intéressé et bien informé avec la possibilité de participer à des discussions publiques, et de se démener pour des questions d’ordre politiques et d’intérêt commun, et donc soulignant le rôle crucial de la télévision tout en favorisant la démocratie.

L’UNESCO encourage les institutions de radiotélévision ainsi que d’autres partenaires des médias à unir leurs mains et à célébrer la Journée mondiale de la télévision.

Un site à visiter : www.itu.int   Source: Texte & Image: Journée Mondiale

International Solidarity Day – December 20

earth-hour-2009Solidarity refers to a union of interests, purposes or sympathies among members of a group. In the Millennium Declaration world leaders agreed that solidarity was a value that was important to international relations in the 21st century. In light of globalization and growing inequality, the UN realized that strong international solidarity and cooperation was needed to achieve its Millennium Development Goals. The UN was founded on the idea unity and harmony via the concept of collective security that relies on its members’ solidarity to unite for international peace and security.

On December 22, 2005, the UN General Assembly proclaimed that International Solidarity Day would take place on December 20 each year. The event aimed to raise people’s awareness of the importance of advancing the international development agenda and promoting global understanding of the value of human solidarity. The assembly felt that the promotion of a culture of solidarity and the spirit of sharing was important in combating poverty.