Anouk Labrecque Moineau – c’est ainsi qu’elle se nomme.
Elle est étudiante, comme bien d’autres,
mais, à la différence de bien d’autres
elle ne limite pas son intérêt à ses manuels scolaires.
La vidéo qui suit nous en dit davantage…
Anouk Labrecque Moineau – c’est ainsi qu’elle se nomme.
Elle est étudiante, comme bien d’autres,
mais, à la différence de bien d’autres
elle ne limite pas son intérêt à ses manuels scolaires.
La vidéo qui suit nous en dit davantage…
Dans l’évangile, il y a des scènes auxquelles on aime revenir,
des personnages qui nous attirent et nous inspirent davantage.
Jean Roch Boivin a le sien, bien sûr.
Il nous le présente dans la vidéo qui suit.
Période de détente pour Ginette et Jean Roch Boivin.
Mais voilà que ces moments deviennent plus que cela…
Leurs propos les conduisent à une découverte, même à une révélation!
Ils nous la partagent dans la vidéo qui suit.
« C’est la fête des Rois » dit-on. C’est ainsi que l’on désigne parfois la célébration d’aujourd’hui – la fête de l’Épiphanie.
Il faut dire que le récit offre quelque chose d’exotique, de féérique, de magique même – ne parle-t’on pas des ‘Mages’ ?!
Sans oublier, évidemment, son aspect biblique et théologique.
Et… le symbolique, alors… au cœur de cette fête si riche en couleur et en splendeur !
La légende qui présente ces nobles personnages affirme qu’ils étaient rois et nous les présente tous les trois les nommant : Gaspar, Melchior et Balthasar.
Ni statut royal, ni nom, ni nombre, n’apparaît dans le texte de l’évangile de Matthieu (Mt.2:1-12).
Qu’est ce donc qui les caractérise ?
Cette journée consacrée à la prise de conscience des dégâts liés aux overdoses existe depuis 2001, mais vous en entendrez très peu parler en Europe continentale. En effet, son origine est australienne et il semble bien qu’elle soit pour le moment célébrée uniquement dans quelques pays anglo-saxons: Australie, Etats-Unis, Canada et Grande-Bretagne.
Mes sincères condoléances…
l’International Overdose Awareness Day, de son nom anglais, tient son origine d’une discussion datant de 2001 entre deux membres australiens de l’Armée du Salut, Sally J. Finn et Peter Streker. Ils avaient organisé à l’époque une action publique consistant à offrir un ruban de « condoléances » aux entourages de personnes décédées par overdose.
Penington Institute
Depuis 2012, c’est le Penington Institute qui a repris en mains l’organisation de cet événement, après le retrait de l’Armée du Salut. Cet institut tente de promouvoir la santé et la protection des personnes en associant la recherche sur les méfaits des drogues avec des actions de terrain sur les populations. Leur site internet propose aux organisations d’enregistrer leur propre événement pour en assurer une large promotion.
La Journée internationale de sensibilisation aux surdoses est un événement lancé en 2001, à Melbourne, en Australie, et qui s’est répandu depuis un peu partout dans le monde. L’organisation internationale de la Journée a adopté comme symbole un ruban replié fait de métal argenté.
Les symptômes de surdose varient d’une substance à une autre. Dans le cas d’opioïdes, ont peut observer les symptômes suivants : faible respiration ou absence de respiration, ronflement, gargouillement, lèvres ou bouts des doigts bleus, bras et jambes mous, aucune réaction aux stimuli, désorientation et profonde perte de conscience (la personne ne peut être réanimée). Dans le cas d’amphétamines, on note les symptômes suivants: douleur à la poitrine, confusion ou désorientation, grave mal de tête, hyperthermie (mais pas de transpiration), difficulté à respirer, agitation et paranoïa, hallucinations et perte de conscience. Même une intoxication grave à l’alcool peut être potentiellement mortelle. Elle peut causer un arrêt respiratoire ou cardiaque, et même mener la personne à s’étouffer avec son propre vomi.
Certaines journées mondiales semblent avoir bien du mal à se faire une place dans notre environnement médiatique surchargé. La journée consacrée aux troubles bipolaires, lancée en France en 2014, en fait partie.
Vous, je sais pas, mais moi, cela me déprime…
Une [tentative de] définition
Ils ont longtemps été connus sous le nom de troubles maniaco-dépressifs. Cette pathologie reste cependant très méconnue et souvent tabou. Tabou parce que beaucoup de personnes atteintes n’osent pas avouer à leurs proches que leurs émotions sont « démesurées », qu’elles passent alternativement d’un état d’excitation anormale (proche de l’euphorie) à un état léthargique (complètement dépressif!).
1 à 2 % de la population souffrirait de la forme majeure de la maladie.
Dans la moitié des cas, ces troubles seraient associés à des pratiques addictives et ils seraient à l’origine du quart des tentatives de suicide.
Une cause avérée de suicide
Le corps médical semble tomber d’accord pour affirmer que ces troubles ne surviennent que si trois facteurs de risque sont réunis:
La recherche progresse
Les chercheurs ont pu établir que l’apparition de la maladie était favorisée par la présence d’un certain nombre de gènes (une quinzaine ont déjà été identifiés).
La mise au point de traitements progresse de son coté, et même si les médicaments ne peuvent pas tout, ils permettent de stabiliser de nombreux malades. Par contre, les antidépresseurs sont à manier avec précaution, car ils risquent d’aggraver le mal.
La journée mondiale des troubles bi-polaires fournit une occasion réver de parler un peu plus de cette maladie et sensibiliser les instances concernées par son traitement. En 2015, l’association France Dépression y a largement apporté son concours. Les choses bougent.
Chaque semaine, 5 nouvelles pathologies touchant moins de 0,2% de la population sont découvertes dans le monde. En 2013, plus de 7 000 maladies rares différentes étaient identifiées en France. 80% de ces pathologies sont d’origine génétique, mais on dénombre également des maladies infectieuses.
Ces nouvelles maladies, dites « rares » ou « orphelines » nous interpellent pourtant et, afin de sensibiliser le public à leur existence, des manifestations sont prévues dans 34 pays chaque 29 février, journée rare s’il en est*.
Maladies en voie de banalisation
Avec 30 millions de personnes concernées dans toute l’Europe, les maladies dites rares sont en voie de banalisation… paradoxe inquiétant. Cette montée en puissance a incité 34 pays du vieux continent à célébrer la première Journée européenne des maladies rares et ce depuis 2008.
Destinée au grand public, cette journée poursuit trois objectifs :
– sensibiliser le public européen aux maladies rares et à leurs répercussions sur la vie des malades
– diffuser de l’information sur ces maladies
– renforcer la collaboration européenne dans la lutte contre ce fléau.
Peu de personnes en effet, connaissent aujourd’hui le lupus, le syndrome de Gougerot-Sjogren, la maladie de Huntington ou le syndrome de Vaquez.
D’après la définition médicale, une maladie est considérée comme rare lorsqu’elle touche moins d’une personne sur 2 000, soit 0,2% de la population. Pour un pays de la taille de la France, cela équivaut à moins de 30 000 personnes atteintes d’une même maladie.
Mal aimées de la recherche ?
Le paradoxe des maladies rares est qu’elles peinent à trouver les financements pour que les chercheurs puissent mieux les cerner et les vaincre… les grands laboratoires sont malheureusement cadrés dans une logique de profit et ne peuvent consacrer les moyens suffisants aux maladies rares. Le jeu n’en vaudrait-il pas la chandelle ?
Faisons mentir cette affirmation et remarquons que, dans plusieurs domaines, des institutions – publiques ou privées – relèvent le défi et se lancent dans des programmes ambitieux de recherche. Parmi elles, l’Institut de la Vision tient une place remarquable: centre de recherche européen pour les maladies oculaires, il regroupe 280 cliniciens et chercheurs qui participent au développement de nouvelles stratégies thérapeutiques pour lutter contre ces maladies dévastatrices.
* Le choix du 29 février fait de la journée européenne des maladies rares une journée rare dans la mesure où elle ne pourrait avoir lieu qu’une fois tous les quatre ans… en réalité elle sera fêtée le 28 février chaque fois qu’il n’y aura pas de 29 février !
Je suis tentée d’intituler cette réflexion : ‘Des songes et des signes…’
En fait, notre vie est remplie des uns et des autres mais…
Il nous faut les décrypter, interpréter le code qui enveloppe le songe ou le signe.
Nous devons y lire le message qu’ils nous réservent.
C’est la condition pour en découvrir le sens.
Et découvrir suppose :
Les personnages que nous propose le texte de l’évangile en cette fête de l’Épiphanie (année B – Mt.2 :1-12) – les Mages – sont un modèle de l’attitude des… chercheurs…
Des chercheurs de sens, des chercheurs de Dieu.
Étonnamment, ils se mettent en marche sans savoir exactement où ils aboutiront.
Ils sont conscients d’un appel, d’une invitation à se lever et à partir vers un… ailleurs imprécis.
Vers quel horizon lointain se dirigent-ils?
Ils semblent n’en avoir qu’une impression plutôt vague.
Mais ils ont une conviction : celle qu’ils doivent partir, avancer, progresser vers cet impénétrable inconnu qui les attire.
Et nous? Nous en sommes à la première semaine d’une nouvelle année.
Que sera-t-elle? Nous en ignorons le déroulement en détail qui se manifestera au fil des jours.
Mais la conviction des Mages devrait être la nôtre :
Il nous faut partir, avancer, progresser!
C’est ainsi que se révélera, jour après jour, le sens de ce que nous vivons, ce que nous croyons, ce que nous espérons.
Le sens… incarné dans une promesse, incarné dans une Personne : celle de ce ‘Dieu-avec-nous’ qui ne manque jamais de réaliser ce à quoi il nous convie.
Recherche, effort, mise en marche, appropriation du sens de notre existence : c’est ce à quoi nous sommes convié/es.
Note: D’autres textes sont disponibles pour cette fête de l’Épiphanie : https://image-i-nations.com/mages-savants-chercheurs/
/https://image-i-nations.com/mages-dou-viennent/
Et un texte est disponible en anglais à: https://image-i-nations.com/feast-of-epiphany-year-b/
Thème : Tous les deux ans, l’IAS, la plus importante conférence scientifique sur le VIH/sida et sur les sujets associés à cette pathologie, réunit une communauté de plus de 6000 professionnels du monde entier qui débattent des progrès les plus récents de la recherche sur le VIH/sida tout en portant une attention particulière à ce que cette recherche se traduise concrètement dans la pratique et dans l’action politique.
Dates : du dimanche 23 au mardi 26 Juillet 2017 Lieu : Palais des Congrès – Paris