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4è dimanche de l’année, A

Si on vous demandait quel est le mot le plus souvent utilisé… sans doute plusieurs penseraient au mot : AMOUR.
D’autres affirmeraient que c’est le mot BONHEUR qui a la première place dans nos conversations.

Personnellement, je n’ai pas de peine à le croire.
Nous venons de conclure la période de Noël avec ses échanges multiples de bons souhaits.
Le mot BONHEUR était rarement absent de nos vœux; oui, on désire tous et pour tous : une ‘Bonne et HEUREUSE année.’
Santé, Succès et, certainement BONHEUR se retrouvaient dans les cartes – virtuelles où réelles!

La grande toile de l’internet semble donner raison à la théorie du bonheur comme concept… primordial. Demandez à Google ce qu’il a à vous offrir et vous serez littéralement inondé de suggestions. On vous recommande les Recettes du bonheur, les Défis du bonheur, les Étapes vers le bonheur. Il y a même une Avenue du bonheur, ou un Boulevard du bonheur. Et ne manquez surtout pas : La clé du bonheur – elle y est aussi! Oh, on vous offre évidemment une Bulle de bonheur d’où seront absents, bien sûr, les mauvais moments, les difficultés, les problèmes, et les troubles de toutes sortes. Bien au chaud dans votre ‘bulle’, vous serez à l’abri des misères de l’humanité, vous serez ‘bienheureux’.

On associe le bonheur à la joie, le plaisir, la satisfaction, l’accomplissement, le succès, la réalisation de soi, et quoi encore? En parcourant tout ce panorama, je serais tentée de demander à l’un et à l’autre de ces internautes enthousiastes si eux sont… heureux, vraiment heureux!

L’évangile d’aujourd’hui (4è dimanche, année A – Mt.5 :1-12) nous présente ce que certains nommeraient : ‘La charte du bonheur’. Elle est proclamée par Jésus lui-même au début des années de sa vie consacrées à l’enseignement des foules. Mais, à vrai dire, pour des oreilles modernes, le vocabulaire de ce texte est assez rébarbatif et la perspective plutôt rebutante…

La pauvreté, les larmes, l’injustice, la calomnie des autres, la misère, la faim et la soif (de la justice bien sûr), la lutte pour la paix, la persécution – c’est ça le bonheur?
C’est ça… si on ose s’en remettre à… la deuxième partie de chaque phrase – c’est ce qui fait toute la différence!

Mais il s’agit d’une différence que l’on peut appréhender seulement dans la foi… l’espérance… et la confiance dans celui qui a prononcé ces paroles.
Et certains seront tentés de dire : ‘C’est le monde à l’envers!’
Mais peut-être est-ce justement à l’envers que l’on peut découvrir le vrai bonheur – là où se trouve la compassion, la justice, la consolation, la paix qui sont l’essence même de la ‘béatitude’.

Autrement… autrement il ne reste que des paroles et des promesses aussi peu tangibles et aussi éphémères que le vent qui les emporte!

Source: Images: www.clker.com;   Pinterest;    www.lds.org

2è dimanche de l’année, A

Un chèque en blanc.
On n’entend pas l’expression souvent… peut-être parce que l’action elle-même n’est pas monnaie courante, pourrait-on dire!
Signer un chèque valide, d’une signature authentique, relevant d’une institution bancaire fondée mais… sans aucun montant indiqué – le porteur inscrira lui-même, ou elle-même, la somme désirée.

Pouvez-vous imaginer une telle pièce?
Qui oserait signer un tel document?
Autant dire que le signataire donne son avoir à la personne qui détiendra le fameux chèque.
Pas de restriction, pas de date de péremption, pas de clause de nullité.
C’est signé, c’est donné.

C’est l’exemple qui m’est venu en lisant – non, en priant – les versets 8 et 9 du Psaume 40 :
« Me voici, Seigneur, je viens faire ta volonté »

Prière audacieuse que celle-là, prière du Psalmiste qui est convaincu que :
« Dans le livre, est écrit pour moi ce que tu veux que je fasse ».
Désormais il consacre sa vie à faire, à être, à devenir, ce que Dieu veut de lui.

Pas étonnant qu’on ait mis ces paroles dans la bouche de Jésus qui un jour affirmerait :
« Ma nourriture est de faire la volonté de celui qui m’a envoyé » (Jn.4 :36).

Au début d’une nouvelle année, peut-être est-ce le programme idéal que l’on peut se tracer.
Devant nous, il y a encore tous ces mois d’inconnu, d’inattendu, d’impondérable, d’incontrôlable…
Tant de choses indéterminées, que l’on n’aura ni choisies ni voulues…

Dire ‘Oui’ d’avance, quoi qu’il arrive ?
Au matin de chaque jour, oser murmurer : ‘Seigneur, oui, ce que tu veux, quand tu veux, comme tu veux…’
Sans condition, sans restriction, avec la seule détermination de faire Sa volonté à Lui?
S’en remettre ainsi avec la conviction absolue que l’on ne pourrait rien faire de mieux?

Certains diront : ‘C’est fou.’
D’autres affirmeront : ‘C’est naïf.’

Et si c’était la vraie sagesse qui ouvre le chemin vers un bonheur qu’on arrive à peine à imaginer ?…

Source: Images: blogs.grupojoly.com;  Yemenite Torah Parchment, Messianic Bible

 

« Il était une fois… »

Qui n’aime pas les histoires et les contes?il-etait-une-fois-livres-acces-fr
Les enfants les adorent, les adultes les inventent!
On aime tous entendre les mots magiques : « Il était une fois… »

« Il était une fois… »
Des contes de fée…
Des fables fantastiques…
Des récits d’aventure…

Il y a même des épisodes intitulés : « il était une fois… la vie. »
Et moi je dis : « Il était une fois… MA vie… avec… »

Ses secrets, ses succès, ses excès…
Ses questions, ses suggestions, ses tentations…
Ses ambitions, ses aspirations, ses dévotions…
Ses sentiments, ses pressentiments, ses assentiments…
Ses effrois, ses joies, ses émois…
Ses quêtes, ses requêtes, ses enquêtes…
Ses peurs, ses ardeurs, ses petits et grands bonheurs…
Ses attentes et ses ententes…
Ses déboires, ses espoirs, ses ‘Aurevoirs’…

Innocence… Patience… Silence…

Mon Dieu! Une vie humaine, est-ce tout cela?
Tout cela et… tellement plus encore!…

Se pourrait-il alors que chaque situation, chaque sensation, devienne à son tour le chapitre d’une histoire sainte où chaque moment façonne l’image de la personne que Dieu anticipe de voir paraître devant lui?…

Et… si ce n’était pas un conte ?!

Source: Image: acces.fr

                                  

Sage, bien sage…

petite fille sageDans ma petite enfance, j’ai maintes fois entendu ces paroles : « Il faut être sage, bien sage. » Il y avait tant de raisons d’être sage et beaucoup de situations où il fallait l’être! « Il faut être sage pour faire plaisir à maman… » « Il faut être sage pour ne pas déranger grand-maman… »

Puis le temps est venu d’aller à l’école où j’ai vite appris à réciter les dons du Saint-Esprit. Il y en avait un qui retenait toujours mon attention plus que les autres : le don de… SAGESSE! L’Esprit-Saint était-il donc ‘complice’ de ceux et celles qui me répétaient d’être sage?

Mais au fil des ans, ma compréhension de cette prescription d’être sage évoluait dans une direction insoupçonnée des personnes qui m’avaient dirigée dans la voie d’une petit fille bien sage. Il devenait de plus en plus évident pour moi qu’être sage et avoir la sagesse étaient des réalités différentes et témoignaient de valeurs d’un ordre différent aussi.

Voici que dernièrement, un prophète de notre monde moderne, l’Abbé Pierre, venait apporter un soutien non équivoque à ma compréhension d’une personne vraiment sage. Je vous partage ici ses paroles :

« La sagesse, ce n’est pas ‘être sage’. Sagesse, ça vient du mot latin sapere : savourer, déguster. Je l’expliquais autrefois à l’un ou l’autre de mes compagnons. Tu me demandes : Dieu, qu’est-ce que ça veut dire? Rappelle-toi, il y a un mois, tous les deux, on s’est crevés pendant toute une journée pour arranger un local où allait être logé un vieux couple; quand tout a été fini, on a mis des fleurs, on a accroché des rideaux, on a fait la soupe, et puis on a été les chercher. Tu te souviens de leur joie!

On est rentré, on avait froid, on avait faim… et tu m’as dit : ‘Père, comme je suis heureux de ma journée’. Cette sorte de bonheur, cette joie-là qui ne ressemble à aucune autre… N’oublie jamais cette joie, car tu viens de recevoir le don le plus parfait qui puisse exister, tu viens de recevoir le don de sagesse – le don de savourer, le don de goûter comme c’est bon de s’être donné du mal pour que d’autres aient moins de mal. À ce moment-là, tu as rencontré Dieu. »

Alors, je veux bien « être sage » de cette façon!…

Abbé Pierre, Dieu Merci, pp.71-72       Source: pixabay.com
                        
                        

 

2è dimanche de Pâques, C

bonjourbonheur-clr, alongtheleftbank.comLa ‘grande toile’ de l’internet offre à ses adeptes toutes sortes de présentations, elle touche à tout, ou presque! Les sujets les plus divers y sont abordés. Des articles savants aux actualités quotidiennes, les sujets historiques ou imaginaires, les invitations réelles ou virtuelles – les internautes peuvent accéder à tout cela avec quelques clics de la souris.

Vous pouvez y trouver, évidemment, des conseils pertinents – et d’autres qui le sont moins – sur toutes sortes de choses, y compris… le BONHEUR! Ah, cette réalité si fascinante, si élusive aussi, pourquoi ne pouvons-nous pas l’atteindre? Elle semble insaisissable – au moment où nous croyons posséder ce précieux don, voilà qu’il nous échappe et, en hâte, nous nous remettons à sa poursuite. On nous offre toutes sortes de ‘recettes’ pour obtenir le bonheur. On nous enseigne aussi comment le mesurer, quels sont les critères du ‘vrai’ bonheur, etc. On vous fera même faire un petit exercice pour savoir si vous vous classez parmi cette classe bien spéciale… des gens heureux!

Ayant lu tout ce qu’on vous offre, êtes-vous satisfait? Moi, je ne le suis pas. Et voici qu’en ce 2è dimanche de Pâques (année C), un long passage de l’évangile de Jean nous est proposé (Jn.20 :19-31) et… je reste ‘accrochée’ – c’est le mot – à un verset qui se trouve presque à la fin du texte. Il me va droit au cœur en m’assurant… du BONHEUR : « Heureux ceux qui croient sans avoir vu ». 

Au début de la période de son enseignement aux foules, Jésus avait prononcé des paroles que l’on a ensuite mises sous le titre de Béatitudes. Il répète ce petit mot : HEUREUX qu’il attribue à différentes catégories de gens. Mais il n’avait pas prononcé cette ‘ultime’ béatitude – celle qui me retient aujourd’hui. Et, soudainement, je me dis que… je suis heureuse et je ne le savais pas!

Heureuse, oui, parce que… JE CROIS… Peut-être me faut-il prendre conscience de ce en quoi je crois plutôt que de poursuivre une pseudo félicité qui me fera faire fausse route. NON, je corrige : prendre conscience de CELUI en qui je crois, celui à qui je peux me fier avec une certitude absolue. Celui qui m’assure : « Et voici que je suis avec vous jusqu’à la fin des temps » (Mt.28 :20). Et cette présence infaillible est l’assurance d’un bonheur qui traverse les difficultés, surmonte les obstacles, sait vaincre la peur et peut libérer des esclavages.

Et cela n’a rien en commun avec l’autosuggestion habile ou l’imagination fertile! Non, c’est le roc solide sur lequel on bâtit une vie, une vie qui s’ouvre sur celle qui ne finit pas… Bâtir avec celui qui affirme: « Je détiens les clés de la mort… » (Ap.1:19).

Voir la vidéo sur ce thème à la page ON M’A PARLÉ DE…   Source: Image: alongtheleftbank.com

Journée mondiale du bonheur – 20 mars

bonheur1-300x224Prenez un jour « normal », sans guerre, sans catastrophe, sans aucun viol, sans fermeture d’usine, sans expulsion… ç’est bon, vous l’avez trouvé ? il ne vous reste plus qu’à créer la journée internationale du bonheur. Présenté comme cela, c’est presque drôle. Ce qui l’est moins, c’est que cette journée existe bel et bien et qu’elle a été décrétée par l’ONU à l’unanimité des pays membres. Mieux, ni la Russie ni la Chine n’ont exercé leur droit de veto.

Une journée alibi ?
La résolution de l’assemblée générale de l’ONU est explicite, elle invite chaque état-membre à célébrer cette Journée comme il se doit, notamment dans le cadre d’initiatives éducatives et d’activités de sensibilisation. Pour faire bonne mesure l’auguste assemblée associe à cette démarche les différents organismes des Nations Unies, toutes les organisations internationales et régionales ainsi que la société civile.

images-28Un objectif fondamental de l’être humain
On aurait pu aussi parler de journée gadget… mais c’est loin d’être le cas et la déclaration du Secrétaire Général des Nations Unies est explicite: Le monde a besoin d’un nouveau paradigme économique qui reconnaît la parité entre les trois piliers du développement durable. Les bien-être social, économique et environnemental sont indissociables. Ensemble, ils définissent le bonheur brut mondial.

La journée mondiale du bonheur est bien dans l’air du temps et de la recherche d’un « mieux vivre ». Les économistes cherchent aujourd’hui à élaborer de nouveaux outils de mesures pour mieux prendre en compte l’importance du bonheur pour le développement afin d’orienter les politiques nationales. On en arrive ainsi au véritable but de cette journée : la prise de conscience par les gouvernements que la seule croissance économique ne suffit plus à assurer le « bonheur » d’un pays et qu’un développement plus équitable, équilibré et durable permettrait de mieux éliminer la pauvreté et assurer le bien-être de tous les peuples.

Un site à visiter : www.un.org      Source: Texte: Journée mondiale     Images: www.tours-madame.fr    locavac-luchon-cure-ski.overblog.com

Je te souhaite…

En cette période où nous échangeons des bons souhaits de toutes sortes, j’ai reçu un texte dont le message est assez spécial. Vous pouvez en juger par vous-mêmes!

28139726-pagina-del-calendario-con-marcata-data-del-31Récemment, j’ai surpris un père et sa fille dans leurs derniers moments ensemble à l’aéroport. On avait annoncé le départ. Debout près de la porte de sécurité, ils se sont serrés et le père a dit « Je t’aime et je te souhaite assez. »

La fille a répondu « Papa, notre vie ensemble a été plus qu’assez. Ton amour a été tout ce dont j’avais besoin. Je te souhaite assez, aussi, papa. »

Ils se sont embrassés et la fille est partie. Le père a marché vers la fenêtre où j’étais assise. Je pouvais voir qu’il avait besoin et qu’il voulait pleurer. J’ai essayé de ne pas m’imposer et respecter son intimité, mais il m’a demandé « Vous est-il déjà arrivé de dire au revoir à quelqu’un en sachant que vous ne vous reverriez jamais ? »

« Oui. » j’ai répondu. « Me permettez-vous de vous demander pourquoi vous croyez que vous ne vous reverrez jamais ? ».

« Je suis vieux et elle vit si loin. J’ai de gros défis devant moi et la réalité est que son prochain voyage sera pour mon enterrement» a-t-il dit.

« Quand vous vous disiez au revoir, je vous ai entendu dire « Je te souhaite assez. » Est-ce que je peux vous demander ce que cela signifie ? »
Il a commencé à sourire. « C’est un souhait qui nous vient de plusieurs générations qui nous ont précédé. Mes parents avaient l’habitude de le dire à chacun. » Il a fait une pause un moment et regarda au plafond, comme s’il essayait de se rappeler en détail, et il a souri encore plus. « Quand nous disons « Je te souhaite assez » nous souhaitons que l’autre personne ait une vie remplie de juste assez de bonnes choses pour les garder heureux.. » Alors, se tournant vers moi, il a partagé ce qui suit comme s’il récitait un texte mémorisé.

Je te souhaite assez de soleil pour maintenir ton attitude lumineuse peu importe que la journée soit grise et moche.

Je te souhaite assez de pluie pour apprécier le soleil encore plus.

Je te souhaite assez de bonheur pour maintenir ton esprit vivant et éternel.

Je te souhaite assez de douleur de sorte que même la plus petite des joies dans la vie puisse te sembler grande.

Je te souhaite assez de gain pour satisfaire tes besoins.

Je te souhaite assez de perte pour apprécier tout ce que tu possèdes.

Je te souhaite assez d’Au revoir pour te permettre de bien te rendre à l’Au revoir final.

Alors, à chacun et chacune de vous, en ce début d’année, la ‘webmaster’ de ce site vous souhaite ‘ASSEZ pour…!’

1er dimanche de l’Avent, C

promesse

Une promesse… des promesses… J’en fais, vous en faites, tout le monde en fait! Il y a les promesses oubliées si tôt prononcées. Il y a les promesses qu’on avait vraiment l’intention de tenir mais… ceci ou cela s’est produit et ce qui avait été promis n’a jamais été réalisé. Puis, il y a les autres – les promesses qu’on a tenues, et celles que les autres n’ont pas manqué de tenir envers nous. Celles-là nous font chaud au coeur.

Une promesse a un goût particulier, une saveur unique, douce comme le miel. Ce peut être quelque chose d’anodin ou quelque chose de plus important, mais ce qui nous rejoint c’est que quelqu’un a prononcé ces mots magiques: « Je vais te donner ceci, je ferai cela pour toi. »

Les amoureux se font souvent des promesses bien à eux et il y en a une qui est tout à fait spéciale: la promesse… du bonheur! Nous savons bien – et ils le savent aussi – que c’est une promesse irréalisable! Vraiment? Bien sûr, ils feront tout en leur pouvoir pour rendre l’autre heureux, heureuse, mais la vie ne les soutient pas toujours dans leurs efforts.

Est-ce que quelqu’un vous a déjà promis le bonheur? Vous cherchez dans vos souvenirs… N’allez pas si loin! Cette promesse nous est faite aujourd’hui même. Oui, et celui qui a prononcé ces paroles qu’on souhaite entendre est Dieu lui-même! Par son prophet Jérémie, il nous dit: « J’accomplirai la promesse de bonheur que j’ai prononcée. »

Vous allez dire: ‘Oui, mais Dieu a dit ses paroles à son peuple Israël’, et vous avez raison. Mais un autre prophète, Isaïe, nous dit: « La parole de Dieu subsiste à jamais » (40:8). Donc, sa promesse est valide pour nous aujourd’hui. Vous pensez peut-être que votre expérience quotidienne n’a pas beaucoup la couleur du bonheur, c’est plutôt de la grisaille, peut-être même de l’obscurité. C’est vrai que souvent nous avons à traverser des moments difficiles et des périodes éprouvantes. C’est que nous sommes encore dans la période de l’Avent, de l’attente – l’attente de la réalisation de la promesse.

L’Avent c’est cela: at-tendre, TENDRE VERS quelque chose, vers quelqu’un, Celui qui vient et dont la promesse est infaillible. Lui, il a fait ses preuves!

Source: Image: osezbriller.com