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Journée internationale de la Tolérance – 16 novembre

Tolérance et compréhension mutuelle
L’Organisation des Nations Unies est résolue à renforcer la tolérance en encourageant la compréhension mutuelle entre les cultures et les peuples. Cet impératif est au cœur de la Charte des Nations Unies ainsi que de la Déclaration universelle des droits de l’homme et est plus importante que jamais dans cette ère d’extrémisme violent et de radicalisme caractérisé par un mépris fondamental de la vie humaine.

Chaque année le 16 novembre, la communauté internationale célèbre la Journée internationale de la tolérance avec des activités qui s’adressent à la fois aux établissements d’enseignement et au grand public.

L’Assemblée générale a instauré cette journée par sa résolution 51/95 du 12 décembre 1996, faisant suite à l’Année 1995 pour la tolérance proclamée par l’Assemblée générale des Nations Unies à l’initiative de la Déclaration de principes sur la tolérance de l’UNESCO adoptée en 1995.

Les Nations Unies ont lancé une nouvelle campagne pour promouvoir la tolérance, le respect et la dignité dans le monde. Elle met en lumière les apports en termes économiques, culturels et sociaux des migrants et des réfugiés au sein de leurs pays d’origine, de transit et d’accueil. La campagne intitulée : « Ensemble : Respect, Sécurité et Dignité pour tous » perme également de répondre à la désinformation ainsi qu’aux interprétations erronées sur les réfugiés et les migrants, et encourage le dialogue entre les réfugiés, les migrants et les populations des pays d’accueil.

Créateurs au service du changement
Cette année, en collaboration avec YouTube, les Nations Unies organiseront une projection de courts métrages issus du programme « Créateurs au service du changement 2018 » de YouTube, le vendredi 16 novembre 2018. Quatre des créateurs et des représentants de la Section de sensibilisation à l’éducation et du Haut Commissariat des Nations Unies aux droits de l’homme participeront à une discussion avec le public. Des présentations seront aussi faites par des étudiants sélectionnés parmi les 750 participants. L’événement inclura un spectacle organisé par l’un des créateurs, L-FRESH The Lion, à l’occasion du 70e anniversaire de la Déclaration universelle des droits de l’homme.

Source : Texte : Journée mondiale Image : ONU

International Day for Tolerance – 16 November

The United Nations’ (UN) International Day for Tolerance is annually observed on November 16 to educate people about the need for tolerance in society and to help them understand the negative effects of intolerance.

Background
In 1996 the UN General Assembly invited member states to observe the International Day for Tolerance on November 16, with activities directed towards both educational establishments and the wider public (resolution 51/95 of 12 December). This action came in the wake of the United Nations Year for Tolerance, 1995, proclaimed by the assembly in 1993 (resolution 48/126). The year was declared on the General Conference of UNESCO’s initiative. On November 16, 1995, the UNESCO member states adopted the Declaration of Principles on Tolerance and Follow-up Plan of Action for the year.

The 2005 World Summit Outcome document outlines the commitment of Heads of State and Government to advance human welfare, freedom and progress everywhere, as well as to encourage tolerance, respect, dialogue and cooperation among different cultures, civilizations and peoples.

Source: Text: timeanddate.com Image: catholicworkreport.com

International Literacy Day – 8 September

The United Nations’ (UN) International Literacy Day annually falls on September 8 to raise people’s awareness of and concern for literacy issues in the world.

International Literacy Day highlights the importance of literacy in areas such as health and education

Background
According to UNESCO, about 774 million adults lack the minimum literacy skills. One in five adults is still not literate and two-thirds of them are women. About 75 million children are out-of-school and many more attend irregularly or drop out. However, literacy is also a cause for celebration on the day because there are nearly four billion literate people in the world.

The UN General Assembly proclaimed a 10-year period beginning on January 1, 2003, as the United Nations Literacy Decade. The assembly also welcomed the International Plan of Action for the Decade and decided for UNESCO to take a coordinating role in activities at an international level within the decade’s framework. On International Literacy Day each year, UNESCO reminds the international community of the status of literacy and adult learning globally. This day was first celebrated on September 8, 1966.

Source: Text: timeanddate.com Image: UNESCO

 

International Day for the Remembrance of the Slave Trade and its Abolition – 23 August

The United Nations’ (UN) International Day for the Remembrance of the Slave Trade and its Abolition is annually observed on August 23 to remind people of the tragedy of the transatlantic slave trade. It gives people a chance to think about the historic causes, the methods, and the consequences of slave trade.

Background
In late August 1791, an uprising began in Santo Domingo (today Haiti and the Dominican Republic) that would have a major effect on abolishing the transatlantic slave trade. The slave rebellion in the area weakened the Caribbean colonial system, sparking an uprising that led to abolishing slavery and giving the island its independence. It marked the beginning of the destruction of the slavery system, the slave trade and colonialism.

International Day for the Remembrance of the Slave Trade and its Abolition was first celebrated in many countries, in particular in Haiti, on August 23, 1998, and in Senegal on August 23, 1999. Each year the United Nations Educational, Scientific and Cultural Organization (UNESCO) reminds the international community about the importance of commemorating this day. This date also pays tribute to those who worked hard to abolish slave trade and slavery throughout the world. This commitment and the actions used to fight against the system of slavery had an impact on the human rights movement.

Source : Text : timeandate.com Image : Breaking Buzz

 

L’UNESCO ajoute à sa liste…

La liste du patrimoine mondial de l’Unesco s’est enrichie d’une quinzaine de nouveaux sites.
Parmi eux, de nombreux sites religieux.

  1. La cathédrale de Naumburg en Allemagne

Située dans l’État de Saxe-Anhalt, à l’est du pays, la cathédrale Saints-Pierre-et-Paul est un symbole de la transition entre art roman et art gothique.

Construit à partir de 1028, le siège de l’évêché catholique devient cathédrale luthérienne après la Réforme protestante.
L’élément le plus connu est sans soute la statue taille réelle de Ute de Naumbourg, notable de l’époque, qui a inspiré la figure de la marâtre dans Blanche Neige et les sept nains.

  1. Les sites chrétiens cachés de Nagasaki

Les douze sites, situés dans le sud du Japon, reflètent l’histoire des missionnaires et des colons chrétiens au Japon.
L’ensemble est constitué de dix villages, du château de Hara et de la cathédrale d’Urakami, dédiée à 26 chrétiens exécutés il y a quatre siècles pour leur foi.

Arrivé au Japon en 1549 avec le missionnaire jésuite Francis Xavier, le christianisme devient interdit à la fin du XVIe siècle et le restera pendant 250 ans.

  1. Les Sansa, monastères bouddhistes de Corée

Sept temples éparpillés dans les montagnes du sud de la Corée ont été reconnus comme un ensemble en raison de leur aménagement représentatif du bouddhisme coréen.
Fondés à partir du VIIe siècle, ils sont toujours des centres religieux actifs.

Ces temples sont aussi connus pour abriter des trésors nationaux, comme la lanterne de pierre du temple Beopjusa, les halls du temple Bongjeongsa, ou encore le bouddha assis du temple Daeheungsa.

Source : Texte : La Croix, Audrey Dufour , le 03/07/2018 Images : Fiveprime, Vivre le Japon.com, Pintarest

Journée Mondiale de la diversité culturelle pour le dialogue et le développement – 21 mai

Le 2 novembre 2001, l’UNESCO a adopté sa déclaration universelle sur la diversité culturelle. Elle reconnaît, pour la première fois, la diversité culturelle comme « héritage commun de l’humanité » et considére sa sauvegarde comme étant un impératif concret et éthique inséparable du respect de la dignité humaine.

Suite à cela, l’Assemblée générale des Nations Unies a proclamé le 21 mai, « Journée mondiale de la diversité culturelle pour le dialogue et le développement » afin d’approfondir nos réflexions sur les valeurs de la diversité culturelle pour apprendre à mieux « vivre ensemble ». C’est pourquoi l’UNESCO fait appel aux états membres et à la société civile pour célébrer cette journée en y associant le plus grand nombre d’acteurs et de partenaires !

Objectifs
Cette journée donne l’occasion de mieux connaître et apprécier ce que nous devons aux autres cultures, et à prendre la mesure de la diversité de leurs apports, de leur unicité, de leur complémentarité et de leur solidarité.

Connaître et reconnaître nos différences, les respecter en ce qu’elles fondent notre propre identité, c’est donner la chance aux siècles qui s’annoncent de s’épanouir enfin hors des conflits identitaires de tous ordres. La diversité culturelle est un droit humain fondamental. Lutter pour sa promotion c’est lutter contre les stéréotypes et le fondamentalisme culturels.

Les autorités publiques sont de plus en plus sensibles à la nécessité de développer le dialogue interculturel, en vue de renforcer la paix, la sécurité, et la stabilité au niveau mondial.

Promouvoir le dialogue mutuel
En instaurant le 21 mai la « Journée mondiale de la diversité culturelle pour le dialogue et le développement « , l’ONU donne une orientation importante en plaçant le dialogue mutuel – au-delà du sexe, de l’âge, de la nationalité, de l’appartenance culturelle et de la religion – au centre de tous les efforts pour parvenir à un monde de paix, capable de faire face à l’avenir. « Seul le dialogue peut servir de base à une société pluraliste et culturelle », déclare Elsbeth Müller, secrétaire générale d’UNICEF suisse à l’intégration, de même que la compréhension mutuelle entre les cultures, jouent là un rôle essentiel.“

Un site à visiter : www.un.org   Source : Texte & Image : Journée Mondiale

World Day for Cultural Diversity for Dialogue and Development – 21 May

World Day for Cultural Diversity for Dialogue and Development is annually held on May 21 to help people learn about the importance of cultural diversity and harmony.

Background

The General Conference of the United Nations Educational, Scientific and Cultural Organization (UNESCO) adopted the Universal Declaration on Cultural Diversity in Paris, France, on November 2, 2001. It was the 249th resolution adopted at the 57th session of the United Nations General Conference. Although the declaration was the culmination of years of work, it was adopted in the wake of the terrorist attacks on September 11, 2001. This reaffirmed the need for intercultural dialogue to prevent segregation and fundamentalism.

The year 2002 was the United Nations Year for Cultural Heritage. At the end of that year, on December 20, 2002, the General Assembly of the United Nations declared May 21 to be the World Day for Cultural Diversity for Dialogue and Development. The General Assembly emphasized links between the protection of cultural diversity and the importance of dialogue between civilizations in the modern world. The World Day for Cultural Diversity for Dialogue and Development was first observed in 2003.

Source: Text: www.timeanddate.com  Image: Twitter

Journée mondiale de la liberté de la presse – 3 mai

Le 3 mai a été proclamé Journée mondiale de la liberté de la presse par l’Assemblée générale des Nations Unies en 1993, suivant la recommandation adoptée lors de la vingt-sixième session de la Conférence générale de l’UNESCO en 1991. Ce fut également une réponse à l’appel de journalistes africains qui, en 1991, ont proclamé la Déclaration de Windhoek sur le pluralisme et l’indépendance des médias.

Tous les ans, la Journée mondiale de la liberté de la presse permet de :

  • célébrer les principes fondamentaux de la liberté de la presse;
  • d’évaluer la liberté de la presse à travers le monde;
  • de défendre l’indépendance des médias; et
  • de rendre hommage aux journalistes qui ont perdu leur vie dans l’exercice de leur profession.

Cette année l’UNESCO célèbrera la 25e édition de la Journée mondiale de la liberté de la presse sur le thème Médias, justice et état de droit : les contrepoids du pouvoir, et les célébrations porteront sur les questions des médias et de la transparence du processus politique, de l’indépendance du système judiciaire et de ses connaissances en matière de médias, et de la responsabilité des institutions de l’État vis-à-vis du public. La journée sera aussi l’occasion d’examiner les défis actuels de la liberté de la presse en ligne.

La contribution des médias à la bonne gouvernance et au développement a été reconnue dans le Programme de développement à l’horizon 2030, adopté par les États Membres des Nations Unies en septembre 2015. Alors que les Objectifs du Millénaire pour le développement (OMD) qui ont guidé les actions menées par la communauté internationale pour le développement entre 2000 et 2015 ne faisaient aucune référence explicite au rôle des médias, les objectifs de développement durable (ODD) reconnaissent l’importance de l’accès du public à l’information et aux libertés fondamentales, y compris la liberté d’expression.

Source : Texte & Image : ONU Image : en.unesco.org

Journée Mondiale de la Terre – 22 avril

Cet évènement a été célébré pour la première fois le 22 avril 1970. le Jour de la Terre est aujourd’hui reconnu comme l’événement environnemental populaire le plus important au monde.

Le fondateur de cet événement est le sénateur américain Gaylord Nelson. Il encouragea les étudiants à mettre sur pied des projets de sensibilisation à l’environnement dans leurs communautés. Aujourd’hui, le Jour de la Terre est célébré, à travers le monde, par plus de 500 millions de personnes dans 184 pays.

Notre planète en danger
Le 30 mars 2005, l’Unesco publiait la première évaluation des écosystèmes pour le millénaire, un rapport accablant sur l’impact de l’homme sur la planète. Au cours des dernières années, les activités humaines ont modifié les écosystèmes pour satisfaire une demande croissante de nourriture, d’eau douce, de bois, de fibre et d’énergie…

Une dégradation irréversible aux conséquences désastreuses puisque le bien-être de l’homme est menacé d’ici à quarante ans.

Un site à visiter : www.earthday.net   Source : Texte : Journée Mondiale   Image : fotolia
Journée de la Terre : les chiffres hors norme des déchets plastiques

– Le cachalot retrouvé mort en Espagne en février dernier sur une plage de Cabo de Palos, avait avalé 29 kg de plastique, selon les autorités de la région de Murcia le 4 avril. « Les experts estiment que ces matériaux ont pu provoquer la mort de l’animal, par péritonite ou par compactage de l’estomac ».–

– Il faut 1 seconde pour fabriquer un sac plastique, qui mettra ensuite jusqu’à 400 ans pour se désagréger.

– Plus de 150 millions de tonnes de déchets plastiques flottent désormais sur les océans, alerte la fondation Ellen MacArthur.

Dans l’Océan Pacifique s’étend une mer de déchets plastiques grande comme trois fois la France, selon une étude américaine publiée en mars 2018 dans la revue scientifique Scientific Reports

Depuis 1950, l’homme a produit 8,3 milliards de tonnes de plastiques, selon une étude publiée en 2017 dans la revue Science Advances suite au travail de scientifiques américains. Ce qui fait désormais du plastique le 3e matériau le plus fabriqué par l’homme après le ciment et l’acier.

Pour vous faire une identité de la quantité, 8,3 milliards de tonnes, c’est l’équivalent de 822 000 tours Eiffel ou 80 millions de baleines, dixit Le Monde…

Source: Texte: www.linternaute.com  ,

 

Journée mondiale de la radio – 13 février

En 2012, afin de mettre en relief la puissance de la radio comme plate-forme pour l’éducation et la liberté d’expression ainsi que son rôle vital dans la réponse aux crises et aux catastrophes, l’UNESCO a appelé à célébrer le 13 février de chaque année, une Journée Mondiale de la radio.

« Toutes les radios sont invitées à s’associer à cet événement », a déclaré le porte parole de l’UNESCO dans son communiqué de presse.

Média peu coûteux, nécessitant la mise en oeuvre d’une technologie relativement simple, la radio atteint des auditeurs éloignés sur tous les points du territoire et des groupes nomades. Selon l’union internationale des télécommunications, plus de 75% des foyers des pays en développement possèdent au moins un récepteur radio.

Afin d’encourager les diffuseurs publics, privés et communautaires à célébrer la Journée, l’UNESCO a créé un site web avec des messages audio en plusieurs langues ou des manuels à l’usage des radios communautaires.

Un vecteur de liberté
Nous ne saurions terminer sans faire une rapide évocation de la radio comme vecteur de liberté en en citant quelques unes de celles qui sont restées dans l’histoire : Radio Londres qui transmettait les messages à la résistance française aux plus sombres heures de l’occupation, Radio Free Europe qui permet aux populations situées derrière le rideau de fer de recevoir une information différente de celle transmise par les autorités, Radio Caroline qui émettait depuis un bateau ou encore l’épopée des radios libres de 1981 et la fin du monopole d’état en France.

Source : Texte & Image : Journée Mondiale