image-i-nations trésor

Journée Mondiale de La Croix Rouge – 8 mai

Le choix du 8 mai pour la journée mondiale de la croix rouge est dû à l’anniversaire de la naissance d’Henry Dunant, fondateur en 1863 de la Croix-Rouge internationale et des Conventions de Genève.

Naissance d’un mouvement
A Solferino (dans la Province de Mantoue, au nord de l’Italie). L’Empereur Napoléon III, à la tête d’une armée franco-piémontaise, écrase les Autrichiens dans une bataille extrêmement meurtrière. Des milliers de blessés agonisent faute de soins. Des appels aux secours restent sans réponse. Témoin de cette tragédie, un citoyen suisse, Henry Dunant, improvise des secours avec le concours des populations civiles locales. Il assiste sans discrimination les soldats des deux camps. Fortement ébranlé par ce qu’il vient de voir, Henry Dunant publiera à son retour l’un des premiers reportages de guerre : « Un Souvenir de Solférino » dans lequel il dénonce les horreurs des combats.

A partir de ce jour, des milliers d’hommes, de civils, de soldats, de prisonniers auront droit à ces gestes fraternels qui rendent moins cruelles les heures d’épreuve et de souffrance. 5 ans après Solférino, l’idée d’Henry Dunant a fait son chemin. Un comité de 5 personnes s’est constitué à Genève afin d’examiner les moyens à mettre en œuvre pour protéger les blessés sur les champs de bataille.

Une conférence internationale se réunit à Genève. Seize nations y participent, dont la France. Ils décident de créer, dans chaque pays, des comités de secours et choisissent un emblème : une croix rouge sur fond blanc. Les Etats adoptent des règles internationales définissant le sort des personnes aux mains de l’ennemi et qui ne participent pas au combat : ce sont les Conventions de Genève dont la première vit le jour le 22 août 1864.

La croix rouge de nos jours
Regroupant 97 millions d’hommes et de femmes, On compte maintenant des Sociétés nationales de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge dans 176 pays du monde.

Le Mouvement International de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge contribue à l’extension et à la promotion du Droit International Humanitaire (DIH). En assurant sa diffusion, en exerçant une action constante auprès des Etats, il s’efforce d’en faire respecter les principes et l’application lors des conflits. Il met également tout en œuvre pour favoriser l’adoption de règles toujours plus protectrices. Ainsi, la Croix-Rouge, en témoignant de son action constante en faveur des victimes, et en diffusant son éthique de tolérance et de dialogue contribue à la prévention des conflits et des tensions.

Source: Texte (abrégé): Journée Mondiale       Images : www.croix-rouge.fr www.calendeo.com

 

Journée internationale des Roms – 8 avril

Les Roms (parfois écrit Rroms, également désignés en français sous les noms de Tziganes, Gitans, Bohémiens, Manouches ou Romanichels selon les pays d’où ils sont supposés venir notamment, par les appellations d’origine scientifique Kalés ou Sintis, ou encore gens du voyage par confusion ou vision fantasmée, l’immense majorité étant sédentaire) forment un ensemble de populations établies dans divers pays du monde et se considérant comme formant un seul peuple, en raison de leur origine et de leur culture communes.

Source: Text : Wikipedia

C’est le 8 avril 1971, que les Roms, qui représentent la première minorité de l’Union européenne, choisissaient, malgré une situation encore difficile, les symboles de leur communauté ainsi que leur drapeau et leur hymne.

Peuple nomade formé de quatre groupes (Les Kalderash, les Curara, les Lovara; les Boyasa), il fait partie de la famille des tziganes, souvent surnommé Romanichel ( » peuple de Rrom  » en Sinti*).

Le peuple Rom dans l’histoire
C’est vers l’an 1000, que les Roms quittèrent l’Inde et l’Egypte dont ils sont originaires pour se rendre en Perse. Ils atteignirent les Balkans vers le XIVème siècle. Se dispersant à travers l’Europe, ils se christianisèrent au contact de la population chrétienne européenne.

C’est en Europe de l’Ouest, qu’ils connaîtront leur plus grande vague de migration au XVIème siècle, où certain pays n’hésiteront pas à les déporter dans les colonies africaines et Américaines. Jusqu’au XXème siècle, les Roms se retrouveront plus ou moins en bon terme avec les Européens.

Mais, dès 1930, ils seront victimes de la politique raciale des nazis et de leur programme d’extermination et de génocide. On dénombre entre 250 000 et 500 000 déportés et tués sur les 700 000 qui vivaient en Europe. Cette période porte pour les Roms le nom de Samudaripen, c’est à dire « meurtre total » en langue Romani.

Les Roms d’aujourd’hui
On estime qu’il y a entre 7 et 9 millions de Roms qui vivent en Europe. Beaucoup de Roms sont toujours victimes de la tziganophobie. Et celle-ci ne peut être combattue que par la reconnaissance de leur histoire, de leur culture, et de leur contribution au patrimoine européen. Par l’ignorance ou par des idées reçues, ils sont encore victimes à différents degrés du racisme et de la discrimination.

Un devoir de mémoire
De nos jours, l’ampleur du génocide des Roms n’est pas assez reconnue au près d’un large public, et certains ignorent même son existence. Cela est probablement du au fait qu’il aura fallu attendre 1982 pour que l’Allemagne reconnaisse officiellement ses responsabilités et en France seulement 1997, pour qu’un Président de la République y fasse référence, pour la première fois, dans une cérémonie en mémoire des victimes de la déportation.

En 2005, lors du 60ème anniversaire de la libération des camps, un hommage solennel a été rendu à toutes les victimes de cette barbarie, dont les Roms.

La question des droits de l’homme
La situation vécue par les Roms en France amène chacun à se questionner sur le nécessaire respect des droits de l’homme, en France bien entendu, mais aussi et surtout dans les pays d’origine des populations Roms où elles sont constamment discriminées et rejetées. La politique européenne est encore à construire en la matière!

[*Sinti : Langue issue du mélange entre le Roumain et l’Allemand]

Un site à visiter : romove.radio.cz   Source : Texte & Image : Journée Mondiale

 

Mine Awareness Day – 4 April

The United Nations’ International Day for Mine Awareness and Assistance in Mine Action is observed on April 4 each year. This day aims to raise awareness about landmines and progress toward their eradication.

The day aims to raise awareness about landmines and progress toward their eradication. « Mine action » refers to a range of efforts to clear landmines and explosive remnants of war and to mark and fence off dangerous areas. It also includes assisting victims, teaching people how to remain safe in a mine-affected environment, advocating for universal participation in international treaties related to landmines, explosive remnants of war and their victims, and destroying landmines stockpiled by governments and non-state armed groups. 

Background
On 8 December 2005, the United Nations (UN) General Assembly declared that April 4 of each year would be officially proclaimed and observed as International Day for Mine Awareness and Assistance in Mine Action. It was first observed on April 4, 2006.

It called for continued efforts by states, with assistance from the UN and relevant organizations, to help establish and develop national mine-action capacities in countries where mines and explosive war remnants constitute a serious threat to the safety, health and lives of people, or hinders social and economic development at the national and local levels.
 
According to the Landmine Monitor Report 2005, 84 countries were affected by landmines and unexploded ordnance, which together kill or maim between 15,000 and 20,000 adults and children annually. The UN works together with countries to find and destroy these devices. It also helps to provide various mine-action services in many countries.

Source: Text: timeandate.com Image: YouTube

 

 

Journée Internationale du patrimoine canadien – 20 février 2024

La Fête du patrimoine canadien a été créée en 1973 par la Fondation Héritage Canada. Cette journée internationale a lieu chaque troisième lundi du mois de février. Son objectif principal est la promotion du patrimoine historique, architectural et naturel du Canada qui revêt une importance particulière à l’échelle nationale.

Un « morceau » de territoire canadien dans le Pas-de-Calais (oui, en France !)…
Ce monument représente l’hommage le plus impressionnant que le Canada a rendu à ceux de ses citoyens qui ont combattu et donné leur vie au cours de la Première Guerre mondiale.

Points culminants stratégiques, offrant des vues imprenables sur le bassin minier, les collines de l’Artois qui furent à plusieurs reprises le cadre de violents et sanglants combats. Le Mémorial canadien de Vimy est le plus prestigieux des monuments canadiens d’Europe, devenu terre canadienne  » un don de la nation française au peuple canadien «  et symbole de l’histoire internationale, sur lequel sont gravés les noms des victimes des combats. Il a été élevé à la mémoire des 66000 jeunes canadiens ayant laissé leur vie ici et en France et commémore la bataille du 9 avril 1917.

Le Monument fait plus qu’indiquer l’emplacement des combats dont les Canadiens tirent plus de fierté que de toute autre opération de la Première Guerre mondiale. II représente un hommage à tous ceux qui ont combattu pour leur pays durant ces quatre années de guerre et, en particulier, à ceux qui ont donné leur vie. Sur le socle du Monument, sont gravés dans la pierre, en français et en anglais, les mots suivants :

A la vaillance de ses fils pendant la grande guerre, et en mémoire de ses soixante mille morts, le peuple canadien a élevé ce monument.

Un site à visiter : www.nordmag.fr        Source: Texte & Image (vimy monument): Journée Mondiale

 

La Journée mondiale contre la traite des personnes – 8 février

En 2015, le Pape François institua le 8 février, fête de Ste Bakhita, * comme Journée internationale de prière et de sensibilisation contre la traite des êtres humains (JMPT).

La journée est célébrée chaque année le jour où nous nous souvenons de la mémoire liturgique de Sainte Bakhita, qui a connu dans sa vie les souffrances de l’esclavage.

La Journée mondiale de prière et de réflexion contre la traite des personnes (GMPT), qui sera célébrée le 8 février 2018, aura pour thème : « Migration sans trafic. Oui à la liberté! Non au chemin! 

Vous êtes invité à allumer une bougie pour ces frères et sœurs victimes de la traite humaine et un signal de notre engagement à lutter contre la traite. Allumons surtout nos cœurs et nos vies afin d’être une lumière accueillante qui donne de l’espérance dans nos rencontres. 

Source : Texte & Illustrations: renate-france.wordpress.com

Note: RENATE (Religious in Europe Network Against Trafficking and Exploitation) dont la traduction en français est Religieuses en Europe coNtre lA Traite et l’Exploitation présent dans plus de 20 pays. 

* Sainte Joséphine Bakhita était une Soudanaise qui a été vendue et revendue cinq fois sur les marchés comme esclave, maltraitée et fut finalement libérée. Elle a été canonisée par le Pape Jean Paul ll en 2000.

Source: Image: dowym.com

Journée internationale de commémoration de l’Holocauste – 27 janvier

Chaque année autour du 27 janvier, l’UNESCO rend hommage à la mémoire des victimes de l’Holocauste et réaffirme son engagement indéfectible à lutter contre l’antisémitisme, le racisme et les autres formes d’intolérance qui peuvent conduire à la violence ciblée sur un groupe. La date marque l’anniversaire de la libération du camp de concentration et d’extermination nazi d’Auschwitz-Birkenau par les troupes soviétiques le 27 janvier 1945, et a été officiellement proclamée Journée internationale dédiée à la mémoire des victimes de l’Holocauste par l’Assemblée générale des Nations Unies.

L’Holocauste a non seulement profondément meurtri les pays dans lesquels les crimes nazis ont été perpétrés, mais il a également eu des implications et des conséquences d’ordre universel en de nombreux autres endroits du monde. Les États membres partagent la responsabilité collective de remédier aux traumatismes résiduels, en maintenant des politiques de mémoire efficaces, en préservant les sites historiques et en encourageant l’enseignement, la documentation et la recherche, soixante-dix ans après le génocide.

Cette responsabilité suppose d’enseigner les causes, les conséquences et la dynamique de ces crimes afin de renforcer la résilience des jeunes face aux idéologies de haine. Alors que des génocides et des atrocités continuent de se produire dans plusieurs régions  cet enseignement n’a jamais été aussi pertinent qu’aujourd’hui.

Source : Texte & Image : UNESCO

Journée mondiale pour la prévention des abus envers les enfants – 11 novembre

La Fondation Sommet Mondial des Femmes : Femmes et en enfant d’abord (FSMF) a lancé en 2000 la Journée Mondiale pour la Prévention des Abus envers les Enfants. Cette journée est célébrée chaque 19 novembre en synergie avec la journée des droits de l’enfant (20 novembre), a pour objectif de mettre en évidence le problème des abus ainsi que la nécessité d’intervenir de toute urgence par la diffusion de programmes de prévention.

Les abus et l’exploitation des enfants (notamment au niveau sexuel) constituent un problème universel et alarmant. Une attention accrue ainsi que des mesures efficaces et soutenues de prévention et de protection sont nécessaires, que ce soit au niveau familial, local, national ou international.

Après une longue tradition du silence, les abus sexuels dont sont souvent victimes les enfants font de plus en plus l’objet de révélations, occupant une place éminente sur la scène publique et politique.

Les Gouvernements et les organisations de la société civile doivent jouer un rôle actif dans la promotion et le respect des droits de l’enfant (énoncés dans la Convention relative aux droits de l’enfant, articles 19 et 34 *)

  • 19 / Les Etats parties prennent toutes les mesures législatives, administratives, sociales et éducatives appropriées pour protéger l’enfant contre toute forme de violence, d’atteinte ou de brutalités physiques ou mentales, d’abandon ou de négligence, de mauvais traitements ou d’exploitation, y compris la violence sexuelle, pendant qu’il est sous la garde de ses parents ou de l’un d’eux, de son ou ses représentants légaux ou de toute autre personne à qui il est confié.
  • 34 / Les Etats parties s’engagent à protéger l’enfant contre toutes les formes d’exploitation sexuelle et de violence sexuelle. A cette fin, les Etats prennent en particulier toutes les mesures appropriées sur les plans national, bilatéral et multilatéral pour empêcher (…)

Agir chaque année
Malgré les nombreux acquis réalisés au profit de l’enfance au cours de ces trente dernières années, les droits de l’enfant continuent de subir des atteintes dans de nombreuses régions, avec la persistance de l’exploitation économique des enfants et tous les préjudices physiques, psychologiques et sociaux qui en découlent, en plus des épreuves et des situations dramatiques dans lesquelles se retrouvent les enfants en période de conflits armés et les diverses formes de désespoir et de souffrance qu’ils éprouvent du fait de la propagation de la pauvreté, de la famine, des fléaux et des endémies.

Un site à visiter : www.grandirensecurite.com   Source: Texte & Image: Journée Mondiale

Journée Internationale pour la préservation de l’environnement en temps de guerre – 6 novembre

A l’occasion de la Journée internationale pour la prévention de l’exploitation de l’environnement en temps de guerre et de conflit, le 6 novembre, le secrétaire général des Nations Unies a souhaité faire connaître son message :

Depuis que la guerre existe, l’environnement et les ressources naturelles en sont les victimes silencieuses. Les récoltes sont incendiées, les puits pollués, les sols empoisonnés et les animaux tués. Les objectifs ne sont pas toujours les mêmes : on peut vouloir se procurer un avantage stratégique, démoraliser des populations locales, venir à bout d’une résistance ou tout simplement nourrir ses soldats. Mais, même lorsqu’elles ne sont pas intentionnelles, les conséquences sont toujours catastrophiques.

Nous assistons à des actes de destruction purs et simples, notamment le rejet de polluants et de substances dangereuses. Nous sommes témoins de bouleversements sociaux, comme la création de populations de réfugiés qui, à leur tour, mettent plus rudement les ressources à contribution. Et puisque la plupart des conflits se déroulent dans les pays pauvres, nous constatons les ravages économiques infligés par les guerres à des populations vulnérables qui sont les moins outillées pour faire face aux dégâts subis par leur environnement et pour surmonter un ralentissement du développement.

Pendant la guerre du Golfe de 1991, les puits de pétrole du Koweït ont été délibérément incendiés et des millions de litres de pétrole brut ont été déversés dans les voies d’eau. Au Cambodge, 35 % de la couverture forestière a été détruite pendant les 20 ans qu’ont duré la guerre civile et les troubles. Au cours du conflit en Angola, le nombre des animaux sauvages a diminué de 90 % et, pendant la guerre du Viet Nam, des millions de tonnes d’agent orange ont été pulvérisées au-dessus des jungles de ce pays, ce qui a eu pour effet de dépouiller de toute végétation de vastes zones dont certaines ne peuvent toujours pas être cultivées aujourd’hui.

Les technologies guerrières et armements modernes continuent à se développer rapidement, ce qui pourrait avoir des conséquences catastrophiques sur l’environnement. En même temps, on laisse trop de conflits s’envenimer pendant des années, voire des décennies, et épuiser petit à petit les ressources naturelles. Au moment où nous célébrons la Journée internationale pour la prévention de l’exploitation de l’environnement en temps de guerre et de conflit armé, prenons conscience du fait qu’aucune guerre et aucun conflit ne se déroule trop loin de nous pour avoir un effet sur notre environnement, quel que soit l’endroit où nous habitons. Et prenons l’engagement de faire ce que nous pourrons pour lutter contre cette menace commune et pourtant souvent oubliée qui met en péril nos vies et notre bien-être.

Un site à visiter : www.un.org  Source: Texte (résumé) & Image: Journée Mondiale

Journée Mondiale de l’ostéoporose – 20 octobre

Sensibiliser !
Tel est le maître mot de cette journée mondiale, tant il est vrai que l’ostéoporose est une maladie insuffisament connue et trop peu diagnostiquée…

Chaque année en France, plus de 130.000 femmes sont victimes de fractures, généralement sans savoir que c’est parce qu’elles souffrent d’ostéoporose. Près de 80% d’entre elles continueront donc à ignorer la véritable raison de leur fracture. Seules 20% seront orientées vers un dépistage de cette maladie et auront accès à des mesures préventives et à des traitements adaptés…

Quelques chiffres
On estime que 40% des femmes de 50 ans seront victimes d’une fracture ostéoporotique avant la fin de leur vie, et 14% des hommes. Ces chiffres pourraient doubler d’ici une cinquantaine d’années en raison de l’allongement de l’espérance de vie.

A 65 ans, 39% de femmes souffrent d’ostéoporose, elles sont 70% à 80 ans.

Dans le monde, on enregistre une fracture toutes les 20 secondes, soit 1.600.000 fractures du fémur par an !

Source: Texte & Image: Journée Mondiale

 

Journée mondiale de lutte contre le terrorisme – 11 septembre

Depuis 2008, le 11 septembre a été reconnu Journée Mondiale de Lutte contre le Terrorisme par de nombreuses associations, comme le MPCT (Mouvement pour la Paix et Contre le Terrorisme). Cette date n’est évidemment par anodine puisqu’elle rappelle l’un des actes de terrorisme les plus marquants de l’Histoire: les attentats du 11 septembre 2001.

Cette journée est l’occasion de renforcer la solidarité envers les victimes et leurs familles et de renforcer les liens entre les diverses associations d’aide aux personnes touchées par des actes de terrorisme. L’association SOS Attentats – SOS terrorisme souhaite, par ce rapprochement, créer un véritable réseau qui apportera des réponses, un soutien, une écoute aux victimes, sans discrimination aucune.

Comment agir ?
Bien que les associations et les Organisations Non Gouvernementales se chargent des actions les plus délicates, telles que la création de loi en faveur des victimes du terrorisme ou la mise en place d’un suivi psychologique, chacun d’entre nous peut agir à son niveau en intégrant une association ou en se mobilisant lors des rencontres internationales.

Un site à visiter : www.sos-attentats.org   Source: Texte & Image: Journée Mondiale