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8è dimanche de l’année, A

Les lectures de chaque dimanche nous offrent des textes de toutes sortes : des écrits historiques, juridiques et prophétiques et, bien sûr les pages évangéliques.
Certains écrits comportent des injonctions et des commandements, d’autres des paroles de consolation et d’encouragement.

Ce 8è dimanche nous présente justement cette sorte de textes riches d’encouragement et cela en nous donnant une image de Dieu qui en est une essentiellement de compassion.
C’est l’image d’un Dieu… paternellement maternel et maternellement paternel . . .

Vous êtes… surpris par cette description . . .
Elle m’est suggérée – j’allais dire ‘dictée’ – par les paroles de Dieu sur les lèvres de son prophète Isaïe (Is.49 :14-15) et celles que l’on retrouve dans l’évangile de Matthieu (Mt.6 :24-34).

« Une femme peut-elle oublier son nourrisson,
ne plus avoir de tendresse pour le fils de ses entrailles ?
Même si elle l’oubliait,
moi, je ne t’oublierai pas,
– dit le Seigneur. »

 

 

« Regardez les oiseaux du ciel :
ils ne font ni semailles ni moisson,
ils n’amassent pas dans des greniers,
et votre Père céleste les nourrit.
Vous-mêmes, ne valez-vous pas
beaucoup plus qu’eux ?… 

Votre Père céleste sait ce dont vous en avez besoin…»

 

Alors la conclusion surgit d’elle-même…

« Ne vous faites pas de souci pour demain :
demain aura souci de lui-même… »

Ce sera le souci de ce Dieu qui sait ce dont nous avons besoin aujourd’hui, demain, et… chaque autre ‘demain’ . . .

Source: Images: All-free-download.com; New Love Times

 

 

7è dimanche de l’année, A

La P E R F E C T I O N . . .

On en fait l’éloge.
On nous y incite.
On nous encourage à l’atteindre.
On la recommande.
Mais peut-on… l’exiger?

Quelqu’un l’a fait, oui, quelqu’un a osé dire :

« Vous donc, vous serez parfaits
comme votre Père céleste est parfait. » (Mt.5 :48)

 Non seulement parfait mais parfait COMME… Dieu lui-même !
On serait tenté de voir là un idéal perdu dans les nuages, quelque chose qu’on ne peut rêver d’atteindre, une utopie quoi.

Pourtant, ce ‘commandement’ – car c’en est un – n’a rien à voir avec le perfectionnisme que certains s’acharnent à pratiquer.
Quelqu’un de soigneux, de rigoureux, de méticuleux, ou de pointilleux, n’a pas nécessairement atteint un degré de perfection plus enviable que le voisin plus détendu !

Mais alors de quelle perfection s’agit-il ?
Le texte de l’évangéliste Mathieu cité plus haut est, d’une certaine façon, corrigé, ou précisé, par l’évangéliste Luc qui dit :

« Montrez-vous compatissants comme votre Père est compatissant. » (Lc.6 :36)

Voilà la perfection de ce Dieu que nous appelons : « Père » – la perfection qu’il attend de nous.
La PERFECTION-COMPASSION !
Une perfection aux milles ‘visages’, toujours possible, toujours ‘praticable’, – exigeant précisément une pratique quotidienne !

Source: Image: She Traveled

Journée mondiale des malades – 11 février

La maladie et la souffrance peuvent parfois bouleverser nos vies ou celles de nos proches: pour nous encourager à donner de notre temps, soutenir les malades, être attentif à leurs besoins, une journée mondiale des malades, créée en 1992 par le Pape Jean-Paul II, est célébrée chaque année, le 11 février, jour de la fête de Notre-Dame de Lourdes.

Avoir le souci des malades
Les malades se sentent très rapidement mis à part de la vie des bien portants, c’est pourquoi les liens de solidarité, et tout ce qui permet aux personnes atteintes de maladie de se sentir écoutées, reconnues est extrêmement important. Bien que cette journée ait un sens tout particulier pour les Chrétiens, il n’est pas nécessaire d’avoir des convictions religieuses pour apporter son aide et sa compassion à des personnes souffrantes, un petit geste suffit !

Source: Texte & Image: Journée Mondiale

Message du Pape François pour la Journée du Malade 2017
« Le 11 février prochain sera célébrée, dans toute l’Église et de façon particulière à Lourdes, la XXVème Journée mondiale du malade, sur le thème : Émerveillement pour tout ce que Dieu accomplit : « Le Puissant fit pour moi de grandes choses … » (Lc 1,49). Cette Journée constitue une occasion d’attention spéciale à la condition des malades et, plus généralement, de ceux qui souffrent ; et en même temps elle invite qui se prodigue en leur faveur, à commencer par les proches, les personnels de santé et les volontaires, à rendre grâce pour la vocation reçue du Seigneur d’accompagner les frères malades. En outre, cette occasion renouvelle dans l’Église la vigueur spirituelle pour développer toujours mieux cette part fondamentale de sa mission qui comprend le service envers les derniers, les infirmes, les souffrants, les exclus et les marginaux (…). »

« À l’occasion de la XXVème Journée mondiale du Malade, je renouvelle ma proximité dans la prière et mon encouragement aux médecins, aux infirmiers, aux volontaires et à toutes les personnes consacrées engagées au service des malades et des indigents ; aux institutions ecclésiales et civiles qui œuvrent dans ce domaine ; et aux familles qui prennent soin avec amour de leurs proches malades. À tous, je souhaite d’être toujours des signes joyeux de la présence et de l’amour de Dieu, en imitant le témoignage lumineux de tant d’amis de Dieu parmi lesquels je rappelle saint Jean de Dieu et saint Camille de Lellis, patrons des hôpitaux et du personnel de santé, et sainte Mère Teresa de Calcutta, missionnaire de la tendresse de Dieu. »

Source: Texte: Libreria Editrice Vaticana

4è dimanche de l’année, A

Si on vous demandait quel est le mot le plus souvent utilisé… sans doute plusieurs penseraient au mot : AMOUR.
D’autres affirmeraient que c’est le mot BONHEUR qui a la première place dans nos conversations.

Personnellement, je n’ai pas de peine à le croire.
Nous venons de conclure la période de Noël avec ses échanges multiples de bons souhaits.
Le mot BONHEUR était rarement absent de nos vœux; oui, on désire tous et pour tous : une ‘Bonne et HEUREUSE année.’
Santé, Succès et, certainement BONHEUR se retrouvaient dans les cartes – virtuelles où réelles!

La grande toile de l’internet semble donner raison à la théorie du bonheur comme concept… primordial. Demandez à Google ce qu’il a à vous offrir et vous serez littéralement inondé de suggestions. On vous recommande les Recettes du bonheur, les Défis du bonheur, les Étapes vers le bonheur. Il y a même une Avenue du bonheur, ou un Boulevard du bonheur. Et ne manquez surtout pas : La clé du bonheur – elle y est aussi! Oh, on vous offre évidemment une Bulle de bonheur d’où seront absents, bien sûr, les mauvais moments, les difficultés, les problèmes, et les troubles de toutes sortes. Bien au chaud dans votre ‘bulle’, vous serez à l’abri des misères de l’humanité, vous serez ‘bienheureux’.

On associe le bonheur à la joie, le plaisir, la satisfaction, l’accomplissement, le succès, la réalisation de soi, et quoi encore? En parcourant tout ce panorama, je serais tentée de demander à l’un et à l’autre de ces internautes enthousiastes si eux sont… heureux, vraiment heureux!

L’évangile d’aujourd’hui (4è dimanche, année A – Mt.5 :1-12) nous présente ce que certains nommeraient : ‘La charte du bonheur’. Elle est proclamée par Jésus lui-même au début des années de sa vie consacrées à l’enseignement des foules. Mais, à vrai dire, pour des oreilles modernes, le vocabulaire de ce texte est assez rébarbatif et la perspective plutôt rebutante…

La pauvreté, les larmes, l’injustice, la calomnie des autres, la misère, la faim et la soif (de la justice bien sûr), la lutte pour la paix, la persécution – c’est ça le bonheur?
C’est ça… si on ose s’en remettre à… la deuxième partie de chaque phrase – c’est ce qui fait toute la différence!

Mais il s’agit d’une différence que l’on peut appréhender seulement dans la foi… l’espérance… et la confiance dans celui qui a prononcé ces paroles.
Et certains seront tentés de dire : ‘C’est le monde à l’envers!’
Mais peut-être est-ce justement à l’envers que l’on peut découvrir le vrai bonheur – là où se trouve la compassion, la justice, la consolation, la paix qui sont l’essence même de la ‘béatitude’.

Autrement… autrement il ne reste que des paroles et des promesses aussi peu tangibles et aussi éphémères que le vent qui les emporte!

Source: Images: www.clker.com;   Pinterest;    www.lds.org

11th Sunday of the Year, C

The scene is well-known, the story it depicts as well, and the woman character in it is no less famous, could we say. So many works of art, works of fiction and of theological reflection are centred on the subject: Mary Magdalene, the women of Magdala.

The gospel text of this Sunday (11th Sunday of the Year, C – Lk.7:36-50) brings again this scene to our minds and hearts. Much has been said and much more could be said about the woman and about her encounter with the Man of Nazareth, that Teacher so different from all others.

For me, the story could be summarizwoman-anointing Im-international.used in two verses of the Psalms:
“My sacrifice is this broken spirit, you will not scorn this broken heart.”   (Ps.51:17)
“The Lord is near to the broken of heart, he helps those whose spirit is crushed.”   (Ps.34:18)

More than the broken jar of her perfume, Mary Magdalene brought to Jesus her broken heart – her sorrow for what she had been and… for what she had not been!
Her crushed spirit was filled with regrets, sincere repentance for what her life had been so far; this is what she brings silently before the Man of God.

Her broken heart shows the scars of what the contempt, the arrogance, the selfishness of people have inflicted on her.
All this added to the bitterness of being conscious of her failings – this is what she can place near the feet that she washes and dries with her hair.

She speaks no word, no confession is heard, no self-accusation or even promise of doing better – all is expressed in her silent offering.
Jesus receives it as it is offered, and he is indeed near the woman with a broken heart.
His nearness makes of him her defender against the silent accusation of the self-righteous Pharisee.

Amazingly, Jesus condemns nobody, not even Simon – he, himself, is the one giving the correct answer which condemns him.
It seems that, like some people still today, he has all the answers but… so little compassion!
And, it seems also that our God is a God of compassion… the very compassion that the Man of Nazareth is showing to the woman at his feet.

Source: Image: Im-international.us

Journée Mondiale des orphelins du SIDA – 7 mai

Toutes les 15 secondes, le SIDA tue un papa ou une maman. Le 7 mai, c’est la Journée Mondiale des Orphelins du Sida… En 2005, ils sont déjà plus de 15 millions. Suite à la mort de leur fils au cours d’une mission héliportée au Mali Albina du Boisrouvray et Bruno Bagnoud fondent, en 1989, l’Association François-Xavier Bagnoud (AFXB) pour perpétuer l’idéal de compassion et de générosité qui guidait sa vie et poursuivre, dans des activités de développement, les missions de sauvetage qu’il pratiquait de son vivant.sida

La mission de l’AFXB est de lutter contre la pauvreté et le SIDA et de soutenir les orphelins et les enfants vulnérables que la pandémie laisse dans son sillage en militant pour leurs droits fondamentaux et en offrant un appui global aux familles et communautés qui les prennent en charge.L’AFXB retisse les liens qui se sont brisés autour d’eux pour leur assurer un futur décent. En mettant en place des programmes de développement communautaire durable, elle renforce les capacités des familles et des collectivités dévastées par la pauvreté et le SIDA afin qu’elles soient en mesure d’élever leurs orphelins et enfants vulnérables.

L’AFXB milite pour que les responsables politiques considèrent ces enfants largués comme une priorité et que des mesures urgentes soient prises pour les intégrer dans notre société globale. Leur prise en charge constitue un défi humanitaire, économique, sécuritaire et social majeur. L’objectif est de réinsérer dans leur société ces enfants vulnérables qui, privés de tout repère et d’amour, sont des proies faciles pour la délinquance, la prostitution, les conflits armés, le terrorisme ou la drogue. Depuis sa création, l’AFXB est intervenue auprès de plus de 1 million 500 mille personnes dans 17 pays à travers le monde.

« Les orphelins du SIDA, ainsi que tous les enfants affectés et/ou infectés par le virus, sont parmi les enfants les plus vulnérables de la planète. Ils sont le reflet des millions d’orphelins d’autres causes et des millions d’enfants des rues, à la dérive de la civilisation. »
Albina du Boisrouvray

Un site à visiter : www.afxb.org        Source: Texte & image: Journée mondiale

Journée mondiale des malades – 11 février

maladesLa maladie et la souffrance peuvent parfois bouleverser nos vies ou celles de nos proches: pour nous encourager à donner de notre temps, soutenir les malades, être attentif à leurs besoins, une journée mondiale des malades, créée en 1992 par le Pape Jean-Paul II, est célébrée chaque année, le 11 février, jour de la fête de Notre-Dame de Lourdes.

Avoir le souci des malades
Les malades se sentent très rapidement mis à part de la vie des bien portants, c’est pourquoi les liens de solidarité, et tout ce qui permet aux personnes atteintes de maladie de se sentir écoutées, reconnues est extrêmement important. Bien que cette journée ait un sens tout particulier pour les Chrétiens, il n’est pas nécessaire d’avoir des convictions religieuses pour apporter son aide et sa compassion à des personnes souffrantes, un petit geste suffit !

Message du Pape François pour la journée 2016
« La maladie, surtout lorsqu’elle est grave, met toujours l’existence humaine à l’épreuve et apporte avec elle des interrogations qui creusent en profondeur. Parfois, le premier moment peut être de révolte : pourquoi est-ce que cela m’est arrivé ? On se sent désemparé, la tentation devient grande de penser que tout est perdu, que désormais rien n’a plus de sens… Dans ces situations, la foi en Dieu est, d’une part, mise à l’épreuve et, d’autre part, révèle en même temps toute sa puissance positive. Non parce que la foi fait disparaître la maladie, la douleur ou les problèmes qui en dérivent, mais parce qu’elle offre une clé avec laquelle nous pouvons découvrir le sens le plus profond de ce que nous sommes en train de vivre. »

Source: Texte & image: Journée mondiale