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Journée mondiale de la protection civile – 1er mars

Chaque 1er mars, on célèbre la Journée Mondiale de la Protection Civile.

Cette date a été retenue dans le calendrier des Journées Mondiales car elle est celle de l’anniversaire de l’entrée en vigueur de la Constitution de l’OIPC en tant qu’organisation intergouvernementale, le 1er mars 1972.

L’OIPC

L’Organisation Internationale de Protection Civile (pour les anglophones, il s’agit de l’ICDO, International Civil Defence Organisation) est une organisation intergouvernementale qui s’est fixé pour objectif principal de contribuer à la mise en place  par les états de mesures et d’organisations propres à assurer la protection et l’assistance aux populations face aux catastrophes naturelles et celles dues à l’homme.

Les objectifs 

Les objectifs affirmés de cette journée sont les suivants:

  • attirer l’attention du public le plus large sur son rôle majeur dans la vie quotidienne des populations 
  • sensibiliser les populations sur les mesures à adopter en cas de catastrophes naturelles.

Il est d’ailleurs tout à fait symptomatique que des pays comme Haïti ou certains pays africains soient particulièrement sensibilisés à la célébration de cette journée. Elle permet d’organiser toute une série de manifestations, conférences, débats, expositions et même des exercices de préparation aux catastrophes et à l’organisation des secours.

Source: Texte & Image: Journée Mondiale   2è image: fr.depositphotos.com

Journée mondiale de la protection des données – 28 janvier

C’est une journée d’origine anglo-saxonne (data privacy day) et, suivant les traductions, on la retrouve tantôt sous le vocable « Journée mondiale des données à caractère personnel » ou encore « journée mondiale de la vie privée »… ce qui ne recouvre pas exactement la même chose !

La difficulté vient du fait que la notion de la protection de la vie privée n’a pas du tout le même sens dans le monde anglo-saxon que dans le monde latin, ce qui n’est d’ailleurs pas sans poser des problèmes juridiques ardus quand on songe aux habitudes de sociétés américaines comme Google pour qui la transparence est la règle et la notion d’oubli inexistante !

L’Europe avant les USA

C’est le Conseil de l’Europe qui a, le premier, proclamé une journée européenne de la protection des données à caractère personnel. Elle existe depuis 2007. Les américains ont suivi de peu et c’est en 2009 que s’est célébrée la première journée nord américaine.

La convention de Strasbourg

L’initiative de cette journée est à rechercher dans la ligne de la « Convention pour la protection des personnes à l’égard du traitement automatisé des données à caractère personnel », élaborée par le Conseil de l’Europe. Ouverte à la signature des états depuis le 28 janvier 1981 elle est devenue une référence dans le monde entier. Malheureusement, seulement 44 états l’ont ratifiée…

Un site à visiter : www.nextinpact.com   Source: Texte:: Journée Mondialre     Image: unsplash.com  (Desola Lanre-Ologun)

Journée Internationale des droits de l’enfant – 20 novembre

 

« Rien n’est plus important que de bâtir un monde dans lequel tous nos enfants auront la possibilité de réaliser pleinement leur potentiel et de grandir en bonne santé, dans la paix et dans la dignité. »
Kofi A. Annan, secrétaire général de l’Organisation des Nations Unies

C’est en 1996 que le Parlement français a décidé de faire du 20 novembre la « Journée Mondiale de défense et de promotion des droits de l’enfant » (loi 96/296 du 9 avril 1996). Cette journée internationale est un moment privilégié pour se rendre compte des nombreuses injustices perpétrées contre les enfants dans le monde. Elle tente aussi de faire valoir la convention internationale des droits de l’enfant de 1989.

Une convention et des droits

La Convention Internationale des Droits de l’Enfant est un texte de 54 articles, adoptée par les Nations Unies le 20 novembre 1989. Elle affirme qu’un enfant n’est pas seulement un être fragile qu’il faut protéger mais que c’est une personne qui a le droit d’être éduqué, soigné, protégé, quel que soit l’endroit du monde où il est né. Et aussi qu’il a le droit de s’amuser, d’apprendre et de s’exprimer. Elle a été ratifiée par 191 pays sur 193. Seuls la Somalie et les États Unis ont refusé de s’engager.

Ce texte est très important, mais pas suffisant : il reste beaucoup à faire pour faire des droits des enfants une réalité. Les droits ne sont réels que dans la mesure où ils sont mis en pratique, pour les enfants comme pour tous. Promouvoir les droits des enfants, c’est tout d’abord créer les conditions sociales, économiques et culturelles afin que tous puissent y accéder. C’est à ce prix que les droits de l’enfant seront véritablement respectés.

L’UNESCO a toujours accordé une place significative à l’enfant au sein de ses programmes et de ses activités, qui visent notamment au développement optimal de la personnalité dès la petite enfance, au progrès social, moral, culturel et économique de la communauté, à l’appréciation des identités et valeurs culturelles, et à la sensibilisation au respect des droits et des libertés fondamentales.

La situation dans le monde

La promotion et le respect des Droits de l’Enfant ne doit pas rester un simple idéal, mais doit devenir une réalité au quotidien, que soient enfin reconnus les droits essentiels de l’enfant : droit à la protection, droit à la santé, droit au développement harmonieux, droit à la culture, droit à l’éducation.

(…)

L’Unicef, dans son rapport annuel intitulé « Enfants exclus, enfants invisibles » relève qu’il existe de nombreux enfants qui ne sont même pas enregistrés à l’Etat civil. Ce même rapport indique que plus d’un milliard d’enfants sur Terre « souffrent de privations extrêmes liées à la pauvreté, à la guerre et au sida ».

Parmi les nombreuses oeuvres qui agissent pour que soit reconnue la dignité des pauvres et des enfants du monde entier, l’UNICEF est surement l’une des plus connues, c’est pourquoi nous vous conseillons de découvrir ses actions dans son site internet dédié.

Un site à visiter : www.unicef.fr    Source: Texte (abrégé) & Image: Journée mondiale 

Journée mondiale pour la prévention des abus envers les enfants – 19 novembre

La Fondation Sommet Mondial des Femmes (www.woman.ch) a lancé en 2000 la Journée Mondiale pour la Prévention des Abus envers les Enfants. Cette journée est célébrée chaque 19 novembre en synergie avec la journée des droits de l’enfant, célébrée – elle – le 20 novembre. Elle a pour objectif de mettre en évidence le problème des abus ainsi que la nécessité d’intervenir de toute urgence par la diffusion de programmes de prévention.

Les abus et l’exploitation des enfants (notamment au niveau sexuel) constituent un problème universel et alarmant. Après une longue tradition du silence, les abus sexuels dont sont victimes les enfants font de plus en plus l’objet de révélations, occupant une place plus grande sur la scène publique et politique.

Les Gouvernements et la société civile doivent jouer un rôle actif dans la promotion et le respect des droits de l’enfant (énoncés dans la Convention relative aux droits de l’enfant, articles 19 et 34 *)

  • Art. 19 / Les Etats parties prennent toutes les mesures législatives, administratives, sociales et éducatives appropriées pour protéger l’enfant contre toute forme de violence, d’atteinte ou de brutalités physiques ou mentales, d’abandon ou de négligence, de mauvais traitements ou d’exploitation, y compris la violence sexuelle, pendant qu’il est sous la garde de ses parents ou de l’un d’eux, de son ou ses représentants légaux ou de toute autre personne à qui il est confié.
  • Art. 34 / Les Etats parties s’engagent à protéger l’enfant contre toutes les formes d’exploitation sexuelle et de violence sexuelle. A cette fin, les Etats prennent en particulier toutes les mesures appropriées sur les plans national, bilatéral et multilatéral pour empêcher (…)

Agir chaque année sur tous les continents

Malgré les nombreux acquis réalisés au profit de l’enfance au cours de ces trente dernières années, les droits de l’enfant continuent de subir des atteintes dans de nombreuses régions, avec la persistance de l’exploitation économique des enfants et tous les préjudices physiques, psychologiques et sociaux qui en découlent, en plus des épreuves et des situations dramatiques dans lesquelles se retrouvent les enfants en période de conflits armés et les diverses formes de désespoir et de souffrance qu’ils éprouvent du fait de la propagation de la pauvreté, de la famine, des fléaux et des endémies.

Faisons oeuvre de pédagogie

De nombreuses associations défendent aujourd’hui la cause des enfants un peu partout dans le monde et nous ne pouvons les citer toutes. Notre attention a cependant été attirée par l’une d’elle, misant sur la pédagogie et la capacité des enfants eux-mêmes à réagir contre les abus : Grandir en sécurité (avec Sima le chien). Savoir / Agir / Aider, tel est le chemin proposé dans leur site, que nous vous invitons à découvrir.

Un site à visiter : www.grandirensecurite.com   Source: Texte & Images: Journée mondiale

Journée mondiale de sensibilisation aux tsunamis – 5 novembre

Le 26 décembre 2004, un tremblement de terre de magnitude 9,3 se produit au large de l’Indonésie, déclenchant un tsunami dévastateur qui fait plus de 220 000 morts.

Dimanche 26 décembre 2004 – 7h58 heure locale…

La puissance du séisme (le plus important dans le monde depuis 1960) est telle que la terre se soulève, faisant surgir une vague qui dévaste, trente minutes plus tard, la province indonésienne d’Aceh, dans le nord de l’île de Sumatra. Ce sera la région la plus touchée, car, à proximité immédiate de l’épicentre : des dizaines de villages sont rayés de la carte, la puissance de la secousse allant même jusqu’à déplacer des îles. Rien que sur la côte ouest de Sumatra, 131 000 personnes périssent.

La vague déferle ensuite sur l’ensemble du littoral du golfe du Bengale, frappant successivement les côtes de la Thaïlande, de la Birmanie, du Sri Lanka, de l’Inde (notamment les archipels d’Andaman et Nicobar). Environ six heures après le début de la catastrophe, les côtes de l’Afrique de l’Est (Somalie, Tanzanie, Kenya) sont atteintes par le tsunami.

Prévenir les tsunamis

Bien que rares, les tsunamis comptent parmi les catastrophes naturelles les plus dévastatrices qui soient. Ils ne connaissent pas les frontières. Les communautés côtières – souvent concentrées dans des zones de faible altitude et très peuplées – sont les plus vulnérables. La coopération internationale est la clé d’une meilleure organisation des protections contre le phénomène du tsunami et ce sont les systèmes d’alertes installés à des endroits stratégiques du globe qui permettent, seuls, de donner l’alerte à temps.

Une journée pour sensibiliser

En décembre 2015, l’Assemblée générale des Nations Unies a désigné le 5 novembre comme Journée mondiale de sensibilisation aux tsunamis.

Un site à visiter : fr.unesco.org    Source: Texte & Image: Journée Mondiale

Journée mondiale des éléphants – 12 août

Journée mondiale des éléphants

Il faudrait en réalité parler de journée mondiale de la protection de l’éléphant, dans la mesure où nous sommes une nouvelle fois face à une espèce menacée.

Braconnage, défense d’ivoire…

Le braconnage, lié à la demande toujours élevée de produits en ivoire (notamment en provenance des consommateurs chinois), réduit les populations d’éléphants comme peau de chagrin dans plusieurs régions d’Afrique.

En instituant une journée mondiale des éléphants, nous bénéficions d’une occasion supplémentaire pour réfléchir aux mesures qui doivent être mises en place pour arrêter le massacre et assurer un habitat sûr et viable aux éléphants d’Afrique et d’Asie.

Des exemples à suivre

Certains pays (USA notamment) ont annoncé des embargos sur les importations d’ivoire. Saluons ces initiatives qui, même si elles ne résolvent pas tout le problème, ont le mérite de toucher les fautifs là où ils sont le plus sensibles, c’est à dire le portefeuille…

 

Un site à visiter : www.ifaw.org    Source: Texte & Image: Journée Mondiale

Journée mondiale des martinets – 7 juin

Journée mondiale des martinets
Commençons par fixer les idées. Si vous vous imaginez que cette journée vise à honorer les châtiments corporels, vous n’y êtes pas du tout. Nous parlons bien des martinets, oiseaux à la fois fascinants et méconnus…

MSF

C’est l’association Martinets Sans Frontières qui est à l’origine de la création de cette journée. Son but est de braquer les projecteurs de l’actualité sur les martinets et ainsi attirer l’attention du grand public, des associations de protection de la biodiversité, des autorités et des professionnels du bâtiment.

96 espèces de martinets

Martinets Sans Frontières invite les amis des 96 espèces de martinets de tous les continents à organiser des événements, (conférences, promenades guidées, …) pour faire connaître ces oiseaux et favoriser leur protection.

La première édition, qui a eu lieu en 2019, a été célébrée dans 39 pays et on a pu recenser 110 événements « physiques » et des centaines de publications, générant de nombreuses réactions.

Un site à visiter : worldswiftday.org    Source: Texte & Image: Journée Mondiale

1st Sunday of Lent, Year C – 2019

“It is too good to be true!” – no doubt, you have heard these words as well as I have.
Some people do not want to be seen as naive, or gullible, believing easily any piece of good news.
They are not trusting easily the messengers of happy tidings.

Strange – and sad to say – some will even doubt THE… ‘good news’!
The good news of who God is and what he wants to be for us.

It is true that he goes far beyond what we could expect or even dream of.
This thought comes to me as I read again the words of today’s response
to the 1st reading (Ps.91:1-2,10-15) where God himself says:

“I rescue all who cling to me,
I protect whoever knows my name,
I answer everyone who invokes me,,
I am with them when they are in trouble.”
 
“All… Whoever… Everyone…”
No restriction, no limits, no qualification or credentials required.
No past experience or achievement of any kind.
One and all are acceptable to this God of ours –
a God who is waiting, always waiting for our return to him.

This is what Lent is about, is it not?
To return and to REMIND ourselves of this amazing truth…
When it is God who speaks, is it not too good NOT to be true!

Note: Another reflection is available on a different theme in French at: https://image-i-nations.com/1er-dimanche-du-careme-annee-c-2019/

A short video is also available on this theme in French: https://youtu.be/cpfWC7eed1A

Source: Image: Kozman

 

International Day of Persons with Disabilities – 3 December

The estimated one billion people living with disabilities worldwide face many barriers to inclusion in many key aspects of society. As a result, people with disabilities do not enjoy access to society on an equal basis with others, which includes areas of transportation, employment, and education as well as social and political participation.

The right to participate in public life is essential to create stable democracies, active citizenship and reduce inequalities in society.

International Day of Persons with Disabilities falls on the 3rd of December each year, with the aim of promoting empowerment, and helping to create real opportunities for people with disabilities. This enhances their own capacities and supports them in setting their own priorities.

Empowerment involves investing in people – in jobs, health, nutrition, education, and social protection. When people are empowered they are better prepared to take advantage of opportunities, they become agents of change and can more readily embrace their civic responsibilities.

Source: Text: www.awaarenessdays.com  Image: UN

Journée Internationale des droits de l’enfant – 20 novembre

« Rien n’est plus important que de bâtir un monde dans lequel tous nos enfants auront la possibilité de réaliser pleinement leur potentiel et de grandir en bonne santé, dans la paix et dans la dignité. »
Kofi A. Annan, secrétaire général de l’Organisation des Nations Unies

C’est en 1996 que le Parlement français a décidé de faire du 20 novembre la « Journée Mondiale de défense et de promotion des droits de l’enfant » (loi 96/296 du 9 avril 1996). Cette journée internationale est un moment privilégié pour se rendre compte des nombreuses injustices perpétrées contre les enfants dans le monde. Elle tente aussi de faire valoir la convention internationale des droits de l’enfant de 1989.

Une convention et des droits
La Convention Internationale des Droits de l’Enfant est un texte de 54 articles, adoptée par les Nations Unies le 20 novembre 1989. Elle affirme qu’un enfant n’est pas seulement un être fragile qu’il faut protéger mais que c’est une personne qui a le droit d’être éduqué, soigné, protégé, quel que soit l’endroit du monde où il est né. Et aussi qu’il a le droit de s’amuser, d’apprendre et de s’exprimer. Elle a été ratifiée par 191 pays sur 193. Seuls la Somalie et les États Unis ont refusé de s’engager.

Ce texte est très important, mais pas suffisant : il reste beaucoup à faire pour faire des droits des enfants une réalité. Les droits ne sont réels que dans la mesure où ils sont mis en pratique, pour les enfants comme pour tous. Promouvoir les droits des enfants, c’est tout d’abord créer les conditions sociales, économiques et culturelles afin que tous puissent y accéder. C’est à ce prix que les droits de l’enfant seront véritablement respectés.

L’UNESCO a toujours accordé une place significative à l’enfant au sein de ses programmes et de ses activités, qui visent notamment au développement optimal de la personnalité dès la petite enfance, au progrès social, moral, culturel et économique de la communauté, à l’appréciation des identités et valeurs culturelles, et à la sensibilisation au respect des droits et des libertés fondamentales.

La promotion et le respect des Droits de l’Enfant ne doit pas rester un simple idéal, mais doit devenir une réalité au quotidien, que soient enfin reconnus les droits essentiels de l’enfant : droit à la protection, droit à la santé, droit au développement harmonieux, droit à la culture, droit à l’éducation.

L’Unicef, dans son rapport annuel intitulé « Enfants exclus, enfants invisibles » relève qu’il existe de nombreux enfants qui ne sont même pas enregistrés à l’Etat civil. Ce même rapport indique que plus d’un milliard d’enfants sur Terre « souffrent de privations extrêmes liées à la pauvreté, à la guerre et au sida ».

En 2015, un enfant meurt encore toutes les 3 secondes. Sans parler des millions d’enfants privés d’éducation, de soins, de nourriture, d’eau potable…

Parmi les nombreuses oeuvres qui agissent pour que soit reconnue la dignité des pauvres et des enfants du monde entier, l’UNICEF est surement l’une des plus connues, c’est pourquoi nous vous conseillons de découvrir ses actions dans son site internet dédié.

Un site à visiter : www.unicef.fr    Source : Texte (abrégé) & Image : Journée mondiale